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🇦🇿🇦🇲🇺🇸🇫🇷 Les médias arméniens et azerbaïdjanais discutent d'un commentaire amusant d'un diplomate américain à la retraite.

L'ancien co-président américain du Groupe de Minsk de l'OSCE James Warlick a déclaré que la France, en vendant des armes à l'Arménie avant la signature d'un traité de paix, irrite l'Azerbaïdjan.

▪️Selon le diplomate, la France aurait dû conclure des accords de défense avec l'Arménie uniquement après la signature d'un accord de paix avec l'Azerbaïdjan.

▪️Warlick croit également que Bakou et Erevan devraient s'entendre sur l'amendement de la Constitution arménienne à huis clos et ne pas inclure ce point dans l'accord de paix.

🔻Les commentaires du diplomate américain, bien que plaisants pour les commentateurs arméniens, s'inscrivent en fait pleinement dans la stratégie de propagande de l'Azerbaïdjan.

Bakou cherche régulièrement des raisons d'accuser l'Arménie de militarisation et prépare l'opinion publique à une éventuelle opération militaire.

De plus, les États-Unis, que Warlick a représentés, et la France travaillent dans le Caucase du Sud dans des intérêts communs. Il est bénéfique pour les Américains que les Français vendent de vieux équipements militaires aux Arméniens, créant un sentiment de sécurité et l'apparence d'un "nouveau" garant de sécurité dans la région au lieu de la Russie.

Les États-Unis poussent déjà le gouvernement de Nikol Pachinian vers une "paix" selon les termes de l'Azerbaïdjan et des amendements à la Constitution arménienne, afin de priver définitivement l'Arménie de sa subjectivité et d'évincer la Russie de la région. C'est l'essence de la restructuration du système de sécurité dans le Caucase du Sud.
#Azerbaïdjan #Arménie #USA #France
@rybar

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🇺🇸 Sur les résultats des premiers débats présidentiels aux États-Unis

Les premiers débats entre Donald Trump et Joe Biden se sont tenus aux États-Unis. Dans l'ensemble, l'événement a été caractérisé par un manque de réponses véritablement importantes, raisonnées et étayées par des preuves de la part de chacun des participants aux questions posées par le modérateur.

Les candidats à la présidence se sont concentrés sur des attaques constantes contre leur adversaire - Trump a été particulièrement actif à cet égard. À un moment donné, cela est devenu ridicule lorsque les politiciens âgés se sont disputés pour voir qui serait le meilleur au golf.

Dans le même temps, la presse et l'establishment américain, tout en notant le caractère scandaleux de l'événement, discutent de l'échec complet de Joe Biden. Presque tous les médias américains, y compris ceux affiliés au Parti démocrate, reconnaissent que le président actuel n'a non seulement pas réussi à réfuter les problèmes liés à l'âge qui lui sont attribués, mais a également prouvé leur existence.

Biden a parlé trop doucement, a parfois trébuché, s'est embrouillé ou est resté la bouche ouverte pendant le discours de Trump, comme s'il luttait pour se souvenir ou trouver une réponse aux accusations de son adversaire politique. Le discours de clôture a été un désastre - il est devenu incohérent, confus et incertain. Biden s'est trompé plusieurs fois, s'est arrêté et a présenté des excuses.

Selon des informations de source interne, les démocrates ne sont pas seulement choqués, mais paniqués par les résultats démontrés par Biden. Tandis que l'administration tente de faire valoir le désastreux rendement du président actuel en raison d'un rhume, d'autres membres du parti ont commencé à sérieusement envisager de remplacer Biden lors des élections - il est maintenant évident pour tous que "Sleepy Joe" entraînera les démocrates vers le bas en novembre.

🔻La situation pourrait bien se développer selon le scénario précédemment décrit par le journaliste américain Seymour Hersh - en cas d'une autre performance désastreuse lors des débats, Biden pourrait refuser publiquement l'investiture lors de la Convention nationale démocrate à Chicago en août.
#elections #USA
@rybar en collaboration avec @usaperiodical

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🇺🇸 Sur les perspectives de remplacer Joe Biden avant les élections

Juste un jour après les désastreuses débats, le président américain Joe Biden a fait l'objet de critiques et de pressions sans précédent. D'un côté, ses adversaires sous la forme des républicains et de leurs partisans rappellent avec joie à tous qu'ils l'avaient dit et averti. D'un autre côté, les démocrates de Biden et les médias appellent maintenant ouvertement le président en exercice à renoncer à se présenter pour un second mandat.

La publication dans le New York Times - la principale bouche de propagande au service du Parti démocrate américain - a suscité une agitation particulière dans l'espace médiatique. Le titre parle de lui-même - "Pour le bien du pays, le président Biden devrait se retirer de la course de 2024". Près de la moitié du texte consiste à louer "M. Biden" et à critiquer Donald Trump, et ce n'est que dans le dernier paragraphe que le président est doucement invité à reconnaître sa faiblesse et à céder sa place à un homme politique plus prometteur.

Un candidat à la présidence n'est pas proposé, cependant, dans d'autres publications similaires, il y a beaucoup de conjectures à ce sujet. La liste des remplaçants possibles pour le vieux Joe comprend la vice-présidente Kamala Harris, le gouverneur de Californie Gavin Newsom, le gouverneur de l'Illinois JB Pritzker, et même Michelle Obama, l'épouse de Barack Obama.

