Forwarded from Breizh info
Dublin : démonstration de force des patriotes contre la politique migratoire du gouvernement et l’immigration en Irlande
https://www.breizh-info.com/2025/04/27/246421/dublin-demonstration-de-force-des-patriotes-contre-la-politique-migratoire-du-gouvernement-et-limmigration-en-irlande/
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BREIZH-INFO
Dublin : démonstration de force des patriotes contre la politique migratoire du gouvernement et l'immigration en Irlande
Ce samedi 26 avril 2025, Dublin a été le théâtre d’une mobilisation d’ampleur contre la politique migratoire du gouvernement irlandais et contre
Abbiamo ricordato oggi, in una commemorazione condivisa fra le varie anime della comunità militante genovese, i Caduti della R. S. I. e le vittime dei partigiani che sono sepolti presso il Sacrario della R. S. I. a Staglieno.
Un momento di raccoglimento e il rito del Presente si sono svolti anche presso la sepoltura del Generale Silvio Parodi.
Ringraziamo tutti i presenti.
Un momento di raccoglimento e il rito del Presente si sono svolti anche presso la sepoltura del Generale Silvio Parodi.
Ringraziamo tutti i presenti.
"You only see the outer surface. On the surface you see that we have fine horses, beautiful equipment, drink and eat well and have fine robes, and it seems that you would have an easy life.
But you do not know about the harsh commandments underneath the surface."
This was a warning to young knights who wanted to join the Templars.
But you do not know about the harsh commandments underneath the surface."
This was a warning to young knights who wanted to join the Templars.
L’esprit des choses : le barbecue.
Ce n’est pas grand-chose: juste une cuve de fonte, ou de tout autre métal réfractaire, couverte d’une grille et montée sur quatre pieds (du moins dans son expression la plus simple). Il en existe des versions plus sophistiquées, mais le principe demeure le même pour ce compagnon des vacances et de la convivialité estivale. Les braises contenues dans la cuve cuiront au choix saucisses, sardines, pièces de viande ou crustacés. Vous l’avez tous reconnu, il s’agit de notre vieil ami le barbecue. C’est tout un art, le barbecue. Son allumage nécessite à lui seul un savoir-faire subtil: il faut savoir disposer le charbon de bois et l’allume-barbecue (naturel ou fourni par le supermarché local) afin d’obtenir un lit de braises homogène. Ensuite, il faudra mettre le gril à la hauteur adéquate afin d’obtenir la bonne chaleur et d’éviter le contact éventuel des flammes. Le reste ne sera plus qu’une affaire de gout. Le barbecue est une affaire d’homme. On voit rarement les femmes attiser la braise ou retourner la viande. Elles apporteront les victuailles, prépareront au besoin la marinade, viendront tenir compagnie à l’officiant, mais le feu semble rester en dehors de leur domaine. Faudrait-il y voir une application du principe chinois "Yang" (le feu, l’homme, le chaud, le soleil) opposé au "Yin" (l’eau, la femme, le froid, la lune)? La question mérite d’autant plus d’être posée que le barbecue, pour l’essentiel, sert à griller de la viande, autre élément clairement Yang. Cette masculinité peut être mise en relation avec une autre caractéristique: le barbecue, comme le méchoui, est fondamentalement une cuisine du dehors. Là encore, on retrouve l’opposition entre Yang et Yin, entre extérieur et intérieur. Il ne s’agit plus du foyer autour duquel se structure la maison. Le feu n’est plus caché, il se montre, il invite. Car le barbecue, on l’a vu, est aussi convivial. Il casse la routine du repas habituel. Participer à un barbecue, c’est participer à une fête. Il faut être relativement nombreux pour que le barbecue en vaille la peine. On ne fait pas un barbecue pour deux personnes. Cela vient d’ailleurs de loin, d’aussi loin que le mot, attesté en anglais dès le XVII siècle, et qui, à l’origine, désigne, chez certains peuples caraïbes, une claie de bois pour griller ou fumer la viande. Plus tard, il accompagnera gauchos argentins, vaqueros mexicains et leur équivalent américain. Le cowboy solitaire et loin de son foyer peut se contenter d’un modeste feu de camp où il cuira sa saucisse et ses haricots dans une poêle, mais ses collègues réunis pour convoyer un troupeau sauront organiser leur barbecue rudimentaire. Quelque part, en dégustant cette viande que nous avons vue griller, nous nous prenons nous aussi pour des hommes (ou des femmes) de la pampa ou des grands espaces. Il y a d’ailleurs quelque chose de particulier dans cette convivialité. Le barbecue n’est pas seulement collectif, il est véritablement tribal. Il ne s’agit plus seulement de la famille élargie ou d’un groupe d’amis. Réunis autour d’un mode de cuisson sinon archaïque, du moins archaïsant (le contact direct avec le feu de l’aliment cru), les convives, le temps du banquet retrouvent les fonctions primitives de la tribu, à commencer par les responsables du feu. Le barbecue fait penser au festin rituel qui clôt chaque aventure d’Astérix. Ses braises réveillent en nous une étrange nostalgie, celle des anciennes solidarités que le monde moderne a fait voler en éclats. C’est sans doute l’une des raisons, ou peut-être la raison pour laquelle le barbecue est universel. Sous des noms différents, on le retrouve aussi bien en Russie qu’en Afrique du Sud. Au Texas, il appartient à l’identité locale. Partout, du reste, on le définit plus comme un véritable art de vivre que comme une simple spécialité culinaire. Mais cette convivialité provoque aussi l’hostilité de quelques hygiénistes sourcilleux qui commencent à trouver plein de défauts et de dangers à notre barbecue.
