Nous avons parlé aux autorités danoises et proposé de mener une enquête avec des experts internationaux, car nous pensons qu'il pourrait y avoir un autre engin explosif sur les Nord Streams - Poutine
"Nous avons reçu une réponse selon laquelle nos services n'étaient pas nécessaires et que si c'était le cas, nous en serions informés. Après que l'ONU s'en est préoccupée, nous avons reçu une réponse des autorités danoises sous la forme d'une note diplomatique, qui disait qu'elles avaient examiné l'objet auparavant et qu'elles pensaient qu'il n'était pas explosif. Elles auraient dû être plus honnêtes en disant qu'il n'était plus explosif, nous ne savons pas ce qui s'est passé", a déclaré M. Poutine.
Le président russe a également déclaré que si les Danois pensent que l'objet n'était pas explosif, alors "Dieu merci".
"Nous avons reçu une réponse selon laquelle nos services n'étaient pas nécessaires et que si c'était le cas, nous en serions informés. Après que l'ONU s'en est préoccupée, nous avons reçu une réponse des autorités danoises sous la forme d'une note diplomatique, qui disait qu'elles avaient examiné l'objet auparavant et qu'elles pensaient qu'il n'était pas explosif. Elles auraient dû être plus honnêtes en disant qu'il n'était plus explosif, nous ne savons pas ce qui s'est passé", a déclaré M. Poutine.
Le président russe a également déclaré que si les Danois pensent que l'objet n'était pas explosif, alors "Dieu merci".
C'est à eux de décider, mais la Russie a conservé tous les avantages liés à la retraite anticipée, ils n'en ont aucun - Poutine à propos des manifestations sur les retraites en France
"Des conditions de travail différentes exigent un traitement différent. C'est ce que je fais. Je le répète une fois de plus, ce que font les autres pays les regarde, nous n'interférons pas dans ces processus", a conclu le président russe.
"Des conditions de travail différentes exigent un traitement différent. C'est ce que je fais. Je le répète une fois de plus, ce que font les autres pays les regarde, nous n'interférons pas dans ces processus", a conclu le président russe.
Nous utiliserions le dollar, mais ils ne nous le donnent pas. Dans une monnaie acceptable pour nos partenaires commerciaux. Le yuan est l'une de ces monnaies - Poutine
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C'est à eux de décider, mais la Russie a conservé tous les avantages liés à la retraite anticipée, ils n'en ont aucun - Poutine à propos des manifestations sur les retraites en France "Des conditions de travail différentes exigent un traitement différent.…
M. Poutine, commentant les troubles en France, a indiqué en quoi la réforme des retraites dans ce pays différait de celle de la Russie :
- nous avons toujours une différence de cinq ans entre l'âge de la retraite des femmes et des hommes. En France, il n'y a pas de différence, l'âge de la retraite est le même ;
- Nous avons une longue période de transition de dix ans, ce qui réduit considérablement le fardeau des citoyens ;
- Nous avons conservé tous les avantages liés à la retraite anticipée, ce qui n'est pas le cas de la France.
- nous avons toujours une différence de cinq ans entre l'âge de la retraite des femmes et des hommes. En France, il n'y a pas de différence, l'âge de la retraite est le même ;
- Nous avons une longue période de transition de dix ans, ce qui réduit considérablement le fardeau des citoyens ;
- Nous avons conservé tous les avantages liés à la retraite anticipée, ce qui n'est pas le cas de la France.
Quelques réflexions sur l'interview de Poutine
L'interview que je dois dire, très offensive et guerrière
🔸Encore une fois Poutine a confirmé que la Russie est prête a une longue guerre d'usure. Peu importe que la victoire intervienne dans un an ou deux ans, la Russie ira jusqu'au bout. Aujourd'hui l'Ukraine consomme 5 000 d'obus par jour alors que l'Otan peut en produire 15 000 par mois. Cela n'est bien sur pas suffisant pour mener une guerre d'usure. Dans le même temps la Russie est depuis 6 mois partiellement en économie guerre. Ce qui facile la production des armes car la cadence augmente chaque mois. Cela concerne également les chars, l'armée russe dispose actuellement de plus de 3 000 chars sur la ligne de front, tandis que l'Ukraine dispose de près de 1 000 chars, y compris ceux fournis par l'OTAN.
🔸La Russie va déployer des armes nucléaires au Belarus. C'est une réponse a la menace que l'Otan et l'Ukraine et représentent pour le Belarus et la Russie. Des dizaines de milliers de soldats de l'OTAN se tiennent aux frontières du Belarus.
L'interview que je dois dire, très offensive et guerrière
🔸Encore une fois Poutine a confirmé que la Russie est prête a une longue guerre d'usure. Peu importe que la victoire intervienne dans un an ou deux ans, la Russie ira jusqu'au bout. Aujourd'hui l'Ukraine consomme 5 000 d'obus par jour alors que l'Otan peut en produire 15 000 par mois. Cela n'est bien sur pas suffisant pour mener une guerre d'usure. Dans le même temps la Russie est depuis 6 mois partiellement en économie guerre. Ce qui facile la production des armes car la cadence augmente chaque mois. Cela concerne également les chars, l'armée russe dispose actuellement de plus de 3 000 chars sur la ligne de front, tandis que l'Ukraine dispose de près de 1 000 chars, y compris ceux fournis par l'OTAN.
