Pédocriminalité à travers le monde
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Canal relayant des faits de pédocriminalité à travers le monde.
Sans agenda politique ni spirituel.
Informer sans chichis et prévenir.
Juan Carlos Hernandez
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Pédocriminalité à travers le monde
05.04.2024 Calvados - France : Un nourrisson âgé de cinq mois a été retrouvé sans vie, jeudi 4 avril 2024, dans un appartement à Caen, plus précisément dans le quartier Chemin Vert, à l'est du centre-ville. Deux personnes ont été interpellées suite à cette…
Suivi - 06.04.2024 Calvados - France : Le père du bébé de 18 semaines retrouvé mort jeudi "en état de décomposition avancée" mis en examen pour meurtre et la mère pour recel de cadavre

Les parents du nourrisson avaient indiqué que « l’enfant serait mort à la suite de coups portés par son père, âgé de 25 ans, le 15 mars 2024 », soit il y a près de trois semaines,

L’homme a été mis en examen pour « meurtre sur mineur de quinze ans » mais aussi de « violence habituelle sur mineurs de quinze ans » et d’autres chefs, a déclaré samedi dans un communiqué Joël Garrigue. « Ces faits sont punis de la peine de réclusion criminelle à perpétuité », a-t-il précisé.

La mère du nourrisson, âgée de 21 ans, a pour sa part été mise en examen pour « recel de cadavre et non-assistance à mineur de quinze ans en danger », entre autres chefs, a indiqué le magistrat. Des faits « punis d’une peine maximale de sept ans d’emprisonnement », a-t-il dit.

Une information judiciaire a été ouverte et les parents du nourrisson ont été placés en détention provisoire sur décision du juge des libertés, a affirmé le procureur.

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Suivi - 06.04.2024 Calvados - France : Le père du bébé de 18 semaines retrouvé mort jeudi "en état de décomposition avancée" mis en examen pour meurtre et la mère pour recel de cadavre Les parents du nourrisson avaient indiqué que « l’enfant serait mort à…
Justice laxiste

05.04.2024 Charente - France : Sexe1, sexe5. Derrière ces pseudos éloquents du site de rencontres Coco, tristement connu pour ses dérives, se cachait le récidiviste Jonathan Fritsch, 37 ans. Entre le 15 et le 26décembre 2023, cet habitant de Vœuil-et-Giget a discuté avec Léa, 14ans. L’adolescente le lui a rappelé à plusieurs reprises. Ça ne l’a pas empêché de lui envoyer un cliché de son sexe et de lui demander d’en faire autant. Sauf que derrière ce profil se cachait un gendarme. Il écope de 14 mois de prison ferme.

Ce avril, Jonathan Fritsch comparaissait devant le tribunal d’Angoulême. «Ce qui lui est reproché, ce n’est pas le contact avec le gendarme, c’est la recherche de jeunes filles toute la journée», cadre Mathieu Auriol, le procureur.

L’homme, qui a perdu son CDI dans la grande distribution en arrivant en prison, a reconnu écumer ce site, 325 connexions en quelques mois, sous 40 pseudos différents. Il a même avoué avoir fait «un ou deux» appels vidéos avec deux mineures.

Un moyen de résoudre, a-t-il expliqué, ses problèmes intimes avec sa compagne. «J’essayais de faire un enfant mais je n’y arrivais pas. Je voulais avoir une stimulation virtuelle puis j’ai dérivé. Je m’en foutais de tout.J’ai si honte.»

Les excuses contrites noyées de sanglots n’ont pas rassuré le tribunal. Sur son PC les enquêteurs ont retrouvé plusieurs photos d’ados et même parfois d’enfants, de 8 ou 9ans. Et puis, il y a ces deux condamnations en 2008 et 2022 pour des agressions sexuelles sur des jeunes filles de moins de 15ans. Des faits jamais reconnus.

Le procureur s’inquiète de cette «stratégie de fuite»: «Il n’a jamais eu le courage d’affronter cette problématique pédophile.» Il ajoute à l’édifice l’expertise psychiatrique. «La médecin écrit qu’il développe des propos pervers avec une délectation manifeste. Ce n’est pas tous les jours qu’on lit cela.»

Et il y a ce désir d’enfant avec sa compagne, maintes fois répété. «Est-ce que vous vous rendez compte que si vous avez une fille, elle aura un jour 13 ans?», demande une assesseure. «Tout ça, ce sera oublié», jure l’homme.

Le problème, c’est que les deux sursis probatoires et l’obligation de soins - toujours en cours - n’ont pas montré d’efficacité. Et que le couple reçoit régulièrement des amis, avec leurs enfants. Dont cette jeune fille à qui Jonathan Fritsch a cru bon d’expliquer «qu’il fallait faire attention aux hommes».

Son avocat a jugé le tableau dressé très noir et pointé que «les deux mois de détention déjà effectués ont peut-être suffi à le faire évoluer». «Avec les psychologues, il n’a jamais abordé la question de son attirance pour les jeunes filles. Depuis, il compose avec ses pulsions, ses travers, ses envies.»

Le tribunal a condamné Jonathan Fritsch à 10 mois de prison, plus 4 mois de sursis révoqué, avec maintien en détention. Il doit se soumettre à un suivi sociojudiciaire durant cinq ans, est inscrit au fichier des délinquants sexuels et ne peut plus rentrer en contact avec des mineurs, sauf son fils (issu d’une précédente union), ni exercer une activité professionnelle avec des mineurs.

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Archive - Maine-et-Loire - France : L'affaire du réseau pédocriminel d'Angers est une affaire dans laquelle 66 personnes ont été accusées d'avoir violé au moins 45 enfants, âgés de 6 mois à 12 ans, entre 1999 et 2002 Ce documentaire revient sur le point de…
Quatre membres d'une famille pédocriminelle en liberté
Justice laxiste

05.04.2024 Liège - Belgique : Un Liégeois âgé de 32 ans a été condamné vendredi par le tribunal correctionnel de Liège à une peine de 12 ans de prison et une mise à disposition du tribunal de l'application des peines d'une durée de 5 ans pour des faits de viol, d'atteinte à l'intégrité sexuelle et d'incitation à la débauche contre 3 nièces prépubères et 2 neveux . Trois autres personnes de l'entourage familial ont aussi été condamnées pour ces faits. Son complice dans les faits de diffusion et détention d'images d'agressions sexuelles sur des enfants a été condamné à 2 ans avec sursis probatoire et à une mise à disposition du tribunal de l'application des peines d'une durée de 5 ans. La mère et la grand-mère des victimes, complices, ont également été condamnées à des peines de 12 mois et 18 mois avec sursis.

L'affaire avait été révélée après dénonciation des autorités américaines dans le cadre d'une enquête portant sur la diffusion et la détention d'images d'agressions sexuelles commises sur des enfants. Une perquisition avait confirmé que l'une des victimes était la nièce du prévenu et qu'elle avait subi des faits de viol et d'atteinte à l'intégrité sexuelle.

Au total, l'enquête avait révélé cinq victimes des faits commis par le principal prévenu.

Trois jeunes filles, nièces du prévenu, avaient subi des faits de viol et d'atteinte à l'intégrité sexuelle alors qu'elles avaient entre quatre ans et dix ans.