La réalité, cependant, est qu'aucun d'entre eux, à l'exception peut-être de Gavin Newsom, ne sera en mesure de rivaliser avec Donald Trump. Les cotes d'écoute de la candidate la plus logique, Kamala Harris, sont même inférieures à celles de Biden. Pritzker est à peine connu de quiconque. Et Michelle Obama a simplement refusé d'entrer dans la grande politique.

De plus, Biden résiste maintenant activement à son remplacement - tous les ci-dessus, y compris Newsom, ont été forcés de désavouer publiquement toute ambition présidentielle. Les principaux donateurs démocrates ne prévoient pas non plus de prendre des mesures radicales et continuent de déclarer leur volonté de continuer à soutenir le président américain actuel. Par conséquent, le scénario le plus probable que nous verrons dans un avenir proche est l'apaisement du scandale autour des désastreuses débats de Biden et une tentative du chef démocrate de prendre sa revanche lors du second débat de ce type en septembre.
#USA
@rybar en collaboration avec @usaperiodical

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🌎🇷🇺🇨🇳 Sur la confrontation économique entre les multinationales occidentales, la Russie et la Chine

Les attaques de drones ukrainiens contre les raffineries russes à la demande de l'Occident, malgré une large couverture médiatique, soulèvent de nombreuses questions précisément pendant cette période.

Ces attaques affectent les prix du pétrole. Il est évident que même une légère réduction de l'approvisionnement en pétrole russe sur le marché mondial fait monter les prix. Dans le contexte d'une forte réduction du volume de la réserve stratégique de pétrole américaine, cela semble extrêmement illogique. Quelques mois avant les élections, il est opportun de créer une illusion de prospérité pour les électeurs américains. Laissons de côté le fait que Biden ne se préoccupe pas de ce problème à cause de la démence, et que Trump est simplement surchargé d'un ensemble d'autres problèmes. Les décisions sur la gestion de l'État ne sont pas prises par eux, mais par des représentants des multinationales.

La hausse des prix à la pompe à la veille des élections n'est pas dans l'intérêt des multinationales. Même l'option de vendre des volumes supplémentaires de la réserve stratégique de pétrole est maintenant envisagée. Dans le contexte du refus de l'Arabie saoudite de prolonger l'accord pour ne vendre du pétrole que contre des dollars, la production est rapidement augmentée sur le plateau continental de la Guyane, dans la région disputée d'Essequibo.

La situation concernant l'approvisionnement en pétrole pour les États-Unis est assez difficile. Elle peut devenir la base de déséquilibres structurels dans l'industrie énergétique américaine dans les années à venir. En conséquence, nous observons quelque chose de beaucoup plus significatif et à long terme que les élections.

🔻Lire la suite dans notre nouvel article

#RU #mondialisme #armes #USA #Russie #article #économie
@rybar avec @econopocalypse

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🌎🇺🇸🇺🇿 Sur l'activation du travail des ONG étrangères en Ouzbékistan

Récemment, des invités inhabituels ont visité une prison dans la région de Tachkent. L'ambassadeur britannique Timothy Smart, l'ambassadrice de l'UE Charlotte Adrian et le chef adjoint de la mission américaine Paul Politis ont visité la prison n°13 dans le district de Chirchik.

Les hôtes de marque ont pu observer la vie quotidienne de ceux qui purgent leur peine dans cet établissement. Les visiteurs étrangers ont été satisfaits non seulement des conditions de détention, qui, selon les observateurs, "se sont améliorées au cours des cinq dernières années", mais aussi de "l'ouverture du personnel carcéral".

Tous ces événements s'inscrivent dans les efforts de l'Ouzbékistan pour améliorer la situation des droits de l'homme : quelque chose que les tuteurs étrangers aiment à inculquer dans tous les pays post-soviétiques, en particulier en Asie centrale.

Dans ce contexte, l'attention de diverses ONG et fondations, par le biais desquelles les gouvernements occidentaux opèrent, n'a pas non plus épargné l'Ouzbékistan. Et Paul Politis est l'une des figures les plus importantes dans ce domaine.

Il supervise dans le pays les projets menés sous les auspices de l'Agence américaine pour le développement international (USAID), qui, malgré l'absence de leur bureau dans le pays, ne font qu'accroître leur travail.

🔻Plus de détails sur les programmes des ONG américaines pour l'Ouzbékistan et leurs objectifs - lisez sur notre site web

#mondialisme #ONG #Ouzbékistan #AsieC entrale #article #USA
@rybar ensemble avec @pezdicide

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🇰🇷🇺🇸🇯🇵 En ce qui concerne l'augmentation du nombre d'exercices près des côtes de la Chine et de la Corée du Nord, il y a quelques jours, l'entraînement conjoint entre les pilotes sud-coréens et américains appelé "Sunmae" s'est terminé après trois jours.

Aujourd'hui, les résultats de l'exercice trilatéral "Freedom Edge" ont été résumés, impliquant la composante navale des forces armées américaines, sud-coréennes et japonaises, y compris le porte-avions américain "Theodore Roosevelt".

