Une architecture d'exclusion - la surveillance comme mode de vie
20 ans après le #11septembre, de simples actes comme accompagner nos proches à la porte d'un aéroport, ou marcher dans les rues près d'immeubles de gouvernement semblent impossibles. Nos lieux communs sont cloisonnés dans la surveillance. A chaque nouvelle barrière, ce qui définissait nos villes s'érode: la #liberté de bouger, se promener. Il devient difficile de se perdre dans du traçage constant.
Avec le #virus comme nouveau danger après le terrorisme, de nouveaux niveaux d'exclusions sont érigés. Après les fermetures des commerces, ils ont réouvert avec de nouvelles barrières.
On a eu le pass #vaccinal, le pass #sanitaire mais aussi des caméras, des kioskes à images thermiques, tout ça pour détecter le Covid mais qui n'ont concrètement jamais vraiment marché. Toutes ces technologies installées au nom de la sécurité sont plutôt utiles pour promouvoir la #ségrégation et la #surveillance.
Post pandémie, avec les vaccins le sentiment de danger a faibli mais aussi l'empathie. De nouveaux appels d'exclusion et de séparations continuent encore maintenant. Les autorités répondent aux problèmes par des couvre-feux, des fermetures de parcs ou lieux publics.
Peut être qu'il y aura un point d'#inflexion où nous réaliserons à quel point nous sommes devenus emmurés, et que nous commencerons à démanteler les #systèmes qui nous #tracent et nous #surveillent.
Après le 9/11, certains pensaient à NY ne plus pouvoir entendre un avion sans paniquer, mais pour des millions de gens ces traumas ont guéri. Cela prendra peut être des années mais quand la peur partira, nous pourrons alors reconstruire des villes libres à explorer. Extrait de https://www.wired.com/story/20-years-after-911-surveillance-has-become-a-way-of-life/
(Note: L'auteur de cet article me semble optimiste. On sait qu'ils tenteront de prolonger la peur. Mais ce texte est important pour les normies, leur montrer le problème de fond: la société de surveillance qui se met en place.) Suivez t.me/momotchiii
20 ans après le #11septembre, de simples actes comme accompagner nos proches à la porte d'un aéroport, ou marcher dans les rues près d'immeubles de gouvernement semblent impossibles. Nos lieux communs sont cloisonnés dans la surveillance. A chaque nouvelle barrière, ce qui définissait nos villes s'érode: la #liberté de bouger, se promener. Il devient difficile de se perdre dans du traçage constant.
Avec le #virus comme nouveau danger après le terrorisme, de nouveaux niveaux d'exclusions sont érigés. Après les fermetures des commerces, ils ont réouvert avec de nouvelles barrières.
On a eu le pass #vaccinal, le pass #sanitaire mais aussi des caméras, des kioskes à images thermiques, tout ça pour détecter le Covid mais qui n'ont concrètement jamais vraiment marché. Toutes ces technologies installées au nom de la sécurité sont plutôt utiles pour promouvoir la #ségrégation et la #surveillance.
Post pandémie, avec les vaccins le sentiment de danger a faibli mais aussi l'empathie. De nouveaux appels d'exclusion et de séparations continuent encore maintenant. Les autorités répondent aux problèmes par des couvre-feux, des fermetures de parcs ou lieux publics.
Peut être qu'il y aura un point d'#inflexion où nous réaliserons à quel point nous sommes devenus emmurés, et que nous commencerons à démanteler les #systèmes qui nous #tracent et nous #surveillent.
Après le 9/11, certains pensaient à NY ne plus pouvoir entendre un avion sans paniquer, mais pour des millions de gens ces traumas ont guéri. Cela prendra peut être des années mais quand la peur partira, nous pourrons alors reconstruire des villes libres à explorer. Extrait de https://www.wired.com/story/20-years-after-911-surveillance-has-become-a-way-of-life/
(Note: L'auteur de cet article me semble optimiste. On sait qu'ils tenteront de prolonger la peur. Mais ce texte est important pour les normies, leur montrer le problème de fond: la société de surveillance qui se met en place.) Suivez t.me/momotchiii
WIRED
20 Years After 9/11, Surveillance Has Become a Way of Life
Constant tracking has compromised Americans’ sense of themselves. But we may be able to regain our freedom.