Ce n’est pas grand-chose: juste une cuve de fonte, ou de tout autre métal réfractaire, couverte d’une grille et montée sur quatre pieds (du moins dans son expression la plus simple). Il en existe des versions plus sophistiquées, mais le principe demeure le même pour ce compagnon des vacances et de la convivialité estivale. Les braises contenues dans la cuve cuiront au choix saucisses, sardines, pièces de viande ou crustacés. Vous l’avez tous reconnu, il s’agit de notre vieil ami le barbecue. C’est tout un art, le barbecue. Son allumage nécessite à lui seul un savoir-faire subtil: il faut savoir disposer le charbon de bois et l’allume-barbecue (naturel ou fourni par le supermarché local) afin d’obtenir un lit de braises homogène. Ensuite, il faudra mettre le gril à la hauteur adéquate afin d’obtenir la bonne chaleur et d’éviter le contact éventuel des flammes. Le reste ne sera plus qu’une affaire de gout. Le barbecue est une affaire d’homme. On voit rarement les femmes attiser la braise ou retourner la viande. Elles apporteront les victuailles, prépareront au besoin la marinade, viendront tenir compagnie à l’officiant, mais le feu semble rester en dehors de leur domaine. Faudrait-il y voir une application du principe chinois "Yang" (le feu, l’homme, le chaud, le soleil) opposé au "Yin" (l’eau, la femme, le froid, la lune)? La question mérite d’autant plus d’être posée que le barbecue, pour l’essentiel, sert à griller de la viande, autre élément clairement Yang. Cette masculinité peut être mise en relation avec une autre caractéristique: le barbecue, comme le méchoui, est fondamentalement une cuisine du dehors. Là encore, on retrouve l’opposition entre Yang et Yin, entre extérieur et intérieur. Il ne s’agit plus du foyer autour duquel se structure la maison. Le feu n’est plus caché, il se montre, il invite. Car le barbecue, on l’a vu, est aussi convivial. Il casse la routine du repas habituel. Participer à un barbecue, c’est participer à une fête. Il faut être relativement nombreux pour que le barbecue en vaille la peine. On ne fait pas un barbecue pour deux personnes. Cela vient d’ailleurs de loin, d’aussi loin que le mot, attesté en anglais dès le XVII siècle, et qui, à l’origine, désigne, chez certains peuples caraïbes, une claie de bois pour griller ou fumer la viande. Plus tard, il accompagnera gauchos argentins, vaqueros mexicains et leur équivalent américain. Le cowboy solitaire et loin de son foyer peut se contenter d’un modeste feu de camp où il cuira sa saucisse et ses haricots dans une poêle, mais ses collègues réunis pour convoyer un troupeau sauront organiser leur barbecue rudimentaire. Quelque part, en dégustant cette viande que nous avons vue griller, nous nous prenons nous aussi pour des hommes (ou des femmes) de la pampa ou des grands espaces. Il y a d’ailleurs quelque chose de particulier dans cette convivialité. Le barbecue n’est pas seulement collectif, il est véritablement tribal. Il ne s’agit plus seulement de la famille élargie ou d’un groupe d’amis. Réunis autour d’un mode de cuisson sinon archaïque, du moins archaïsant (le contact direct avec le feu de l’aliment cru), les convives, le temps du banquet retrouvent les fonctions primitives de la tribu, à commencer par les responsables du feu. Le barbecue fait penser au festin rituel qui clôt chaque aventure d’Astérix. Ses braises réveillent en nous une étrange nostalgie, celle des anciennes solidarités que le monde moderne a fait voler en éclats. C’est sans doute l’une des raisons, ou peut-être la raison pour laquelle le barbecue est universel. Sous des noms différents, on le retrouve aussi bien en Russie qu’en Afrique du Sud. Au Texas, il appartient à l’identité locale. Partout, du reste, on le définit plus comme un véritable art de vivre que comme une simple spécialité culinaire. Mais cette convivialité provoque aussi l’hostilité de quelques hygiénistes sourcilleux qui commencent à trouver plein de défauts et de dangers à notre barbecue.
De leur coté, les industriels s’acharnent à le moderniser en substituant au charbon de bois l’électricité ou le gaz, plus sanitairement corrects… et moins salissants. Et si le vrai barbecue était finalement un symbole de résistance ?
Jean-Michel Diard dans Minute.
Jean-Michel Diard dans Minute.
"À Hanoï, le colonel Edon avait dit au commandant en chef :
"Votre capitaine, mon général, se prend un peu trop pour un seigneur". De Lattre avait souri et dit: "C'est vrai, mais l'inconvénient avec Puy-Montbrun, c'est qu'il est vraiment un seigneur."
Claude Faure, Aux Services de la République: du BCRA à la DGSE.
"Votre capitaine, mon général, se prend un peu trop pour un seigneur". De Lattre avait souri et dit: "C'est vrai, mais l'inconvénient avec Puy-Montbrun, c'est qu'il est vraiment un seigneur."
Claude Faure, Aux Services de la République: du BCRA à la DGSE.
"L’originalité de CasaPound réside sans doute principalement dans l’aspect exclusivement positif et constructif de son discours et de ses actions, un volontarisme optimiste et joyeux qui tranche avec un milieu trop souvent aigri, simplement réactif ou nostalgique, inutilement agressif et purement critique. Tout en étant capable de démonstrations de force dans la rue lorsqu’il est attaqué ou agressé, le mouvement CasaPound est parvenu à démontrer que la radicalité n’était pas synonyme d’extrémisme et de marginalité asociale, bien au contraire. C’est en plaçant l’amour des siens et de sa communauté au coeur de son combat que CasaPound a notamment réussi à séduire de très nombreux jeunes, exaltés par sa vision à la fois virile et chaleureuse de la camaraderie politique."
Xavier Eman
Xavier Eman
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