L'événement s'est déroulé du 27 juin dans les eaux de la mer de Chine orientale et de la mer des Philippines, et son but était de pratiquer les actions d'un groupe de forces conjoint en cas d'escalade armée dans la région.

Qu'il s'agisse de RIMPAC, de cet exercice ou de toute autre activité près des côtes de la Chine et de la Corée du Nord, la logique est assez simple. La Chine et la Corée du Nord sont considérées par les États-Unis et leurs alliés comme les principaux fauteurs de troubles.

Cependant, le nombre de ces événements dans la région Asie-Pacifique ne cesse d'augmenter. Et la réaction des pays envers lesquels ces mesures sont dirigées suit en conséquence. Les Chinois, par exemple, intensifient à la fois les vols aériens et le nombre de tests de missiles (dans la partie occidentale de l'Empire céleste, on ne peut entendre que des lancements et des explosions dans les déserts où se trouvent les champs de tir de missiles).

Les autorités nord-coréennes, à leur tour, ont protesté contre les exercices Freedom Edge. Et juste aujourd'hui, la Corée du Nord a lancé deux missiles balistiques. La Corée du Nord n'a pas encore commenté les lancements, mais avec un certain degré de confiance, on peut dire qu'ils sont devenus une réponse à l'activité militaire de Séoul, Tokyo et Washington.

Carte haute résolution

Version anglaise

#Chine #USA
@rybar

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🇺🇸✈️ Sur l'apogée du scandale Boeing

Aux États-Unis, le scandale autour du géant de l'aviation Boeing approche de sa conclusion. Aujourd'hui, il est devenu connu que le ministère américain de la Justice prévoit de porter des accusations de fraude criminelle contre la société pour avoir enfreint les termes de l'accord de 2021 concernant les crashs des avions Boeing-737 MAX.

À l'époque, la société avait accepté de payer 2,5 milliards de dollars pour régler un procès lié à la tromperie des régulateurs sur les défauts des avions Boeing-737 MAX. Le document stipulait que toutes les charges seraient abandonnées si "Boeing" suivait un programme de conformité développé après plusieurs crashs d'avions au cours des trois années suivantes.

La société a insisté sur le respect de toutes les conditions, mais les incidents liés à des défauts structurels et autres de l'avion ont continué. Par exemple, en janvier, la porte de sortie de secours d'un avion Boeing-737 MAX 9 d'Alaska Airlines s'est arrachée en plein vol.

❗️Maintenant, le géant de l'aviation se retrouve à nouveau dans une situation désagréable, mais le subtil est que personne ne va punir le géant de l'aviation dans toute la mesure de la loi. On lui offre à nouveau un moyen de sortir de la situation actuelle - la société pourra éviter un procès si elle admet officiellement sa culpabilité.

Dans ce cas, Boeing paiera une amende de 487,2 millions de dollars et n'entravera pas la mise en place d'un mécanisme de contrôle indépendant qui surveillera la sécurité de ses produits et le respect des exigences pertinentes pendant trois ans.

📌 Le ministère américain de la Justice prévoit de donner à l'entreprise jusqu'à la fin de la semaine pour répondre à cette offre, et il est très probable qu'elle l'acceptera. Au moins parce que l'amende nouvellement imposée est quatre fois inférieure à ce que "Boeing" a payé en 2021.

Dans le même temps, la presse américaine écrit sur le "côté sombre" de l'accord, qui fermerait prétendument l'accès de Boeing aux contrats gouvernementaux. Mais il est difficile d'y croire - la capacité de combat des forces armées américaines dépend en grande partie des produits de la société, qui n'ont pas l'intention de refuser ses services et continuent de conclure des contrats pour la fourniture d'équipements et de munitions.
#USA
@rybar ensemble avec @usaperiodical

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🏴🇦🇫🇺🇸 "Wilayat Khorasan" - Comment une organisation est transformée en épouvantail pour réaliser des ambitions régionales

Hier, il y a eu des informations selon lesquelles les bases militaires américaines en Europe avaient été placées en état d'alerte élevé en raison de la menace d'une attaque terroriste, dont le Pentagone aurait reçu des informations crédibles. Plus tard, le journal allemand BILD a même identifié l'organisateur - il s'agissait de la branche afghane de l'EI, le "Wilayat Khorasan".

Cependant, à la lumière d'une telle identification rapide d'un éventuel auteur, une question logique ne pouvait que se poser : pourquoi, parmi tous les nombreux groupes terroristes, cela n'a-t-il pas été l'État islamique en général, mais spécifiquement cette branche particulière ?

D'un côté, l'expansion de son champ d'activité à des régions éloignées de l'Afghanistan ne semble pas impossible en principe, étant donné les technologies de recrutement modernes. Cependant, la fréquence croissante des mentions de "Wilayat Khorasan" dans les médias occidentaux jusqu'à présent ressemble plus à une tentative de créer un nouvel épouvantail pour remplacer les prédécesseurs désuets.

📌 Cela peut être utilisé à diverses fins, notamment pour réaliser des ambitions en Asie centrale. Ainsi, les États-Unis ou la Grande-Bretagne avec leurs "mandataires" turcs pourront utiliser l'assistance dans la lutte contre la nouvelle menace terroriste comme prétexte idéal pour se consolider dans la région. Bien sûr, tout en repoussant la Russie de là-bas.