🔸La Russie va déployer des armes nucléaires au Belarus. C'est une réponse a la menace que l'Otan et l'Ukraine et représentent pour le Belarus et la Russie. Des dizaines de milliers de soldats de l'OTAN se tiennent aux frontières du Belarus.
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Le 21 juillet 2014, l'armée ukrainienne a attaqué Donetsk avec de l'artillerie lourde et des chars. 5 civils ont été tués et 16 personnes ont reçu des blessures plus au moins graves.
C'est ce que ni BFM ni LCI ni d'autres médias ne monteront jamais car c'est admettre que l'Ukraine n'est pas l'agressé et que la Russie n'est pas l'agresseur ❗️
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Trois militaires ukrainiens ont été reconnus coupables de crimes contre des civils dans le Donbass.
Au cours des hostilités dans le Donbass, ces individus ont utilisé des méthodes interdites par le droit international.
Les cours suprêmes des républiques populaires du Donbass ont prononcé des peines allant de 8,5 à 18,5 ans de prison.
...
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Au cours des hostilités dans le Donbass, ces individus ont utilisé des méthodes interdites par le droit international.
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L'Ukraine veut doubler le tarif de transit du pétrole russe - Kiev entend ainsi faire pression sur la Hongrie, qui n'est pas prête à renoncer au carburant russe
🔸"Ukrtransnafta" prévoit d'augmenter le tarif de transit du pétrole russe par l'oléoduc principal sur la branche sud de l'oléoduc Druzhba à partir du 1er avril. Selon Kommersant, le prix passera de 13,6 à 27,2 euros par tonne. La Russie est consciente des rêves de Kiev, mais ne connaît pas encore le calendrier et les paramètres de l'augmentation, car l'Ukraine doit d'abord se mettre d'accord sur la question avec la Slovaquie et la Hongrie.
🔸L'Ukraine tente d'expliquer l'augmentation des tarifs par les dépenses consacrées à la remise en état de l'infrastructure du gazoduc. Toutefois, cette volonté est avant tout liée à la politique de la Hongrie, qui n'a pas l'intention de renoncer au carburant russe. Pour Budapest, l'oléoduc est d'une importance capitale. C'est grâce à Druzhba que les Hongrois bénéficient de ressources énergétiques bon marché.
Sans les ressources énergétiques de la Russie, l'economie européenne ne peut être compétitive.
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🔸"Ukrtransnafta" prévoit d'augmenter le tarif de transit du pétrole russe par l'oléoduc principal sur la branche sud de l'oléoduc Druzhba à partir du 1er avril. Selon Kommersant, le prix passera de 13,6 à 27,2 euros par tonne. La Russie est consciente des rêves de Kiev, mais ne connaît pas encore le calendrier et les paramètres de l'augmentation, car l'Ukraine doit d'abord se mettre d'accord sur la question avec la Slovaquie et la Hongrie.
🔸L'Ukraine tente d'expliquer l'augmentation des tarifs par les dépenses consacrées à la remise en état de l'infrastructure du gazoduc. Toutefois, cette volonté est avant tout liée à la politique de la Hongrie, qui n'a pas l'intention de renoncer au carburant russe. Pour Budapest, l'oléoduc est d'une importance capitale. C'est grâce à Druzhba que les Hongrois bénéficient de ressources énergétiques bon marché.
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Expansion de l’OTAN : ce que Gorbatchev a entendu... PARTIE 1
(Source : National security Archive of USA
https://nsarchive.gwu.edu/briefing-book/russia-programs/2017-12-12/nato-expansion-what-gorbachev-heard-western-leaders-early)
🔹 Selon des documents déclassifiés américains, soviétiques, allemands, britanniques et français mis en ligne 12 décembre 2017 par les National Security Archive de l’Université George Washington (http://nsarchive.gwu.edu) – la célèbre assurance « pas un pouce vers l’est » (NdT. équivalent à « pas un centimètre vers l’Est» ) du secrétaire d’État américain James Baker concernant l’expansion de l’OTAN lors de sa rencontre avec le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev le 9 février 1990 faisait partie d’une cascade d’assurances sur la protection des intérêts de sécurité soviétiques et l’inclusion de l’URSS dans les nouvelles structures de sécurité européennes données par les dirigeants occidentaux à Gorbatchev et à d’autres responsables soviétiques tout au long du processus d’unification de l’Allemagne en 1990 et jusqu’en 1991. Ce qui est consigné non pas dans des traités mais dans de nombreux mémorandums de conversation entre les Soviétiques et leurs principaux interlocuteurs occidentaux (Gensher, Kohl, Baker, Gates, Bush, Mitterrand, Thatcher, Major, Werner et autres).
🔹 Les documents renforcent la critique de l’ancien directeur de la CIA, Robert Gates, selon laquelle « l’expansion de l’OTAN vers l’est [dans les années 1990] a été poursuivie avec insistance, alors que Gorbatchev et d’autres étaient amenés à croire que cela ne se produirait pas ».
