Tu peux le constater par toi-même :
- Les riches deviennent de plus en plus riches.
Bonne nouvelle : Tu peux répliquer leur modèle.
- La classe moyenne ne fait que s'appauvrir.
En gros le salarié qui achète sa résidence principale, épargne sur son livret A.
C'est un modèle voué a l'échec. Car il se bat toutes sa vie contre l'inflation et les hausses d'impôts.
Et il serre les fesses pour espérer toucher une retraite, alors qu'il SAIT qu'il aura seulement 1 actif pour 1 retraité.
- Les riches deviennent de plus en plus riches.
Bonne nouvelle : Tu peux répliquer leur modèle.
- La classe moyenne ne fait que s'appauvrir.
En gros le salarié qui achète sa résidence principale, épargne sur son livret A.
C'est un modèle voué a l'échec. Car il se bat toutes sa vie contre l'inflation et les hausses d'impôts.
Et il serre les fesses pour espérer toucher une retraite, alors qu'il SAIT qu'il aura seulement 1 actif pour 1 retraité.
Les gens ne votent pas pour leurs idées...
Ils votent pour leur portefeuille
Il faut arrêter de faire semblant.
La plupart des électeurs choisissent celui qui promet de continuer à les entretenir.
- Les classes populaires :
Elles votent pour plus de social.
Traduction : aides, subventions, primes, RSA, minimums garantis.
Le fameux : "pouvoir d’achat des Français" sans jamais poser la question : qui paie ?
Et au milieu, t’as les bobos, qui gagnent bien leur vie mais votent pour se sentir “du bon côté de l’histoire”.
- Les retraités et les futurs retraités :
Eux, veulent la stabilité, surtout qu’on ne touche pas à leur retraite.
Ils votent systématiquement pour le candidat du système, parce que « on ne sait jamais… ». Il faut de la STABILITE.
Leur priorité ? Mourir tranquilles, quitte à sacrifier les générations suivantes.
- Les 15–20 % restants
Ceux qui ne demandent rien à l’État, qui créent, qui bossent, qui investissent.
Eux veulent moins d’impôts, moins de paperasse, plus de liberté.
Mais ils sont trop peu nombreux, trop discrets.
Alors on les taxe, on les matraque, on les stigmatise.
Mais voilà ce que la majorité refuse de voir...
Les États sont en compétition, comme les entreprises.
Si un pays n’a rien à offrir à un (futur) riche ou entrepreneur, il part.
Et il emmène avec lui les emplois, la richesse, les investissements.
Et derrière, y’a toujours ce mec qui sort la phrase magique :
"Casse-toi, on n’a pas besoin de toi. "
Sauf que si.
Parce que sans ceux qui produisent,
y’a plus rien à redistribuer.
Moralité :
Tu ne peux pas construire un pays fort en faisant fuir ceux qui le financent.
Tu ne peux pas entretenir des millions de parasites, pendant que l'autre moitié du pays qui bosse les portent à bout de bras.
Arrive un moment où les créateurs se barrent et le système s’écroule.
Lentement. Puis d’un coup.
C'est ce qu'il s'est passé en Argentine, au Vénézuela, en Grèce ou à Détroit aux USA.
Ils votent pour leur portefeuille
Il faut arrêter de faire semblant.
La plupart des électeurs choisissent celui qui promet de continuer à les entretenir.
- Les classes populaires :
Elles votent pour plus de social.
Traduction : aides, subventions, primes, RSA, minimums garantis.
Le fameux : "pouvoir d’achat des Français" sans jamais poser la question : qui paie ?
Et au milieu, t’as les bobos, qui gagnent bien leur vie mais votent pour se sentir “du bon côté de l’histoire”.
- Les retraités et les futurs retraités :
Eux, veulent la stabilité, surtout qu’on ne touche pas à leur retraite.
Ils votent systématiquement pour le candidat du système, parce que « on ne sait jamais… ». Il faut de la STABILITE.
Leur priorité ? Mourir tranquilles, quitte à sacrifier les générations suivantes.
- Les 15–20 % restants
Ceux qui ne demandent rien à l’État, qui créent, qui bossent, qui investissent.
Eux veulent moins d’impôts, moins de paperasse, plus de liberté.
Mais ils sont trop peu nombreux, trop discrets.
Alors on les taxe, on les matraque, on les stigmatise.
Mais voilà ce que la majorité refuse de voir...
Les États sont en compétition, comme les entreprises.
Si un pays n’a rien à offrir à un (futur) riche ou entrepreneur, il part.
Et il emmène avec lui les emplois, la richesse, les investissements.
Et derrière, y’a toujours ce mec qui sort la phrase magique :
"Casse-toi, on n’a pas besoin de toi. "
Sauf que si.
Parce que sans ceux qui produisent,
y’a plus rien à redistribuer.
Moralité :
Tu ne peux pas construire un pays fort en faisant fuir ceux qui le financent.
Tu ne peux pas entretenir des millions de parasites, pendant que l'autre moitié du pays qui bosse les portent à bout de bras.
Arrive un moment où les créateurs se barrent et le système s’écroule.