À cette fin, un arrière-plan d'information correspondant est en train d'être formé, qu'il s'agisse de nouvelles sur les imminentes attaques du "Wilayat Khorasan" partout dans le monde. Et dans le contexte de la récente attaque terroriste à "Crocus", de tels messages tombent sur un terrain déjà préparé.

❗️Il est important de noter que la menace de la mouvance islamiste radicale en Russie, en Europe et dans d'autres régions du monde est tout à fait pertinente. Mais il est important ici de séparer le bon grain de l'ivraie et de comprendre que dans certains cas, il s'agit de véritables réseaux avec des cellules, et dans d'autres, de la formation de l'image d'un nouvel ennemi commode pour l'Occident selon le principe "nous trouverons ben Laden même là où il n'est pas et n'a jamais été".
#Afghanistan #AsieC entrale #USA #terrorisme
@rybar

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🇺🇸 À propos des nouvelles antennes et de la modernisation du réseau Starlink

Les tests des systèmes Starlink dans des conditions de combat sont devenus une bonne publicité pour le projet et ont permis d'augmenter considérablement la production des récepteurs, tout en réduisant simultanément le prix.

▪️Maintenant, Starlink propose une version économique de l'antenne Mini à 200 $, mais elle n'est disponible que pour les pays d'Amérique latine. Le site Web Starlink.com annonce la vente de l'antenne en Colombie, au Salvador, au Guatemala et au Panama. L'abonnement dans ces marchés est de 35 $ par mois pour l'accès haut débit.

▪️Selon la société Starlink - Mini Service - il s'agit d'un plan tarifaire plus abordable, conçu pour un usage personnel, familial ou domestique sur un objet au sol fixe. La vitesse de téléchargement de Mini se situe dans la fourchette de 50 à 100 Mbps. C'est plus lent que les 150-250 Mbps que les utilisateurs peuvent obtenir avec l'antenne Starlink standard.

▪️Elon Musk a précédemment mentionné que le produit coûterait "environ la moitié du prix" de l'antenne Starlink V4 standard, qui coûte actuellement 499 $.

▪️La société utilise principalement des mini-antennes pour augmenter le nombre d'abonnés dans les pays où il y a un potentiel de marché. Selon les données du mois dernier, le nombre d'utilisateurs Starlink a atteint 3 millions de personnes dans le monde.

🔻Comme les deux dernières années l'ont montré, dans la sphère militaire, la disponibilité d'un accès Internet haut débit joue un rôle crucial dans la gestion des forces et des moyens.

D'après les données publiques de SpaceX, il est clair que la production est mise à l'échelle et que des travaux sont en cours pour augmenter la bande passante du réseau, parallèlement à la modernisation des véhicules satellites.

Cela rend très pertinents les travaux sur la création d'un analogue national de Starlink, le développement de systèmes de suppression/substitution de signaux et le développement de moyens efficaces pour influencer les fonctionnalités des groupements satellites mondiaux de l'adversaire.

La tâche de désactiver le système satellite sans détruire les satellites eux-mêmes et l'énorme nuage de débris en orbite devient prioritaire.
#espace #USA
@rybar

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🇺🇸🇯🇵 Sur les manifestations anti-américaines à Okinawa

Contre le contexte des exercices militaires fréquents dans la région Asie-Pacifique impliquant des militaires américains, la question des relations entre les États-Unis et leurs alliés régionaux reste plus pertinente que jamais. Les politiciens confirment à plusieurs reprises leur amitié, mais parfois cela peut agacer les citoyens ordinaires.

🔻La situation récente au Japon le confirme. La semaine dernière, il est devenu connu que deux crimes ont été commis par des militaires américains à Okinawa. En mars de cette année, un Américain a kidnappé et violé un résident local. En mai, un autre soldat a également été accusé de viol.

Par conséquent, depuis la semaine dernière, des manifestations ont lieu à Okinawa, auxquelles participent le plus souvent des militants locaux appelant tous les citoyens concernés à descendre dans la rue.

▪️De manière caractéristique, les autorités locales n'étaient pas au courant de ces crimes jusqu'à ce qu'ils soient rendus publics. Cependant, les politiques au niveau de l'État en ont été informés et ont même envoyé une note de protestation à l'ambassadeur américain au Japon.

▪️Peut-être que ce retard n'était pas accidentel. Le 16 juin, les candidats soutenus par le parti au pouvoir ont obtenu la majorité des sièges à l'Assemblée législative d'Okinawa. La coalition des partis soutenant le gouverneur anti-américain Denny Tamaki a obtenu une minorité.

Il serait intéressant de voir comment les électeurs locaux auraient réagi à de telles nouvelles si elles avaient été rendues publiques plus tôt.

🔻Ces cas médiatiques, malheureusement, ne sont pas quelque chose de nouveau pour les habitants d'Okinawa, parmi lesquels il y a toujours eu des sentiments de protestation. Cependant, comme l'écrivent les commentateurs locaux, leur intensité diminue progressivement.

