Voici deux affiches sur le thème de l’Ecole, l’une japonaise dans le métro à Osaka et l’autre émise par la république française… saurez-vous trouver les différences ?🥸
Néoréaction//NRx
« C’est la combinaison d’une critique du progrès et d’une reconnaissance de l’impossibilité d’un simple retour en arrière qui est à l’origine de la néoréaction. À cet égard, la néoréaction est une découverte spécifique de la flèche du temps, dans le domaine de la philosophie politique. Elle apprend, puis enseigne, que la trajectoire à suivre pour sortir ne peut être celle que nous avons empruntée pour entrer. »
Nick land
🇸🇻« Non, légaliser un crime ne réduit pas la criminalité ; cela déplace seulement la ligne rouge. Les personnes qui commettent des crimes commenceront à exploiter ce qui se trouve au-delà de la ligne rouge, et la société se retrouvera alors avec deux problèmes : l’usage massif de ce qui vient d’être légalisé et l’augmentation de l’usage de ce qui reste proche de la ligne rouge.
Toutes les lignes rouges sont arbitraires ; l’économie criminelle prospère en franchissant cette ligne rouge, et il n’y a aucun incitatif pour changer cela. Les sociétés doivent choisir ce qu’elles veulent maintenir de l’autre côté de la ligne rouge en fonction de ce qu’elles estiment juste pour leur mode de vie, et non sous la pression des criminels.
La seule manière de réduire la criminalité est de retirer les criminels des rues. »
Nayib Bukele
Toutes les lignes rouges sont arbitraires ; l’économie criminelle prospère en franchissant cette ligne rouge, et il n’y a aucun incitatif pour changer cela. Les sociétés doivent choisir ce qu’elles veulent maintenir de l’autre côté de la ligne rouge en fonction de ce qu’elles estiment juste pour leur mode de vie, et non sous la pression des criminels.
La seule manière de réduire la criminalité est de retirer les criminels des rues. »
Nayib Bukele
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Dark MAGA is coming !😎🌅💫
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Du miel 🍯 ! Typiquement le genre de barman avec qui tu sais que tu va rigoler toute la soirée, et le journaliste, typiquement le genre de tête à claque à qui tu mets une gifle avant la fin de la soirée 😁
🌅 Fiume o morte🏴☠️
A l’issue de la première guerre mondiale, le poète-soldat Gabriele D’Annunzio, fort du soutien d’une partie de l’opinion publique et entouré d’un nombre assez important d’arditi et d’anciens combattants, marche sur la ville de Fiume, le 12 septembre 1919. L’occupation de la ville durera environ cinq-cents jours : cinq-cents jours de troubles, de négociations serrées, en Italie et à l’étranger ; cinq-cents jours au cours desquels on a assisté à la création d’un état gouverné par un poète internationalement connu et reconnu pour ses romans extraordinaires, pour ses frasques et ses comportements surannés, ses dettes, ses passions, ses extravagances…
« Italiens de Fiume, l'esprit nocturne de Buccari prévaut. Nous sommes peu nombreux contre beaucoup, nous sommes peu nombreux contre le monde. Mais nous sommes plus de trente [...]. Nous nous multiplierons non seulement par notre courage, mais aussi par notre nombre. »
Gabriele D’Annunzio, « La prima voce dell’arengo » (12 septembre 1919)
A l’issue de la première guerre mondiale, le poète-soldat Gabriele D’Annunzio, fort du soutien d’une partie de l’opinion publique et entouré d’un nombre assez important d’arditi et d’anciens combattants, marche sur la ville de Fiume, le 12 septembre 1919. L’occupation de la ville durera environ cinq-cents jours : cinq-cents jours de troubles, de négociations serrées, en Italie et à l’étranger ; cinq-cents jours au cours desquels on a assisté à la création d’un état gouverné par un poète internationalement connu et reconnu pour ses romans extraordinaires, pour ses frasques et ses comportements surannés, ses dettes, ses passions, ses extravagances…
« Italiens de Fiume, l'esprit nocturne de Buccari prévaut. Nous sommes peu nombreux contre beaucoup, nous sommes peu nombreux contre le monde. Mais nous sommes plus de trente [...]. Nous nous multiplierons non seulement par notre courage, mais aussi par notre nombre. »
Gabriele D’Annunzio, « La prima voce dell’arengo » (12 septembre 1919)
En ce jour de mémoire,
nous avons décidé de mettre à l’honneur le premier régiment de France (du monde…) en 14-18, à savoir le Régiment d’Infanterie Coloniale du Maroc (RICM), qui, contrairement à ce que son nom évoque, n’était composé que de français métropolitains. Gaston Gras vétéran de ce régiment le décrit ainsi :
« Amalgame de toutes les race de France, en trois bataillons invincibles prélevés sur les troupes du Maroc, ainsi paraît le RICM : Bretons aux crânes d’acier, Auvergnats calmes et obstinés, Vosgiens aux yeux clairs, Gascons qui parlent comme d’Artagnan, Provençaux paresseux qui ne donneront un coup de collier qu’au moment voulu, gars de l’Isère « Brûleurs de loups », Parisiens gouailleurs et coquets, gens de la plaine ou de la montagne, de la ville ou du hameau, une même ferveur les a fondus en un tout incomparable. Il y a deux mois, en allant prendre Fleury, n’ont-il pas chanté d’un même coeur la vieille chanson moqueuse « Chi va piano, va sano… »?
