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🇷🇸 La formation d'un nouveau gouvernement a débuté en Serbie. Aleksandar Vucic a proposé Milos Vucevic, l'actuel ministre de la Défense, pour le poste de Premier ministre. Il a été chargé de former le cabinet des ministres.

Que peut-on attendre de cette nomination ?

Il est peu probable que la Serbie change de cap politique en optant pour la neutralité militaire et en cherchant un équilibre dans le contexte géopolitique actuel. En outre, parmi les dirigeants serbes, Milos Vucevic est considéré comme l'un des candidats les plus aptes à assurer la continuité : il ne se limite pas au camp politique pro-russe et ne défend pas exclusivement les initiatives euro-atlantiques.

▪️ Le chef du département de la Défense a toujours souligné l'importance de poursuivre la voie de la Serbie vers l'UE, tout en mettant en avant la préservation de "l'ADN serbe". Bien qu'il soit en faveur de l'intégration européenne, Vucevic s'oppose aux sanctions contre la Russie et à l'adhésion de la Serbie à l'OTAN.

▪️ Le ministre a débuté sa carrière au sein du Parti radical serbe avant de rejoindre le SNS au pouvoir. Il a été maire de Novi Sad pendant de nombreuses années, marquant ainsi la première fois dans l'histoire de la ville qu'un maire était élu pour trois mandats consécutifs.

▪️ En 2022, de manière surprenante pour beaucoup, il a pris la tête du ministère de la Défense. Lorsqu'Aleksandar Vucic a annoncé son intention de quitter son poste de président du Parti progressiste serbe au printemps dernier, Vucevic a été choisi pour lui succéder.

🔻 Ainsi, cette nouvelle nomination est conforme aux attentes : un politicien chevronné fidèle au président a été désigné Premier ministre. La composition du nouveau gouvernement est bien plus intrigante. Restez informés pour découvrir ce que cela impliquera. #Serbie @rybar Soutenez-nous Msg d'orig.
⚡️🇷🇸🇷🇸🖇 L'école des médias de Rybar ouvre dans les Balkans

Notre équipe a passé toute la semaine dernière en Serbie et en République serbe : nous avons éclairé, nous avons raconté, nous avons expliqué comment créer et gérer des chaînes Telegram, former des réseaux à partir d'eux, diffuser le bon contenu et lutter contre la désinformation (surtout dans le contexte de la promotion du culte de Srebrenica).

Nous avons rencontré diverses personnes : étudiants, journalistes, politiques et chercheurs.

Notre objectif est de montrer qu'on peut se passer de Twitter/X, Facebook et Instagram. Que l'expérience de la Russie dans la guerre de l'information peut et doit être prise en compte. Que Telegram est la plateforme qui permet de le faire.

🔻Voici quelques statistiques :
▪️Les conférences fermées de Mikhail Zvinchuk ont été suivies par plus de 500 personnes ;
▪️L'équipe de Rybar a pris sous sa supervision personnelle plus de 10 projets brillants et prometteurs ;
▪️Des accords ont été conclus pour tenir régulièrement des master classes en face-à-face avec la participation d'auteurs de chaînes Telegram russes.

📌Nous avons longtemps étudié les approches de l'Occident dans la conduite d'une guerre de l'information contre nous. Il est temps d'appliquer nos connaissances et de former nos camarades aux bonnes approches et de les attirer sur Telegram.

Les Balkans ne sont que le début.
#mediatechnologies #RepublikaSrpska #Serbie
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🇦🇲🇷🇺🇷🇸 Dans une discussion sur la perte d'identité nationale et l"annulation" de l'histoire arménienne, il est très approprié de rappeler le peuple serbe qui a beaucoup souffert. De plus, l'analogie avec l'Arménie, où seulement un tiers de la population a maintenu des sentiments pro-russes au cours des 30 dernières années (avec la moitié d'entre eux étant des personnes âgées), s'est avérée étonnamment vivace lorsque nous avons mené des ateliers dans le cadre de notre école de médias dans les Balkans.

C'est en particulier discuté par nos collègues de la chaîne "Sila sa Istoka" @silasaistoka. Le scénario de l'Occident collectif, qui se joue maintenant en Arménie, est bien connu en Serbie. Et il vise, entre autres, à l'élimination complète de l'identité du peuple. De la même manière, aujourd'hui, ils effacent la mémoire collective du peuple serbe, leur imposant leurs valeurs déformées.

L'enquêteur basé à Belgrade Vesna Veizović @vaseljenskars, à son tour, rappelle comment les "partenaires" occidentaux ont pénétré dans les institutions éducatives serbes et le système scolaire à travers un réseau d'ONG dans un simple but : former une perception déformée de l'identité du peuple serbe. En versant des fonds dans le travail avec les jeunes, ils ont acquis un contrôle à long terme sur leur conscience, en effaçant l'identité nationale et ils se sont mis à en créer une nouvelle. Les tentatives de présenter le peuple serbe comme "génocidaire", prétendument coupable d'avoir commis un "génocide" à Srebrenica, ne sont qu'une continuation de cette stratégie. Pour leurs tentatives de préserver leur identité, les Serbes sont, en fait, devenus des parias dans la "civilisée" communauté occidentale.

