Laurent Brayard Reporter🇷🇺🇫🇷
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Canal de Laurent Brayard, канал Лорана Браяра, reporter de guerre, historien, военкор, историк, Donbass/Russie, IR. Spécialiste du SBU, de l'armée ukrainienne, специалист по СБУ и украинской армии. Pour m'aider s'abonner ou me contacter !
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‼️‼️‼️ Voilà longtemps que je n'ai pas observé les bombardements de terreur des Ukrainiens sur les civils russes, ils continuent toujours aussi intenses : dans la région de Belgorod, ils ont effectué hier 225 bombardements (pour une moyenne de 110-115 par jour), sur 49 localités différentes. Ils ont hélas blessé 3 personnes (dont 2 hommes attaqués par un drone dans un magasin, et une femme dans sa maison), et ont aussi touché ou détruit 10 maisons particulières, 4 dépendances, 1 appartement, 2 entreprises, 2 magasins, 1 ferme, 8 voitures, 2 camionnettes, et une conduite de gaz. La défense antiaérienne russe est toujours aussi efficace, pour exemple, dans la région de Shebekino, 11 des 16 drones lancés par les Ukrainiens furent détruits. Informations et cartes du média Белгород-медиа https://www.belnovosti.ru/124921.html# https://t.me/laurentbrayarddonbass
💥💥💥Revue du front, cartes publiées par les canaux Telegram Z-Komitet et DIVGEN 🚩 Карта СВО, situation du front dans l'offensive russe sur la ligne de Soumy, les Russes progressent ici tous les jours, continuant de bousculer les Ukrainiens en profitant de leurs avantages militaire et psychologique dans la foulée de leur victoire stratégique mineure de la poche de Koursk. https://t.me/laurentbrayarddonbass
🇫🇷🇷🇺 En France la propagande médiatique ne connaît ni pause ni panne d'imagination, quitte souvent à flirter avec le ridicule. Et dire que certains s'autoproclament experts ! Décidément , nous n'avons toujours pas de pétrole mais (peut-être trop ) d'idées !https://t.me/laurentbrayarddonbass
💥💥💥 Revue du front, cartes publiées par les canaux Telegram Z-Komitet et DIVGEN 🚩 Карта СВО, situation du front sur la ligne de Konstantinovka, les Russes qui sont à l'offensive ici depuis un gros mois, ont balayé le grand saillant ukrainien sur le front central et avancent sans cesse dans une région qui était ultra fortifiée par les Ukrainiens. Les Russes ont ici une très grosse tête de pont qui ne cesse de s'agrandir, alors que le saillant est liquidé à plus de 85 %. La suite de la bataille sera l'assaut de Konstantinovka, une ville du Donbass occupée par les Ukrainiens depuis 2014, et qui s'était insurgée à cette époque (80 000 habitants avant le Maïdan) https://t.me/laurentbrayarddonbass
💥💥💥 Revue du front, carte publiée par le canal Telegram Z-Komitet, situation dans la bataille meurtrière de Tchassov Yar, qui dure depuis des mois, les Russes approchent de la libération de cette autre ville du Donbass, d'ailleurs non loin de Konstantinova (sur son flanc droit, non sur la carte), ils occupent désormais plus des 2/3 tiers de la ville, la victoire russe se rapproche, une victoire qui sera tactique et mineure, mais qui permettra l'assaut de Konstantinovka de deux côtés, en croisant les feux. https://t.me/laurentbrayarddonbass