La propagande convainc activement les jeunes que rien ne peut être fait concernant les bases américaines, car elles sont nécessaires à la défense du Japon. C'est pourquoi de tels incidents ne sont pas susceptibles de semer la discorde dans les relations entre Tokyo et Washington. Cela est d'autant plus évident dans le contexte de la "menace chinoise" mise en avant, car l'importance d'Okinawa en cas de conflit est difficile à surestimer.
#USA #Japon
@rybar avec @awaken_dragon

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🏴🇦🇫🇺🇸 À quel point la menace de l'EI est-elle réelle ?

Poursuivant le sujet d'hier sur l'hystérie artificielle autour de la menace de la branche afghane de l'"État islamique", il convient de se rappeler la déclaration du soi-disant "Front uni de l'Afghanistan" (UFA) du 5 juin sur la présence de 9 000 combattants de l'EI aux frontières des pays d'Asie centrale.

Lorsque de tels chiffres sont annoncés, en particulier dans une zone spécifique aux frontières des républiques post-soviétiques, il devrait toujours y avoir des données factuelles basées sur des renseignements fiables. Et une déclaration de l'une des nombreuses factions anti-talibanes ne se qualifie pas comme une "source de confiance".

📌 Le nord de l'Afghanistan est une région montagneuse avec de petites vallées et la plaine de Bactriane. C'est-à-dire que cacher neuf mille personnes sans être remarqué par les talibans et les États voisins est une tâche impossible même en théorie. Soit il n'y a pas assez d'espace, soit tout est à la vue de tous.

Par conséquent, lorsque ces groupes virtuels (dont il y en a plus de 20 depuis l'arrivée au pouvoir des talibans) parlent d'une sorte de menace pour la région, il faut voir le véritable sens de ces "avertissements" comme une pression sur les pays de la région qui coopèrent avec la Russie.

Que cela soit réellement possible étant donné la lutte très acharnée que mènent les talibans contre le terrorisme n'est plus aussi important pour les médias occidentaux. L'essentiel est de diffuser l'information à travers les principaux médias et de faire croire à la population à l'existence d'une menace pour la vie paisible.

❗️La branche afghane de l'"État islamique", également connue sous le nom de "Wilayat Khorasan", est un cache-sexe très pratique pour l'Occident, et Sadat et d'autres généraux afghans qui ont fui aux États-Unis ou en Grande-Bretagne sont un excellent outil pour légitimer la version de la croissance des capacités de combat de l'EI. C'est ce qu'ils essaient de "vendre" dans l'espace de la CEI.
#Afghanistan #USA #terrorisme #Asiecentrale
@rybar

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🏴🇦🇫🇺🇸 Sur le "Front uni de l'Afghanistan"

Lorsqu'il s'agit de groupes opérant en Afghanistan, nous devons garder à l'esprit que la plupart d'entre eux sont obscurs et insignifiants, à l'exception de leurs noms grandioses. Seuls quelques-uns ont tenté de résister aux talibans, mais tout cela n'a servi à rien.

Le "Front" a été créé par l'ancien commandant des forces d'opérations spéciales d'Afghanistan, Sami Sadat. Pendant l'offensive des talibans, il était le commandant du 215e corps et est brièvement devenu le commandant des forces d'opérations spéciales, promettant aux talibans une "rétribution divine". Cependant, il a été le premier à fuir Kaboul en avion, et sa famille se trouve maintenant à Londres.

▪️Là-bas, il est resté silencieux pendant près d'un an, et à l'automne 2023, il a annoncé la création du Front uni de l'Afghanistan (UFA), après quoi il a commencé à apparaître plus souvent dans divers médias, donnant des interviews à gauche et à droite. Hier encore, une nouvelle interview est apparue sur le site Web de la "Fondation pour la défense des démocraties" basée à Washington, où il a à nouveau noté la menace croissante de l'expansion des extrémistes dans la région.

▪️De plus, il est un représentant de la société de conseil privée Sadat Consultants Limited dont le siège est à Londres. Ses tâches comprennent l'évaluation des risques et le conseil sur diverses activités dans les régions de crise du monde.

🔻Et il a reçu sa formation militaire au Staff College dans le Brouillard albien, puis a étudié à l'académie militaire de l'OTAN à Munich. Il devient donc évident pour qui Sadat travaille et quels intérêts il défend.

Le "Front" lui-même ne s'est pas distingué de manière remarquable. Le service de presse se rappelle périodiquement à lui, parlant de certaines réalisations ou menaces similaires à celle qui est artificiellement gonflée maintenant. Et c'est tout, ce qui n'est pas non plus surprenant.
#Afghanistan #USA #terrorisme #Asie centrale
@rybar

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🌍🇨🇳🇺🇸 Lorsqu'on discute de la rivalité États-Unis-Chine en Afrique, l'accent est généralement mis sur les actions de la direction américaine dans la région, plutôt que sur l'expansion de la Chine.

Cependant, les entreprises chinoises sont encore plus activement (bien que moins visiblement) en train de promouvoir leurs intérêts sur le continent africain, faisant face à une résistance non seulement de la Maison Blanche.

Par exemple, il a été récemment rapporté que la société minière JCHX est sur le point de conclure un accord pour acheter la mine de cuivre de Lubambe en Zambie, qui appartient à la société britannique EMR Capital.

