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🇺🇸🛰️ Dans la situation des problèmes de la capsule spatiale Starliner, il est important de bien séparer l'effet sur Boeing en tant que fabricant et sur le programme spatial américain séparément.

▪️Pour Boeing, les conséquences sont assez décevantes - le projet qui devait être le fleuron du vol spatial habité commercial a été accompagné de défauts de production constants, de retards et de reports de lancements.

L'apogée a été les difficultés potentielles avec le retour sur Terre du véhicule après un vol conjoint avec l'ISS. Tout cela nuit davantage à la réputation du géant de l'aviation, qui a déjà été ternie par des scandales sur la qualité des avions et les "morts mystérieuses" d'informateurs.

▪️Dans le même temps, les problèmes avec Starliner ne sont pas fatals pour le vol spatial américain - ils ont de nombreuses alternatives. On peut se rappeler la chaîne de production spatiale SpaceX avec leur DragonCrew (qui, soit dit en passant, transportent maintenant des cosmonautes russes en orbite) et les derniers navires Starship qui sont en phase de test.

Ils ont aussi Orion, qui, bien que ce soit un projet à long terme, a déjà effectué plusieurs vols non habités. De plus, la version pilotée de la mini-navette Dream Chaser de Sierra Space finira par apparaître. Donc les Américains ne seront pas laissés sans moyens de transporter des personnes en orbite dans un avenir proche.

📌 En ce qui nous concerne, ce n'est pas à nous de nous moquer des États-Unis en raison de problèmes plus importants dans ce domaine. Après tout, les délais d'essai en vol du nouveau vaisseau Orel (PTK) sont reportés chaque année, les projets de véhicules réutilisables de S7 Space et MTKS "n'ont pas fonctionné" pour diverses raisons, et les fusées Soyouz développées dans les années 60 sont toujours lancées vers l'ISS.

Donc ce qui se passe avec le Starliner est l'occasion d'apprendre des erreurs des autres, afin que nous ne marchions pas sur les mêmes râteaux plus tard.
#espace #USA
@rybar

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🇷🇺🇺🇸✈️Des drones contre la triade nucléaire ? Sur les tentatives de l'Occident collectif de trouver une alternative aux armes nucléaires

La triade nucléaire a été le fondement de la souveraineté de la Russie pendant des décennies. Dans l'esprit de la direction militaire soviétique et russe, elle est perçue comme une constante immuable.

Cependant, le cours des conflits militaires actuels et le développement des technologies militaires basées sur l'IA suggèrent que notre adversaire travaille activement sur une alternative efficace aux armes nucléaires.

En ce moment, des dizaines d'entreprises et de groupes de réflexion occidentaux essaient de résoudre le problème : comment infliger des dommages irréparables à l'économie russe sans provoquer un conflit nucléaire. Et l'une des solutions - les drones UAV basés sur l'IA - est déjà activement testée dans la soi-disant Ukraine et au Moyen-Orient.

🔻Pourquoi la menace d'une utilisation massive de drones ne peut-elle pas être ignorée, combien de millions de drones l'Occident prévoit-il de produire dans les années à venir et quels dommages peuvent-ils causer sans violer formellement notre doctrine nucléaire - lisez le nouvel article sur rybar.ru

#armes #USA #Russie #article #économie
@rybar

Nous espérons que vous avez apprécié le matériel de notre équipe d'analystes. Nous vous serons reconnaissants de tout soutien (voici un lien pratique pour le paiement via SBP). Msg d'orig.
🇰🇷🇺🇸🇯🇵 Pendant ce temps, en Asie de l'Est, une alliance continue de se former entre la Corée du Sud, les États-Unis et le Japon. Il est prévu qu'en juin prochain, les forces armées de ces pays tiendront une autre série d'exercices trilatéraux.

▪️La caractéristique distinctive des prochaines manœuvres est leur nature multiforme. Auparavant, les exercices trilatéraux se déroulaient soit uniquement dans les airs, soit uniquement en mer.

Le format nouvellement adopté des exercices couvrira non seulement les domaines susmentionnés, mais aussi de nouveaux domaines, y compris le cyberespace.

▪️On ne sait pas encore combien d'équipements et de personnel les parties déploieront pour les exercices.

Selon les rapports des médias, des négociations sont en cours pour impliquer le porte-avions nucléaire "Theodore Roosevelt", qui a été fréquemment présent dans la région Asie-Pacifique ces derniers temps.

🔻Il s'agit de la mise en œuvre des accords conclus par les dirigeants des États-Unis, du Japon et de la Corée du Sud au Camp David l'année dernière. À l'époque, les parties avaient promis de tenir régulièrement des exercices multiformes, de sorte que ce format d'entraînement semble devenir la nouvelle norme bientôt.

