L’accord sur le puits de Karish, l’OPEP+ refuse d’augmenter sa production de pétrole, les réfugiés syriens au Liban et en Turquie, Xi Jinping renouvelé, Israël ne fournira pas d’armes à l’Ukraine, même si l’Iran en fournit à la Russie.

L’animosité entre les deux chefs des pays a atteint un tel point que le Joe Biden « n'a aucune intention de rencontrer le prince héritier » lors du sommet du G20.

par Olga Samofalova. Comment peut-on considérer que c’est la Russie qui frappe l’UE alors que celle-ci impose un embargo pétrolier le 5 décembre ? C’est l’UE elle-même qui se prive du pétrole russe transporté par voie maritime.

par Dominique Delawarde. Des scénarios dont les chances de survenir sont jugées sous-estimées et qui pourraient provoquer « une onde de choc » sur « les marchés » ou « dans les cultures politiques et populaires ».

Le prince Abdelaziz a expliqué que le plafonnement des prix du pétrole conduirait inévitablement à l’instabilité du marché, ajoutant que le Royaume réduirait sa production de pétrole.

Les réductions d'aujourd'hui font suite à une réduction de 2 millions de bpj en octobre dernier, alors que les craintes d'un ralentissement économique continuent de planer.

par Jade. Cette concession montre la dépendance du Japon à l’égard de la Russie, ce qui a contribué à l’hésitation de Tokyo à soutenir davantage l’Ukraine.

Lorsque Josep Borrell, le chef de la politique étrangère de l’UE a déclaré : «l’Europe est le jardin d’Eden et le reste du monde est une jungle», la «jungle» s’est rebiffée.

par Charles Sannat. L’Arabie saoudite est très clairement en train de s’émanciper de la tutelle américaine et anglo-saxonne en place depuis Laurence d’Arabie.

«Après que Biden a menacé l’Arabie saoudite, MbS a répliqué en menaçant, sans préavis, de rompre les relations avec les États-Unis et de prendre une revanche économique».

par Charles Kennedy. Moscou a placé des volumes croissants de carburants auprès de clients africains après l’embargo de l’UE sur les importations de carburants russes par voie maritime.

par Germán Gorraiz López. Si le prix du pétrole brut continue de grimper jusqu’à 100 dollars, une psychose de pénurie mondiale pourrait survenir, qui se traduirait par une hausse vertigineuse du coût du transport du fret et des engrais agricoles.

par Charles Sannat. L’AFP découvre avec stupéfaction que le reste du monde s’en fiche complètement du CO2 parce que faut voir ce qu’ils crament tous en pétrole, charbon ou gaz pour climatiser leurs maisons.

par Chems Eddine Chitour. L’histoire du pétrole est l’histoire des pays en développement qui ont lutté pour faire du pétrole un outil de développement. L’avènement de l’OPEP a été un facteur déclenchant.