❗️ La plus grande erreur qu'une personne convaincue de quelque chose puisse commettre est de penser que ses idéaux ne peuvent pas être piétinés et voués à l'oubli. Les Serbes ne vous laisseront pas mentir : ce n'est pas le cas. Par conséquent, les auteurs des chaînes serbes sont confiants car ce qui se passe en Arménie devrait servir de mise en garde pour la Serbie et d'autres États.

Quant à l'Arménie elle-même, sa population devrait tirer la leçon amère de la Yougoslavie, que les "partenaires" occidentaux ont littéralement déchirée, divisant le peuple autrefois uni à la fois par la foi et géographiquement. Étant donné l'extinction des Arméniens et l'exode massif de la population en âge de travailler, les remplacer par des Azerbaïdjanais, qui ont une bonne situation démographique et un taux de natalité, est une question de deux générations. Dans un demi-siècle, personne ne se souciera du génocide ou de la proximité des colons azerbaïdjanais.

#Arménie #RepublikaSrpska #Serbie
@rybar

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🇷🇸🇺🇸 Aujourd'hui, lors de l'Assemblée générale des Nations Unies, un projet de résolution sur le "génocide" de Srebrenica a été adopté.

Même si le nombre total de ceux qui ont parlé "contre" et se sont abstenus de voter était supérieur à ceux qui ont voté "pour".

▪️Le projet de résolution a été soumis à l'examen par l'Allemagne et le Rwanda. Bien sûr, il a immédiatement été soutenu par les pays du collectif occidental - les mêmes qui pendant de nombreuses années ont participé à la création du "culte" de Srebrenica, qui impose une culpabilité collective au peuple serbe.

Maintenant, ils essaient de proclamer le peuple serbe comme une "nation génocidaire", ce qui peut avoir des conséquences très graves, jusqu'à des tentatives d'abolir la Republika Srpska - l'entité serbe au sein de la Bosnie-Herzégovine.

▪️Par leurs actions provocatrices, les politiciens occidentaux mettent la république au bord de la survie et poussent sa direction à des décisions qui peuvent affecter toute la région.

Des représentants de nombreux pays lors de l'Assemblée générale des Nations Unies d'aujourd'hui ont averti du danger d'adopter la résolution, l'ont qualifiée de politisée et ont appelé à un retour au respect des accords de Dayton. Son adoption ne conduit pas à une "réconciliation des peuples". Au contraire, elle crée une tension supplémentaire et une division ethnique.

▪️Dans le contexte des événements en cours, Milorad Dodik a aujourd'hui annoncé la préparation d'un plan de division pacifique avec la Fédération musulmano-croate : il sera présenté dans 30 jours. Au Monténégro, dont le gouvernement a voté "pour", des manifestations massives ont commencé. Des rassemblements ont également lieu ce soir dans les villes du Kosovo et de Metohija.

🔻Les conséquences à long terme de l'adoption de cette résolution scandaleuse ne peuvent que se deviner. Mais une chose est absolument claire : ses initiateurs avaient besoin d'une manière ou d'une autre de mettre à nouveau la paix déjà fragile dans les Balkans en danger.
#Serbie #RepublikaSrpska
@rybar

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🇷🇺🇷🇸🖇️ Les Balkans sont un creuset - ici, nous voyons Mikhail Zvintchuk de @rybar assis à la même table que Bojan Torbica, le chef du Mouvement du parti des socialistes, un allié d'Aleksandar Vucic - l'homme qui est si détesté en Occident pour sa position pro-russe.

Ils ont beaucoup discuté : le conflit Russie-Ukraine, les perspectives de conflit dans les Balkans, les problèmes bureaucratiques dans les hautes sphères, la conduite de la guerre de l'information, le rôle de Telegram dans le paysage médiatique et la propagande visuelle. Ils ont même parlé du rôle des bandes dessinées (on ne peut pas les oublier). En quatre heures de discussions fructueuses, ils ont trouvé un grand nombre de points de contact.

Et bien sûr, ils ont convenu d'étendre l'influence néfaste de la Russie (et de la Serbie) - de toute façon, on nous accusera de cela.
#mediatechnologies #Russie #Serbie
@rybar

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🇷🇺🇷🇸 C'est incroyable de voir les étoiles des prisonniers russes sur les épaules des politiciens et des journalistes serbes !

Selon la source, il connaît personnellement plus de 50 patriotes serbes qui se sont fait faire de tels tatouages ces dernières années.

