« Il n’y a d’ailleurs aucune faute à prévoir le pire, si c’est vraiment du pire que nous nous trouvons menacés. On peut parfaitement s’attendre au pire, et ne pas désespérer de soi-même ni de son pays. Un homme qui s’attend au pire s’interdit ainsi, au contraire, par avance, toute bonne raison de capituler. »

Georges Bernanos, Français, si vous saviez..., p. 1121.

«Il blêmit mais ne put rien répondre quand le chef de la nation des Outaouais, Pontiac, notre plus fidèle allié, lui déclara lors d'une sorte de cérémonie d'adieux : «Mon père le roi de France m'a fait français. Je mourrais français.» Il tint parole. C'est coiffé du bicorne galonné d'argent des officiers des compagnies de la Marine qu'il partit en guerre à la tête d'une coalition indienne contre les régiments du général Campbell qui relevaient l'une après l'autre les garnisons française des forts. Les anglais le firent assassiner.La répression fut féroce.»

Jean Raspail, Les Pikkendorff.

En proposant un "détour" par un autre monde, je suggère un autre regard sur le nôtre. Pour penser de façon neuve, nous avons d'abord besoin d'échapper aux routines.

Dominique Venner - Un samouraï d'Occident.

L'histoire est le domaine de l'inattendu. Personne au monde n'avait pu imaginer vers 1900 ce que serait le déroulement extraordinaire du XXe siècle et ses retournements, la catastrophe majeure des deux guerres mondiales, la disparition des empires et des grandes monarchies (hormis en Grande-Bretagne), le déclin de l'ancienne Europe, et, plus tard, la décolonisation, l'émergence ou la renaissance de puissances neuves en Asie et ailleurs,l'apparition de nouvelles formes de société. Il en fut ainsi de tout temps, mais rarement dans des proportions aussi soudaines, gigantesques et universelles. Rien n'est jamais vraiment prévisible en histoire, ce que ne savent pas toujours les philosophes qui raisonnent par catégories et non dans le concret. La grande inconnue historique réside dans les hommes, leurs "représentations", leurs ambitions, leur aveuglement, leurs révoltes, leurs aptitudes, et le mystère de leur destin.

Dominique Venner - Un samouraï d'Occident.

This is a song by Compagnia dell'Anello, regarded, together with the Amici del Vento, the pioneers of alternative music.

On crée des chaînes de télévision pour en créer, même si l'on n'a rien à dire. Comme le reste, la communication se tribalise à l'infini. De plus en plus de canaux et de veines, de moins en moins de sang.

Guillaume Faye - La Nouvelle Société de Consommation.

Клуб 451 организује ове суботе трибину на тему: 210 година Другог српског устанка.

Таковски устанак који је као спонтана реакција на Турске одмазде и зулум показао да Срби више никад неће бити неми посматрачи на позорници историје. Сатерани у ћошак у незавидној ситуацији још једном су храбро се супротставили тиранији и неустрашиво поново стали на црту надмоћнијој сили и ударили темеље своје модерне државности.

Видимо се!

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😃 Слава нацији! 😁

"A happy century does not exist; but there are moments of happiness, and there is freedom in the moment."

Ernst Jünger

Rémi Soulié invité du Cercle Georges Orwell
Le Cercle Georges Orwell recevra, le Mercredi 14 Mai 2025, Rémi Soulié, écrivain et philosophe, pour son livre « L'enthousiasme » publié aux éditions de la Nouvelle Librairie.
Dans une salle privatisée de restaurant au centre de Paris (le lieu sera communiqué après inscription).
Horaire : 18h30-20h30
Conférence à 19h. Questions de 19h30 à 20h30.
Consommation payante obligatoire.
Possibilité de dîner à 20h30. Réservez en même temps que votre inscription qui est obligatoire par message à : orgeorge@orange.fr

« Le racisme antiblanc frappe les « petits Blancs », pas les éditorialistes de Radio France. Il y a deux Blancs en France : le grand et le petit. Le premier a les mots, les postes, les réseaux. Le second a le mépris, le silence, l’infériorisation. Le grand Blanc milite pour l’ouverture des frontières, mais pas dans son immeuble, encore moins dans l’école de ses enfants. Il célèbre la diversité, à condition qu’elle reste théorique. S’il y a un privilège blanc, ce n’est jamais que le sien : un privilège de caste –progressiste, gauchiste, métropolitain, sanctuarisé, qui ouvre toutes les portes. Le grand Blanc milite pour l’accueil inconditionnel des autres, mais c’est au petit Blanc d’en assumer les conséquences. C’est lui qu’on insulte dans les cours d’école, qu’on injurie sur les terrains de foot, qu’on humilie lors du ramassage scolaire. Cette fracture n’est pas anecdotique. Elle explique pourquoi le racisme antiblanc reste tabou : il touche ceux qui n’ont ni porte-voix ni relais. »

François Bousquet, entrevue pour le site www.breizh-info.com