🔴 Le président russe Vladimir Poutine a annoncé la fin des négociations avec l’Occident, avertissant qu’il est temps de mettre l’Occident dans un “étau”.

Affirmant que l’Occident a tenté d’asphyxier la Russie, il a promis de renverser la situation et de rendre la pareille.

Poutine a ajouté que la Russie avait proposé toutes les concessions possibles pour coopérer mais que tout s’est effondré.

@ShadowofEzra

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🔖 Les conditions de la Russie pour la paix : Poutine exige des garanties écrites de l’Occident pour empêcher l’adhésion de l’Ukraine, de la Moldavie et de la Géorgie à l’OTAN.
@Tuca_ro

📍Le président Vladimir Poutine conditionne la paix en Ukraine à un engagement écrit des pays occidentaux pour stopper l’expansion de l’OTAN vers l’Est, notamment l’adhésion de l’Ukraine, de la Moldavie et d’autres anciennes républiques soviétiques. Alors que Moscou exige ces garanties et la levée de certaines sanctions, l’Occident, soutenu par l’Ukraine, rejette fermement l’idée d’un veto russe sur les aspirations sécuritaires des pays de la région, et les tensions restent extrêmement vives dans le contexte de la poursuite du conflit, selon Reuters.

Poutine exige un engagement écrit pour stopper l’expansion de l’OTAN vers l’Est, selon des sources

• La Russie demande également la levée de sanctions et la protection des russophones en Ukraine.

• L’Ukraine maintient fermement ses aspirations à rejoindre l’OTAN, malgré les exigences russes.

Les conditions du président Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine incluent l’exigence que les dirigeants occidentaux s’engagent par écrit à arrêter l’expansion de l’OTAN vers l’Est et à lever certaines sanctions imposées à la Russie, selon trois sources russes proches des négociations.
Le président américain Donald Trump a déclaré à plusieurs reprises vouloir mettre fin au conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Il a exprimé une frustration croissante envers Poutine ces derniers jours, avertissant mardi que le dirigeant russe « joue avec le feu » en refusant d’entamer des négociations de cessez-le-feu avec Kiev, alors que ses forces progressent sur le champ de bataille.

Après une conversation de plus de deux heures avec Trump la semaine dernière, Poutine a indiqué qu’il avait accepté de collaborer avec l’Ukraine sur un mémorandum définissant les grandes lignes d’un accord de paix, y compris le calendrier d’un cessez-le-feu. La Russie affirme qu’elle rédige actuellement sa propre version de ce mémorandum, sans pouvoir estimer la durée de ce processus.

Kiev et les gouvernements européens accusent Moscou de gagner du temps, tandis que les troupes russes avancent dans l’est de l’Ukraine.

« Poutine est prêt à faire la paix, mais pas à n’importe quel prix », a déclaré une source russe de haut rang, proche de la pensée du Kremlin, qui a souhaité rester anonyme.

Les trois sources russes ont indiqué que Poutine exige un engagement « écrit » des grandes puissances occidentales pour ne pas étendre l’Alliance de l’OTAN, dirigée par les États-Unis, vers l’Est – ce qui signifie l’exclusion formelle de l’adhésion de l’Ukraine, de la Géorgie, de la Moldavie et d’autres anciennes républiques soviétiques.
La Russie demande également que l’Ukraine reste neutre, la levée de certaines sanctions occidentales, la résolution de la question des actifs russes gelés en Occident et la protection des russophones en Ukraine, selon ces trois sources.

La première source a ajouté que, si Poutine réalise qu’il ne peut obtenir un accord de paix à ses conditions, il cherchera à démontrer aux Ukrainiens et aux Européens, par des victoires militaires, que « la paix de demain sera encore plus douloureuse ».

Le Kremlin n’a pas répondu à la demande de commentaire de Reuters. Poutine et les officiels russes ont répété que tout accord de paix doit traiter les « causes profondes » du conflit – une expression utilisée par la Russie pour désigner l’expansion de l’OTAN et le soutien occidental à l’Ukraine.

Kiev a déclaré à plusieurs reprises que la Russie ne doit pas avoir de droit de veto sur ses aspirations à rejoindre l’OTAN. L’Ukraine insiste sur le besoin d’une garantie de sécurité solide de la part de l’Occident, dotée d’une réelle capacité de dissuasion contre une future attaque russe.

L’administration du président Volodymyr Zelensky n’a pas répondu à la demande de commentaire.

Suite :

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