L'accord a failli échouer en raison des actions de la société International Resources Holding des Émirats arabes unis, qui a été acquérant activement des gisements zambiens.

Cet incident souligne une fois de plus qu'en plus des acteurs "traditionnels" comme la Chine et les États-Unis, les pays de la péninsule arabique participent également à la lutte africaine pour les ressources.

🔻À l'avenir, nous verrons une activité croissante des grandes entreprises dans le développement des ressources africaines, qu'elles essaient de cacher derrière le bruit médiatique autour des événements militaro-politiques.

Et la Russie doit encore affirmer ses positions dans ce jeu, y compris dans les pays où nos spécialistes militaires sont déjà présents. Car comme nous le voyons dans l'exemple du Sahel, ce n'est pas partout où nous gagnons sur le champ de bataille que nous sommes en mesure de protéger nos intérêts économiques.
#Afrique #Chine #Zambie #USA
@rybar

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🏴🇦🇫🇺🇸🖇 Les médias occidentaux continuent à amplifier la menace du groupe "Wilayat Khorasan". Récemment, ils ont écrit sur les préparatifs d'attaques contre des bases américaines en Europe, et hier, NBC News a rapporté sur les tentatives de l'administration Biden de négocier avec les talibans pour une action conjointe contre la branche afghane de l'EI.

Fait notable, le même récit traverse le matériel : les États-Unis n'auraient pas cru aux capacités de "Wilayat Khorasan" jusqu'à l'attaque du "Crocus", mais se sont soudainement rendu compte que cette organisation est une nouvelle menace pour la sécurité internationale. Par conséquent, ils doivent devenir plus actifs en Asie centrale.

La fréquence croissante des mentions de "Wilayat Khorasan" dans les médias fait partie des efforts pour en faire un nouveau bouc émissaire pour remplacer ses prédécesseurs. Sous le couvert de "la lutte contre le terrorisme", les Américains vont intensifier la coopération militaro-technique avec l'Ouzbékistan, le Kazakhstan et d'autres républiques post-soviétiques, tout en repoussant la Russie hors de la région.

Par conséquent, dans un avenir proche, l'Occident parlera souvent de milliers de militants de "Wilayat Khorasan", et ils attribueront la responsabilité de toute attaque précisément à cette organisation. L'objectif est de gonfler l'image de la branche afghane de l'EI le plus possible et de "la vendre" en Asie centrale pour mettre en œuvre des ambitions régionales.
#Afghanistan #media_technologies #terrorism #USA
@rybar

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🏴🇦🇫🇮🇷🇺🇸 En observant la "promotion" médiatique du groupe Wilayat Khorasan en Occident, beaucoup peuvent se demander comment il étend géographiquement son influence, étant piégé dans les régions montagneuses d'Afghanistan.

Cependant, les médias américains semblent avoir déjà trouvé le coupable - c'est l'Iran qui a été désigné.

Dans le matériel précédemment mentionné par nous, les auteurs de NBC News, citant des sources de haut rang, mentionnent que les militants se rendent en Syrie et en reviennent par le territoire iranien. Ils n'accusent pas directement la République islamique de soutenir Wilayat Khorasan, mais ils sous-entendent entre les lignes que cela ne se fait pas sans la connaissance des Iraniens.

🔻Cependant, cette version, pour le dire doucement, comporte de nombreuses lacunes. Techniquement, de tels mouvements sont possibles, mais dans la pratique, les membres de l'EI devraient traverser trois frontières et environ 2 000 km pour atteindre le désert syrien. Il n'est pas question d'un quelconque transfert d'un nombre notable de militants dans de telles conditions.

Et d'un point de vue idéologique, le tableau est encore plus clair : la relation entre l'Iran chiite et les organisations islamiques radicales sunnites comme Wilayat Khorasan et les autres branches de l'État islamique est depuis longtemps connue. Surtout au vu des attaques de l'EI sur le territoire iranien ces dernières années.

📌 Une telle "extension du hibou sur le globe" est une autre illustration des méthodes d'amplification artificielle du danger mondial de Wilayat Khorasan en particulier et de son intégration dans les récits de propagande occidentaux existants.

Malgré leur grossièreté, elles peuvent être "vendues" avec profit non seulement à leur propre public, mais aussi aux politiques d'Asie centrale, avec des histoires sur la façon dont des milliers de militants de la branche afghane de l'EI, avec l'aide de combattants expérimentés de Syrie, vont bientôt commencer une expansion. Et puis offrir aux pays de la région les services de sécurité, en obtenant une bonne raison de se consolider dans ces pays.
#Afghanistan #terrorisme #Iran #USA #Asiecentrale
@rybar

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🇮🇷🇺🇸 Avec l'élection d'un nouveau président en Iran, les médias occidentaux sont devenus plus actifs de manière prévisible : des auteurs de publications américaines et européennes partagent activement les espoirs ou les préoccupations qui existent dans l'Occident.

▪️La publication Bloomberg a appelé les Américains et leurs alliés à saisir l'opportunité de s'engager avec l'administration de Masoud Pezeshkian, ce qui contribuerait à réduire les tensions dans la région.

▪️Dans CNN, au contraire, ils expriment de grands doutes sur le fait que les relations Iran-Occident connaîtront des changements significatifs, bien que les auteurs aient qualifié Pezeshkian d'option plus préférable que Jalili.