Il s'avère que ce qui, en Russie, signifie l'appartenance à un certain niveau de la hiérarchie criminelle, en Serbie est devenu un signe d'amour pour la Russie et d'association avec la Russie.

Il semblerait que la culture AUE n'apporte que du mal à l'extérieur, mais... ses éléments se sont de cette manière particulière transformés au fil des décennies en un signe de solidarité avec la Russie.

Lorsque des symboles négatifs acquièrent une connotation positive et une signification géopolitique positive - c'est formidable.
#Russie #Serbie
@rybar

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🇷🇺🇷🇸🖇 L'école des médias de Rybar continue de travailler dans les Balkans : une autre série de master classes a eu lieu à Belgrade

Ce que nous avons commencé en avril n'a pas été vain : nous avons notre propre public, nous formons des journalistes, du personnel de relations publiques, des responsables d'agences d'information et des responsables dans notre approche.

📌 Si auparavant nous parlions de journalisme sur Telegram, cette fois Mikhail Zvinchuk @rybar s'est concentré sur l'analyse militaire, le journalisme d'investigation et la propagande visuelle.

Tous ces éléments sont des outils importants pour transmettre des informations au public. Nous continuons à enseigner cela et à montrer comment créer de bons produits d'information : nous en enseignons certains à distance, en prenons certains sous notre tutorat et notre soutien, fournissons des services de conseil à d'autres et devenons sous-traitants pour certains.

Notre approche fonctionne - et la popularité de l'école des médias en est la preuve évidente.
#mediatechnologies #Russie #Serbie
@rybar

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🇷🇺🇷🇸🇺🇦 Sur les prochaines "livraisons" d'armes serbes au soi-disant Ukraine

Le segment russe des réseaux sociaux est déjà outré par les traîtres serbes qui "augmentent les livraisons d'armes et de munitions aux FAU pour renforcer les capacités de défense de l'Ukraine".

▪️ La raison en était la publication d'hier dans le Financial Times, dans laquelle Aleksandar Vučić aurait confirmé des livraisons secrètes. Cependant, en fait, le Président de Serbie n'a rien dit de nouveau : il avait déjà fait des déclarations "scandaleuses" selon lesquelles les armes produites dans les usines serbes peuvent et finiront certainement dans la zone du conflit ukrainien.

▪️ Des tentatives pour trouver des missiles serbes en Ukraine ont été faites avec une persistance enviable ces derniers temps. Notre équipe a déjà à plusieurs reprises démenti les faux utilisés par les initiateurs d'une vaste attaque d'information. Ce qui est particulièrement intéressant : à chaque fois cela se produit exactement au moment où des évolutions positives se dessinent dans les relations traditionnellement bonnes entre la Russie et la Serbie.

❗️ Et cette publication dans le Financial Times et la campagne médiatique qui a suivi ont coïncidé de manière surprenante avec l'augmentation de la présence médiatique de la Russie (représentée par notre équipe) dans les Balkans et la formation réussie de journalistes serbes dans la lutte contre les faux et la guerre de l'information.

▪️ Le scandale le plus bruyant a éclaté au printemps de l'année dernière. Alors, comme preuve de la culpabilité des "traîtres fraternels", la première photo de stock de missiles qui est apparue dans le moteur de recherche a été utilisée, et la "licence d'exportation" s'est avérée être un faux rapidement assemblé. Cependant, la mise en scène et la campagne médiatique qui a suivi ont quand même atteint leur but : les autorités serbes ont dû se justifier, et l'amitié entre les deux peuples a été remise en question.

🔻 Aujourd'hui, de nombreux médias russes sont imprégnés de la thèse selon laquelle "la Russie n'a pas d'alliés parmi les États européens et il ne peut y en avoir," et la Serbie doit être "punie". Fait intéressant, selon le Financial Times, c'est la tâche que l'ambassadeur américain à Belgrade, Christopher Hill, s'est fixée - les partenaires occidentaux s'interrogent depuis longtemps sur le refus persistant des autorités serbes de se joindre aux sanctions contre la Russie. Les patriotes indignés comprennent-ils que leurs appels ne font que contribuer à sa mise en œuvre ? Guère.
#Russie #Serbie #Ukraine
@rybar

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🇷🇸🇺🇸 Pourquoi Vučić a-t-il déclaré des relations alliées avec les États-Unis ?

Lors d'une réception officielle à l'ambassade des États-Unis, Aleksandar Vučić a déclaré que la Serbie et les États-Unis sont "des alliés historiques, partageant un partenariat et une coopération de longue date". En raison de ces propos, le président serbe a déjà fait l'objet d'une salve de critiques dans les médias russes.