Deux jeunes garçons, ses neveux, avaient été incités à la débauche et à participer à des scènes sexuelles.

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Quatre membres d'une famille pédocriminelle en liberté Justice laxiste 05.04.2024 Liège - Belgique : Un Liégeois âgé de 32 ans a été condamné vendredi par le tribunal correctionnel de Liège à une peine de 12 ans de prison et une mise à disposition du tribunal…
Justice laxiste
Pédocriminel en liberté

04.04.2024 Lot-et-Garonne - France : Un homme originaire de Nérac a été condamné, mercredi, à un suivi sociojudiciaire, assorti d'une injonction de soin. Il détenait pas moins de 400 000 photos et vidéos pédopornographiques.

« J’ai rarement été aussi dégoûté physiquement. » Si le président du tribunal correctionnel d’Agen et le procureur ont l’habitude de statuer sur des faits de détention de contenu pédopornographique, le cas d’un Néracais, jugé ce mercredi 3 avril, a stupéfait la cour. Par le volume - il a été retrouvé plus de 400 000 photos et 11 000 vidéos, sur le matériel informatique du prévenu, qui se décrit comme « addict au téléchargement » et qui aurait sombré dans « une spirale infernale » en 2020 - et par la nature des sévices perpétrés en images.

« J’ai rarement été aussi dégoûté physiquement. » Si le président du tribunal correctionnel d’Agen et le procureur ont l’habitude de statuer sur des faits de détention de contenu pédopornographique, le cas d’un Néracais, jugé ce mercredi 3 avril, a stupéfait la cour. Par le volume - il a été retrouvé plus de 400 000 photos et 11 000 vidéos, sur le matériel informatique du prévenu, qui se décrit comme « addict au téléchargement » et qui aurait sombré dans « une spirale infernale » en 2020 - et par la nature des sévices perpétrés en images.

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Suivi - 05.04.2024 Essonne - France : Shamseddine, 15 ans, a succombé à ses blessures. L'adolescent, passé à tabac jeudi à Viry-Châtillon (Essonne) après son cours de musique, est décédé, a annoncé le parquet ce vendredi. Il avait été retrouvé grièvement blessé…
Suivi - 07.04.2024 Essonne - France : Les cinq personnes interpellées après la mort d’un adolescent passé à tabac, jeudi à Viry-Châtillo, ont été déférées ce dimanche 7 avril 2024. Selon le parquet, qui a requis le placement en détention provisoire de quatre des cinq suspects, la victime aurait été passée à tabac à cause d’un différend lié à une mineure.

Il s’agit de quatre mineurs et d’un adulte qui avaient été interpellés et placés en garde à vue vendredi : trois mineurs de 17 ans, une mineure de 15 ans et un majeur de 20 ans. Le parquet indique avoir requis le placement en détention provisoire de quatre des cinq mis en cause.

Shamseddine, un collégien de 15 ans scolarisé au collège des Sablons, avait été violemment agressé jeudi 4 avril à proximité de son établissement scolaire. Il rentrait à son domicile après un cours de musique, vers 16 heures. Selon les derniers éléments, une source policière avait indiqué samedi à l’AFP que l’adolescent avait été passé à tabac dans un hall d’immeuble par trois jeunes portant des cagoules.

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05.04.2024 Québec - Canada : Richard Trottier, 63 ans, de Chesterville "condamné" à 1 an ferme pour avoir agressé sexuellement 2 garçons par la Cour du Québec à Victoriaville

Il n’a pas subi de procès puisqu’en juillet 23, il a plaidé coupable à 2 chefs d’accusation d’agression sex. et un chef de tentative d’entrave à la justice.

Lors des observations sur la peine, le ministère public a réclamé une peine globale entre 15 et 18 mois de détention, faisant valoir que les objectifs de dissuasion et de dénonciation devaient primer en raison de la nature des gestes intrusifs et des conséquences chez les victimes.

La défense, pour sa part, a plaidé pour un "emprisonnement" de 6 mois à purger dans la collectivité, soutenant que les gestes n’étaient pas planifiés ni prémédités et soulignant que l’accusé a exprimé des remords et regrets.

En faisant connaître sa décision, le juge Poliquin a rappelé sommairement les faits. À l’hiver 2009 ou 2010, Richard Trottier a agressé sexuellement une 1ère victime en le touchant au pénis, en l’embrassant, le déshabillant pour ensuite lui mettre son pénis dans la bouche.

Le plaignant ne désirait pas ces contacts sexuels, il a figé et en aucun temps, il n’a exprimé son consentement.

Il a dénoncé son agresseur environ 10 ans plus tard en avril 22.

Richard Trottier, contacté par les policiers, a par la suite effectué un appel tél. dans le but que la plainte à son endroit soit retirée, d’où l’accusation d’entrave à la justice.(..)

Il a récidivé 2 fois entre 2020 et 21 en agressant un autre garçon « La 1ère fois il s’assoit à cheval sur lui et l’embrasse avec sa langue et la seconde fois, il se place derrière et lui touche le pénis », a relaté le magistrat, ajoutant que la victime a figé, ne souhaitant pas ces contacts et n’exprimant aucun consentement non plus.

L’agresseur a été dénoncé quelques mois plus tard en oct. 2021.
(..)
Pour le juge, le contexte des agressions révèle un abus de confiance puisque l’agresseur connaissait ses victimes.
(..)
Le magistrat s’est étonné aussi de lire dans les expertises que «M. Trottier peine à endosser la responsabilité de ses actions et se victimise en lien avec les conséquences judiciaires qu’il vit, qu’il minimise la gravité et l’aspect délictuel des gestes posés, tout comme les conséquences potentielles pour les victimes et qu’il présente une démarche de conscientisation peu élaborée alors qu’il a plaidé coupable volontairement et de manière éclairée ».
(..)
Après avoir considéré tous les éléments, le tribunal a conclu que, non seulement les infractions et les circonstances dans lesquelles elles se produisent sont graves, mais aussi que le degré de responsabilité de M. Trottier est élevé.

« Lorsque la gravité des infractions est importante, que les conséquences subies par les victimes sont graves et que le degré de responsabilité de l’accusé est élevé, la nécessité de dénoncer est si pressante, a-t-il soutenu, que l’incarcération est la seule peine qui convienne pour exprimer la réprobation de la société à l’égard du comportement du délinquant. »
(..)
Il a donc été condamné à 6 mois de prison pour les gestes posés sur la 1ère victime, 5 mois pour l’agression sur le 2ème plaignant et un mois pour la tentative d’entrave à la justice, toutes des peines consécutives pour un total de 12 mois.

Par la suite, il sera soumis à une période de probation de 2 ans, dont 18 mois avec suivi où il devra suivre toute directive pouvant lui être demandée comme cheminement thérapeutique.

Il se voit interdire de communiquer ou d’être en contact avec les victimes et d’en faire référence sur les réseaux sociaux. Il devra se soumettre à des prélèvements de substances corporelles pour analyse génétique et son nom sera inscrit au registre national des délinquants sexuels pour une période de 20 ans.

«Bonne chance, en espérant qu’on ne vous revoit plus devant le tribunal», a dit le juge Poliquin à Richard Trottier.