💥💥💥 Revue du front, carte publiée par le canal Telegram DIVGEN 🚩 Карта СВО, situation du front Sud de Donetsk, positions en avant de Kourakhovo, les Russes progressent de nouveau, enserrant le dernier village (Alekseevka), qui formait avec 6 autres une sorte de forteresse. Nous sommes aussi à l'extrémité la plus à l'Est de la grande ligne de fortifications ukrainiennes du Sud. Une fois ce dernier village libéré (nous sommes en RPD, Donbass), les Ruses auront remporté une nouvelle victoire tactique mineure, mais qui permettra ensuite de flanquer et tourner cette fameuse ligne, d'autant que plus au Nord, les Russes poussent également une tête de pont. Les anciennes frontières de l'oblast de Donetsk sont très proches et seront bientôt atteintes dans ce secteur. https://t.me/laurentbrayarddonbass
🇷🇺🇫🇷🇷🇺 Carte postale de la collection Aliona et Laurent Brayard, il y a quasiment 98 ans, un Russe postait cette dernière de Paris, de la Place Chopin, dans le XVIe arrondissement, en août 1927. L'URSS était née depuis 1922, les voyageurs russes sans doute étaient très rares. La carte représentait le village de Fresnoy-en-Thelle, que la personne indique avoir visité "à quelques kilomètres de Paris". Le village se trouve dans le département de l'Oise, une commune de moins de 900 habitants essentiellement agricole. La France de cette époque se trouvait en plein dans les Années Folles, quelques années plus tard les effets de la crise économique mondiale devaient frapper la France, l'URSS se trouvait quant à elle dans sa période de survie, entre deux famines, et alors que les tous derniers combats de la Guerre civile russe s'étaient déroulés en 1925 dans l'Extrême-Orient russe. Ce fut aussi l'année où Joseph Staline s'empara définitivement du pouvoir, jusqu'à sa mort en 1953. https://t.me/laurentbrayarddonbass
📸📸📸 Une photo de mes archives, un jour d'août 2015, il y a presque 10 ans, mon baptême du feu, en compagnie d'un certain Russell Bentley, des positions très proches de l'aéroport de Donetsk, à cette époque tenu par les forces du bataillon puis régiment Vostok. Je me trouve dans le cratère impressionnant d'un obus ukrainien de 152 mm, juste à côté d'un grand complexe et piscine olympique, le complexe Delphin (Dauphin) complètement détruit par les bombardements. https://t.me/laurentbrayarddonbass
🇫🇷Occident : La pensée magique frappe encore. Pierre L.orrain.
Dans La pucelle d’Orléans (1801), Friedrich Schiller fait dire au général anglais Talbot, l’un de ses personnages, ce résumé de la sagesse humaine : « Contre la stupidité, les dieux eux-mêmes luttent en vain. »
Et il s’écrie : « Absurdité, tu gagnes et je dois périr ! »
Vraiment, devons-nous périr à cause d’une pensée idiote germée il y a plus de trente ans dans le crâne malade d’un groupe de politiciens, à Washington, qui ont cru qu’ils pouvaient façonner le monde comme ils l’entendaient ? Depuis les années 1990, les « cinglés du sous-sol » – comme le président George H. W. Bush surnommait les géopoliticiens néoconservateurs réunis autour de Paul Wolfowitz – ont proliféré et, de manière quasi biblique, se sont répandus à la surface de la terre porteurs d’une théorie simpliste : mettre à profit la faiblesse de la Russie pour éliminer l’éventuelle menace qu’elle aurait représenté pour l’hégémonie étatsunienne et le mode de vie occidental.
Le problème des plans à long terme, comme aurait dit Monsieur de La Palice, c’est qu’ils durent longtemps, que les situations changent et que ce qui est faible un jour, ne l’est plus le lendemain. Et réciproquement : celui qui, hier, dominait le monde se trouve aujourd’hui incapable de fabriquer des systèmes d’armement en quantité nécessaire et à un rythme suffisant pour soutenir une guerre de haute intensité en Ukraine. Et cela en dépit d’un budget de plus de 900 milliards USD alloué à la défense.
