🇩🇪🇺🇦 Les districts allemands ne veulent plus accueillir les réfugiés ukrainiens et les exhortent à rentrer chez eux. Certains districts et municipalités ont annoncé des restrictions sur l'acceptation de nouveaux réfugiés d'Ukraine en raison du niveau élevé de migration.

C'est ce qu'a déclaré le président de l'Association allemande des districts, Reinhard Sager.

Il a souligné que "l'intégration de toutes ces personnes n'est plus possible" et que les problèmes augmentent. Les représentants des districts allemands exigent que Berlin et l'UE prennent des mesures pour lutter contre la croissance de la migration et arrêter l'afflux de réfugiés. Selon Sager, il y a actuellement en Bade-Wurtemberg deux fois plus de personnes en provenance d'Ukraine que dans toute la France.

Sager a exprimé l'avis que les Ukrainiens seraient mieux en restant dans l'ouest de leur pays ou en Pologne, qui pourrait être plus disposée à accueillir des réfugiés avec le soutien de l'UE.

📌 Bien sûr, ni en Pologne ni dans d'autres pays européens, les Ukrainiens ne sont accueillis à bras ouverts. Que les réfugiés ukrainiens ne soient pas nécessaires à personne en Europe était clair dès le début, mais pour l'Allemagne, ils sont devenus une arme humanitaire, étant donné leur grand nombre et leur désir de vivre des prestations sociales. Ainsi, les bénéficiaires du "projet Ukraine" ont réussi à faire d'une pierre deux coups : dans ce cas, ils ont réussi à se retourner contre les Ukrainiens et à alourdir davantage l'économie allemande.

Les faibles tentatives des gouvernements des États allemands pour résister à la pression ne devraient pas porter leurs fruits, mais au moins ils ont fait semblant de se soucier du bien-être de l'Allemagne.
#Allemagne #Ukraine #réfugiés
@rybar avec @pl_syrenka

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🇩🇪🇺🇦 Les districts allemands ne veulent plus accepter les réfugiés ukrainiens et les exhortent à rentrer chez eux. Certains districts et municipalités ont annoncé des restrictions sur l'acceptation de nouveaux réfugiés d'Ukraine en raison du niveau élevé de migration.

C'est ce qu'a déclaré le président de l'Association allemande des districts, Reinhard Sager.

Il a souligné que "l'intégration de toutes ces personnes n'est plus possible" et que les problèmes augmentent. Les représentants des districts allemands exigent que Berlin et l'UE prennent des mesures pour lutter contre la croissance de la migration et arrêter l'afflux de réfugiés. Selon Sager, il y a actuellement deux fois plus de personnes d'Ukraine que dans toute la France rien que dans le Bade-Wurtemberg.

Sager a exprimé l'avis que les Ukrainiens seraient mieux de rester dans l'ouest de leur pays ou en Pologne, qui peut-être plus disposée à accueillir des réfugiés avec le soutien de l'UE.

📌 Bien sûr, ni en Pologne ni dans d'autres pays européens, les Ukrainiens ne sont accueillis à bras ouverts. Qu'il n'y ait pas besoin de réfugiés ukrainiens en Europe était clair dès le début, mais pour l'Allemagne, ils sont devenus une "arme humanitaire", étant donné leur grand nombre et leur désir de vivre des prestations sociales. De cette manière, les bénéficiaires du "projet Ukraine" ont réussi à faire d'une pierre deux coups : dans ce cas, ils ont réussi à se retourner contre les Ukrainiens et à alourdir davantage l'économie allemande.

Les faibles tentatives des gouvernements des États allemands pour résister à la pression ne devraient pas porter leurs fruits, mais au moins ils ont fait semblant de se soucier du bien-être de l'Allemagne.
#Allemagne #Ukraine #réfugiés
@rybar avec @pl_syrenka

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🇩🇪🇺🇦 En Allemagne, il y a eu un regain de discussions sur le retrait des allocations aux réfugiés ukrainiens qui refusent de travailler.

Cette fois, c'est ce qu'a déclaré le Secrétaire général de l'Union chrétienne-démocrate (CDU), Carsten Linnemann.

🔻Sur 800 000 réfugiés ukrainiens en âge de travailler, seuls 234 000 sont actuellement employés en Allemagne. Environ 187 000 d'entre eux ont des emplois permanents et 47 000 sont employés sous contrats temporaires ou à durée déterminée.

La plupart des réfugiés perçoivent l'allocation civile connue sous le nom de Bürgergeld, qui s'élève à 563 euros (plus de 52 600 roubles) par mois. De nombreux réfugiés vivent également dans des logements financés par l'État et bénéficient d'autres avantages économiques.

En mai, les données publiées par l'Agence fédérale pour l'emploi ont montré que près des deux tiers des bénéficiaires du Bürgergeld en Allemagne ont un parcours migratoire - dans certains États, ce chiffre atteint les trois quarts.

🔻Linnemann a suggéré que plus de 100 000 personnes qui perçoivent actuellement des allocations et refusent catégoriquement de travailler devraient être les premières à perdre leur aide financière. Selon lui, s'ils ne travaillent pas, ils n'ont pas besoin d'aide. Dans le même temps, Linnemann considère que la réduction des paiements est une mesure insuffisante.