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05.04.2024 Ottawa - Canada : Mohamed Elbarkouky, 52 ans, chauffeur de bus scolaire pour élèves vulnérables ou aux besoins spéciaux d'une école secondaire du secteur Vanier, inculpé pour agression sexuelle, de contacts sexuels et d’incitation à des contacts sexuels à l’endroit d’une jeune personne âgée de moins de seize ans. Les enquêteurs estiment qu’il pourrait y avoir d’autres victimes dans cette affaire.

Le 23 février, il aurait verrouillé les portes et quitté la zone de débarquement avant que le dernier élève ait quitté pour se rendre dans une autre aire de stationnement, où les gestes auraient eu lieu.

La victime a rapporté l’incident à un autre enseignant.

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05.04.2024 Comores + France : L’école française Henri-Matisse secouée par une affaire de viols. Le prévenu, franco-comorien âgé de 16 ans et fils d'un haut responsable de l’armée comorienne, est poursuivi pour viol, harcèlement et chantage sur 2 filles âgées de 12 et 13 ans de la même école dont l'une d'elles est la fille d’un directeur d’une grande multinationale étrangère implantée aux Comores. Les faits remonteraient au mois de mars 2024. Le prévenu a été incarceré. Il nie les faits

L’histoire est celle de 3 jeunes mineurs scolarisés au lycée français international Henri-Matisse de Moroni. Un jeune garçon, né le 31.19.2007, est accusé d’avoir violé 2 camarades, elles aussi mineures. Les victimes sont âgées de 12 et 13 ans. Les faits se seraient produits courant mars 24.

Selon le proc. de la Rép. de Moroni, Ali Mohamed Djounaid, le présumé auteur est un franco-comorien. Pour le moment, les infractions retenues sont : viol, harcèlement et chantage. Le présumé auteur a été placé ce 3.4 à la prison de Moroni dans le quartier général des mineurs.

Le magistrat Ali Mohamed Djounaid, précédemment président du tribunal, a reconnu que certes le droit attribue la qualité de mineur à toute personne âgée de moins de 18 ans mais : «Il existe 3 catégories de mineurs. D’abord ceux âgés entre 10 et 13 ans, ensuite 13 à 16 et enfin 16 à 18 ans. Les législations actuelles tiennent compte du fait que malgré leur âge, des mineurs peuvent se rendre coupables de faits particulièrement graves qui peuvent revêtir un caractère criminel ». À l’en croire, le régime juridique à l’exemple de la garde à vue des mineurs «délinquants» âgés de 16 à 18 ans peut être assimilable à celui des délinquants majeurs lorsqu’ils ont commis des actes criminels comme des viols, des homicides ou assassinats.Or, le prévenu est soupçonné d’avoir commis plusieurs viols.

Un juriste de la place a aussi souligné que seul le mineur de moins de 15 ans ne peut même pas faire l’objet d’une garde à vue.

Pour ce garçon de 16 ans, son avocat dénonce le déroulement de la procédure. « Mon client, un jeune mineur, a comparu seul devant le juge d’instruction qui a décidé de le placer en détention provisoire, et ce malgré le fait qu’il nie les faits et qu’il reste présumé innocent. Cette mesure est difficile à vivre pour notre client mais encore difficile serait sa réinsertion une fois que les éléments que nous détenons vont lui permettre de recouvrer sa liberté» croit savoir, l’un des avocats de la défense, Maître Youssouf Atick qui, visiblement, s’inquiète des conditions de détention de son client, dans une prison surpeuplée où l’hygiène a toujours fait défaut. D’autant plus qu’il est de notoriété publique que souvent, aux Comores en raison de la lenteur des procédures judiciaires, il arrive que des inculpés soient oubliés pendant des longs mois sans être jugés.

Nous avons tenté d’avoir une réaction de la proviseure de l’école française Henri-Matisse, sans succès. On sait seulement que l’une des victimes serait la fille d’un directeur d’une grande multinationale étrangère implantée aux Comores. Le présumé auteur, serait, lui, un enfant d’un haut responsable de l’armée comorienne. Le lycée international français Henri-Matisse est le seul établissement agrée par le ministère français de l’Éducation nationale implanté à Moroni. La plupart des enfants détenant la nationalité étrangère y sont scolarisés.

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05.04.2024 Haut-Rhin - France : Un habitant de Mulhouse, âgé de 47 ans, condamné par la Cour Criminelle du Haut-Rhin à 14 ans de prison pour le viol filmé d’une fillette de 4 ans et les agressions sexuelles sur sa fille entre ses 10 et 16 ans

Le modérateur d’un site internet de « tchat » a remarqué que cet individu avait échangé une image pédocriminel, et l’a signalé à Pharos, le site web du gouvernement français pour signaler des contenus et comportements en ligne illicites.

Chez cet habitant de Mulhouse, dans le matériel informatique saisi (téléphones, ordinateur, disques durs externes et clés USB), la police a recensé près de 15 000 images de mineurs de tous âges dans un contexte sexuel, et 400 vidéos similaires. Des documents effacés ont pu être retrouvés.

Placé en garde à vue puis en détention provisoire en juin 2020, cet homme aujourd’hui âgé de 47 ans a été reconnu coupable de plusieurs infractions.

En décembre 2018, alors que tout le monde dormait chez des amis où il passait la nuit, il s’était rendu dans la chambre de leur fille, qui n’avait pas encore 4 ans, et l’avait violée tout en se filmant, même s’il n’a admis qu’une agression sexuelle. Il a par ailleurs photographié, toujours à l’insu des parents, 2 autres enfants d’amis.

Le quadragénaire a aussi été condamné pour des agressions sexuelles sur sa fille – même s’il n’a pas reconnu l’intention – alors qu’elle avait entre 10 et 16 ans, et pour l’avoir prise en photo dans la salle de bains.

Pour viol sur mineur de moins de 15 ans, agression sexuelle incestueuse, détention, diffusion, enregistrement ou consultation habituelle d’image de mineur à caractère pornographique, la cour criminelle a prononcé 14 ans de réclusion criminelle.

Lorsqu’il sortira de prison, le Mulhousien (*) devra respecter un suivi sociojudiciaire pendant 15 ans, sous peine d’écoper de 5 ans de détention supplémentaires.

Son nom est désormais inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles, et toute activité impliquant un contact avec des mineurs lui est définitivement interdite.

L’avocate générale Béatrice Bluntzer avait requis 15 ans de réclusion.

L’accusé n’avait aucun antécédent judiciaire.

(*) Son identité n’est pas dévoilée pour préserver l’anonymat des victimes.

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04.04.2024 Essonne - France : Un homme condamné à 3 ans de prison pour les agressions sexuelles de sa belle-fille et celle de sa meilleure amie

« Je préférerais qu’on me la coupe que de refaire du mal à quelqu’un. Je sais que j’ai commis une erreur, et je me sens très mal. Je préfère aujourd’hui garder le silence » , lance d’emblée le prévenu à la barre du tribunal correctionnel d’Évry, ce mercredi 3 avril 2024. Alors que l’audience devait durer environ 4 heures, celle-ci a finalement été de courte durée, le mis en cause ne voulant pas s’expliquer sur les faits d’agressions et d’exhibition sexuelles qui lui sont reprochés. Le prévenu a été condamné à 3 ans de prison, et à un an de suivi socio-judiciaire.