En théorie, lorsqu’un plan échoue, il est intelligent d’en tirer les conséquences et d’en changer. Et même, éventuellement, de faire amende honorable. Or, dans le monde quasi dystopique dans lequel vivent les néoconservateurs, ce n’est pas le cas : le projet soutenu jusqu’à la dernière limite par Joe Biden et ses ventriloques – Antony Blinken et Jake Sullivan – est encore maintenu artificiellement en vie par un lobby puissant de va-t-en-guerre qui semblent prêts à déclencher une guerre nucléaire pour parvenir à leurs fins.
Si l’on en croit le professeur Jeffrey Sachs et de nombreux autres spécialistes, l’attaque ukrainienne de drones contre les bombardiers nucléaires russes stationnés sur les bases de Belaïa (Irkoutsk) et Olenia (Mourmansk) était trop précise et bien préparée pour ne pas avoir bénéficié de l’implication de certains services occidentaux, en particulier la CIA et le MI6. Si c’est le cas – et il semble bien que cela le soit – ces organisations ont violé un tabou de la dissuasion nucléaire : ne pas s’en prendre aux vecteurs de l’adversaire de manière à ne pas perturber l’équilibre stratégique. Qu’ils l’aient fait avec l’assentiment de leur gouvernement ou à son insu importe peu : ils ont joué d’une manière inepte et inconsidérée avec le feu nucléaire. Car les conséquences potentielles sont encore imprévisibles.
Il n’existe pas d’échelle de Richter à la bêtise humaine, aussi ne tenterons-nous pas de la calibrer. Mais comment ne pas citer le concert de réactions enthousiastes sur les plateaux des chaînes d’information comme LCI ou BFM TV, se félicitant de l’événement, les participants se poussant les uns les autres, avec force superlatifs, pour démontrer que ça y était, que le vent avait tourné et que l’humiliation de la Russie était telle qu’il ne lui restait qu’à capituler.
Une citation de Rudyard Kipling, dans The Mutiny of the Mavericks (1890), nous est revenue à l’esprit :
« Lorsque vous déterminez et discutez, en compagnie d’amis de connivence, tous les points faibles de l'organisation de l'adversaire, et que vous vous attardez inconsciemment sur tous ses défauts que vous exagérez, il finit par vous apparaître comme miraculeux que le parti haï puisse tenir encore une heure sans s’effondrer. »
Terrible question ! Vladimir Poutine va-t-il encore résister une heure avant de se couvrir la tête de cendre et de se retirer en ermite dans les tréfonds d’une forêt sibérienne ?
Au cours des débats, une comparaison a été évoquée et reprise en boucle pour illustrer la déroute russe : « Pearl Harbor ». Car, comme chacun sait, l’attaque japonaise contre la base navale américaine a obligé les États-Unis à capituler, n’est-ce pas ? Et, si l’on comprend bien, la Californie subit en ce moment même l’occupation nippone, comme dans le roman Le Maître du Haut Château (1962) de Philip K. Dick !https://t.me/laurentbrayarddonbass
🇪🇪UN REMUGLE DE NAZISME. Jean-Claude Delhez
Il y a quelques jours, Kaja Kallas, la commissaire aux Affaires étrangères, a menacé de représailles tout Européen qui assisterait, à Moscou, au 80e anniversaire de la fin de la 2e Guerre mondiale. Dans le même temps, Mme Kallas s'est félicitée des bonnes relations entre l'Europe et l'Azerbaïdjan. Pour rappel, l'Azerbaïdjan est la dictature qui a procédé à du nettoyage ethnique en Arménie. Et Mme Kallas s'est réjouie des fructueuses relations avec cette dictature au moment même de l'anniversaire du génocide arménien, perpétré en son temps par un allié du 2e Reich.
Le personnage de Kaja Kallas est symptomatique de la dérive politique européenne. La dame est estonienne, un pays d'un peu plus d'un million d'habitants et elle dirige la politique étrangère d'une union européenne d'un demi-milliard de citoyens. Il faut s'intéresser à ces trois Etats baltes. Estonie, Lettonie et Lituanie, anciennes républiques soviétiques, ne sont peuplés, ensemble, que de 6 millions d'habitants. Une poussière au regard du reste de l'Europe. Et pourtant...