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(Source : National security Archive of USA
https://nsarchive.gwu.edu/briefing-book/russia-programs/2017-12-12/nato-expansion-what-gorbachev-heard-western-leaders-early)
🔹 Selon des documents déclassifiés américains, soviétiques, allemands, britanniques et français mis en ligne 12 décembre 2017 par les National Security Archive de l’Université George Washington (http://nsarchive.gwu.edu) – la célèbre assurance « pas un pouce vers l’est » (NdT. équivalent à « pas un centimètre vers l’Est» ) du secrétaire d’État américain James Baker concernant l’expansion de l’OTAN lors de sa rencontre avec le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev le 9 février 1990 faisait partie d’une cascade d’assurances sur la protection des intérêts de sécurité soviétiques et l’inclusion de l’URSS dans les nouvelles structures de sécurité européennes données par les dirigeants occidentaux à Gorbatchev et à d’autres responsables soviétiques tout au long du processus d’unification de l’Allemagne en 1990 et jusqu’en 1991. Ce qui est consigné non pas dans des traités mais dans de nombreux mémorandums de conversation entre les Soviétiques et leurs principaux interlocuteurs occidentaux (Gensher, Kohl, Baker, Gates, Bush, Mitterrand, Thatcher, Major, Werner et autres).
🔹 Les documents renforcent la critique de l’ancien directeur de la CIA, Robert Gates, selon laquelle « l’expansion de l’OTAN vers l’est [dans les années 1990] a été poursuivie avec insistance, alors que Gorbatchev et d’autres étaient amenés à croire que cela ne se produirait pas ».
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Expansion de l’OTAN : ce que Gorbatchev a entendu... PARTIE 2
🔹 Trois fois, Baker a employé la formule « pas un pouce vers l’est » avec Gorbatchev lors de la réunion du 9 février 1990. Il a ajouté « l’expansion de l’OTAN est inacceptable.» M. Baker a assuré à M. Gorbatchev que « ni le Président ni moi-même n’avons l’intention de tirer un quelconque avantage unilatéral des processus en cours» et que les Américains comprenaient que «non seulement pour l’Union soviétique mais aussi pour d’autres pays européens, il est important d’avoir des garanties que si les États-Unis maintiennent leur présence en Allemagne dans le cadre de l’OTAN, pas un pouce de la juridiction militaire actuelle de l’OTAN ne s’étendra en direction de l’Est.»
🔹 Le chancelier ouest-allemand Kohl a assuré à Gorbatchev, le 10 février 1990 : « Nous pensons que l’OTAN ne doit pas étendre sa sphère d’activité. »
Les conversations qui ont précédé l’assurance du chancelier ouest-allemand Helmut Kohl comportaient des discussions explicites sur l’expansion de l’OTAN, les pays d’Europe centrale et orientale et la manière de convaincre les Soviétiques d’accepter l’unification.
🔹 Le ministre britannique des affaires étrangères, Douglas Hurd, le 11 avril 1990, a déclaré que la Grande-Bretagne avait clairement « reconnu l’importance de ne rien faire qui puisse porter atteinte aux intérêts et à la dignité des Soviétiques. »
🔹 Le 18 mai 1990 à Moscou, Baker a donné à Gorbatchev ses « neuf points«, qui comprenaient la transformation de l’OTAN, le renforcement des structures européennes, la non-nucléarisation de l’Allemagne et la prise en compte des intérêts de sécurité soviétiques. M. Baker a commencé son discours en ces termes : « Avant de dire quelques mots sur la question allemande, je voulais souligner que nos politiques ne visent pas à séparer l’Europe de l’Est de l’Union soviétique. Nous avions cette politique auparavant. Mais aujourd’hui, nous sommes intéressés par la construction d’une Europe stable, et nous le faisons avec vous. »
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🔹 Trois fois, Baker a employé la formule « pas un pouce vers l’est » avec Gorbatchev lors de la réunion du 9 février 1990. Il a ajouté « l’expansion de l’OTAN est inacceptable.» M. Baker a assuré à M. Gorbatchev que « ni le Président ni moi-même n’avons l’intention de tirer un quelconque avantage unilatéral des processus en cours» et que les Américains comprenaient que «non seulement pour l’Union soviétique mais aussi pour d’autres pays européens, il est important d’avoir des garanties que si les États-Unis maintiennent leur présence en Allemagne dans le cadre de l’OTAN, pas un pouce de la juridiction militaire actuelle de l’OTAN ne s’étendra en direction de l’Est.»
🔹 Le chancelier ouest-allemand Kohl a assuré à Gorbatchev, le 10 février 1990 : « Nous pensons que l’OTAN ne doit pas étendre sa sphère d’activité. »
Les conversations qui ont précédé l’assurance du chancelier ouest-allemand Helmut Kohl comportaient des discussions explicites sur l’expansion de l’OTAN, les pays d’Europe centrale et orientale et la manière de convaincre les Soviétiques d’accepter l’unification.