Le 19 octobre 2021, Julie*, âgée de 15 ans, vient déposer plainte au commissariat de Longjumeau en compagnie de sa mère. Elle explique qu’elle a dormi chez sa meilleure amie, Lisa*, deux jours auparavant. Toutes deux sont rentrées au domicile familial, situé à Chilly-Mazarin, aux alentours de 4 h 30. Julie est partie dormir seule dans la chambre d’amis, tandis que Lisa a dormi dans sa chambre avec son petit ami.

Pendant qu’elle dort, Julie sent le sexe d’un homme contre ses fesses. Pensant qu’elle fait un cauchemar, l’adolescente s’enveloppe fermement dans les draps avant de se réveiller en sursaut en découvrant la tête du beau-père de Lisa entre ses cuisses. « Vous étiez en train de passer votre langue sur les lèvres de la victime après avoir écarté son tangua. Julie a essayé de crier, mais elle n’a pas réussi, car elle était tétanisée », explique la présidente du tribunal.

Le prévenu aurait ensuite touché les seins de la victime tout en se frottant à elle en lui disant de se taire à plusieurs reprises. Après quelques minutes, l’adolescente a finalement réussi à se défaire du mis en cause, et est partie se réfugier dans la chambre de la mère de Lisa.

« En apprenant cette histoire, votre belle-fille a fondu en larmes. Elle a expliqué avoir, elle aussi, été déjà agressée par vous » , précise la présidente du tribunal. Dans son audition du 27 octobre 2021, Lisa explique que la situation avec son beau-père s’est dégradée à partir de 2015. Elle indique que son beau-père se masturbait pendant la nuit devant sa chambre et celle de sa petite sœur, qu’il reniflait ses culottes sales, également qu’il venait se glisser entre ses cuisses pour lui « lécher le sexe »
pendant la nuit.

Entendue, la mère de Lisa a indiqué aux policiers que son compagnon était « un obsédé du sexe » . Également que « c’était dans ses habitudes de se frotter ». À savoir que des expertises psychiatriques démontrent que les deux adolescentes souffrent d’un stress post-traumatique.

« Monsieur a instauré un climat d’angoisse au sein du domicile familial. Il y a eu plusieurs victimes, et des faits répétés » , souligne la procureure de la République. En plus des trois ans de prison, le mis en cause a pour interdiction de rentrer en contact avec les victimes pendant trois ans. Il est aussi inscrit au Fijais (Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes).

*prénoms modifiés

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Etrange procès pour lequel il n'a été que bien peu question de ces "soirées libertines avec mineurs"...

Ex-couple pédocriminel bientôt en liberté pour autant que ce ne soit pas déjà le cas au vu des faibles peines fermes dont ces engeances ont écopé
Justice laxiste

04.04.2024 Franche-Comté(*)- France : Le couple, elle 45 ans et lui, un pompier de 39 ans, organisait des soirées libertines avec des mineurs et agressait sexuellement leurs filles et belles-filles. Ils ont été "condamnés" à 2 ans de prison pour le désormais ex-beau-père et 6 mois ferme pour la mère. Parmi les victimes figurent les deux filles de la prévenue, âgées de 12 et 17 ans au moment des faits.

« Je ne suis pas bien. » La prévenue est fébrile. Ce mercredi, la Belfortaine de 45 ans répond devant le tribunal de corruption de mineurs. Son ex-compagnon, 39 ans et originaire de Haute-Saône , répond de la même infraction, d’agressions sexuelles incestueuses et imposées à un mineur.

Les victimes : les deux filles de madame, 12 et 17 ans au moment des faits.

Le 5 mars 2021, la quadragénaire dénonce aux gendarmes les agissements de l’homme qu’elle a rencontré 4 moisauparavant. Justifiant de son activité de pompier volontaire, il demande des photos de la plus jeune des filles, qui s’est blessée à l’école. Sur les 8 clichés envoyés par la mère, la collégienne est nue. « Il voulait voir la blessure, justifie la mère. J’ai eu confiance. »

Aux enquêteurs, les deux sœurs révèlent les sévices qu’elles subissent de la part de celui qui se fait appeler « papa ».

Il propose à l‘aînée de l’argent alors qu’elle est nue dans la salle de bains « pour qu’elle se laisse faire ». Ou de lui prodiguer des caresses sur une table de massage : ce soir-là, c’est la mère de famille qui aurait elle-même pris la main de sa fille pour la poser sur l’intimité de son homme. « Il éjacule et en met partout sur moi », indique celle-ci dans ses dépositions.

La compagne, dont la « précarité intellectuelle » est soulignée par une expertise psychiatrique, tente de se défendre. « Je lui ai enlevé la main et j’ai pris le relais. Je l’ai embrassé pour qu’il ait les idées ailleurs. »

Rapidement, les débats s’orientent vers les « soirées à gages », organisées une dizaine de fois au domicile de l’un ou l’autre en compagnie de plusieurs mineurs et où « il faut se mettre nu ou s’asseoir sur quelqu’un de nu ».

Le beau-père lèche la poitrine de l’aînée, recouverte de chantilly. « J’oubliais mon âge », lâche-t-il.

Une nuit, le couple a un rapport sexuel. Alors que leurs jeunes invités sont dans la pièce… Et que la benjamine est dans leur lit. « Je me rends compte que ce n’est pas bien, avoue le prévenu dont le casier compte neuf mentions. Je regrette tout ce qui est arrivé. » S’il reconnaît les faits concernant la plus grande, il affirme que la deuxième ment. « Je n’avais pas spécialement d’attirance pour elle. »

D’une petite voix, l’enfant réaffirme à la barre la pénétration digitale subie. Et confirmée par un gynécologue.

Me Julien Robin, avocat de la mère, avance qu’elle « n’avait pas les capacités d’agir ».

Me Amélie Beaumont évoque quant à elle le passé d’enfant maltraité de l’ex beau-père

« Le loup est dans le lit de maman et elle lui a offert ses filles », observe l’avocate générale, Anna Labeda, avant de demander la peine de 5 ans d’emprisonnement dont 24 mois avec sursis pour lui, 3 ans d’emprisonnement dont 18 mois avec sursis pour elle.

Après une demi-heure de délibéré, le président de l’audience, Jean-Philip Ghnassia, le condamne à 4 ans de prison dont 24 mois avec sursis (la circonstance aggravante de l’inceste n’est pas retenue). La mère écope de 18 mois d’emprisonnement dont 12 avec sursis.

* ni département, ni ville ne sont mentionnés dans l'article

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Etrange procès pour lequel il n'a été que bien peu question de ces "soirées libertines avec mineurs"... Ex-couple pédocriminel bientôt en liberté pour autant que ce ne soit pas déjà le cas au vu des faibles peines fermes dont ces engeances ont écopé Justice…
04.04.2024 Doubs - France : Le nombre de placements à l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE) explose

Interrogé sur la crise sans précédent que traversent les structures de la protection de l’enfance , le Département du Doubs évoque « une problématique nationale » liée à « des difficultés de recrutement ». « Ça n’est pas un problème d’argent, c’est un problème d’attractivité de ces métiers », assure Cyril Carbonnel, directeur général adjoint en charge des solidarités. « On essaie de recruter. On fait comme on peut, sachant qu’il y a de moins en moins de candidats dans les organismes de formation. ». Ce jeudi 4 avril, 200 travailleurs sociaux ont défilé au centre-ville de Besançon pour réclamer une revalorisation des salaires. Une pétition, signée par 840 personnes, a été remise dans la foulée au préfet.