Le caractère régulier de ces manœuvres provoquera sans aucun doute encore plus la Corée du Nord à, par exemple, effectuer des tests de missiles. Par conséquent, à mesure que l'alliance des Américains avec leurs frères d'Asie de l'Est se renforcera, les tensions dans la région, où ne se passe pas un jour sans exercices à grande échelle, ne feront que continuer à s'intensifier.
#CoreeDuSud #USA #Japon
@rybar avec @awaken_dragon

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🇪🇺🇷🇺🇺🇸🇺🇦 Le journal Le Monde résume les résultats prévisibles du "sommet de la paix" en Suisse : selon les journalistes, la déclaration contient de vieux mots sur les principes du droit international, mais il n'y a pas de mesures pour résoudre le conflit là-bas.

Les auteurs déplorent également que le document n'ait été signé par aucun pays des BRICS, qui ont soit envoyé des diplomates et des observateurs de second rang à l'événement, soit l'ont complètement ignoré, comme la Chine.

📌 Tout cela est vrai, mais Le Monde ne souligne pas une chose : à en juger par les déclarations faites au sommet, son but était d'indiquer que l'Occident collectif n'est pas enclin à mettre fin aux hostilités et prévoit de faire la guerre jusqu'au dernier Ukrainien.

Par conséquent, il est initialement incorrect de considérer de telles réunions à travers le prisme de la recherche de la paix - aux États-Unis comme en Europe, les compromis avec la Russie sont actuellement exclus par principe. Le régime de Kyiv n'a pas encore récupéré les sommes investies en lui, donc la position de l'Ouest ne devrait pas changer dans un avenir proche.
#UE #Russie #USA #Ukraine
@rybar

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Tr de @sex_drugs_kahlo
🇺🇸🇦🇫 Selon les collègues de @diplosource "Source diplomatique", l'administration américaine serait mécontente et envieuse des succès des autorités afghanes actuelles dans la lutte contre le trafic de drogue. Cela serait dû au fait que la crise des opioïdes qui a englouti les États américains est principalement associée, dans l'establishment politique américain, aux activités des services de renseignement américains en Afghanistan.

Cependant, il semble que les paroles de la source référencée par les collègues puissent être interprétées quelque peu différemment. La question de la loyauté des services de renseignement envers l'un des camps opposés est maintenant plus aiguë que jamais, surtout à l'approche de l'élection d'un nouveau dirigeant américain. L'establishment politique américain se souvient très bien de ce qui s'est passé en 2020-2021 avec Donald Trump, qui a perdu leur soutien et a un moment donné eu le statut de "cadavre politique" (certains de ses partisans sont même devenus de véritables cadavres).

À cet égard, il y a maintenant une lutte acharnée pour attirer les personnes ou les groupes nécessaires de son côté, et pour cela, non seulement la corruption, mais aussi le chantage avec tous les péchés possibles du passé seront utilisés. Et l'approvisionnement en opiacés peut être lié à cela. Étant donné qu'un certain nombre d'entreprises occidentales (à la fois pharmaceutiques et de conseil comme McKinsey) ont été dans une certaine mesure impliquées dans cette "activité de livraison", dont certaines ont déjà payé des amendes de plusieurs millions et milliards de dollars après l'arrivée au pouvoir de l'équipe Biden, le nombre de structures qui peuvent potentiellement être tenues pour responsables des mauvais efforts de lutte contre le trafic de drogue et de la "contribution à la crise des opioïdes" ne cesse de s'élargir.

Donc, il semble que les élections américaines de 2024 seront en effet intéressantes. Après les manœuvres monstrueuses lors du vote précédent, les républicains tiendront compte de toutes les erreurs de Trump et essaieront de se venger par tous les moyens possibles. Et les démocrates à tous les niveaux ne sont pas non plus sur le point de rester inactifs.

#USA #Afghanistan #trafic_de_drogue
@sex_drugs_kahlo - Bonheur latino-américain [non] Msg d'orig.
🇺🇸À propos des remaniements au sein de la commission du renseignement de la Chambre des représentants du Congrès américain

Il y a un scandale à la Chambre basse du Congrès américain, et le président républicain Mike Johnson y est à nouveau impliqué. Le politicien a provoqué un tollé parmi les législateurs des deux partis en décidant de nommer deux membres inflexibles du parti conservateur à la commission du renseignement.

Scott Perry de Pennsylvanie et Ronny Jackson du Texas, de l'avis des membres de la commission, "menacent de détruire le consensus bipartite qui a été péniblement atteint après la présidence de Donald Trump."