🔹 Le ministre britannique des affaires étrangères, Douglas Hurd, le 11 avril 1990, a déclaré que la Grande-Bretagne avait clairement « reconnu l’importance de ne rien faire qui puisse porter atteinte aux intérêts et à la dignité des Soviétiques. »
🔹 Le 18 mai 1990 à Moscou, Baker a donné à Gorbatchev ses « neuf points«, qui comprenaient la transformation de l’OTAN, le renforcement des structures européennes, la non-nucléarisation de l’Allemagne et la prise en compte des intérêts de sécurité soviétiques. M. Baker a commencé son discours en ces termes : « Avant de dire quelques mots sur la question allemande, je voulais souligner que nos politiques ne visent pas à séparer l’Europe de l’Est de l’Union soviétique. Nous avions cette politique auparavant. Mais aujourd’hui, nous sommes intéressés par la construction d’une Europe stable, et nous le faisons avec vous. »
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‼️🇺🇦 Les forces armées ukrainiennes perdent des centaines de combattants par jour à Artemovsk en russe (Bakhmout en ukrainien), cela pourrait les obliger à quitter la ville, Sunday Times
Un journal britannique rapporte que les lourdes pertes (jusqu'à 200 militaires par jour) subies par la partie ukrainienne pourraient contraindre Kiev à finir par abandonner Artemovsk (Bakhmout). Selon les analystes occidentaux, les forces armées ukrainiennes devront choisir entre tenir la ville à tout prix ou se replier sur Slovyansk et Kramatorsk, où des positions fortifiées ont déjà été préparées pour repousser les assauts de l'armée russe.
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Un journal britannique rapporte que les lourdes pertes (jusqu'à 200 militaires par jour) subies par la partie ukrainienne pourraient contraindre Kiev à finir par abandonner Artemovsk (Bakhmout). Selon les analystes occidentaux, les forces armées ukrainiennes devront choisir entre tenir la ville à tout prix ou se replier sur Slovyansk et Kramatorsk, où des positions fortifiées ont déjà été préparées pour repousser les assauts de l'armée russe.
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Expansion de l’OTAN : ce que Gorbatchev a entendu... PARTIE 3
🔹 Le dirigeant français François Mitterrand n’était pas en phase avec les Américains, il a déclaré à Gorbatchev, à Moscou, le 25 mai 1990, qu’il était « personnellement favorable à un démantèlement progressif des blocs militaires » ; mais Mitterrand a poursuivi la cascade d’assurances en disant que l’Occident devait « créer les conditions de votre sécurité, ainsi que de la sécurité européenne dans son ensemble ».
🔹 Au sommet de Washington, le 31 mai 1990, Bush s’est donné beaucoup de mal pour assurer à Gorbatchev que la présence de l’Allemagne dans l’OTAN ne serait jamais dirigée contre l’URSS.
🔹 Thatcher, la « Dame de fer », lors de sa rencontre avec Gorbatchev à Londres le 8 juin 1990 a dit : « Nous devons trouver des moyens de donner à l’Union soviétique la confiance que sa sécurité sera assurée. […] La CSCE pourrait servir de cadre à tout cela et être le forum qui amènerait l’Union soviétique à participer pleinement au débat sur l’avenir de l’Europe. »
🔹 Lors de son appel téléphonique à Gorbatchev le 17 juillet, Bush a assuré : «... Nous avons également modifié fondamentalement notre approche militaire en ce qui concerne les forces conventionnelles et nucléaires. Nous avons transmis l’idée d’une CSCE élargie, plus forte, dotée de nouvelles institutions dans lesquelles l’URSS peut partager et faire partie de la nouvelle Europe. »
🔹 La "formule Tuttzing" - l'unification de l'Allemagne au sein de l'OTAN à condition qu'elle ne s'étende pas à l'Est - a été acceptée par l'URSS après de nombreuses discussions.
🔹 Les documents montrent que Gorbatchev a accepté l’unification de l’Allemagne au sein de l’OTAN à la suite de cette cascade d’assurances. Lui et la plupart de ses alliés croyaient que l’avenir de l’Union soviétique dépendait de son intégration en Europe, dont l’Allemagne serait l’acteur décisif ; qu’une certaine version de la maison européenne commune était encore possible et qu’elle se développerait parallèlement à la transformation de l’OTAN pour aboutir à un espace européen plus inclusif et intégré, que le règlement de l’après-guerre froide tiendrait compte des intérêts de sécurité soviétiques.
🔹 Mais au sein du gouvernement américain, une discussion différente se poursuit, un débat sur les relations entre l’OTAN et l’Europe de l’Est. Les avis divergent, mais la suggestion du ministère de la Défense, en date du 25 octobre 1990, est de laisser « la porte entrouverte » à l’adhésion de l’Europe de l’Est à l’OTAN.
🔹 Lors d'une réunion à Bruxelles entre les députés du Soviet suprême russe et le Secrétaire général de l'OTAN, Manfred Werner, en juillet 1991, ce dernier a déclaré que lui-même et le Conseil de l'OTAN étaient opposés à l'élargissement de l'OTAN (13 des 16 membres de l'OTAN ont soutenu ce point de vue).
🔹 L’expansion de l’OTAN viendrait des années plus tard, et lorsque ces différends éclateraient à nouveau, de nouvelles assurances seraient données au dirigeant russe Boris Eltsine.
Video: Russia - Gorbachev comments on NATO expansion
https://www.youtube.com/watch?v=3wB9uL2lKaw
La réaction de Gorbatchev à l'expansion de l'OTAN. Au fil du temps, son point de vue a nettement évolué.