Lentement. Puis d’un coup.
C'est ce qu'il s'est passé en Argentine, au Vénézuela, en Grèce ou à Détroit aux USA.
👆On parle de comment gagner de la GROSSE thune sur Youtube.
Au minimum $1 000 000 (de bolivars vénézuélien par jour)
Au minimum $1 000 000 (de bolivars vénézuélien par jour)
La note de la France est maintenue à AA-
Donc pas d'explosion nucléaire de la dette pour le moment...
Mais ça sera très probablement pour la prochaine fois. Le gouvernement ne sachant pas réduire ses dépenses de gros porc bien gras.
Il va essayer de taxer encore, le peuple le plus taxé au monde. Sauf que l'on est au bout du système.
Le socialisme/communisme/collectivisme est vraiment une maladie mentale
Si tu le compares à un individu : ça revient à faire des crédits revolving auprès de la mafia
Et à prier pour que le mec que tu ne peux pas rembourser, ne te trucide pas...
Donc pas d'explosion nucléaire de la dette pour le moment...
Mais ça sera très probablement pour la prochaine fois. Le gouvernement ne sachant pas réduire ses dépenses de gros porc bien gras.
Il va essayer de taxer encore, le peuple le plus taxé au monde. Sauf que l'on est au bout du système.
Le socialisme/communisme/collectivisme est vraiment une maladie mentale
Si tu le compares à un individu : ça revient à faire des crédits revolving auprès de la mafia
Et à prier pour que le mec que tu ne peux pas rembourser, ne te trucide pas...
Autre scandale :
L'opacité et le flou sur comment sont dépensés les impôts.
Il devrait y avoir la possibilité de traquer chaque centime.
Ils arrivent bien à le faire avec des milliers de particuliers.
Mais je n'ai jamais vu une loi dans ce sens.
Une bande de communistes à l'assemblée, qui votent des impôts à coups de milliards entre 2 gueuletons.
L'opacité et le flou sur comment sont dépensés les impôts.
Il devrait y avoir la possibilité de traquer chaque centime.
Ils arrivent bien à le faire avec des milliers de particuliers.
Mais je n'ai jamais vu une loi dans ce sens.
Une bande de communistes à l'assemblée, qui votent des impôts à coups de milliards entre 2 gueuletons.
Ça fait 10 ans que je viens en Hongrie.
Et franchement, ce que j’entends parfois dans les médias français me choque.
On parle de dictature, d’oppression… mais la réalité est différente :
les rues sont sûres, les femmes sortent seules la nuit sans souci,
pas de cités ingérables, pas de racailles.
Les impôts :
9 % pour les sociétés
15 % sur le revenu.
Est-ce que tout est parfait ? Non.
Il y a de la corruption et des médias proches du pouvoir
En France :
– La presse est entre les mains de 4 milliardaires.
– Le gouvernement convoque les patrons des réseaux sociaux.
– C8 a été fermé
– On tape sur les gilets jaunes et les infirmières…
Mais jamais sur les racailles qui brûlent Paris
Alors oui, Orbán n’est pas le plus grand modèle de démocratie.
Mais en Hongrie, le taf est fait :
Sécurité, respect de la police, fiscalité stable.
On valorise aussi la famille, il a une identité du pays forte et une politique nataliste.
Et franchement, ce que j’entends parfois dans les médias français me choque.
On parle de dictature, d’oppression… mais la réalité est différente :
les rues sont sûres, les femmes sortent seules la nuit sans souci,
pas de cités ingérables, pas de racailles.
Les impôts :
9 % pour les sociétés
15 % sur le revenu.
Est-ce que tout est parfait ? Non.
Il y a de la corruption et des médias proches du pouvoir
En France :
– La presse est entre les mains de 4 milliardaires.
– Le gouvernement convoque les patrons des réseaux sociaux.
– C8 a été fermé
– On tape sur les gilets jaunes et les infirmières…
Mais jamais sur les racailles qui brûlent Paris
Alors oui, Orbán n’est pas le plus grand modèle de démocratie.
Mais en Hongrie, le taf est fait :
Sécurité, respect de la police, fiscalité stable.
On valorise aussi la famille, il a une identité du pays forte et une politique nataliste.
Les 2 seuls problèmes des appartements :
- ils sont à 15 minutes à pied de l'hyper centre-ville.
- l'immeuble de l'extérieur n'est pas très joli.
Après pour le reste (l'intérieur) tout est neuf avec une décoration moderne et tout ce qu'il faut en équipements
- ils sont à 15 minutes à pied de l'hyper centre-ville.
- l'immeuble de l'extérieur n'est pas très joli.
Après pour le reste (l'intérieur) tout est neuf avec une décoration moderne et tout ce qu'il faut en équipements
Ces 2 points faibles m'ont aussi permis de faire une excellente affaire et un deal ultra rentable
Et comme dirait Tugan...
Qu'est-ce que tu veux ?
Tu veux le prestige ou bien le profit ?
Qu'est-ce que tu veux ?
Tu veux le prestige ou bien le profit ?