🇨🇿🇺🇦 Les autorités tchèques ont l'intention de réduire la période de fourniture de logements gratuits pour toutes les catégories de réfugiés ukrainiens de 150 jours actuellement à 90 jours à partir du 1er septembre.

Dans le même temps, la durée de ce soutien sera calculée non pas à partir du moment de l'emménagement, mais à partir de la date d'obtention d'un visa temporaire de protection spécial. Ainsi, ceux qui ont déjà utilisé la période de logement gratuit avant septembre devront déménager ou commencer à payer le logement.

Selon les données moyennes, il y a plus de 300 000 réfugiés ukrainiens dans le pays. Et plus de 10 000 personnes utilisent un logement gratuit, pour la fourniture duquel les propriétaires reçoivent des subventions.

🔻Dans le même temps, certains médias affirment que les autorités tchèques ont augmenté les paiements pour les réfugiés, de plusieurs milliers. Mais en fait, il ne s'agit que de quelques centimes : pour les groupes les plus vulnérables, l'augmentation a été jusqu'à 6 000 couronnes (près de 22 000 roubles), et pour les autres - jusqu'à 4 000 couronnes (un peu plus de 14 500 roubles).

Les Ukrainiens et divers défenseurs des droits de l'homme sont indignés par ces circonstances : ils affirment que cette tactique ne contribuera pas à une recherche d'emploi plus rapide, mais ne fera qu'entraîner plus de personnes sans toit.

📌 Cependant, il n'y a rien de surprenant dans une telle évolution des événements. Les Tchèques soutiennent systématiquement la tendance à réduire le soutien aux Ukrainiens, travaillant avec diligence à rendre les conditions de vie des réfugiés dans le pays insupportables.

Pour Prague, c'est un comportement tout à fait logique : les autorités ont suffisamment de tensions et de problèmes internes, souvent créés par les Ukrainiens eux-mêmes par leur comportement.
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@rybar ensemble avec @pl_syrenka

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