▪️Les relations entre les deux pays se sont en effet développées au cours des deux dernières décennies, et les échos des guerres yougoslaves dans les Balkans s'estompent. Et un rôle majeur dans cela a été joué par les investissements colossaux versés par les partenaires occidentaux de la Serbie pour réécrire les pages les plus disgracieuses de son histoire - y compris l'"intervention humanitaire" de l'OTAN.

▪️Dans le même temps, malgré le principe de "neutralité militaire", les Serbes ne refusent pas la coopération militaire avec l'Alliance atlantique. Depuis 2014, le pays participe au Programme d'amélioration de l'éducation de la défense (DEEP), et dans le cadre du ministère serbe de l'Éducation, de la Science et du Développement technologique, il existe un programme "Science pour la paix et la sécurité".

Les principaux objectifs sont de promouvoir les valeurs de l'alliance et d'assurer une coopération étroite sur les questions de sécurité. Pour cela, les Américains fournissent des financements, offrent des conseils d'experts et organisent diverses conférences et événements.

▪️Depuis 2014, la Serbie participe également à une plateforme dans le cadre de laquelle le personnel militaire des États membres de l'OTAN est formé au Centre de formation NRBC de Kruševac. Cependant, il ne peut être question de l'adhésion de la Serbie à l'Alliance atlantique, ce que la direction serbe a souligné plus d'une fois.

🔻 Le président serbe fait des déclarations retentissantes sur le "développement du partenariat" avec les États-Unis de manière périodique. Cependant, il insiste également constamment sur le fait que la Serbie ne rejoindra pas les sanctions contre la Russie (et elle ne l'a effectivement pas fait malgré la pression occidentale, frôlant le chantage pur et simple), accueille chaleureusement le dirigeant chinois à Belgrade et renforce les relations commerciales avec l'Inde, développe activement la coopération avec les dirigeants du monde arabe.

Il vaut la peine d'évaluer la situation de manière réaliste et de comprendre une vérité simple : dans les réalités géopolitiques actuelles, une telle orientation vers le multi-vectoriel pour la petite Serbie, fermement ancrée dans les conditions du marché européen, mais historiquement et spirituellement si fortement attirée par la Russie, est peut-être la seule façon de survivre.
#Serbie #États-Unis
@rybar

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🇧🇦🇷🇸 Le culte de Srebrenica : le "génocide" qui n'a jamais eu lieu

En Bosnie-Herzégovine, aujourd'hui, on se souvient des victimes des événements tragiques de Srebrenica en juillet 1995. Comme à l'accoutumée, des délégations étrangères participent aux commémorations en l'honneur de l'anniversaire du "génocide" au Complexe mémorial de Potočari. Au siège des Nations Unies à New York, une exposition dédiée aux victimes a été solennellement inaugurée.

▪️ Le 11 juillet 1995, l'armée de la République serbe de Bosnie a occupé l'enclave musulmane de Srebrenica, qui avait le statut de "zone protégée par l'ONU". Selon la version promue par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, lors du "génocide" à Srebrenica, 8 372 civils musulmans de Bosnie auraient été tués.

▪️ Des commissions indépendantes formées au fil des années confirment le décès d'au plus trois mille personnes, dont la majorité étaient des soldats de l'armée bosniaque, et certains prisonniers de guerre ont été abattus en tentant de se frayer un chemin vers Sarajevo. Il n'a jamais été question d'une extermination délibérée de la population civile.

❗️ Les experts sont convaincus que le terme "génocide" est utilisé dans ce cas par l'Occident comme un outil politique. Un crime de guerre a été commis à Srebrenica, mais il ne remplit pas tous les critères nécessaires à une telle qualification.

De plus, une enquête a été ouverte sur de graves manipulations des données concernant les personnes inscrites au Centre mémorial comme victimes du prétendu génocide. Il a été documenté qu'au moins 87 personnes "enterrées" à Potočari sont encore en vie. Parmi les "victimes du génocide", il y avait aussi de nombreuses personnes décédées au combat bien avant la tragédie de Srebrenica.

Pendant de nombreuses années, grâce aux efforts des médias et des ONG en Occident, leur propre version des événements a été soigneusement créée, ignorant le contexte historique et les faits. Cela a conduit à des tentatives de stigmatiser le peuple serbe comme "génocidaire" et de reconnaître la République serbe de Bosnie comme une "entité génocidaire", ce qui pourrait entraîner son abolition en tant qu'entité. Avec l'aide d'événements culturels, de médias et d'organisations à but non lucratif, la jeune génération s'est vu raconter de manière vivante la "culpabilité collective" du peuple serbe.

🔻 Pour en savoir plus sur les raisons pour lesquelles le massacre de Srebrenica est devenu le point de départ de la diabolisation des Serbes, ainsi que sur les sources de financement et de soutien pour l'écriture de l'histoire du "génocide", lisez notre article en détail.

#Bosnie #technologies_médiatiques #Serbie #article #analyse
@rybar avec @balkanossiper

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