Ce Samedi 5 avril, 300 personnes se sont retrouvées à l'étang d'Assay de Champigny-sur-Veude (37) pour échanger sur l'eau, son partage, et contre les méga-bassines. 🌊
Une belle balade autour de l'étang avec des naturalistes nous a éclairé sur l'importance de l'eau dans la biodiversité locale. 🦆🐝🐞
Un autre groupe est allé à la rencontre des habitants et habitantes dans les villages avoisinants pour discuter des enjeux du partage de l'eau, et de l'importance d'une vraie concertation locale avant tout projet éventuel de bassine.
L'après-midi a continué autour d'une conférence sur le cycle de l'eau d'Anne-Morwenn Pastier, hydrogéologue, et de discussion sur l'agriculture et l'usage de l'eau pour les habitants et habitantes.
Les paysan.ne.s présent.e.s ont rendu hommage à Pierre Alessandri, paysan engagé à la Via Campagnola assassiné en mars en Corse.
Puis, pour finir cette journée joyeuse et ensoleillée , un bal trad au son des douces mélodies de La Bourine a permis de remuer de la guibole 💃
La Louche finale et la Conf' Paysanne nous ont ravi les papilles 🍺🥞
Et les Soulèvements de la Terre nous ont apporté de la lecture pour nos soirées ! 📕
La lutte continue 🔥, on lâche rien et No Bassaran !✊
[4/4]
Une belle balade autour de l'étang avec des naturalistes nous a éclairé sur l'importance de l'eau dans la biodiversité locale. 🦆🐝🐞
Un autre groupe est allé à la rencontre des habitants et habitantes dans les villages avoisinants pour discuter des enjeux du partage de l'eau, et de l'importance d'une vraie concertation locale avant tout projet éventuel de bassine.
L'après-midi a continué autour d'une conférence sur le cycle de l'eau d'Anne-Morwenn Pastier, hydrogéologue, et de discussion sur l'agriculture et l'usage de l'eau pour les habitants et habitantes.
Les paysan.ne.s présent.e.s ont rendu hommage à Pierre Alessandri, paysan engagé à la Via Campagnola assassiné en mars en Corse.
Puis, pour finir cette journée joyeuse et ensoleillée , un bal trad au son des douces mélodies de La Bourine a permis de remuer de la guibole 💃
La Louche finale et la Conf' Paysanne nous ont ravi les papilles 🍺🥞
Et les Soulèvements de la Terre nous ont apporté de la lecture pour nos soirées ! 📕
La lutte continue 🔥, on lâche rien et No Bassaran !✊
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⚖️ DÉLIBÉRÉ DU PROCÈS DE JULIEN LE GUET JEUDI 17/04 À 13H30 À NIORT
Rendez-vous jeudi 17/04 dès 13H devant le Tribunal de Niort (2 rue du Palais) pour le délibéré du procès de Julien Le Guet suite à la plainte pour diffamation de M. Vestieu concernant le tag « À Serge et aux 200 blessé-es de Sainte-Soline Dubée, Vestieu, Darmanin en prison ».
Une conférence de presse aura lieu à la sortie de l’audience.
Pour rappel, retrouvez notre communiqué suite à l'audience du 07/02/25 :
👉 https://www.bassinesnonmerci.fr/wp-content/uploads/2025/02/CP-070225-Proces-Julien.pdf
Rendez-vous jeudi 17/04 dès 13H devant le Tribunal de Niort (2 rue du Palais) pour le délibéré du procès de Julien Le Guet suite à la plainte pour diffamation de M. Vestieu concernant le tag « À Serge et aux 200 blessé-es de Sainte-Soline Dubée, Vestieu, Darmanin en prison ».
Une conférence de presse aura lieu à la sortie de l’audience.
Pour rappel, retrouvez notre communiqué suite à l'audience du 07/02/25 :
👉 https://www.bassinesnonmerci.fr/wp-content/uploads/2025/02/CP-070225-Proces-Julien.pdf
NOUVELLE VIDÉO – TABLE RONDE N°2 : Les alternatives pour se prémunir des pesticides
Les pesticides sont au cœur des débats sur la santé publique et l’environnement.
Dans cette table ronde N°2, Vincent BRETAGNOLLE (écologue au CNRS de Chizé), Jean-Claude OLIVA (directeur de la Coordination Eau Île De France), Pierre-Michel PERINAUD (médecin) et Louis-Adrien DELARUE (médecin) suivis des témoignages de plusieurs paysans bio et d’un apiculteur échangent sur les solutions et alternatives possibles face aux pesticides.