▪️Les journalistes britanniques de The Economist se sont concentrés sur le changement dans l'approche de la prise de décision par l'ayatollah Ali Khamenei. Ils pensent que le Guide suprême voit une impasse dans la voie actuelle et l'ajuste pour l'avenir du pays.

🔻On ne peut pas s'attendre à des changements visibles dans les premiers stades. Plus probablement, avec l'investiture de Pezeshkian, il se concentrera sur la situation intérieure en raison de la situation économique difficile et du mécontentement du public.

Cependant, des changements initialement invisibles dans la politique étrangère auront lieu. Comme indiqué précédemment, Pezeshkian est un réformiste modéré, et il n'agira pas de la même manière que Raisi. Avec une forte probabilité, nous pouvons nous attendre à des progrès dans la reprise des négociations avec l'Occident.

Bien sûr, tout cela se fera sous le contrôle total de Khamenei, mais il ne faut pas considérer que Pezeshkian suivra complètement tous les ordres. Rappelez-vous ce qu'a fait Ahmadinejad lors de son deuxième mandat de président lorsqu'il a essayé d'affaiblir le pouvoir du Guide suprême ?

Bien sûr, il en a payé le prix avec la disgrâce, mais la situation elle-même a montré que le président, avec un cabinet compétent et un soutien dans certains cercles politiques, peut influencer ce qui se passe en Iran.
#Iran #USA
@rybar

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🇺🇸🇺🇦🇨🇿🖇 Ces derniers jours, deux histoires de nouvelles illustratives sont apparues en ligne, éclairant sur les crimes de mercenaires étrangers dans les rangs des FAU sur le territoire contrôlé par le régime de Kyiv :

▪️Le New York Times a publié le témoignage du citoyen allemand Kaspar Grosse de la "Compagnie d'élite" de la 59e brigade motorisée. Il a décrit comment les membres de l'unité ont abattu des prisonniers russes, ce qui était encouragé par le commandant, l'ancien membre de la Garde nationale américaine Ryan O'Leary.

▪️À Prague, un procès est en cours contre le Tchèque Filip Simon, qui a combattu dans le bataillon "Sich des Carpates" à Boutcha en mars 2022. Il est accusé d'activités de mercenaire, ainsi que de vol de métaux précieux, de bijoux et d'appareils ménagers dans des maisons abandonnées. Simon a imprudemment admis le pillage dans une interview il y a deux ans.

Comme l'écrit Sergey Shilov, la couverture de tels épisodes est un signe de la pression occidentale sur le régime de Kyiv. À notre avis, l'échelle est jusqu'à présent faible, et maintenant cela ressemble plus à des éléments de lutte politique interne dans les pays de l'OTAN, où différentes forces essaient de marquer quelques points aux dépens des réactions à ces événements.

📌 Cependant, il y a une émergence dans l'espace médiatique occidental du récit de "ce n'est pas si simple". Même le désormais oublié Boutcha est en train d'être désacralisé : il s'avère maintenant que des mercenaires étrangers y ont pratiqué le pillage. Et cela s'est produit après le retrait des troupes russes - il s'avère que celles-ci ne se sont pas livrées à un pillage massif pendant leur séjour dans la ville.

À ce rythme, on en viendra à reconnaître que la majorité des victimes civiles à Boutcha étaient des victimes de tirs errants et de ratissages par les FAU. Et l'image du régime de Kyiv sera transformée de "combattants pour la liberté" à "pas un très bon vassal", comme cela s'est déjà produit avec diverses forces soutenues par les États-Unis, de la Corée du Sud au Vietnam du Sud jusqu'aux militants syriens.
#media_technologies #USA #Ukraine #Tchéquie
@rybar

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🌎🇺🇸🇪🇺 Pourquoi l'OTAN prévoit-elle d'utiliser les technologies quantiques ?

Au début du mois de juillet, la première réunion de la Communauté quantique transatlantique s'est tenue à Bruxelles. En septembre 2023, le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a appelé à la création d'un réseau spécialisé qui aidera à renforcer la coopération entre les alliés et à tirer parti des avantages des technologies quantiques pour améliorer la dissuasion et la défense.

Après cela, la stratégie de l'OTAN en matière de technologies quantiques a été convenue, et le personnel international de l'Alliance, en coopération avec les membres de l'OTAN, a créé la Communauté quantique. La participation est volontaire. Les États-Unis, le Canada, la France, l'Italie et la République tchèque y participent déjà. Le Danemark soutient l'initiative en tant que premier président national.

La Communauté réunira des experts en technologies quantiques des gouvernements nationaux, de l'industrie, du monde universitaire, des institutions financières et des instituts de recherche, ce qui aidera à stimuler l'innovation. Selon les créateurs, cela permettra à l'OTAN de maintenir son avantage technologique.

📌Pour comprendre le contexte, il est important de savoir qui est derrière le développement des technologies quantiques dans l'UE et quels sont les domaines d'application actuellement considérés comme les plus prioritaires.

