"L'occident ne travaille plus, ou fait semblant de travailler (...), sachant que le monde n'est que de la production. Le réel c'est le travail, il n'y a rien d'autre. Penser qu'on puisse vivre sans travailler, ça veut dire 1) qu'on vit du travail des autres et 2) que bientôt l'addition va vous être présentée. Et ce sera peut-être finalement la solution à toute cette merde politique, c'est qu'on va globalement payer l'addition, qui s'appelle un effondrement de civilisation."
Alain Soral
Alain Soral
CasaPound: invitiamo Joly e Salis alla nostra festa nazionale per un dibattito sulla violenza politica
“Se Joly non cerca solo visibilità, lo invitiamo a esprimere le sue opinione sul movimento direttamente con noi, senza doversi nascondere. Le nostre porte sono sempre state aperte per dibattiti con giornalisti noti come Mentana, Formigli e Sansonetti”.
“Invitiamo anche Ilaria Salis che nessuno ha minacciato ma che confermiamo di ritenere miserabile per agguati armati di martello contro avversari politici”.
“Invece di distorcere la realtà e accusarci di minacce, creando un clima di scontro, dimostriamo senso di responsabilità. Noi non siamo disposti a recitare ruoli in copioni già visti. Se il confronto è inammissibile perché mette in discussione la nostra stessa esistenza, si smetta di puntare il dito verso un movimento che da vent’anni opera alla luce del sole nel sociale, nella solidarietà e nella cultura su tutto il territorio nazionale”.
“Se Joly non cerca solo visibilità, lo invitiamo a esprimere le sue opinione sul movimento direttamente con noi, senza doversi nascondere. Le nostre porte sono sempre state aperte per dibattiti con giornalisti noti come Mentana, Formigli e Sansonetti”.
“Invitiamo anche Ilaria Salis che nessuno ha minacciato ma che confermiamo di ritenere miserabile per agguati armati di martello contro avversari politici”.
“Invece di distorcere la realtà e accusarci di minacce, creando un clima di scontro, dimostriamo senso di responsabilità. Noi non siamo disposti a recitare ruoli in copioni già visti. Se il confronto è inammissibile perché mette in discussione la nostra stessa esistenza, si smetta di puntare il dito verso un movimento che da vent’anni opera alla luce del sole nel sociale, nella solidarietà e nella cultura su tutto il territorio nazionale”.
MONDE&VIE. Quelles leçons pour l’avenir le RN doit-il tirer de sa défaite ?
ALAIN DE BENOIST : En tout premier lieu, qu’il doit tout faire pour ramener le centre à sa plus simple expression : le « bloc bourgeois » doit être pour lui l’ennemi principal. Qu’il doit privilégier l’analyse et la formation plutôt que de ne marcher qu’à l’enthousiasme ou à l’indignation. Qu’il doit comprendre que la recomposition politique entamée il y a quinze ans se poursuit, mais qu’on ne peut pas brûler les étapes. Et surtout que la seule faute qui ne lui sera jamais pardonnée serait de décevoir les classes populaires et les classes moyennes qui ont mis et continuent à mettre en lui tous leurs espoirs. Tous les sondages montrent que sur des questions-clés comme l’insécurité, le pouvoir d’achat et l’immigration, 70 % des Français sont d’accord avec lui.
ALAIN DE BENOIST : En tout premier lieu, qu’il doit tout faire pour ramener le centre à sa plus simple expression : le « bloc bourgeois » doit être pour lui l’ennemi principal. Qu’il doit privilégier l’analyse et la formation plutôt que de ne marcher qu’à l’enthousiasme ou à l’indignation. Qu’il doit comprendre que la recomposition politique entamée il y a quinze ans se poursuit, mais qu’on ne peut pas brûler les étapes. Et surtout que la seule faute qui ne lui sera jamais pardonnée serait de décevoir les classes populaires et les classes moyennes qui ont mis et continuent à mettre en lui tous leurs espoirs. Tous les sondages montrent que sur des questions-clés comme l’insécurité, le pouvoir d’achat et l’immigration, 70 % des Français sont d’accord avec lui.
“Two elements must therefore be rooted out once for all, – the fear of future suffering, and the recollection of past suffering; since the latter no longer concerns me, and the former concerns me not yet.”
Seneca
Seneca