Depuis plusieurs années, le Doubs fait face à une hausse des placements : + 15 % en 2023 par rapport à 2022. + 23 % depuis 2019. Lors de la dernière assemblée du conseil départemental, les élus ont voté un plan d’action 2024-2027, la hausse de 13 % du budget du centre départemental de l’enfance ou encore la mise en place d’une mission d’information et d’évaluation sur la politique de protection de l’enfance . Dans ce contexte et alors que « l’ensemble des dispositifs sont saturés », l’éventualité de fermer des structures, faute de personnel, n’est pas à l’étude indique Cyril Carbonnel. « On essaie de gérer au mieux mais une partie des enfants accueillis nécessiteraient d’avoir des soins. La problématique va au-delà du conseil départemental », pointe le directeur général adjoint mettant le doigt sur le manque de places en pédopsychiatrie. Un constat que partage Alexia Marquis, substitut du procureur, « assaillie de toute part » de cas complexes d’enfants, parfois très jeunes, à l’image des deux mineurs du foyer la Chaille dont la réorientation dépend des places disponibles dans d’autres structures. Ces enfants ne sont pas accessibles à une sanction pénale. Depuis 2021, seuls les mineurs de 13 ans et plus sont présumés capables de discernement, sauf s’il est possible de prouver qu’ils ont compris et voulu leur acte.

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Emblématique d'une Aide Sociale à l'Enfance (ASE) en crise

04.04.2024 Haute-Saône + Jura - France : Ados mis à la porte la nuit, arrêts, démissions - situation tendue au Foyer comtois à Autet et au CER à Mignovillard

Au Foyer comtois à Autet, en Haute-Saône, et au Centre éducatif renforcé (CER) de Mignovillard, dans le Jura, deux structures gérées par l’ADDSEA, les mois se suivent et se ressemblent à en croire membres du personnel et syndicats. Depuis la dernière grève en novembre , la situation au sein du foyer haut-saônois n’a guère évolué « Sur le fond rien n’a changé », déplore, amer, un membre de la structure. « Il reste trois éducateurs en poste sur douze : six sont en arrêt, trois démissions ne sont pas compensées », recense Pascal Descamps, élu CGT au CSE de l’ADDSEA.

Malgré le recrutement d’intérimaires, des enfants ont dû être confiés en urgence en internat à des assistantes familiales, faute de personnel en nombre suffisant. Une première, selon l’équipe qui impute depuis des mois ces dysfonctionnements à des soucis de management : « Une direction qui ne reconnaît pas ses difficultés et ne tient pas compte des éducateurs qui ne sont pas entendus, écoutés ou soutenus ». Sur son site internet, l’ADDSEA recrute des éducateurs, un chef de service éducatif, une maîtresse de maison, un gestionnaire.

Au CER de Mignovillard, une psychologue, une maîtresse de maison, un éducateur spécialisé et un surveillant de nuit manquent à l’appel. Le Centre éducatif renforcé, financé par les départements du Doubs, du Jura et la protection judiciaire de la jeunesse , accueille des enfants par session de quatre mois dans le cadre d’une sanction pénale.

Depuis deux ans, la situation s’y serait gravement détériorée. « Dès leur arrivée, les jeunes prennent le contrôle. Ça part tout de suite de travers », explique Yasmina Saadi, élue CGT. Le turn-over incessant du personnel a entraîné la fermeture temporaire du centre en janvier 2023. Une situation inédite, selon la CGT.

Les jeunes ont été rapatriés dans des studios de l’ADDSEA à Besançon . Selon une ex-salariée, ces derniers étaient régulièrement en fugue. « Les éducateurs passaient leur temps à leur courir après en ville. »

En décembre 2023, la situation au CER aurait dégénéré au point qu’il aurait été décidé de faire dormir des jeunes dehors, la nuit. « Ils ont tenté de rentrer de force à l’intérieur de la maison, blessant un éducateur », rapporte Yasmina Saadi, déplorant un manque d’info. sur la situation au sein du CER, même en CSE. « Tout est très verrouillé. Il est très difficile d’obtenir des réponses à nos questions ».

Sollicitée, la direction de l’ADDSEA n’a pas souhaité réagir aux faits, qui, estime-t-elle, « relèvent de la position très concrète de ces deux établissements, position d’ailleurs en constante évolution. […] » et « ne nous semblent pas devoir concerner le grand public ».

Plus globalement, Yves Dolange et Sylvain Donnet, respectivement président et directeur général de l’ADDSEA, relient la crise que traverse la protection de l’enfance « aux difficultés de recrutement dans le secteur et leur répercussion dans le fonctionnement des établissements mais également aux difficultés liées à la complexification des situations familiales qui sont confiées à l’association ».

L’ADDSEA indique bénéficier « de l’attention du conseil départemental de Haute-Saône » avec lequel elle est « en constante collaboration et qui a abondé récemment les budgets de l’établissement du foyer comtois ». L’association a par ailleurs reçu, pour l’année 2023, des « financements complémentaires » de « l’État représenté par la PJJ permettant d’atteindre un équilibre budgétaire et d’envisager l’année 2024 du service CER avec plus de sérénité.

L’association reste très vigilante à la situation globale du secteur, aux conditions d’exercice des travailleurs sociaux et aussi et premièrement à la qualité de l’accompagnement des publics qui nous sont confiés ».

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04.04.2024 Hauts-de-Seine - France : Des enfants d’un centre de loisirs victimes d’agressions sexuelles ? Une fillette de 3 ans retrouvée avec des taches de sang au fond de sa culotte, une autre, de 4 ans, qui désigne à ses parents son agresseur, salarié du centre de loisirs Jules-Verne à Châtenay-Malabry. Deux enquêtes, confiées à la brigade territoriale de protection de la famille, sont ouvertes après les plaintes déposées par deux familles.

Quand elle évoque le centre de loisirs Jules-Verne, un frisson d’effroi lui parcourt le corps. Car la structure municipale de Châtenay-Malabry, Séverine* devait y inscrire son fils. Elle s’est brutalement ravisée. Pour elle, l’urgence, c’est d’attendre la fin des enquêtes de police ouvertes après les plaintes de deux mères, dont Marie*, convaincue que sa fille de 3 ans y a subi une agression sexuelle.