Voyons la Lettonie, d'abord. Le mois dernier, le procureur général de ce pays a classé sans suite le procès contre Herberts Cukurs. Qui est cet homme au nom improbable ? Ce citoyen letton avait rejoint les rangs de la SS allemande pendant l'Occupation, au grade de capitaine. Il joua un rôle important dans le génocide de la communauté juive du pays, avant de s'enfuir en Amérique du Sud, après la guerre. La décision du procureur en sa faveur fait écho à la réhabilitation des collaborateurs du nazisme en Lettonie. Cukurs, par exemple, a eu droit ces dernières années à l'émission d'un timbre-poste à son effigie et à une exposition à sa gloire.
Pour ceux qui s'intéressent au conflit ukrainien, de telles méthodes ne sont pas sans rappeler celles en vigueur à Kiev. Depuis le coup d'Etat de Maïdan, en 2014, le pouvoir a aussi réhabilité les collabos du 3e Reich, génocidaires des Juifs ukrainiens. Qu'il suffise de rappeler toutes les rues qui ont reçu, ces dernières années, le nom de Stepan Bandera, le plus connu de ces collaborateurs. Parmi elles, une avenue du centre de Kiev, proche du site de Babi Yar, le sinistre ravin dans lequel les SS ont fusillé plus de 100.000 Juifs. On peut aussi rappeler l'existence du régiment Azov, au sein de l'armée ukrainienne. Un régiment coupable de crimes de guerre dans le Donbass. Il s'est choisi pour emblème officiel un sigle que les Allemands ont baptisé le Wolfsangel. Cet insigne n'est autre que celui de la division SS « Das Reich », coupable du massacre d'Oradour-sur-Glane. Voilà qui n'a nullement empêché Paris de recevoir certains de ces soldats sur son sol pour une discrète formation au sein de l'armée française.
Cette réhabilitation du passé nazi de ces pays va de pair avec une discrimination des minorités locales. Pour les Juifs, c'est trop tard, il n'y en a quasiment plus, tous ou presque ayant été massacrés entre 1941 et 1944. Mais il y en a d'autres. Depuis 2014, en Ukraine, le pouvoir nationaliste s'en est pris bien sûr aux Russes, mais aussi aux droits des minorités roumaine et hongroise de l'ouest du pays. Dans les pays Baltes, ce sont les Russes qui sont ciblés. La Lettonie vient d'interdire l'usage de la langue russe dans l'enseignement. Elle avait déjà rendu obligatoire un examen de langue lettone pour les russophones, avec expulsion du pays pour qui échouerait à cet examen. En Estonie cette fois, il y a un mois tout juste, le président a validé le retrait du droit de vote, pour les élections locales, à la forte minorité russe du pays. L'Estonie, c'est le pays dont Kaja Kallas était la première ministre jusqu'il y a quelques mois de cela. C'est le parti politique dont elle vient de quitter la présidence qui dirige encore la coalition au pouvoir, celle qui a retiré le droit de vote aux Russes.