Co-organisée par l’APIEEE, Biodiversité Balanin et Torchepot, la Coordination Eau Île de France, Alerte Pesticides Haute Gironde et Alerte des médecins sur les pesticides le 15 mars à Aiffres.
À découvrir et à partager !
https://youtu.be/alBnntYj5MU
Bon visionnage !
Les pesticides sont au cœur des débats sur la santé publique et l’environnement.
Dans cette table ronde N°2, Vincent BRETAGNOLLE (écologue au CNRS de Chizé), Jean-Claude OLIVA (directeur de la Coordination Eau Île De France), Pierre-Michel PERINAUD (médecin) et Louis-Adrien DELARUE (médecin) suivis des témoignages de plusieurs paysans bio et d’un apiculteur échangent sur les solutions et alternatives possibles face aux pesticides.
Co-organisée par l’APIEEE, Biodiversité Balanin et Torchepot, la Coordination Eau Île de France, Alerte Pesticides Haute Gironde et Alerte des médecins sur les pesticides le 15 mars à Aiffres.
À découvrir et à partager !
https://youtu.be/alBnntYj5MU
Bon visionnage !
YouTube
Table ronde n°2 : Les alternatives pour se prémunir des pesticides - Aiffres 15/03/25
Co-organisée par l'APIEEE, Alerte des Médecins sur les pesticides, Biodiversité Balanin et Torchepot et la Coordinations Eau ile de France.
0 à 1’38 : introduction de Laurence INGRAND
1’38 à 19’47 : Intervention de Vincent BRETAGNOLLE - Ecologue au CNRS…
0 à 1’38 : introduction de Laurence INGRAND
1’38 à 19’47 : Intervention de Vincent BRETAGNOLLE - Ecologue au CNRS…
💸✊ Soutenons le Collectif Inter-associatif dans leur nouveau recours pour faire annuler définitivement les 16 projets de méga-bassines de la Sèvre niortaise - Mignon !
Cela fait déjà plusieurs années que le Collectif Inter-associatif mène des actions en justice contre les bassines. Maintenant, plus que jamais, il a besoin de notre aide !
Comme vous le savez, en décembre dernier, la Cour administrative d'appel de Bordeaux a annulé les autorisations environnementales de 4 des 16 bassines (dont celle de Sainte-Soline). C'était une victoire partielle car le porteur de projet peut encore régulariser le dossier et mettre en œuvre toutes les bassines prévues.
C'est pourquoi aujourd'hui, il est crucial de soutenir le Collectif Inter-associatif pour porter cette affaire devant le Conseil d'État, afin de faire annuler définitivement les 16 bassines qui menacent la qualité de l'eau, plusieurs espèces protégées, et qui encouragent un modèle agricole intensif, responsable du déclin de la biodiversité.
Cette cagnotte servira à couvrir les frais d'avocat, en particulier pour engager un avocat spécialisé qui portera cette affaire devant le Conseil d'État.
Pour contribuer à la cagnotte, c'est par ici 👉
https://www.helloasso.com/associations/poitou-charentes-nature/collectes/faisons-annuler-les-megabassines
Et si vous n’avez pas les moyens, en parler autour de vous est déjà un super coup de pouce ! 🫶
Pour en savoir plus 👉 https://www.poitou-charentes-nature.asso.fr/la-victoire-de-la-biodiversite/
ENSEMBLE, METTONS UN TERME AUX BASSINES !
NO BASSARAN !
Cela fait déjà plusieurs années que le Collectif Inter-associatif mène des actions en justice contre les bassines. Maintenant, plus que jamais, il a besoin de notre aide !
Comme vous le savez, en décembre dernier, la Cour administrative d'appel de Bordeaux a annulé les autorisations environnementales de 4 des 16 bassines (dont celle de Sainte-Soline). C'était une victoire partielle car le porteur de projet peut encore régulariser le dossier et mettre en œuvre toutes les bassines prévues.
C'est pourquoi aujourd'hui, il est crucial de soutenir le Collectif Inter-associatif pour porter cette affaire devant le Conseil d'État, afin de faire annuler définitivement les 16 bassines qui menacent la qualité de l'eau, plusieurs espèces protégées, et qui encouragent un modèle agricole intensif, responsable du déclin de la biodiversité.
Cette cagnotte servira à couvrir les frais d'avocat, en particulier pour engager un avocat spécialisé qui portera cette affaire devant le Conseil d'État.
