Les Jardins du Partage
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Objectif : acquérir des terrains pour les transformer en jardins familiaux et ainsi les mettre à disposition.

01/02/22 : cagnotte Ulule bouclée (5040€)

ljdp.asso@gmail.com
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⚠️ IMPORTANT ⚠️

Une mauvaise nouvelle est tombée… mais elle va renforcer notre détermination. Les impôts nous réclament 60% de la somme récoltée par le financement participatif. Un recours est lancé…

Ô douce France, tu fus le pays de notre enfance, bercé de cette tendre insouciance qui nous paraît si loin maintenant. Ce pays qui dépossède l’être humain de sa capacité d’agir au nom de l’indépendance, en créant des verrous pour nous éviter de nous émanciper en dehors des clous, et des codes de la réussite dictés par la méritocratie et le capitalisme, afin de nous contraindre d’alimenter la machine. Enfin… une mauvaise nouvelle nous est parvenue, elle est indéniablement de mauvaise augure, mais aucunement une fatalité, cela je vous l’assure.

Le centre des impôts nous a notifié d’un fait que nous n’aurions jamais pu anticiper et ce malgré la somme de travail que nous avons porté. 60% de la campagne de financement participatif, voilà ce qu’ils nous réclament, 60%… qui aurait pu l’imaginer, mais c’est ainsi. Un cauchemar éveillé, une boule au ventre, après tant d’efforts et de sacrifices, voilà que le couperet…

Nous avons été mal conseillé, notamment par Ulule qui connaissait parfaitement notre démarche et a qui nous avons demandé conseil sur la fiscalité, sans que cette information ne nous ait été communiqué. Pourtant, nous avons appris que se sont les sites de crowfunding qui transfèrent aux finances publiques le montant des sommes récoltées, ainsi que les informations liées aux porteurs du projet. Nous nous en sommes voulu, puis nous avons compris que nous ne pouvions pas anticiper l’inconnu, qui plus est lorsqu’il s’agit d’une loi spécifique au crowfunding dont l’inspecteur des impôts lui même, était étonné d’une telle injustice et d’un cas qu’il ne connaissait pas, pour vous dire…

Nous avions en effet expliqué à Ulule que notre association serait créée post campagne de financement participatif, sa création dépendant de son succès. L’argent que nous avons alors récolté transite pour le moment sur le compte bancaire de Yoann, en attente d’un transfert sur le compte associatif. C’est donc précisément sur ce point, que repose l’ensemble du problème. En tout état de cause, Ulule aurait donc pu nous éviter cette situation et nous conseiller en conséquence, bien que la commission qu’ils ont touché, elle, ne fut pas remise en question…

L’inspecteur des impôts a été particulièrement compréhensif et humain, à notre grand étonnement, sans vouloir stigmatiser la fonction. Il va donc prévenir sa hiérarchie pour faire de notre situation un cas d’exception, qui peut être servira à d’autres, qui dans cette même situation pourrait faire office de jurisprudence. Nous concernant, nous devons envoyer un courrier en recommandée avec accusée de réception au centre des impôts, le récépissé de la déclaration de notre association, avec la création du compte associatif, pour qu’ils aient la preuve de notre démarche qui est à but non lucratif.

Être un porteur de projet, c’est aussi ça, faire face à des imprévus, surmonter des épreuves, se battre et garder la tête haute dans les difficultés. Nombre de ceux qui ont atteint leurs objectifs au nom du bien commun, diront que personne n’a cru en eux, qu’ils sont tombés et qu’ils se sont relevés, qu’ils ont tout perdu, pour tout gagner, au nom d’une cause, de quelque chose de plus grand qu’eux, qui donne du sens à une vie qui bien souvent en perd, à cause de l’infamie de certains hommes.

C’est dans l’adversité que nous pouvons juger de la qualité d’un homme, et nous prenons cette épreuve comme le témoin d’une direction qui est la bonne, que nous transformerons en une force, pour atteindre l’objectif qui est le notre.

Nous avons besoin plus que jamais de votre soutien moral.

Nous vous tiendrons au courant de leur décision, mais sachez une chose, peut importe ce qui en résultera, cela ne nous empêchera pas de faire exister les Jardins du Partage, au nom de l’intérêt général et des sans voix.