Très probablement, c'est exactement pour cette raison que Johnson a gardé cette paire en réserve - leur passé vaut quelque chose. Perry, par exemple, est un républicain discrédité dont le téléphone a été saisi par le FBI après les événements du 6 janvier 2021. Jackson, quant à lui, a été accusé d'ivresse et de harcèlement pendant son mandat de conseiller médical en chef du président en 2019. Tous deux sont des alliés de Trump et n'aiment ni les démocrates ni leurs membres modérés du parti.

🔻Plus précisément, ils sont nécessaires pour deux tâches très importantes. Tout d'abord, ils ne doivent pas permettre à leurs modérés et souvent corrompus membres du parti de se collusion avec les démocrates. Deuxièmement, ils seront obligés de surveiller étroitement les activités des agences de renseignement, qui sont actuellement subordonnées aux intérêts de Biden et à son désir d'empêcher Trump de se présenter à l'élection présidentielle en novembre de cette année.

Ni les démocrates ni les républicains modérés n'ont apprécié le mouvement de Johnson. Ils supplient littéralement le président de reconsidérer sa décision, citant le fait que deux politiciens marginaux auront accès à des documents classifiés. Johnson, l'un des alliés fidèles de Trump, n'a pas l'intention de reculer - le politicien s'est dit convaincu que Perry et Jackson "seront en mesure de servir dignement le peuple américain au sein de la commission du renseignement."

Tout cela est très probablement pas sans coordination avec Trump - c'est ainsi que le politicien se prépare aux élections et à l'éventuelle prise de contrôle de la Maison Blanche et du Congrès.
#USA
@rybar ensemble avec @usaperiodical

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🇺🇸🇷🇺🇺🇸 Concernant la possibilité de la préparation d'ogives nucléaires par l'Alliance de l'Atlantique Nord, comme l'a rapporté Operational Reports. Selon nos informations, elles ont déjà été mises en état d'alerte.

Le fait que cela n'ait été annoncé que maintenant est une tactique standard pour préparer progressivement le public à une escalade des tensions. Tout d'abord, ils y mènent, puis fournissent un prétexte (Russie, Chine et Corée du Nord), et ensuite ils l'annonceront officiellement.

Nous avons observé cette tactique à de nombreuses reprises lors de l'opération spéciale dans la soi-disant Ukraine avec le transfert d'armes et d'équipements militaires aux formations ukrainiennes. Que ce soit avec les HIMARS, les chars, les ATACMS ou les avions de chasse.

❗️De plus, dans un avenir proche, nous devrions nous préparer aux exercices des forces nucléaires de l'Alliance, similaires à ceux menés par nos troupes. Le scénario de l'événement est déjà, comme on dit, "sur la table", et sa mise en œuvre n'est qu'une question de temps.

Bien sûr, le nombre d'ogives nucléaires de l'OTAN est insignifiant par rapport à nos stocks, mais le simple fait d'envisager un tel exercice fait partie du plan global visant à augmenter le niveau de tension dans les relations Russie-Alliance.
#OTAN #Russie #USA
@rybar

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✈️🇺🇸🇨🇳Comment les États-Unis veulent combattre la Chine

Dans un article récent sur la menace de l'utilisation massive de drones, nous avons exprimé notre préoccupation face à l'augmentation rapide du nombre de drones sur le champ de bataille. De nombreuses technologies prometteuses sont déjà affinées et testées dans les conflits réels du soi-disant Ukraine et de la bande de Gaza.

Et il n'est un secret pour personne que le Pentagone explore déjà activement le budget pour se préparer à de futurs conflits potentiels, où la Chine sera bien sûr le principal adversaire des États-Unis.

▪️ En août 2023, le ministère de la Défense américain a présenté Replicator, son initiative visant à déployer des milliers de "systèmes autonomes offensifs tout domaine (ADA2)". C'est ainsi que le Pentagone appelle ces dispositifs peu coûteux (et potentiellement contrôlés par l'IA).

Il s'agit de navires USV et de navires, de grands drones à voilure fixe, d'essaims de petits drones kamikazes. Selon le plan de l'armée américaine, ces dispositifs doivent être utilisés et déployés massivement pour submerger les forces chinoises.

▪️ Dans le même temps, deux divisions du Pentagone à la tête de ces travaux ont annoncé que quatre fabricants d'armes non traditionnels ont été sélectionnés pour participer à un autre programme visant à créer des drones Enterprise Test Vehicle, dont les vols d'essai sont prévus pour la fin de cette année.