Pour contribuer à la cagnotte, c'est par ici 👉
https://www.helloasso.com/associations/poitou-charentes-nature/collectes/faisons-annuler-les-megabassines
Et si vous n’avez pas les moyens, en parler autour de vous est déjà un super coup de pouce ! 🫶
Pour en savoir plus 👉 https://www.poitou-charentes-nature.asso.fr/la-victoire-de-la-biodiversite/
ENSEMBLE, METTONS UN TERME AUX BASSINES !
NO BASSARAN !
HelloAsso
Faisons définitivement annuler 16 projets de méga-bassines
Financement participatif organisé par Poitou-Charentes Nature - Soutenez-nous devant le Conseil d'Etat pour faire annuler les projets de 16 réserves d'irrigation du bassin de la Sèvre niortaise - Mignon
Huit méga-bassines se préparent dans le Cher dans la plus totale opacité !
Selon le Collectif Bassines Non Merci Berry, le coût serait estimé à 32 millions d'euros, financé à 70% par l'Agence de l'eau.
Le collectif Bassines Non Merci Berry et l'association AVEC organisent une réunion publique ce jeudi 17 avril au centre culturel de Saint-Georges-sur Arnon, à 18h.
Rassemblons-nous et organisons-nous pour que ces nouveaux projets ne voient pas le jour !
https://www.francebleu.fr/cher-bientot-huit-mega-bassines-dans-le-departement-1076183
Selon le Collectif Bassines Non Merci Berry, le coût serait estimé à 32 millions d'euros, financé à 70% par l'Agence de l'eau.
Le collectif Bassines Non Merci Berry et l'association AVEC organisent une réunion publique ce jeudi 17 avril au centre culturel de Saint-Georges-sur Arnon, à 18h.
Rassemblons-nous et organisons-nous pour que ces nouveaux projets ne voient pas le jour !
https://www.francebleu.fr/cher-bientot-huit-mega-bassines-dans-le-departement-1076183
ici, le média de la vie locale
Cher : bientôt huit méga-bassines dans le département ? - ici
Huit méga-bassines sont en projet dans le Cher selon Bassines Non Merci Berry. Des retenues d'eau d'une toute autre dimension par rapport aux sept en projet ou déjà existantes. Un coût estimé par les écologiste à 32 millions d'euros, financé à 70% par l'Agence…
CP 17/04/25 : Julien Le Guet RELAXÉ ! Mais le tribunal de Niort ne reconnaît pas le droit de s’exprimer librement et de dénoncer l’inacceptable !
[1/2]
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Le collectif Bassines Non Merci se félicite de la relaxe de Julien Le Guet, co-porte parole du mouvement contre les bassines, prononcée ce jour par le tribunal correctionnel dans le cadre du procès en diffamation intenté par M. Vestieu, colonel de gendarmerie.
Pour rappel, ce procès visant Julien concernait un tag anonyme inscrit le 1er mai 2023 devant la gendarmerie de Niort, lors de la manifestation de la Journée internationale des travailleurs et dans un contexte tendu, marqué par une répression croissante du mouvement contre les mégabassines. Ce tag avait simplement rendu hommage aux blessé-es de Sainte-Soline et rappelé la réalité des violences pratiquées par les forces de l’ordre, commanditées par certaines personnalités – et dont M. Vestieu fait partie. Ce dernier avait choisi de porter plainte, espérant sans doute faire taire une critique légitime et étayée. On rappellera que M. Vestieu s'est payé cette procédure et les services de l'extrême Me Bosselut aux frais de l'Etat. Encore une dépense inutile d'argent public pour une répression à tout va.
Aujourd'hui, près de deux ans après, l'actualité nous confirme la nécessité et la légitimité de ce tag, qui appelle à ce que des poursuites pénales soient engagées contre les responsables des mutilations de nos camarades :
- le Procureur du tribunal de Rennes, qui était chargé de l'enquête sur ces responsabilités pénales, a été muté il y a un an et nous n'avons toujours aucune nouvelle des plaintes et expertises lancées il y a 2 ans [1];
- la situation de Rémi Fraisse est un précédent dont on doit tirer des enseignements : après les non-lieu systématiquement prononcés par les juridictions françaises, la CEDH a condamné la France pour atteinte aux droits à la vie ! [2]
Aujourd'hui, la décision du tribunal vient affirmer que l'infraction est caractérisée mais que les pièces du dossier ne permettaient pas d'imputer l'infraction à Julien.
Qu'en est-il de la liberté d'expression ? De la légitimité de demander à ce que des poursuites pénales soient engagées, à ce que les responsables de ce "maintien de l'ordre" désastreux le 25 mars 2023 soient confondus ? À Niort, visiblement, cela ne compte pas !