Que Dieu vous garde et paix sur vous,

Jeffrey et Yoann
Bonjour à tous, petit partage du jour d'un visuel que j'ai créé et qui je pense, en dit long sur notre société. Prenez soin de vous
Jeffrey
NOUVELLES !

Bonjour à tou(te)s,

L’association est enfin créée, tout l’aspect administratif est enfin bouclé. Nous avons également fait la demande d’un N° SIREN dans le but d’être assujettie aux subventions. Ce parcours nous a permis de monter en compétences et si vous souhaitez, vous aussi, créer votre structure associative, vous pouvez nous contacter à l’adresse suivante ljdp.asso@gmail.com nous nous ferons un plaisir de vous accompagner.

Nous souhaitons également la bienvenue à Kévin qui a rejoint l’aventure, trésorier de l’association, une aide précieuse et un homme de cœur. La réussite d’un projet, disons-le, repose à 99% sur la cohésion de groupe, les personnes dont on s’entoure et le soutien de nos proches ainsi que de notre communauté. Nous sommes fiers de pouvoir dire que nous réunissons tous ces aspects.

Un projet, ça prend du temps, et aujourd’hui force est de constater que s’est imposé le dictat de la culture « fast food » qui voudrait que tout aille vite. Seulement, la rapidité n’est pas un facteur déterminant dans la réussite, nous dirions même que c’est tout l’inverse. Réapprendre à prendre le temps, c’est important et m’étant reconverti dans le maraîchage en culture biologique depuis 1 ans maintenant, j’ai pu me réapproprier cette notion, de la patience.

Nous semons une graine, celle de la solidarité à travers ce projet, et nous nous attacherons à faire en sorte qu’elle puisse grandir, se développer, se renforcer, afin que nous puissions en récolter ses fruits dans l’état d’esprit de la permaculture, pour que l’autonomie des Jardins du Partage naisse de par notre engagement et nos soutiens, de par l’émulation.

Concernant les impôts, nous attendons encore leur réponse mais nous avons bon espoir qu’ils abondent dans notre sens, d’autant que nous leur avons envoyé tous les documents qui attestent de la démarche altruiste et non lucrative des Jardins du Partage à travers son statut associatif.

Actuellement nous travaillons sur la plaquette de présentation du projet, pour approcher de futurs partenaires, nous pensons notamment à de grandes enseignes telles que Décathlon ou Leroy Merlin, pour nous aider à équiper nos terrains dans le but d’accueillir leurs futurs bénéficiaires. C’est un travail de longue haleine, mais nécessaire.

Nous sommes toujours à la recherche d’un premier terrain non constructible, hors zone agricole et forestière, privilégiant les zones naturelles et les pastilles vertes, dans la région nord-ouest de la France sauf exception et coup de cœur. Notre budget est d’environ 4000€.

Un immense merci d’être présent et de suivre l’aventure, qui sans vous, n’aurait pas vu le jour.

« Faire du savoir une richesse
De l’entraide du concret
De notre volonté un moteur
Et du partage des projets »


L’équipe des Jardins du Partage
Bonjours à tou(te)s,
Nous vous souhaitons un bon weekend de Pâques, avec une pensée particulière pour celles et ceux, qui souffrent le plus.
L'équipe des Jardins du Partage
Audio
Je vous invite à écouter cet audio que j'ai enregistré, m'inspirant de la citation que nous venons de partager, en vous invitant à en faire de même, si vous le souhaitez.
Jeffrey, Les Jardins du Partage
UNE GRANDE NOUVELLE

La persévérance est ce qui rend l’impossible possible, le possible probable et le probable certain, pour rendre le possible visible et sortir de l’ombre les invisibles, ceux la même que les élites qualifient de nuisibles, à l’avenir incertain, qu’ils s’attachent à ignorer tant ils leur sont indispensables pour continuer d’exister.

C’est à force de persévérance que nous avons alors eu gain de cause face à l’institution des impôts, vos dons en restent intacts et la confiance qui nous lie n’en sera que plus forte, car c’est au travers de l’adversité que nous saurons faire la démonstration de notre ténacité, de notre intégrité et de notre volonté de contribuer à un monde plus juste, plus équitable et solidaire.