Formidables bataillons de marsouins chevronnés, couturés de cicatrices, troupes d’attaques ! Danseuses étoiles qui entraient dans une ronde terrible au moment le plus tragique : deux mois de repos, quinze jours de lignes, et alors, dans une intensité sans égale, autant de pertes en quinze jours que d’autres en six mois, plus peut-être...
nous avons décidé de mettre à l’honneur le premier régiment de France (du monde…) en 14-18, à savoir le Régiment d’Infanterie Coloniale du Maroc (RICM), qui, contrairement à ce que son nom évoque, n’était composé que de français métropolitains. Gaston Gras vétéran de ce régiment le décrit ainsi :
« Amalgame de toutes les race de France, en trois bataillons invincibles prélevés sur les troupes du Maroc, ainsi paraît le RICM : Bretons aux crânes d’acier, Auvergnats calmes et obstinés, Vosgiens aux yeux clairs, Gascons qui parlent comme d’Artagnan, Provençaux paresseux qui ne donneront un coup de collier qu’au moment voulu, gars de l’Isère « Brûleurs de loups », Parisiens gouailleurs et coquets, gens de la plaine ou de la montagne, de la ville ou du hameau, une même ferveur les a fondus en un tout incomparable. Il y a deux mois, en allant prendre Fleury, n’ont-il pas chanté d’un même coeur la vieille chanson moqueuse « Chi va piano, va sano… »?
Formidables bataillons de marsouins chevronnés, couturés de cicatrices, troupes d’attaques ! Danseuses étoiles qui entraient dans une ronde terrible au moment le plus tragique : deux mois de repos, quinze jours de lignes, et alors, dans une intensité sans égale, autant de pertes en quinze jours que d’autres en six mois, plus peut-être...
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Publicité Gillette de 1989, remarquez-vous quelque chose de particulier ?😀
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Make dream big again!
« Lorsque Gilbert Durand en appelle à la renaissance des ombres de l'imaginaire, seules capables peut-être d'affronter le désenchantement de la techno-société de consommation, ce n'est pas dans la consommation du passé, dans les musées, dans les études, dans les nostalgies, dans les mythes mis en fiches informatiques qu'elles pourront être retrouvées. C'est paradoxalement dans la contemplation brute des ordinateurs eux-mêmes, dans les fusées et les centrales, bref dans une Technique qui porte en elle le plus grand potentiel de rêve que l'humanité ait pu trouver et qui est aujourd'hui neutralisée, déconnectée, par des idéologies et des modèles sociaux tout entiers dominés par la petitesse domestique et la froide logique comptable des bureaucraties. »
Guillaume Faye «L’occident comme déclin »
Road 2 Mars
💫Make dream big again!
« Lorsque Gilbert Durand en appelle à la renaissance des ombres de l'imaginaire, seules capables peut-être d'affronter le désenchantement de la techno-société de consommation, ce n'est pas dans la consommation du passé, dans les musées, dans les études, dans les nostalgies, dans les mythes mis en fiches informatiques qu'elles pourront être retrouvées. C'est paradoxalement dans la contemplation brute des ordinateurs eux-mêmes, dans les fusées et les centrales, bref dans une Technique qui porte en elle le plus grand potentiel de rêve que l'humanité ait pu trouver et qui est aujourd'hui neutralisée, déconnectée, par des idéologies et des modèles sociaux tout entiers dominés par la petitesse domestique et la froide logique comptable des bureaucraties. »
Guillaume Faye «L’occident comme déclin »
« Pour notre part, nous regrettons l'épée, avec l'usage de porter l'épée s'est en allée la vieille urbanité française; on est toujours poli avec un interlocuteur qui peut vous entrer quelques pouces de fer dans le ventre si vos manières n'ont pas l'aménité convenable. L'abolition du duel achèvera de nous rendre le peuple le plus grossier de l'univers: tous les lâches, sûrs de l'impunité, vont devenir insolents. Et puis c'était réellement pour un jeune homme de coeur une amie sûre et fidèle qu'une épée de bon acier bien trempé et bien franc. L'homme gagnait à ce commerce intime avec le métal; il en prenait les qualités rigides, la loyauté inviolable, le vif éclat, la netteté incisive, et cette union tacite était si bien comprise, que le plus grand éloge que l'on pût donner à quelqu'un, c'était de dire qu'il était brave comme son épée. Mais nous sommes dans une époque peu chevaleresque, et la prosaïque savate doit remplacer la jolie épée française, ce bijou aigu, cet éclair d'acier qui du moins brillait dans la nuit avant d'arriver à la poitrine d'un homme. »
Théophile Gauthier « le maitre du chausson » 1842
Théophile Gauthier « le maitre du chausson » 1842