Ce jugement est évidemment une victoire, mais il laisse un goût amer, tant il semble faire abstraction des droits fondamentaux. À croire qu’une loi spéciale rendant ces droits inapplicables dans les Deux-Sèvres nous aurait échappé…
Pour nous, il est clair que s’exprimer librement et dénoncer les dérives autoritaires et la responsabilité de certaines personnalités sur la politique de maintien de l’ordre dans un conflit sur un enjeu aussi crucial qu’est l’eau n’a rien d’un délit et ne devrait même pas être poursuivi. C’est au contraire l’essence même de la démocratie à travers le respect des libertés fondamentales permettant ainsi le débat public.
Nous remercions toutes les personnes, collectifs, syndicats, citoyen·nes,
élu·es, avocat·es et particulièrement les témoins (la maman de Serge, Lisa
Belluco et Flavian Lauzu observateur des libertés et violences policières) qui ont apporté leur soutien à Julien et au combat collectif que nous portons ensemble.
Notre mobilisation ne faiblira pas. Le combat continue. L’eau est un commun, les libertés d’expression et de manifestation sont un droit et nous continuerons à les défendre, partout, avec conviction, détermination et solidarité.
No Bassaran !
Notre communiqué est à retrouver sur https://www.bassinesnonmerci.fr/wp-content/uploads/2025/04/CP-Relaxe-julien-17_04_25_compressed.pdf
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Pour rappel, ce procès visant Julien concernait un tag anonyme inscrit le 1er mai 2023 devant la gendarmerie de Niort, lors de la manifestation de la Journée internationale des travailleurs et dans un contexte tendu, marqué par une répression croissante du mouvement contre les mégabassines. Ce tag avait simplement rendu hommage aux blessé-es de Sainte-Soline et rappelé la réalité des violences pratiquées par les forces de l’ordre, commanditées par certaines personnalités – et dont M. Vestieu fait partie. Ce dernier avait choisi de porter plainte, espérant sans doute faire taire une critique légitime et étayée. On rappellera que M. Vestieu s'est payé cette procédure et les services de l'extrême Me Bosselut aux frais de l'Etat. Encore une dépense inutile d'argent public pour une répression à tout va.
Aujourd'hui, près de deux ans après, l'actualité nous confirme la nécessité et la légitimité de ce tag, qui appelle à ce que des poursuites pénales soient engagées contre les responsables des mutilations de nos camarades :
- le Procureur du tribunal de Rennes, qui était chargé de l'enquête sur ces responsabilités pénales, a été muté il y a un an et nous n'avons toujours aucune nouvelle des plaintes et expertises lancées il y a 2 ans [1];
- la situation de Rémi Fraisse est un précédent dont on doit tirer des enseignements : après les non-lieu systématiquement prononcés par les juridictions françaises, la CEDH a condamné la France pour atteinte aux droits à la vie ! [2]
Aujourd'hui, la décision du tribunal vient affirmer que l'infraction est caractérisée mais que les pièces du dossier ne permettaient pas d'imputer l'infraction à Julien.
Qu'en est-il de la liberté d'expression ? De la légitimité de demander à ce que des poursuites pénales soient engagées, à ce que les responsables de ce "maintien de l'ordre" désastreux le 25 mars 2023 soient confondus ? À Niort, visiblement, cela ne compte pas !
Ce jugement est évidemment une victoire, mais il laisse un goût amer, tant il semble faire abstraction des droits fondamentaux. À croire qu’une loi spéciale rendant ces droits inapplicables dans les Deux-Sèvres nous aurait échappé…
Pour nous, il est clair que s’exprimer librement et dénoncer les dérives autoritaires et la responsabilité de certaines personnalités sur la politique de maintien de l’ordre dans un conflit sur un enjeu aussi crucial qu’est l’eau n’a rien d’un délit et ne devrait même pas être poursuivi. C’est au contraire l’essence même de la démocratie à travers le respect des libertés fondamentales permettant ainsi le débat public.
Nous remercions toutes les personnes, collectifs, syndicats, citoyen·nes,
élu·es, avocat·es et particulièrement les témoins (la maman de Serge, Lisa
Belluco et Flavian Lauzu observateur des libertés et violences policières) qui ont apporté leur soutien à Julien et au combat collectif que nous portons ensemble.
Notre mobilisation ne faiblira pas. Le combat continue. L’eau est un commun, les libertés d’expression et de manifestation sont un droit et nous continuerons à les défendre, partout, avec conviction, détermination et solidarité.
No Bassaran !
Notre communiqué est à retrouver sur https://www.bassinesnonmerci.fr/wp-content/uploads/2025/04/CP-Relaxe-julien-17_04_25_compressed.pdf
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