La solution ne viendra jamais de ceux qui nous ignorent et que beaucoup pourtant, sollicitent encore, tout en sachant qu’ils sont la cause des maux qu’ils souhaitent voir disparaître. Au même titre que peu pensent à ceux qui n’ont rien lorsqu’ils se lèvent chaque matin, ceux qui nous dirigent ne nous considèrent pas, contraint de nous déshumaniser pour nous réduire au statut de marchandise.

À bas le capitalisme… et qu’est-ce qui pourrait tant justifier sa glorification, hormis le désir de jouir d’un pouvoir fictif qui n’existe que par la capacité de tout un chacun, à nous reconnaître mutuellement la légitimité de générer du profit, par la culture des privilèges et des gagnants, fabrique des perdants, de ceux qui ne sont rien et des sans dents.

Notre sens du devoir n’est pas citoyen, il n’est autre que humain, faisant de nous les gardiens de nos principes, de nos valeurs et de notre sens de l’éthique, pour y conserver en notre sein, la morale et la vertu de voir en notre évolution, l’action de tendre la main, avant toute chose.

Il n’en tient qu’à nous de transcender ce qu’ils attendent de nous, pour déterminer le rôle que nous souhaitons porter pour nous, non pour marquer l’histoire, non dans l’idée que nos actions pourraient changer le monde dans l’immédiat, mais par l’espoir, celui là même qui nous tient en berne, que de le transformer en une réalité, par des projets destinés à ceux que l’on oublie et qui aimeraient, ne pas être les sacrifiés de l’ignorance. Alors nous continuerons, à coup de persévérance, à nous battre pour celles et ceux qui nous ont fait confiance.

La chasse aux terrains est officiellement ouverte, pour les mettre à contribution des personnes précaires et des associations ayant pour mission d’oeuvrer pour elles, là où nous ne serons qu’une simple passerelle, pour leur offrir un peu d’indépendance et leur venir en aide.

Que Dieu vous garde et paix sur vous

L’équipe des Jardins du Partage

Nb. Si vous lancez votre campagne de financement participatif, assurez vous d’avoir créée votre structure associative avant son lancement et que l’argent ne transit à aucun moment sur le compte d’un particulier. Le cas échéant vous serez taxé à hauteur de 60% du montant de votre campagne de financement et ce de manière automatique, car les plateformes ont l’obligation de transmettre le montant total des dons au centre des impôts. Nous avons eu beaucoup de chance, notamment parce que nous avions détaillés les étapes de création sur Ulule, ce qui nous a été fort utile pour faire acte de bonne foi, et que notre dossier a été suivi par une personne formidable, seulement nous avons tout de même fait l’objet d’une mesure d’exception et si notre cas peut vous éviter de vous retrouver dans cette même situation, cela aura été un mal pour un bien.
Bonjour à tou(te)s, nous souhaitions partager avec vous, nos inquiétudes sur les dérives du WWOOFING.
Le WWOOFING créé par Sue Coppard en 1971, signifie World Wide Opportunities Organic Farms, que nous pouvons traduire par des opportunités à travers le monde au sein de fermes biologiques.

Le contrat moral qui lie l’hôte et le wwoofer faisant acte de volontariat en tant que bénévole, repose sur le partage, l’activité et l’apprentissage en échange du gîte et du couvert, mais également pour s’imprégner de la culture, des traditions et des coutumes de l’habitant, tout en découvrant de nouveaux pays et de nouvelles régions. Le wwoofer ne doit être tenu par aucune obligation et ne doit faire l’objet d’aucune forme de subordination, car sa participation est volontaire, il est donc libre d’y mettre un terme à tout moment et ce sans procédure, ni dédommagement.

L’activité du wwoofer ne doit donc en aucun cas se substituer à un emploi salarié, or, nous constatons qu’il y a de plus en plus d’abus sous forme d’esclavagisme moderne.

Lorsque vous voyez des annonces qualifiées de WWOOFING, qui vous demandent une activité vous engageant sur une durée déterminée, avec des pré-requis et des qualifications, un système de recrutement, des horaires dépassant les 25h par semaine allant jusque tard le soir, qui de surcroît ne gravitent pas autour des milieux agricoles en culture biologique ou avec une valeur ajoutée écologique, n’est en aucun cas du WWOOFING, mais une dérive esclavagiste.

