https://x.com/DebunkerNews/status/1927781109229666429?t=ILRLWBR4ZFHKQTQGMaIHXw&s=09
🇩🇿🇫🇷"Des squelettes humains [d'algériens] vont être utilisé [pendant la conquête de l'Algérie] pour le raffinement du sucre de betterave. Les résidus deviennent de l'engrais, qui sert à produire du blé en France. Les algériens étaient le pain des Français."🙀
🗣️Xavier Le Clerc, écrivain
🇩🇿🇫🇷"Des squelettes humains [d'algériens] vont être utilisé [pendant la conquête de l'Algérie] pour le raffinement du sucre de betterave. Les résidus deviennent de l'engrais, qui sert à produire du blé en France. Les algériens étaient le pain des Français."🙀
🗣️Xavier Le Clerc, écrivain
Forwarded from Jeune Nation
🔴 29 mai 1453 : Chute de Constantinople et fin de l’Empire byzantin
« Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, ‘en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues’.
➡ https://jeune-nation.com/kultur/histoire/29-mai-1453-chute-de-constantinople-et-fin-de-lempire-byzantin-2
🇫🇷 @jeunenation2 ✋
« Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, ‘en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues’.
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🇫🇷 @jeunenation2 ✋
Jeune Nation
29 mai 1453 : Chute de Constantinople et fin de l’Empire byzantin
« Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur
Forwarded from Dynamiques de conflit
Les États, architectes cachés du marché noir des vulnérabilités : quand la défense nationale alimente l'insécurité globale
♦️Le paradoxe fondamental
Dans l'ombre des discours officiels sur la cyberdéfense, se cache une réalité troublante : les États, qui se présentent comme les garants de notre sécurité numérique, sont simultanément les principaux financeurs du marché noir des vulnérabilités. Cette contradiction fondamentale structure l'écosystème de la cybersécurité mondiale, créant une insécurité systémique au nom de la sécurité nationale.
➡️L'économie cachée des zero-days : les États comme acteurs majeurs
Les chiffres qui révèlent l'hypocrisie
Les budgets dédiés aux acquisitions de zero-days par les agences gouvernementales atteignent des sommets :
NSA/CIA : 25-50 millions de dollars annuels
Services chinois : 30-50 millions de dollars annuels
Services russes : 10-20 millions de dollars annuels
DGSE (France) : 5-10 millions d'euros annuels
BND (Allemagne) : 4,5 millions d'euros annuels (programmés jusqu'en 2020)
Budget combiné européen : 30-50 millions d'euros annuels
➡️L'évolution des prix sur le marché révèle une inflation spectaculaire alimentée par la demande étatique :
-2015 : Zerodium offrait jusqu'à 1,5 million de dollars pour un exploit iOS
-2019 : Les prix atteignent 2,5 millions de dollars pour Android
-2024 : Crowdfense propose 5-7 millions de dollars pour iOS, 3-5 millions pour WhatsApp/iMessage
-2025 : Zerodium suspend ses opérations, symptôme d'un marché en surchauffe
Ces investissements massifs ont créé un écosystème où les programmes de bug bounty privés (plafonnant généralement à 100 000 dollars) sont structurellement non compétitifs face aux budgets étatiques..
♦️Cette dynamique crée un cercle vicieux :
➡️Les États achètent des vulnérabilités pour leurs capacités offensives
➡️Ces achats établissent des prix élevés qui attirent les chercheurs
➡️Les vulnérabilités restent non divulguées, maintenant l'insécurité globale
➡️Les criminels profitent de ce marché structuré pour acquérir leurs propres armes
➡️Les citoyens et entreprises restent vulnérables plus longtemps
Cette tendance s'est encore accentuée récemment, comme l'illustre la réorientation des ressources gouvernementales américaines. En 2025, tandis que l'administration Trump a considérablement réduit le budget de la CISA (Cybersecurity and Infrastructure Security Agency) – l'agence responsable de la protection des infrastructures critiques – elle a simultanément renforcé les capacités offensives du pays. Cette décision budgétaire témoigne d'un choix stratégique clair : privilégier l'attaque sur la défense, alimentant davantage ce cercle vicieux.
Source (LinkedIn) 👉🏻Lien
🚨https://t.me/dynamiquesdeconflit
♦️Le paradoxe fondamental
Dans l'ombre des discours officiels sur la cyberdéfense, se cache une réalité troublante : les États, qui se présentent comme les garants de notre sécurité numérique, sont simultanément les principaux financeurs du marché noir des vulnérabilités. Cette contradiction fondamentale structure l'écosystème de la cybersécurité mondiale, créant une insécurité systémique au nom de la sécurité nationale.