Sur plus de 100 candidats, Anduril Industries, Integrated Solutions for Systems, Leidos Dynetics et Zone 5 Technologies ont été sélectionnés.

Les entreprises qui créent cet Enterprise Test Vehicle, ou ETV, devront prouver que leur drone peut voler plus de 500 miles et livrer une charge utile cinétique, avec une attention particulière portée aux armes peu coûteuses, facilement produites en masse et modulaires.

Ces exigences sont reflétées dans l'appel d'offres 2023 et dans une récente annonce de la Direction des armements de l'US Air Force et de la Defense Innovation Unit - une division du Pentagone axée sur l'accélération du développement de prototypes prêts à l'emploi.


🔻Comme nous pouvons le voir, les travaux sur le développement d'armes sans pilote battent leur plein. Le concept de leur utilisation est rapidement amélioré, en s'appuyant sur l'expérience des conflits actuels.

Par conséquent, plus tôt nous commencerons à mener des activités similaires (bien que sur une plus petite échelle) avec la participation à la fois d'entreprises nationales de premier plan et d'équipes de développeurs talentueux, plus nous serons en mesure de nous préparer efficacement aux futurs conflits.
#Chine #Armes #USA
@ Msg d'orig.
🌍🇫🇷 L'agence de presse française AFP rapporte sur une autre réduction du contingent militaire français en Afrique.

Ce n'est pas la première nouvelle de ce genre. On savait déjà auparavant de la réduction du contingent au Gabon, en Côte d'Ivoire et au Sénégal, où l'influence américaine grandit en même temps.

Et maintenant, la réduction du personnel militaire au Tchad a également été confirmée, ce qui n'était pas inattendu. Surtout après l'entrée des Hongrois dans le pays pour remplacer les Français (ce qui n'a cependant pas empêché la pénétration de l'influence russe).

L'armée française a également annoncé des plans pour créer un commandement basé à Paris dédié à l'Afrique et n'a pas exclu de "fusionner" leurs bases avec des partenaires américains ou européens, comme l'a déclaré le chef d'état-major Thierry Burkhard.

❗️Encore une fois, nous notons que tous ces retraits de troupes sont tout à fait cohérents avec les plans des États-Unis dans la région.

Depuis que la direction du Palais de l'Élysée n'a pas empêché le coup d'État au Niger et la déviation de certains autres États du cours occidental, Washington a décidé de prendre l'Afrique sous son contrôle. C'est pourquoi à Paris, on a commencé à parler de bases communes, qui peuvent bien devenir une couverture pratique pour céder les affaires aux Américains.

🔻Mais il est également impossible d'écarter complètement la France du jeu africain. Au Togo et au Bénin, qui suivent traditionnellement la voie de Paris, personne ne va partir - au contraire, de nouvelles bases sont en construction.

Sans parler de l'influence dominante du capital français même dans les pays pro-russes du Sahel. De plus, un important contingent de 1 500 hommes reste à Djibouti, au moins tant que la guerre contre les Houthis en mer Rouge se poursuit.

Carte en haute résolution

Version anglaise

#Afrique #USA #France
@rybar

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🇮🇱🇺🇸 Aujourd'hui, l'administration présidentielle américaine a décidé de refroidir publiquement l'ardeur du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui hier dans son allocution télévisée a accusé la direction américaine d'un retard "impensable" dans la livraison d'armes et de munitions pour Israël. Cela comprenait des bombes aériennes lourdes, dont l'expédition a été suspendue en mai en raison d'inquiétudes concernant leur utilisation dans la bande de Gaza au milieu des combats dans la zone urbaine de Rafah.

En réponse, la Maison Blanche a annulé la réunion prévue jeudi avec de hauts responsables israéliens à Washington - elle devait discuter de plusieurs questions clés, les principales étant la situation à la frontière Liban-Israël et l'Iran. Fait notable, une partie de la délégation israélienne a reçu l'information de l'annulation de la réunion en route vers la capitale américaine.

🔻L'incident a permis à l'administration du président américain actuel Joe Biden de monter une sorte de spectacle à la veille des prochaines élections, dont le but était de démontrer son pouvoir et d'indiquer la place de l'allié présomptueux. Pendant ce temps, pour le gouvernement ultra-orthodoxe, c'était une sorte de gifle qui aurait dû leur rappeler l'importance de ne pas défier les partenaires clés.

Dans le même temps, la réunion entre le conseiller à la sécurité nationale américain Jake Sullivan et le chef du Conseil de sécurité nationale israélien Tzachi Hanegbi aura lieu sans changement, tout comme la visite prévue du ministre de la Défense Yoav Gallant aux États-Unis la semaine prochaine.
#Israël #USA
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