Lorsqu’il s’agit de travail, il ne s’agit plus de WWOOFING, et nous constatons qu’il y a de plus en plus d’annonces de ce type, promouvant des valeurs et des vertus faussement morales sous couvert de green washing, sollicitant l’entraide lorsqu’il s’agit en vérité de servir les intérêts de l’exploitant, celui là même qui prétexte faire acte de charité en vous hébergeant et en vous nourrissant contre du travail forcé, ce qui n’est pas sans rappeler des heures sombres de l’histoire, là où il ne s’agit au final que de l’exploitation d’une main d’oeuvre gratuite, qui ouvre la porte à toutes formes de dérives.

Ce type de pratique n’est autre que la démonstration d’un système purement libéral et profondément capitaliste, permettant aux plus riches de s’enrichir. Qu’il s’agisse de la garde d'enfants en tenant le rôle de nourrice, de maçon pour restaurer un bâti et voir opérer une plus value immobilière dont seul les propriétaires en tireront bénéfices, ou encore des tâches ingrates, répétitives, contraignantes et chronophages sans même être couvert en cas d’accident ou de litige, ne sont autres que des abus qui doivent être montrés du doigt et aucunement soutenus.

Nous le répétons car cela est important, l’activité du wwoofer ne doit pas se substituer à un emploi salarié, il doit être fait sur la base du volontariat, libre de partir à tout moment sans faire l’objet de subordination ou d’une quelconque forme d’obligation. Cette expérience doit être une opportunité à double sens, pour aider, partager, apprendre, grandir et évoluer, non pour être exploité à des fins intéressés.

Nous nous exprimerons également sur la captation du milieu autonome par la bourgeoisie et une bien pensance qui porte là aussi, des propos purement néo libéral et capitaliste, sous couvert de discours moralisateurs et culpabilisants, faisant souvent écho à « ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien » tout en dénonçant ceux à qui ils empruntent les méthodes et en faisant croire que l’autonomie est accessible facilement.

Nous sommes au sein de l’équipe des Jardins du Partage, pour un accès à ces alternatives de vie en condamnant toutes formes de ségrégations économiques et sociales, qui véhiculeraient l’idée que l’argent ne serait le moteur de rien mais nécessaire à tout.


Nous finirons par le discours des sans voix, si cher à notre coeur et qui résume parfaitement les valeurs que nous portons, pensons et défendons au sein de l’association :
« Ceux qui ont pris tout le plat dans leur assiette, laissant les assiettes des autres vides, et qui ayant tout disent avec une bonne figure “Nous qui avons tout, nous sommes pour la paix !”, je sais ce que je dois leur crier à ceux-là : les premiers violents, les provocateurs, c’est vous !

Quand le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits enfants, avec votre bonne conscience, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d’inconscients, au regard de Dieu, que n’en aura jamais le désespéré qui a pris les armes pour essayer de sortir de son désespoir.
Mais nous ne trompons pas, il n’y a pas de violence qu’avec des armes, il y a des situations de violences.

Il y a tel et tel peuple du monde que je connais très bien, où j’ai été tant de fois et où il n’y a plus aucune espérance pour la foule des plus petits. Aucune espérance d’apprendre à vivre. Et j’avais crié, vous les riches – il y a des riches qui sont honnêtement riches – vous avez le devoir de dépenser.

Ceux qui stockeraient dans des coffres de banque de l’or, des bijoux, qui les accumuleraient comme un trésor. Car la fortune dans les temps d’épreuve doit être partagée, venant au secours en créant des entreprises viables pour donner de l’emploi et du salaire. »


L’Abbé Pierre - Les sans voix
LJDP plaquette.pdf
3.1 MB
Bonjour à tou(te)s,

Tout d’abord, nous avons une pensée particulière en cette période hivernale pour celles et ceux qui vivent dans une grande précarité et à qui nous souhaitons beaucoup de courage, sachez que nous sommes de tout cœur avec vous.

Nous voilà de retour après une absence nécessaire pour travailler sur la plaquette de l’association mais également la refonte du logo des Jardins du Partage. Il s’agit d’un support incontournable pour communiquer sur nos missions, nous faire connaître et prendre contact avec nos futurs partenaires, associations, entreprises et collectivités. Nous remercions par avance celles et ceux qui la partagerons.