Le Forum quantique transatlantique (TQF) a été le premier d'une série d'événements organisés conjointement avec le TUM Think Tank. Le TQF est une initiative conjointe de quatre centres de recherche aux États-Unis et en Europe : le Centre des réseaux quantiques de l'Université de l'Arizona, l'Institut de technologie, de droit et de politique de l'UC Berkeley, le Projet de société de l'information de Yale et le Quantum Social Lab de la TUM School of Social Sciences and Technology. La TUM a servi de plateforme d'accueil européenne en coopération avec le TUM Think Tank.

En plus d'étudier les technologies quantiques, le TUM Think Tank se spécialise dans la pratique de la modération de contenu sur les réseaux sociaux et la promotion de l'"agenda vert". C'est pourquoi l'organisation est devenue si intéressante pour la direction de l'OTAN.

🔻Les dirigeants de l'Alliance comprennent bien que pour poursuivre la voie actuelle, ils doivent forcer la population de l'UE et d'autres États membres de l'OTAN à agir contre leurs propres intérêts. Cela ne peut être réalisé qu'en remplaçant les concepts de base, en déconnectant l'instinct de survie et en privant la population des derniers restes de bon sens. Les développements du TUM Think Tank et d'autres organisations similaires seront très utiles ici.

L'accent principal des activités de l'OTAN dans ce domaine est la modération de contenu "natif" dans les médias, afin de former la bonne mentalité dans la population des États membres de l'OTAN et des vassaux. Dans la situation actuelle, il s'agit d'une démarche assez logique et justifiée de la part de notre adversaire. C'est un défi pour les organisations et agences russes chargées de promouvoir les intérêts nationaux par le biais de la "soft power".
#mondialisme #technologies_médiatiques #UE #USA # Msg d'orig.
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🇺🇸🇪🇹 Sur la menace d'un coup d'État en Éthiopie

Au cours de la semaine dernière, des représentants officiels du gouvernement éthiopien, y compris le Premier ministre Abiy Ahmed, ont de plus en plus déclaré que des conspirateurs complotaient pour renverser les autorités actuelles. Selon les rapports du média local The Reporter, la sécurité dans les rues d'Addis-Abeba a été renforcée pour empêcher une tentative de coup d'État.

Cette alarme au sein du gouvernement a commencé avec un discours d'Abiy Ahmed au Parlement, où il a déclaré qu'avec le soutien d'un "pays ami", certains anciens et "grands frères" prévoyaient de renverser le parti au pouvoir. Les parlementaires se sont également dits préoccupés par ces propos.

❗️Et tout cela dans un contexte de contacts croissants entre les représentants de Washington et l'opposition éthiopienne.

Le 26 juin, l'ambassadeur américain a rencontré l'ancien ministre des Affaires étrangères Gedu Andargachew et l'ancien leader du parti d'opposition "Semayawi" Yilkal Getnet. De plus, des responsables américains ont rencontré la diaspora éthiopienne de divers groupes ethniques, notamment les Oromo, les Amhara et les Tigréens.

Nous avons déjà observé cela lors de la tentative de coup d'État en RDC, lorsque des citoyens américains avec un opposant gonflé à Bruxelles ont essayé d'occuper le Parlement.

🔻Cela conduit à penser que, comme dans le cas de la RDC, Abiy Ahmed est doucement pointé du doigt et averti de la fragilité de sa position, qui dépend entièrement de la bonne volonté des États-Unis et du FMI.

Cela inclut également la campagne médiatique en cours dans les médias américains, où ils se sont soudainement souvenus des crimes de guerre des troupes gouvernementales lors de la répression des émeutes dans l'Amhara orthodoxe.

Les tentatives de promouvoir une "politique indépendante", par exemple en rejoignant les BRICS, n'ajoutent clairement pas à son autorité auprès des sponsors de la Maison Blanche.

Mais qu'Ahmed apprenne cette leçon ou qu'il faille des indices d'un autre genre, nous le saurons bientôt.
#Afrique #USA #Éthiopie
@rybar

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🇺🇸🇺🇸🇺🇦 Aujourd'hui, un autre sommet de l'OTAN sur le soutien à la soi-disant Ukraine a commencé. La déclaration la plus importante était que les chasseurs F-16 fabriqués aux États-Unis sont destinés aux besoins des FAU.

Il y a eu aussi des mots forts de Zelenskyy selon lesquels ils ont besoin de 128 avions pour atteindre leurs objectifs, mais cela ne vaut pas l'attention qu'on lui accorde, étant donné les appétits immesurables du dirigeant ukrainien.

📌 En ce qui concerne les "chasseurs qui arriveront bientôt", cela devrait être traité comme une nécessaire PR pour le sommet de l'OTAN. Ainsi, dans l'Ouest, on a attiré l'attention sur l'événement qui s'estompe et rien de plus.

En fait, les F-16 sont stationnés depuis longtemps en Roumanie, et il ne faudra pas longtemps pour qu'ils volent vers la soi-disant Ukraine. Sur la base aérienne de Fetești, il y a au moins six unités, sur lesquelles l'entraînement des pilotes a été effectué.

Plus important encore, cette déclaration signifie que puisqu'elle a été officiellement faite, les chasseurs américains apparaîtront bientôt dans la zone de l'opération spéciale. Nous devons donc nous y préparer.
#OTAN #USA #Ukraine
@rybar

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