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🔹 Le dirigeant français François Mitterrand n’était pas en phase avec les Américains, il a déclaré à Gorbatchev, à Moscou, le 25 mai 1990, qu’il était « personnellement favorable à un démantèlement progressif des blocs militaires » ; mais Mitterrand a poursuivi la cascade d’assurances en disant que l’Occident devait « créer les conditions de votre sécurité, ainsi que de la sécurité européenne dans son ensemble ».
🔹 Au sommet de Washington, le 31 mai 1990, Bush s’est donné beaucoup de mal pour assurer à Gorbatchev que la présence de l’Allemagne dans l’OTAN ne serait jamais dirigée contre l’URSS.
🔹 Thatcher, la « Dame de fer », lors de sa rencontre avec Gorbatchev à Londres le 8 juin 1990 a dit : « Nous devons trouver des moyens de donner à l’Union soviétique la confiance que sa sécurité sera assurée. […] La CSCE pourrait servir de cadre à tout cela et être le forum qui amènerait l’Union soviétique à participer pleinement au débat sur l’avenir de l’Europe. »
🔹 Lors de son appel téléphonique à Gorbatchev le 17 juillet, Bush a assuré : «... Nous avons également modifié fondamentalement notre approche militaire en ce qui concerne les forces conventionnelles et nucléaires. Nous avons transmis l’idée d’une CSCE élargie, plus forte, dotée de nouvelles institutions dans lesquelles l’URSS peut partager et faire partie de la nouvelle Europe. »
🔹 La "formule Tuttzing" - l'unification de l'Allemagne au sein de l'OTAN à condition qu'elle ne s'étende pas à l'Est - a été acceptée par l'URSS après de nombreuses discussions.
🔹 Les documents montrent que Gorbatchev a accepté l’unification de l’Allemagne au sein de l’OTAN à la suite de cette cascade d’assurances. Lui et la plupart de ses alliés croyaient que l’avenir de l’Union soviétique dépendait de son intégration en Europe, dont l’Allemagne serait l’acteur décisif ; qu’une certaine version de la maison européenne commune était encore possible et qu’elle se développerait parallèlement à la transformation de l’OTAN pour aboutir à un espace européen plus inclusif et intégré, que le règlement de l’après-guerre froide tiendrait compte des intérêts de sécurité soviétiques.
🔹 Mais au sein du gouvernement américain, une discussion différente se poursuit, un débat sur les relations entre l’OTAN et l’Europe de l’Est. Les avis divergent, mais la suggestion du ministère de la Défense, en date du 25 octobre 1990, est de laisser « la porte entrouverte » à l’adhésion de l’Europe de l’Est à l’OTAN.
🔹 Lors d'une réunion à Bruxelles entre les députés du Soviet suprême russe et le Secrétaire général de l'OTAN, Manfred Werner, en juillet 1991, ce dernier a déclaré que lui-même et le Conseil de l'OTAN étaient opposés à l'élargissement de l'OTAN (13 des 16 membres de l'OTAN ont soutenu ce point de vue).
🔹 L’expansion de l’OTAN viendrait des années plus tard, et lorsque ces différends éclateraient à nouveau, de nouvelles assurances seraient données au dirigeant russe Boris Eltsine.
Video: Russia - Gorbachev comments on NATO expansion
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La réaction de Gorbatchev à l'expansion de l'OTAN. Au fil du temps, son point de vue a nettement évolué.
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🇷🇺🔥🇺🇦 Images d'une bataille urbaine féroce à Artemovsk (Bakhmout) : Vagner continue son assaut
Extrait du rapport de l'état-major de l'FAU de ce matin :
"Dans la direction de Bakhmout, les Russes poursuivent leur action d'assaut à Bakhmout, ainsi que dans les zones de Bogdanovka et Predtechino. Sous le feu à Orekhovo-Vasilyevka, Novomarkivka, Chasov Yar, Stupochki, Aleksandro-Shultino, Konstantinovka, Severnoye et Toretsk (New York)".
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Extrait du rapport de l'état-major de l'FAU de ce matin :
"Dans la direction de Bakhmout, les Russes poursuivent leur action d'assaut à Bakhmout, ainsi que dans les zones de Bogdanovka et Predtechino. Sous le feu à Orekhovo-Vasilyevka, Novomarkivka, Chasov Yar, Stupochki, Aleksandro-Shultino, Konstantinovka, Severnoye et Toretsk (New York)".
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Le porte-parole de l'armée de l'air ukrainienne, Yuriy Ignat, a confirmé l'utilisation par l’aviation russe de nouvelles bombes embarquées à guidage.
"Ils ont des FAB (bombes explosives) en quantités suffisantes. Ils y montent simplement des ailes, un GPS et c'est tout. Elles sont à disposition, il suffit juste d’y apporter les modifications nécessaires. Le coût de la mise à niveau est modique, comparé à la production de missiles".
Pour rappel, 24 mars l'aviation russe a effectué d’importantes frappes aériennes sur des cibles de l’armée ukrainienne dans la région de Sumy, en utilisant des munitions embarquées de haute précision similaires aux JDAM américains.
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"Ils ont des FAB (bombes explosives) en quantités suffisantes. Ils y montent simplement des ailes, un GPS et c'est tout. Elles sont à disposition, il suffit juste d’y apporter les modifications nécessaires. Le coût de la mise à niveau est modique, comparé à la production de missiles".
