Valérie Bugault officiel
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politique et géopolitique
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L’Alliance des États du Sahel ou la grande victoire africaine

La création en 2023 de l’#AES représente un succès majeur aussi bien pour la région du #Sahel, mais également un grand pas en avant à l’échelle continentale africaine.
#BurkinaFaso #Mali #Niger

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L’Alliance des États du Sahel révolutionne la géopolitique du continent africain

Le choix du #BurkinaFaso, du #Mali et du #Niger de quitter la #CEDEAO et de créer l’Alliance des États du Sahel était évident, les principes et les règles de la charte de la CEDEAO n’ayant jamais été sérieusement respectés.
#AES #Afrique

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Burkina, Mali et Niger finalisent leur projet de confédération

«Nous pouvons considérer très clairement, aujourd'hui, que la Confédération de l'Alliance des États du Sahel (AES) est née», a déclaré Abdoulaye Diop à l'issue d'une audience avec le général Tchiani.
#Mali #Niger #BurkinaFaso #AES #CEDEAO

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Burkina Faso : Visite du président malien pour renforcer la lutte contre le terrorisme

Le #BurkinaFaso, le #Mali et le #Niger ont décidé de prendre leurs responsabilités dans le cadre de l’Alliance des États du Sahel (#AES) en mutualisant leurs efforts pour libérer leurs territoires des «forces du mal».
#terrorisme #AssimiGoïta #IbrahimTraoré

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La Confédération AES est née : Que va-t-il se passer maintenant ?

Pourquoi la Confédération ? Qu’est-ce qui va changer, pour les États comme pour les citoyens ? Quelles vont être les interactions avec la #CEDEAO et avec le reste du monde ? Nathalie Yamb explique tout.
#AES #BurkinaFaso #Mali #Niger

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Le Burkina Faso hausse le ton et menace de retirer les licences des sociétés occidentales

Ibrahim Traoré pointe du doigt le fait que les pays qui ne veulent pas collaborer sur le domaine militaire exploitent les ressources du pays. «Je le dis haut et fort, cette exploitation va cesser», a-t-il martelé.
#BurkinaFaso #ressourcesnaturelles

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#AESinfo | #BurkinaFaso 🇧🇫

Le Capitaine Ibrahim Traoré, Président du Faso, ne veut plus de fuite de cerveaux

Lors de la journée de l'excellence scolaire, le Président du Burkina Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a exprimé une volonté forte de mettre fin à l'exode des talents du pays. "Pendant longtemps, les impérialistes ont puisé ici des cerveaux à travers des bourses et une fois chez eux, ils ne reviennent plus au pays", a-t-il déclaré, soulignant un problème récurrent d'attraction et de rétention des compétences locales.

Le chef de l'État a souligné l'importance de l'investissement dans l'éducation nationale pour former et retenir les élites burkinabè. "Nous avons une mission d’encadrer ces jeunes et les appuyer. Je peux vous dire que lorsque nous ferons baisser la fièvre de cette guerre et que nous maîtriserons nos dépenses militaires, il faudra investir beaucoup dans certains domaines", a-t-il affirmé, envisageant une réorientation des ressources vers l'éducation.

Traoré a plaidé pour la création d'institutions éducatives de haut niveau au Burkina Faso. "Nous voulons construire nos grandes écoles ici, former nos élites pour qu'elles puissent servir les Burkinabè. Il faudra mettre en place ces écoles d’élites pour que ces cerveaux ne se retrouvent pas dehors", a-t-il ajouté, exprimant un désir de voir les talents burkinabè contribuer au développement de leur propre nation.

Le Président a également insisté sur l'importance de l'autonomie éducative et de la formation locale pour éviter que les cerveaux formés au Burkina Faso ne soient drainés par d'autres pays. "Faites en sorte que ces initiatives marchent et que nous puissions mettre en place des universités polytechniques et technologiques dont nous avons besoin pour que ces enfants puissent exprimer tout leur talent et travailler au profit de notre patrie", a conclu le chef de l'État, mettant en lumière l'urgence et la nécessité de l'autosuffisance éducative et technologique pour le Burkina Faso.
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