Vous aurez compris que la vitesse n’est pas un facteur déterminant dans la réussite d’un projet, car il s’agit davantage de persévérance, de tenir sur la durée malgré les difficultés et de prendre le temps, notamment celui d’étudier chaque aspect nécessaire à sa pérennité.
Nous avons fait le choix de concentrer nos premières missions sur l’accès aux vacances pour les familles en situations de grande précarité, car en France c’est un tiers de la population qui en est privée chaque année, dont des milliers d’enfants qui n’ont pas cette chance d’y accéder. Déconnecter des contraintes du quotidien est une nécessité, pour reprendre son souffle, un souffle souvent nécessaire pour ne pas sombrer.

Nous mettrons alors nos terrains à disposition de ces familles, qui seront des lieux de vie situés en pleine nature, avec un fort potentiel touristique. Des terrains qui seront à proximités d’un point d’eau, car pour les enfants des vacances sans baignade n’en sont pas vraiment et les enfants passent avant tout. Nos jardins seront équipés de tentes individuelles et familiales, de four en terre, de toilette sèche, de panneaux solaires, d’équipement de trekking et d’une aires de jeux pour les enfants, tout cela dans un esprit « bivouac » et résilient.

Mais rien n’est fait, car avec le COVID, il y a eu une hype certaine autour de l’autonomie, une prise de conscience générale, avec un besoin de se désaliéner de la doxa métro, boulot, dodo synonyme d'enfermement et mis en exergue par les divers confinements. Cela a eu pour effet de faire exploser le marché du foncier sur les terrains non constructibles et nous sommes alors passé de 3000€ l’hectare à 3000€ les 3000m2 en l’espace d’à peine 2 ans. Les prix ne cessent d’augmenter là où nous voyons généralement des terrains à 5000€ allant de 500m2 à 4000m2 pour les plus grands, nous marchons sur la tête… et ce, sans compter les frais de notaires. Cette captation des richesses est regrettable, car ici nous ne pouvons pas dire que c’est de la faute aux élites, non, ici il s’agit de personnes ordinaires qui ont accès à des privilèges et qui veulent faire du profit, privant ceux qui n’ont rien, de l’opportunité d’acquérir une terre et nous devons désormais composer avec cette réalité.

Voilà le problème que nous rencontrons, car des terrains il y en a, seulement nos moyens ne nous permettent pas de les acquérir. C’est donc à nous de faire le nécessaire pour trouver notre premier terrain, de faire appel à des subventions ou de futurs partenariats pour nous aider, là se trouve notre responsabilité pour faire la démonstration que la persévérance, fini toujours par payer.
En attendant de futures avancées dans nos démarches, nous vous invitons à prendre connaissance de notre belle plaquette ! En espérant qu’elle vous plaise, qu’elle vous parle et qui sait, qu’elle vous redonne un peu d’espoir.

Prenez soin de vous

L’équipe des Jardins du Partage
Ludovic (Jeffrey), Yoann, Kévin
Bonjour à tous,

Merci pour vos retours et vos encouragements suite à notre dernier communiqué accompagné de la plaquette. Nous avons conscience que celui-ci est bien trop long pour être partagé sur Telegram, et ailleurs. Or, si nous voulons mettre toutes les chances de notre côté, nous devons vous offrir la possibilité de faire circuler facilement notre plaquette.

Ainsi, nous vous proposons le message ci-dessous ⬇️

🙏 Merci d'avance pour l'aide que vous apportez aux Jardins du Partage !

A bientôt

L'équipe LJDP
Notre association Les jardins du Partage a pour objectif d'acquérir et d'équiper un premier terrain pour y accueillir des familles lors des périodes estivales qui, par faute de moyens suffisants, ne peuvent pas s'offrir de vacances.

Suite à notre campagne de financement sur Ulule, nous disposons grâce à votre soutien d'un budget de 5040€ pour acquérir ce premier terrain, tous frais inclus (agence, notaire, etc).

Nous sommes donc à la recherche de ce premier terrain.
ljdp.asso@gmail.com

Voici la plaquette de notre association ; merci d'avance à celles et ceux qui nous aiderons en la partageant !

L'équipe des Jardins du Partage