Pour rappel, 24 mars l'aviation russe a effectué d’importantes frappes aériennes sur des cibles de l’armée ukrainienne dans la région de Sumy, en utilisant des munitions embarquées de haute précision similaires aux JDAM américains.
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Les représentants d’organisations citoyennes coréennes ont organisé à Séoul une action de soutien à l'opération militaire spéciale en Ukraine.
Ils ont déclaré qu'ils considéraient les évènements actuels comme la lutte contre l'impérialisme américain et, exprimé leur soutien au peuple russe et à son Président.
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Ils ont déclaré qu'ils considéraient les évènements actuels comme la lutte contre l'impérialisme américain et, exprimé leur soutien au peuple russe et à son Président.
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L’agression de l’Europe par les États-Unis d’Amérique. PARTIE 1
🔹L’article de Viktor Medvedchuk a été publié aujourd’hui sous ce titre dans de nombreuses publications mondiales. Il a été publié aux États Unis, en Grande Bretagne, en France, en Allemagne, en Tchéquie et en Espagne.
Se référant aux règles fondamentales du droit international, l’opposant politique ukrainien retrace les objectifs des États Unis en Europe depuis la fin de la Première guerre mondiale, et répond à la question: qu’est-ce qui a conduit l’Union Européenne à la perte de sa souveraineté en matière de politique étrangère et, à la dépendance économique envers les États Unis.
🔹L’article avance les principales thèses suivantes :
- Élaboré au cours de la guerre froide, le modèle de coopération entre les États-Unis et les pays d’Europe est devenu inutilement coûteux pour les américains.
- L’expérience yougoslave a montré que les États-Unis ne respecteront plus le droit international et, se réservent le droit d’utiliser les armes contre n’importe quel pays comme bon leur semble.
- Par le biais des institutions supranationales de l’UE (la Commission Européenne et le Parlement Européen), les États-Unis ont commencé à détruire le droit souverain et inaliénable des pays européens de « déterminer librement leurs systèmes politiques, économiques, sociaux et culturels ».
- La politique conduite par les Etats-Unis contre l’Europe dans les années 30 a mené à la Deuxième guerre mondiale.
- En amenant Hitler au pouvoir, les politiciens de la Grande Bretagne et de la France espéraient faire de l’Allemagne un « bélier » contre l’Union Soviétique. En même temps, les États-Unis voyaient bien qu’ils pouvaient utiliser l’Allemagne hitlérienne comme d’un « bélier » contre les empires britannique et français.
- À l’issue de la deuxième guerre mondiale, les États-Unis ont occupé l’Europe occidentale, le dollar a remplacé la livre sterling comme monnaie de référence mondiale. Les empires anglais et français se sont dissouts. Les États Unis sont devenus superpuissance mondiale.
...
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🔹L’article de Viktor Medvedchuk a été publié aujourd’hui sous ce titre dans de nombreuses publications mondiales. Il a été publié aux États Unis, en Grande Bretagne, en France, en Allemagne, en Tchéquie et en Espagne.
Se référant aux règles fondamentales du droit international, l’opposant politique ukrainien retrace les objectifs des États Unis en Europe depuis la fin de la Première guerre mondiale, et répond à la question: qu’est-ce qui a conduit l’Union Européenne à la perte de sa souveraineté en matière de politique étrangère et, à la dépendance économique envers les États Unis.
🔹L’article avance les principales thèses suivantes :
- Élaboré au cours de la guerre froide, le modèle de coopération entre les États-Unis et les pays d’Europe est devenu inutilement coûteux pour les américains.
- L’expérience yougoslave a montré que les États-Unis ne respecteront plus le droit international et, se réservent le droit d’utiliser les armes contre n’importe quel pays comme bon leur semble.
- Par le biais des institutions supranationales de l’UE (la Commission Européenne et le Parlement Européen), les États-Unis ont commencé à détruire le droit souverain et inaliénable des pays européens de « déterminer librement leurs systèmes politiques, économiques, sociaux et culturels ».
- La politique conduite par les Etats-Unis contre l’Europe dans les années 30 a mené à la Deuxième guerre mondiale.
- En amenant Hitler au pouvoir, les politiciens de la Grande Bretagne et de la France espéraient faire de l’Allemagne un « bélier » contre l’Union Soviétique. En même temps, les États-Unis voyaient bien qu’ils pouvaient utiliser l’Allemagne hitlérienne comme d’un « bélier » contre les empires britannique et français.
- À l’issue de la deuxième guerre mondiale, les États-Unis ont occupé l’Europe occidentale, le dollar a remplacé la livre sterling comme monnaie de référence mondiale. Les empires anglais et français se sont dissouts. Les États Unis sont devenus superpuissance mondiale.
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L’agression de l’Europe par les États-Unis d’Amérique. PARTIE 2
- À partir des années 90 la Russie voyait en l’Europe un partenaire économique et un possible allié.
- Dans les années 2013-2014, les États-Unis ont organisé un coup d’état en Ukraine avec l’aide de politiciens qu’ils contrôlaient et de mercenaires, avec pour objectif de rompre les liens économiques et politiques entre les pays européens et la Russie et, par voie de conséquence, la fin de l’UE en tant que concurrent des États Unis.