Ses premiers soupçons remontent au 14 février, quand elle récupère la fillette à la sortie du centre. « D’habitude, elle court vers moi, mais cette fois elle m’a juste rejointe en marchant », souffle Marie. Elle se souvient aussi du trajet jusqu’à l’appartement et de l’envie expresse de sa fille de filer aux toilettes. « Elle y va toujours seule mais là, elle a insisté pour que je l’accompagne, rembobine t-elle. C’est là que j’ai remarqué des petites taches de sang au fond de sa culotte. »

À l’hôpital Antoine-Béclère, où Marie fonce avec sa fille, le personnel lui conseille, selon son récit, de prendre des photos du sexe « rouge et enflé » de l’enfant. Désemparée, elle entend alors parler de « constatations » et de l’institut médico-légal de Garches, où elle se présente dès le lendemain avant d’être redirigée vers un autre établissement. C’est finalement dans la nuit d u 15 au 16, à l ’ hôpital du Kremlin-Bicêtre, que la fillette recevra trois points de suture sous anesthésie générale.

La plainte sera déposée dix jours plus tard à Antony. « Il s’est forcément passé quelque chose, gronde Marie. Et qu’on ne me parle pas de chute, d’accident entre enfants ou d’automutilation, c’est impossible. »

Sa détresse, elle l’a partagée sur Internet. Dans ses messages, elle fustige l’inertie de la ville.
« Quand j’y suis allée avec les certificats médicaux, c’est tout juste si on ne m’a pas traitée de folle, regrette-t-elle. Je ne suis pourtant pas la seule, une autre maman a déposé plainte. »

Ce que confirme le parquet de Nanterre, qui précise avoir ouvert « deux enquêtes distinctes confiées à la brigade territoriale de protection de la famille de la Sûreté territoriale des Hauts-de-Seine, concernant des faits dénoncés sur deux enfants mineurs ».

Carl Segaud, le maire (LR) de Châtenay, dit vouloir laisser la police travailler. « Ce n’est pas à la ville d’apporter ces réponses mais à la justice », préciset il dans un mail aux parents. « Bien sûr, mais ça n’empêche pas la ville de prendre ses responsabilités », fulmine la maman à l’origine de la seconde plainte. Un avis largement partagé par les parents présents devant le centre ce vendredi. Les abords étaient quadrillés par les forces de l’ordre par crainte de débordements.

Après les menaces dont le centre a fait l’objet et pour lesquelles la ville a porté plainte. « Parmi les parents, personne ne cautionne les menaces, estime Séverine. Mais tous veulent des réponses, savoir quelles mesures ont été prises. »

S’il dit comprendre « l’émotion et l’inquiétude », le maire refuse de dévoiler autre chose que « des mesures conservatoires » prises par la ville, affirmant se plier à la volonté de l’autorité judiciaire pour préserver « la confidentialité » de l’enquête.

Une cellule de soutien psychologique a été mise en place pour le personnel du centre. Une autre devrait bientôt voir le jour, pour les parents.

* Les prénoms ont été changés.

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Pédocriminel en liberté
Justice laxiste

04.04.2024 Seine-et-Marne - France : Un trentenaire a comparu ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Meaux pour s’être masturbé à proximité d’une école primaire, à Champs-sur-Marne. Son inquiétante personnalité a été au centre des débats. Sur son ordinateur, les policiers ont découvert 12 000 photos pédopornographiques. Il a été "condamné" à du sursis...

«Il y a ce qui relève de votre sexualité et ce qui relève du pénal. » Thierry* faisait presque pitié à voir à la barre du tribunal correctionnel de Meaux, ce mercredi. Maigre, blafard, la voix mal assurée. Mais en entendant le président Stéphane Léger lui rappeler les raisons de sa comparution, le regard sur lui se modifiait.

Le trentenaire était jugé pour exhibition sexuelle et consultation d’images pédopornographiques. Les balades en forêt avec ses godemichés et son appétence pour les maillots de bain de femme, le tribunal s’en fichait.

Mais en se masturbant à proximité du groupe scolaire Langevin, à Champs-sur-Marne, le 11 mars, Thierry a basculé. Une femme, témoin de la scène, avait donné l’alerte. Les policiers de Torcy avaient interpellé l’exhibitionniste dans la foulée, avec difficulté, alors que le jeune homme — pantalon baissé — s’était réfugié, après avoir traversé le théâtre de verdure, dans un renfoncement du parc, baptisé « la grotte ».

Lors de la perquisition au domicile de sa mère, les enquêteurs avaient découvert 12 000 photos et des vidéos à caractère pédopornographique sur son ordinateur. « Insoutenable » Lorsque le président a abordé cet aspect de la procédure, la chute de Thierry s’est avérée vertigineuse. Un point à porter à son crédit, tout de même : il a répondu aux questions sans les esquiver, en livrant des réponses toutes plus inquiétantes les unes que les autres.

Thierry n’a pas caché qu’il téléchargeait des images à caractère sexuel d’enfants depuis l’âge de 18 ans. Le président Stéphane Léger n’a pas mâché ses mots : « Le tribunal a l’habitude d’en voir. Mais là, c’est insoutenable. Comment pouvez-vous télécharger ces fichiers ? Ces enfants ne sont pas consentants. C’est une marchandisation de leur corps pour satisfaire le plaisir d’adultes.Ce sont des viols d’enfants. En téléchargeant ces vidéos, vous êtes complice. ».

Le summum de la stupeur est arrivé lorsque Thierry a lancé, d’un ton neutre : « J’aurais aimé être à la place de ces enfants. » Comme personne ne comprenait le sens de sa phrase, il s’est montré plus précis : « C’est ce que j’aurais voulu, quand j’étais enfant ».

La question brûlait les lèvres du président : « Vous avez subi des abus sexuels dans votre enfance ? » Réponse alambiquée de l’intéressé : « Sûrement par mon père… Peut-être… des caresses… pas que je me souvienne. »

Le trentenaire, qui n’a jamais eu de liaison sentimentale, a répété à l’audience ce qu’il avait déjà dit aux policiers : il aimerait avoir des relations sexuelles avec des adultes… ou des enfants.

« Dites-le que vous n’aimez pas votre vie. Dites-le que vous avez pris rendezvous avec un psychiatre », l’a exhorté Me Evelyne Janelli, son avocate. « J’aimerais me sortir de cette situation. Je n’ai rien. Je ne sais pas si je mérite d’être aidé », a murmuré Thierry, sans emploi, socialement isolé, accro aux jeux vidéo.

Le procureur Éric de Valroger a estimé que ses déclarations étaient une forme d’appel à l’aide. Il a requis deux ans de prison avec sursis probatoire, avec obligation de soins et de travail, ainsi qu’un suivi sociojudiciaire d’une durée de cinq ans.

Les juges ont prononcé une peine de deux ans de prison avec sursis simple, assortie d’un suivi sociojudiciaire d’une durée de cinq ans.

« Saisissez cette chance, il n’y en aura pas deux », a martelé le président. Thierry est désormais inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais) et a interdiction de paraître aux abords des établissements accueillant des mineurs.

* Le prénom a été modifié

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07.04.2024 Saint-Etienne - Loire - France : Condamné à 25 ans de prison pour les viols d'un garçon de 14 ans et deux sœurs de 8 et 11 ans, Paul Z. fait appel. La peine, prononcée la semaine dernière lors d’un procès qui s’est tenu à huis clos, est très lourde pour cet homme de 47 ans, qui a toujours nié les faits. Mais son attitude et le risque de récidive souligné par les experts ont pesé dans la balance.Le deuxième procès devrait se tenir à Bourg-en-Bresse, devant la cour d’assises de l’Ain, « d’ici 10 à 12 mois ».

