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#Témoignages: «On est restés comme chair à canon, comme bouclier humain»
Selon plusieurs témoins, l’armée de Kiev tente de maintenir les populations dans les villes.
«On ne peut pas du tout sortir dans la direction des militaires ukrainiens. Ils tirent sur tout le monde […] Il y avait une colonne d’évacués […] on les a tous tués», témoigne une jeune femme de Donetsk.
«La Russie fournit un couloir, nous, on y est allés, les nationalistes ukrainiens nous ont tiré dessus par l’arrière», rapporte un réfugié.
«On nous a bombardés, la maison a été détruite. Mon mari est mort […] Mon enfant est à l’autre bout de la ville, je ne sais pas si elle est en vie», raconte une femme.
L'armée russe a annoncé hier l'ouverture de plusieurs couloirs humanitaires et l'instauration de cessez-le-feu locaux pour évacuer des civils des villes ukrainiennes de Kharkhov, Kiev, Marioupol et Soumy.
En Syrie, c’étaient les milices «dijhadistes», proxys de l’Occident, qui harcelaient les corridors humanitaires.
@kompromatmedia
Selon plusieurs témoins, l’armée de Kiev tente de maintenir les populations dans les villes.
«On ne peut pas du tout sortir dans la direction des militaires ukrainiens. Ils tirent sur tout le monde […] Il y avait une colonne d’évacués […] on les a tous tués», témoigne une jeune femme de Donetsk.
«La Russie fournit un couloir, nous, on y est allés, les nationalistes ukrainiens nous ont tiré dessus par l’arrière», rapporte un réfugié.
«On nous a bombardés, la maison a été détruite. Mon mari est mort […] Mon enfant est à l’autre bout de la ville, je ne sais pas si elle est en vie», raconte une femme.
L'armée russe a annoncé hier l'ouverture de plusieurs couloirs humanitaires et l'instauration de cessez-le-feu locaux pour évacuer des civils des villes ukrainiennes de Kharkhov, Kiev, Marioupol et Soumy.
En Syrie, c’étaient les milices «dijhadistes», proxys de l’Occident, qui harcelaient les corridors humanitaires.
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