- Le conflit armé qui se passe en Ukraine est présenté par les médias mondiaux contrôlés par les États-Unis comme une agression injustifiée de la Russie contre l’Ukraine. Mais en réalité le conflit a été inspiré par le Parti Démocrate américain afin d’asservir l’Europe.
L’article de Viktor Medvedchuk met aussi l’accent sur les principaux objectifs que les États-Unis et de la Grande Bretagne se fixent dans le conflit actuel en Ukraine.
- La rupture des liens économiques entre l’Europe, la Russie et la Chine. L’affaiblissement de l’économie européenne dont l’industrie est privée des ressources énergétiques bon marché.
- L’affaiblissement du système financier en Europe. La perte de l’Euro de son statut de monnaie sûre.
- La destruction de l’industrie de l’armement en Europe. Aujourd’hui on peut constater qu’une partie de l’industrie militaire européenne, en concurrence avec les États Unis est déjà éliminée.
- L’implication des pays européens dans les combats. Dans un premier temps ce seraient probablement la Pologne et les Etats Baltes, puis ce serait le tour de l’Allemagne et d’autres pays.
🔹 En conclusion de l’article, le leader du parti “Plateforme d’opposition- Pour la vie!” précise qu’aujourd’hui l’UE a totalement perdu sa souveraineté en matière de politique étrangère et, est devenue dépendante économiquement des États-Unis. Par conséquent, les pays européens vont se désindustrialiser et vont disparaitre dans leur état actuel. Cependant, Viktor Medvedchuk est convaincu qu’il existe assez d’hommes politiques en Europe qui comprennent le caractère néfaste des options prises. Il est grand temps qu’ils se souviennent des dizaines de millions de victimes des deux guerres mondiales, qu’ils prennent leurs responsabilités devant leurs peuples et les générations à venir, qu’ils dépassent leurs petits intérêts personnels et les contradictions qui vont avec et, qu’ils s’unissent pour s’opposer à l’agression des États-Unis contre l’Europe.
🔹 La version complète de l'article de Viktor Medvedchuk peut être lue ici:
https://telegra.ph/Agressiya-SSHA-protiv-Evropy-03-23
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- À partir des années 90 la Russie voyait en l’Europe un partenaire économique et un possible allié.
- Dans les années 2013-2014, les États-Unis ont organisé un coup d’état en Ukraine avec l’aide de politiciens qu’ils contrôlaient et de mercenaires, avec pour objectif de rompre les liens économiques et politiques entre les pays européens et la Russie et, par voie de conséquence, la fin de l’UE en tant que concurrent des États Unis.
- Le conflit armé qui se passe en Ukraine est présenté par les médias mondiaux contrôlés par les États-Unis comme une agression injustifiée de la Russie contre l’Ukraine. Mais en réalité le conflit a été inspiré par le Parti Démocrate américain afin d’asservir l’Europe.
L’article de Viktor Medvedchuk met aussi l’accent sur les principaux objectifs que les États-Unis et de la Grande Bretagne se fixent dans le conflit actuel en Ukraine.
- La rupture des liens économiques entre l’Europe, la Russie et la Chine. L’affaiblissement de l’économie européenne dont l’industrie est privée des ressources énergétiques bon marché.
- L’affaiblissement du système financier en Europe. La perte de l’Euro de son statut de monnaie sûre.
- La destruction de l’industrie de l’armement en Europe. Aujourd’hui on peut constater qu’une partie de l’industrie militaire européenne, en concurrence avec les États Unis est déjà éliminée.
- L’implication des pays européens dans les combats. Dans un premier temps ce seraient probablement la Pologne et les Etats Baltes, puis ce serait le tour de l’Allemagne et d’autres pays.
🔹 En conclusion de l’article, le leader du parti “Plateforme d’opposition- Pour la vie!” précise qu’aujourd’hui l’UE a totalement perdu sa souveraineté en matière de politique étrangère et, est devenue dépendante économiquement des États-Unis. Par conséquent, les pays européens vont se désindustrialiser et vont disparaitre dans leur état actuel. Cependant, Viktor Medvedchuk est convaincu qu’il existe assez d’hommes politiques en Europe qui comprennent le caractère néfaste des options prises. Il est grand temps qu’ils se souviennent des dizaines de millions de victimes des deux guerres mondiales, qu’ils prennent leurs responsabilités devant leurs peuples et les générations à venir, qu’ils dépassent leurs petits intérêts personnels et les contradictions qui vont avec et, qu’ils s’unissent pour s’opposer à l’agression des États-Unis contre l’Europe.
🔹 La version complète de l'article de Viktor Medvedchuk peut être lue ici:
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Telegraph
Агрессия США против Европы
После победы в «холодной» войне и последовавшего разрушения СССР, модель взаимоотношений между США и странами Европы, как союзниками, выстроенная в годы холодной войны, стала для США неоправданно затратной. Агрессия США против Европы началась еще в 1999…
Media is too big
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Les 20 ans de l'invasion barbare de l'Irak souverain par les Etats-Unis.