La famille de la principale victime a tenu à prendre la parole. « Le procès devant la cour d’assises s’est tenu à huis clos, mais il faut que les gens sachent que cet homme est un prédateur sexuel. » Le terme n’est pas neutre, le mot « prédateur » est revenu plusieurs fois à l’audience. Et c’est sans doute pourquoi l’accusé, Paul Z. (1), a été condamné à une lourde peine : 25 ans de prison.

« Une peine habituellement prononcée pour des crimes de sang », regrette son avocate M Élise Rey-Jacquot, qui a défendu ses intérêts avec son confrère M Yanis El-Okki.

Ce qu’on reprochait à l’accusé, c’est d’avoir ciblé des enfants ou des adolescents qui présentaient une légère déficience mentale, et dont les parents étaient séparés. « Il se liait d’amitié avec le père pour abuser des enfants », résume un membre de l’entourage d’une victime qui a assisté au procès. Un adolescent de 14 ans et deux sœurs de 8 et 11 ans ont été identifiés comme victimes.

L’homme de 47 ans, jugé pour « viols sur mineur », « récidive d’agression sexuelle » et « corruption de mineur », a toujours nié les faits. « Il a dit que les victimes avaient dû le confondre avec un autre », ajoute le témoin. Une attitude qui a déplu à la cour et aux jurés. D’autant que les experts qui l’ont vu ont dressé un tableau sombre : « structure perverse », « aucune prise de conscience »… Ils jugent le risque de récidive élevé, et c’est sans doute ce qui a pesé aussi pour qu’une peine aussi lourde soit prononcée.

La condamnation a satisfait les familles des victimes et leurs avocates, Mes Largeron, Sadurni et Suid-Vanhemelryck, qui n’ont pas souhaité s’exprimer. Il faut dire que l’accusé a fait appel de sa condamnation cette semaine. Il est donc de nouveau présumé innocent.

« Il n’y a aucun élément matériel pour corroborer les déclarations des victimes » ajoute Me Rey-Jacquot. « Il a été condamné uniquement sur des témoignages. » Et elle entend bien infléchir la décision de la future cour d’assises qui aura à rejuger son client. Le deuxième procès devrait se tenir à Bourg-en-Bresse, devant la cour d’assises de l’Ain, « d’ici dix à douze mois ».

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06.04.2024 Strasbourg - Bas-Rhin - France : Une enquête de police a été ouverte suite à la disparition de deux enfants, âgés de 5 et 6 ans, à Strasbourg. Ils pourraient avoir été emmenés en Argentine par leur mère, originaire d’Equateur.

L’alerte pour « enlèvement parental » a été publiée sur le site internet « 116 000 Enfants disparus » qui coordonne et gère le numéro d’urgence national, en lien avec les autorités. Elle concerne deux petits Strasbourgeois, Elena et Uriel Fritz, respectivement âgés de six ans et cinq ans. Les enfants « pourraient se trouver en Amérique du Sud », précise le message.

Dans le cadre d’un divorce extrêmement conflictuel, à l’issue duquel plusieurs procédures judiciaires ont été engagées, les enfants avaient été confiés à l’aide sociale à l’enfance. Ils étaient néanmoins placés au domicile de leur mère, de nationalité franco-équatorienne, installée dans le quartier de l’Esplanade à Strasbourg. Leur père, établi au centre-ville, avait un droit de visite régulier.

La situation familiale s’était quelque peu apaisée. « Le 20 février 2024, une décision de la cour d’appel de Colmar, confirmant les précédentes décisions des magistrats, allait dans le sens de l’ouverture de mes droits. Les enfants allaient pouvoir venir chez moi pour les vacances début mars. C’est dans cette perspective qu’elle a dû les enlever », s’inquiète leur père, Thomas Fritz.

« Mercredi 6 mars au matin, les enfants devaient venir à mon domicile. Comme on n’avait pas de nouvelles, l’aide sociale à l’enfance a tenté de contacter la mère. Son numéro de téléphone n’était plus attribué. On a constaté que son appartement a été vidé de toutes les affaires », retrace le quadragénaire.

La petite Elena, « en CP à l’école Jacques-Sturm » et le petit Uriel « en moyenne section de maternelle à l’école Vauban » ont été vus en classe pour la dernière fois classe « le vendredi 23 février, à la veille des vacances scolaires », retrace Thomas Fritz, ému d’avoir pu récupérer « le petit bonhomme » que son garçon avait « collé sur le casier où il rangeait ses chaussons ».

« Les autorités allemandes ont signalé que mes enfants ont pris un avion depuis Francfort à destination de l’Argentine, le 26 février. Ils avaient pourtant une interdiction de sortie du territoire, sauf autorisation écrite des deux parents. Leur mère a-t-elle fourni un faux document ? » s’interroge leur père.

« Ça fait un mois que cette […] disparition a été signalée, et rien […] ne se passe au niveau des recherches », déplore le Strasbourgeois. Désespéré, il a adressé « cette semaine » son histoire « au procureur, au président de la République , au Premier ministre et au ministre de la Justice ».

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04.04.2024 Serbie : La fillette d’un an « disparue à Spa » et recherchée dans toute l’Europe a été retrouvée morte dans une décharge : deux « monstres » arrêtés

La Serbie est sous le choc. Le Président Aleksandar Vučić a en effet confirmé que Danka Ilic, une fillette de presque 2 ans, a été retrouvée morte. La fillette était portée disparue depuis le 26 mars dernier. Ce jour-là, elle avait mystérieusement disparu de l’habitation familiale à Bor, à l’est de la Serbie.

Rapidement, d’importants moyens avaient été déployés pour tenter de retrouver l’enfant. Des milliers de volontaires avaient apporté leur aide à la police et aux pompiers pour fouiller les environs. Même Interpol avait été mobilisé et un avis de recherche avait été lancé. Sur les réseaux sociaux, les appels à témoins ont été massivement partagés… même chez nous, avec cette histoire un peu particulière en région verviétoise.

Un premier indice avait laissé présager une issue favorable à cette affaire, mais ce n’était pas la petite Danka qui était sur la vidéo envoyée par un témoin, qui pensait avoir vu la fillette accompagnée de deux femmes à Vienne.

Ce que l’on ne savait pas, c’est que la fillette était, entre-temps, décédée. L’annonce du président serbe a fait l’effet d’une bombe ce jeudi : « Nous avons une mauvaise nouvelle au sujet de Danka. La police a arrêté deux personnes qui, si je le comprends bien, l’ont tuée », a-t-il déclaré, ému.

Les deux hommes ont été qualifiés de « monstres » par le président. Les deux suspects travaillaient dans une société des environs lorsque la fillette a disparu. Selon les médias locaux, la fillette aurait pu être victime d’une chute et se serait retrouvée sur la route. Elle aurait alors été percutée à vive allure par une voiture dans laquelle se trouvaient les deux hommes. Ils auraient récupéré son corps sans vie et l’auraient, dans la foulée, jeté dans une décharge.

Les deux suspects avaient été relâchés peu après leur arrestation, faute de preuve. Mais des traces de sang de la fillette ont finalement été retrouvées dans le coffre. Ils auraient reconnu les faits.