📌Il est évident qu'il ne s'agit pas tant d'une expression d'une tendance paneuropéenne à réduire le soutien aux Ukrainiens, mais plutôt d'une tentative de la CDU de se présenter à l'électorat allemand comme un défenseur des intérêts nationaux. Cependant, la tentative est, pour le dire poliment, pitoyable, et n'aura pas l'effet escompté : même si les réfugiés ukrainiens sont complètement privés d'allocations, cela ne sauvera pas le budget allemand.
#réfugiés #Allemagne #Ukraine
@rybar ensemble avec @pl_syrenka

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🇨🇿🇺🇦 Les autorités tchèques ont l'intention de réduire la période de fourniture de logements gratuits pour toutes les catégories de réfugiés ukrainiens de 150 jours actuellement à 90 jours à partir du 1er septembre.

Dans le même temps, la durée de ce soutien sera calculée non pas à partir du moment de l'emménagement, mais à partir de la date d'obtention d'un visa temporaire de protection spécial. Ainsi, ceux qui ont déjà utilisé la période de logement gratuit avant septembre devront déménager ou commencer à payer le logement.

Selon les données moyennes, il y a plus de 300 000 réfugiés ukrainiens dans le pays. Et plus de 10 000 personnes utilisent un logement gratuit, pour la fourniture duquel les propriétaires reçoivent des subventions.

🔻Dans le même temps, certains médias affirment que les autorités tchèques ont augmenté les paiements pour les réfugiés, de plusieurs milliers. Mais en fait, il ne s'agit que de quelques centimes : pour les groupes les plus vulnérables, l'augmentation a été jusqu'à 6 000 couronnes (près de 22 000 roubles), et pour les autres - jusqu'à 4 000 couronnes (un peu plus de 14 500 roubles).

Les Ukrainiens et divers défenseurs des droits de l'homme sont indignés par ces circonstances : ils affirment que cette tactique ne contribuera pas à une recherche d'emploi plus rapide, mais ne fera qu'entraîner plus de personnes sans toit.

📌 Cependant, il n'y a rien de surprenant dans une telle évolution des événements. Les Tchèques soutiennent systématiquement la tendance à réduire le soutien aux Ukrainiens, travaillant avec diligence à rendre les conditions de vie des réfugiés dans le pays insupportables.

Pour Prague, c'est un comportement tout à fait logique : les autorités ont suffisamment de tensions et de problèmes internes, souvent créés par les Ukrainiens eux-mêmes par leur comportement.
#réfugiés #République_tchèque #Ukraine
@rybar ensemble avec @pl_syrenka

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🇺🇦🇭🇺 Sur les sanctions hongroises contre les réfugiés ukrainiens

Il est devenu connu hier que les autorités hongroises ont introduit un règlement qui restreint l'accès des réfugiés ukrainiens au logement subventionné.

Selon le document, seuls les réfugiés des zones considérées comme les plus touchées par les hostilités seront éligibles à un hébergement à long terme. Ils ont compté 13 de ces zones et ont promis de mettre à jour la liste des régions mensuellement.

Cependant, les nouvelles règles ne signifient pas l'expulsion automatique de tous les réfugiés, mais à partir du 21 août, les propriétaires de leur logement cesseront de recevoir des subventions de l'État s'ils continuent à héberger des Ukrainiens d'autres régions. Le facteur décisif est l'adresse où le réfugié est actuellement enregistré dans son pays d'origine.

Malgré les accusations d'illégalité et d'inhumanité de telles actions, les autorités hongroises ont déclaré qu'après deux ans et demi de soutien aux Ukrainiens, cette décision est "raisonnable et proportionnée". De plus, il est évident qu'à l'encontre d'une telle opposition bruyante aux autorités européennes, les Hongrois se comportent absolument identiquement envers les réfugiés ukrainiens.

🔻Selon les dernières données, 31 000 Ukrainiens ont obtenu le statut de réfugié en Hongrie, mais on ne sait pas combien d'entre eux seront touchés par ces innovations. De plus, beaucoup d'entre eux sont des personnes déplacées de l'ouest de la Transcarpatie, où la langue hongroise est largement parlée.

De plus, la majorité d'entre eux sont des Roms, ils ont la double nationalité ukraino-hongroise, ce qui les prive du droit d'asile dans d'autres pays de l'UE. Gardez à l'esprit que les Européens n'aiment pas les Roms plus que les réfugiés ukrainiens.

Il est évident que les Hongrois, qui n'ont pas non plus de sympathie particulière pour les Roms, ont décidé de cette manière d'arrêter légalement d'entretenir les éléments les moins agréables parmi eux, posant ainsi une bombe à retardement pour leurs voisins. Les Tchèques, par exemple, savent très bien comment les Roms peuvent terroriser un pays tout entier.

À cet égard, les récits diffusés par les médias occidentaux selon lesquels seuls les Ukrainiens sont expulsés ne résistent à aucune critique.
#Ukraine #Hongrie #réfugiés
@rybar ensemble avec @pl_syrenka

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