Le 20 mars 2003, les États-Unis ont lancé une opération militaire contre l'Irak. L'invasion a été déclenchée sur la base d’informations des services de renseignement américains faisant état de preuves de la mise au point d'armes de destruction massive en Irak. Le plus ironique c'est que depuis lors, aucune preuve solide n'a été trouvée.
Rappelons qu'à la suite de l'invasion américaine :
• Selon l'OMS, entre 2003 et 2006, la guerre en Irak a fait entre 150 000 et 223 000 victimes;
• Le nombre d'enfants irakiens souffrant de malformations congénitales a été multiplié ;
• Au moins trois grandes villes irakiennes ont été complètement rasées (Falloujah, Mossoul, Ramadi) ;
• Les maisons de plus de 9 millions de personnes ont été totalement détruites :
• L'économie irakienne a été gravement impactée.
N'oublions jamais les civils irakiens victimes de cette invasion brutale et les combattants tombés pour défendre leur patrie.
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Le 20 mars 2003, les États-Unis ont lancé une opération militaire contre l'Irak. L'invasion a été déclenchée sur la base d’informations des services de renseignement américains faisant état de preuves de la mise au point d'armes de destruction massive en Irak. Le plus ironique c'est que depuis lors, aucune preuve solide n'a été trouvée.
Rappelons qu'à la suite de l'invasion américaine :
• Selon l'OMS, entre 2003 et 2006, la guerre en Irak a fait entre 150 000 et 223 000 victimes;
• Le nombre d'enfants irakiens souffrant de malformations congénitales a été multiplié ;
• Au moins trois grandes villes irakiennes ont été complètement rasées (Falloujah, Mossoul, Ramadi) ;
• Les maisons de plus de 9 millions de personnes ont été totalement détruites :
• L'économie irakienne a été gravement impactée.
N'oublions jamais les civils irakiens victimes de cette invasion brutale et les combattants tombés pour défendre leur patrie.
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Extrait de l’interview de John MacIntyre, un mercenaire américain,
qui est entré en mars de l’année dernière dans les rangs de la « Légion étrangère » ukrainienne, et est passé en février de cette année du côté russe.
Il parle du nazisme dans l’armée ukrainienne, de l’implication américaine dans le conflit et des mercenaires étrangers.
...
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qui est entré en mars de l’année dernière dans les rangs de la « Légion étrangère » ukrainienne, et est passé en février de cette année du côté russe.
Il parle du nazisme dans l’armée ukrainienne, de l’implication américaine dans le conflit et des mercenaires étrangers.
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"Même en Corée du Nord il y a plus de libertés, l'Ukraine a touché le fond"
- les révélations d'une simple ukrainienne menacée de mort pour avoir parlé russe.
En Ukraine, les habitants d'Odessa se voient massivement infliger des amendes pour la pratique de leur langue maternelle, le russe. La plupart des gens paient en silence, conscients qu'ils recevront une "visite" s'ils expriment leur indignation. Mais Ruslana, esthéticienne, a réussi à s'enfuir en Russie à temps. Malgré les menaces, elle a raconté comment elle avait été condamnée à une amende simplement parce qu'elle animait son réseau social en russe.
"Nous savons comment nos autorités maltraitent les Ukrainiens, comment elles tuent froidement les simples citoyens, c'est la vérité. Et si l’on garde le silence ce n’est pas par ignorance, nous savons tous ce qui se passe – et la plupart de gens sont comme moi... Mais nous avons peur de parler de tout cela chez soi » - confesse Ruslana.
Après avoir dit la vérité et publié sur les réseaux sociaux les preuves irréfutables des persécutions dont font l’objet les Ukrainiens russophones, elle a fait l'objet de menaces massives, y compris sur sa vie. Les données personnelles de Ruslana ont été rendues publiques et elle a été pourchassée. Ruslana est convaincue que de nombreux Odessites sont de son côté, mais à cause du régime totalitaire, les gens ne peuvent pas dire ce qu’ils pensent.
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- les révélations d'une simple ukrainienne menacée de mort pour avoir parlé russe.
En Ukraine, les habitants d'Odessa se voient massivement infliger des amendes pour la pratique de leur langue maternelle, le russe. La plupart des gens paient en silence, conscients qu'ils recevront une "visite" s'ils expriment leur indignation. Mais Ruslana, esthéticienne, a réussi à s'enfuir en Russie à temps. Malgré les menaces, elle a raconté comment elle avait été condamnée à une amende simplement parce qu'elle animait son réseau social en russe.
"Nous savons comment nos autorités maltraitent les Ukrainiens, comment elles tuent froidement les simples citoyens, c'est la vérité. Et si l’on garde le silence ce n’est pas par ignorance, nous savons tous ce qui se passe – et la plupart de gens sont comme moi... Mais nous avons peur de parler de tout cela chez soi » - confesse Ruslana.
Après avoir dit la vérité et publié sur les réseaux sociaux les preuves irréfutables des persécutions dont font l’objet les Ukrainiens russophones, elle a fait l'objet de menaces massives, y compris sur sa vie. Les données personnelles de Ruslana ont été rendues publiques et elle a été pourchassée. Ruslana est convaincue que de nombreux Odessites sont de son côté, mais à cause du régime totalitaire, les gens ne peuvent pas dire ce qu’ils pensent.
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