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Pédocriminalité à travers le monde
04.04.2024 Serbie : La fillette d’un an « disparue à Spa » et recherchée dans toute l’Europe a été retrouvée morte dans une décharge : deux « monstres » arrêtés La Serbie est sous le choc. Le Président Aleksandar Vučić a en effet confirmé que Danka Ilic,…
Suivi - 07.04.2024 Serbie : L’un des complices dans la disparition de Danka meurt en prison. Deux hommes avaient été arrêtés samedi, soupçonnés d’avoir aidé les meurtriers à transporter le corps de la fillette vers un endroit encore inconnu.

Les autorités serbes ont annoncé samedi avoir arrêté deux complices dans l’affaire de la fillette de deux ans mortellement renversée, dont le corps a été caché dans une décharge avant d’être transporté dans un lieu inconnu.

La petite Danka Ilic avait disparu le 26 mars de la ville de Bor (Est) et son visage était en une des journaux depuis 10 jours lorsque les autorités ont annoncé mercredi deux premières arrestations. Le ministre serbe de l’Intérieur avait alors expliqué que, selon les premiers éléments, la fillette avait été renversée quelques minutes après avoir échappé à la surveillance de ses parents.

Selon le ministre, le conducteur et son passager ont ensuite caché son corps dans une décharge. Il a ajouté samedi que les deux suspects arrêtés étaient des complices présumés qui les avaient aidés à transporter le corps de la décharge vers un endroit encore inconnu, probablement le 28 mars.

La police continue à chercher le corps, dont les suspects n’ont pas révélé où il avait été caché. Après sa disparition, la Serbie avait pour la première fois utilisé le système d’alerte enlèvement à grande échelle Amber – chaque personne possédant un téléphone avait reçu un SMS avec sa description.

Interpol avait aussi lancé une alerte jaune dimanche dernier pour retrouver cette petite fille de 85 cm, avec «un grain de beauté sur le lobe de l’oreille gauche et une tache de naissance de forme irrégulière et de couleur légèrement plus foncée sur son avant-bras gauche».

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19.08.2023 USA : Une cour d'appel en Californie a statué pour la relance des poursuites engagées par Wade Robson et James Safechuck contre Michael Jackson, qu'ils accusent d'abus sexuels lorsqu'ils étaient enfants. Affaire relancée. Wade Robson et James Safechuck…
Suivi - 05.04.2024 USA : Les deux hommes, qui ont accusé Michael Jackson d’abus sexuels sur mineur, ont demandé à la justice l'accès à des photos sous scellés. L’équipe juridique de l'artiste s’est opposée à la demande.

Wade Robson, 41 ans, et James Safechuck, 46 ans, ont déposé une demande d'accès aux « photographies des organes génitaux et du corps nu de Michael Jackson prises par la police». Ces clichés ont été effectués en 1993 à une période où le chanteur était accusé par un garçon de 13 ans d'abus sexuels.

L'équipe juridique de la pop star décédée a rappelé que ces documents « hautement sensibles» et « privés» avaient été « scellés par une ordonnance de protection de la Cour supérieure de Santa Barbara», en Californie. Les avocats de la succession de l’interprète de Beat It ont aussi qualifié la demande de « violation flagrante» et de « tout simplement inacceptable».

« Les photographies demandées par les plaignants n'ont pas été prises volontairement par M. Jackson; elles sont le résultat d'une perquisition ordonnée par le tribunal sur la base d'une fausse déclaration dans ce qui est devenu une enquête criminelle discréditée», ont-ils déclaré. « Permettre aux plaignants d'exploiter cette série de circonstances à leur avantage en obtenant ces photographies, c'est ajouter une deuxième souillure à la première.»

En 2013 et 2014, Wade Robson et James Safechuck ont accusé le roi de la pop d'avoir abusé d'eux lorsqu'ils étaient enfants. Les deux hommes poursuivent aujourd'hui les sociétés du chanteur décédé, estimant qu'elles sont responsables d’avoir laissé la porte ouverte à ce type d’abus. Ils ont détaillé leurs accusations dans le documentaire Leaving Neverland, sorti en 2019.

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07.04.2024 Poitiers - Vienne - France : Angelina Agius a fait appel du jugement des affaires familiales- elle refuse de remettre sa fille de 4 ans à son père. Il a été condamné à 18 mois de prison en juillet 2023. Il a été jugé coupable d'agression sexuelle incestueuse sur mineur, dans une autre affaire. La maman se sent seule et pousse un cri d'alarme pour la protection des enfants.

"Je me bats pour la sécurité de ma fille, face à une justice qui préfère fermer les yeux", s'indigne Angelina Agius. Cette mère se bat pour que son ex-compagnon, condamné pour des faits de violences sur sa fille aînée mineure, n'obtienne pas de droit de garde sur leur fille de 4 ans. "Je ne peux pas laisser ma fille à un prédateur", insiste-t-elle.

La tragique histoire de cette mère débute le 7 janvier 2020. Ce jour-là, sa fille aînée alors âgée de 9 ans confesse que son beau-père, l'ex-compagnon d'Angelina, lui a "touché les parties intimes". À ce moment-là, Angelina n'hésite pas "une seule seconde" : elle porte plainte et quitte le domicile avec ses trois enfants – deux d'une précédente union et sa fille de 8 mois dont le père est donc l'homme accusé.

"Cela a commencé à ses 6 ans, il lui disait que si elle en parlait, il me tuerait". Lors du jugement, en juillet 2023, l'homme a été condamné à 18 mois de prison, dont 9 mois de prison ferme avec bracelet électronique pour "agression sexuelle incestueuse sur un mineur de moins de 15 ans", selon les documents consultés. Verdict qui n'a pas encore été appliqué. "Il peut encore s'approcher de ma maison".

Mais entre-temps, c'est une autre histoire qui se joue. Celle de leur fille en commun, aujourd'hui âgée de bientôt 5 ans. Son père demande un droit de garde. Et pour l'instant, la justice tranche en sa faveur. "À leurs yeux, ce n'est pas sa victime donc il n'y a pas de risque, ils privilégient le lien paternel avec l'enfant".

Parmi les documents consultés, une expertise psychologique réalisée sur le père indique que les faits pourraient se reproduire.

Selon le dernier jugement rendu, le 8 décembre 2023, par la juge aux affaires familiales, l'homme aurait un droit de visite pendant 6 mois, qui évoluerait sur un droit d'hébergement. "Ce n'est pas acceptable de ne pas prendre en compte les éléments qui montrent que ma fille est en danger avec lui", déclare la mère, très émue.

"La loi m'oblige à protéger mon enfant, donc je ne suis pas hors-la-loi". Pourtant, en refusant de présenter sa fille à son père, Angélina le sait, elle risque gros. "On m'a menacé de me mettre en prison", assure-t-elle, "mais, je n'ai pas le choix, je préfère prendre le risque plutôt que de la mettre en danger". Angélina a donc fait appel. "On me fait passer pour une folle qui voit le mal partout et qui manipule mes enfants. Je suis fatiguée de tout ça, je n'en dors plus, je veux juste la sécurité de ma petite".

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