Kaja Kallas a quitté ses fonctions en Estonie pour rejoindre la commission européenne présidée par l'Allemande Ursula von der Leyen. Il y a là une sorte d'union féminine de la Baltique. Il est intéressant de se pencher sur la biographie de quelques-unes de ces politiciennes. Mme von der Leyen a connu une jeunesse chahutée. Elle dut se cacher à Londres, en 1978, sous un faux nom. Pourquoi ? A cause de son père, politicien catholique allemand. Ce père était alors aux prises avec ce qu'on a appelé la Bande à Baader, mouvement terroriste d'extrême-gauche. Le vrai nom du mouvement est la Fraction Armée Rouge, arborant une étoile écarlate comme sigle. Cette affaire est un épisode de la Guerre froide, de la lutte entre le communisme international, promu par Moscou, et la bourgeoisie catholique de l'Europe atlantiste. C'est le creuset d'où est sorti l'actuelle présidente de l'Union européenne. Mme von der Leyen, née Albrecht, est une représentante de cette vieille bourgeoisie pour qui le Russe, c'est la menace communiste, et pour qui tout régime vaut mieux que cette menace. Autre femme de la Baltique, l'Allemande Annalena Baerbock, ministre sortante des Affaires étrangères. Une belliciste acharnée (bien qu'écologiste : cherchez l'erreur) et une russophobe convaincue. Le journal Bild avait révélé l'an dernier que son grand-père, contrairement à ce que Mme Baerbock laissait entendre, fut non seulement colonel de la Wehrmacht, mais aussi un nazi pur jus. Vous me direz qu'on n'est pas responsable de son grand-père ; mais on est responsable de la politique guerrière qu'on mène à l'encontre d'un pays où la génération de ses grands-parents, sous les ordres d'Hitler, a envoyé 20 millions de personnes à la fosse commune. Quant à Kaja Kallas, avant d'être en charge des Affaires étrangères de l'Europe, c'est elle qui avait proposé publiquement cette mesure très « diplomatique » : faire disparaître la Russie pour la remplacer par une multitude de petits Etats.
Sans remonter aux chevaliers teutoniques et au berceau de la Prusse, il faut admettre que les relations entre l'Allemagne et les pays Baltes sont étroites. Et, parmi elles, une racine du nazisme, le Baltikum. Le Baltikum, ce sont des corps francs de militaires allemands refusant la défaite de 1918. Ils sont allés, dans les pays Baltes, combattre l'ennemi bolchévique, le Russe, le rouge. Puis ils ont dû refluer en Allemagne. Et ils ont alors rejoint le mouvement naissant d'Adolf Hitler.
L'acharnement de Kaja Kallas et de la commission von der Leyen contre la commémoration de ce 9 mai à Moscou s'inscrit dans cette dérive. Je ne sache pas que Moscou avait menacé qui que ce soit d'une participation aux 80 ans du débarquement de Normandie, l'an dernier. Pour qui ignore l'histoire de cette guerre, dont on célèbre partout en ce moment la fin, voici quelques précisions. A commencer par celle-ci : l'URSS de l'époque, c'est non seulement la Russie, mais aussi l'Ukraine, les pays Baltes, la Biélorussie, le Caucase et l'Asie centrale. C'est, après les Juifs, la bête noire des nazis. Ils considéraient les slaves comme une race inférieure et le communisme comme le diable. D'où l'invasion de l'URSS en 1941, prélude à la lutte la plus violente et la plus sanglante depuis l'origine de l'humanité. C'est en Union soviétique que l'Allemagne nazie a perdu la 2e Guerre mondiale. C'est là que les troupes hitlériennes ont connu l'écrasante majorité de leurs pertes (4,3 millions de morts, contre 600.000 sur le front Ouest). C'est aussi là qu'elles ont massacré à tour de bras les civils, les Juifs, les prisonniers. C'est ensuite l'armée rouge qui a chassé les nazis de la moitié de l'Europe (y compris des camps de la mort, dont celui d'Auschwitz) et conquis Berlin en ruines et le bunker du Führer, dont il ne restait que les cendres. Une guerre qui lui a coûté 14 millions de morts, rien que pour les militaires. A comparer, par exemple, aux 320.000 Américains (40 fois moins !). Que le régime soviétique n'inspire pas la sympathie, surtout celui en place à cette époque, ne change rien à ce constat.
Les dames de la Baltique, les Kallas, von der Leyen, Baerbock, ont une lecture de l'Histoire qui leur est personnelle. Le problème, c'est qu'elles entraînent derrière elles un continent entier. Sous prétexte de faire la grande Europe. Une grande Europe qui, pour elles et leurs suiveurs, semble aller de Stalingrad au mur de l'Atlantique...https://t.me/laurentbrayarddonbass