➡️L'économie cachée des zero-days : les États comme acteurs majeurs
Les chiffres qui révèlent l'hypocrisie
Les budgets dédiés aux acquisitions de zero-days par les agences gouvernementales atteignent des sommets :
NSA/CIA : 25-50 millions de dollars annuels
Services chinois : 30-50 millions de dollars annuels
Services russes : 10-20 millions de dollars annuels
DGSE (France) : 5-10 millions d'euros annuels
BND (Allemagne) : 4,5 millions d'euros annuels (programmés jusqu'en 2020)
Budget combiné européen : 30-50 millions d'euros annuels
➡️L'évolution des prix sur le marché révèle une inflation spectaculaire alimentée par la demande étatique :
-2015 : Zerodium offrait jusqu'à 1,5 million de dollars pour un exploit iOS
-2019 : Les prix atteignent 2,5 millions de dollars pour Android
-2024 : Crowdfense propose 5-7 millions de dollars pour iOS, 3-5 millions pour WhatsApp/iMessage
-2025 : Zerodium suspend ses opérations, symptôme d'un marché en surchauffe
Ces investissements massifs ont créé un écosystème où les programmes de bug bounty privés (plafonnant généralement à 100 000 dollars) sont structurellement non compétitifs face aux budgets étatiques..
♦️Cette dynamique crée un cercle vicieux :
➡️Les États achètent des vulnérabilités pour leurs capacités offensives
➡️Ces achats établissent des prix élevés qui attirent les chercheurs
➡️Les vulnérabilités restent non divulguées, maintenant l'insécurité globale
➡️Les criminels profitent de ce marché structuré pour acquérir leurs propres armes
➡️Les citoyens et entreprises restent vulnérables plus longtemps
Cette tendance s'est encore accentuée récemment, comme l'illustre la réorientation des ressources gouvernementales américaines. En 2025, tandis que l'administration Trump a considérablement réduit le budget de la CISA (Cybersecurity and Infrastructure Security Agency) – l'agence responsable de la protection des infrastructures critiques – elle a simultanément renforcé les capacités offensives du pays. Cette décision budgétaire témoigne d'un choix stratégique clair : privilégier l'attaque sur la défense, alimentant davantage ce cercle vicieux.
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Forwarded from Dynamiques de conflit
♦️Bons du Trésor, routes de la soie et dédollarisation : la stratégie chinoise.
"La suprême excellence consiste à briser la résistance de l’ennemi sans combattre."
— Sun Tzu, L’Art de la guerre
La Chine ne cherche pas à défier frontalement l’ordre économique mondial. Elle le contourne, le façonne à sa manière, patiemment. Fidèle à une tradition stratégique millénaire, elle avance sur le temps long, méthodiquement, en combinant puissance économique, pragmatisme monétaire et influence diplomatique.
🔍Un des instruments clés de cette stratégie : ses réserves en dollars, et plus précisément, ses bons du Trésor américain. À travers leur utilisation, Pékin bâtit une influence monétaire qui sert ses ambitions géopolitiques.
♦️Des bons du Trésor au service de l’influence
Avec plus de 800 milliards de dollars d’obligations américaines en réserve, la Chine n’investit pas seulement pour la sécurité ou le rendement. Elle utilise ces actifs comme un outil de stabilité interne et d’influence externe.
Ces réserves permettent à la Chine :
➡️d’injecter des dollars dans son économie ou celle de ses partenaires sans fragiliser le yuan,
➡️de répondre rapidement à des besoins de liquidité dans des projets stratégiques à l’étranger,
➡️et de soutenir, indirectement, les pays qu’elle souhaite intégrer dans sa sphère d’influence.
♦️Routes de la soie, dettes et dépendances
Depuis 2013, à travers l’Initiative des Nouvelles Routes de la Soie (BRI), la Chine finance ports, chemins de fer, centrales et corridors économiques dans des dizaines de pays. Ces projets sont souvent financés par des prêts en dollars… que les pays bénéficiaires ont parfois du mal à rembourser.
Exemples : Le Pakistan, dont le corridor économique avec la Chine nécessite des devises fortes pour importer du matériel chinois, ou encore le Sri Lanka et le Bangladesh, confrontés à une crise de dette libellée en dollars.
➡️ La Chine, via ses réserves en bons du Trésor, peut temporairement fournir ces dollars pour stabiliser les projets… tout en renforçant son levier d’influence : concessions commerciales, accès à des ressources, accords politiques.
♦️ Le double jeu monétaire : soutenir le dollar… pour mieux s’en détacher
D’un côté, la Chine soutient encore le système dollar car il est le pivot du commerce mondial. De l’autre, elle œuvre pour son érosion progressive, en favorisant l’usage du yuan et en accumulant de l’or.
Elle investit dans les dettes en dollars, puis les redistribue pour créer de la dépendance. Elle soutient les devises qu’elle cherche à remplacer. Elle joue sur la durée, la stabilité et l’influence, bien plus que sur le choc...
En savoir plus
👉🏻Lien1 ,Lien2 , Lien3
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"La suprême excellence consiste à briser la résistance de l’ennemi sans combattre."
— Sun Tzu, L’Art de la guerre
La Chine ne cherche pas à défier frontalement l’ordre économique mondial. Elle le contourne, le façonne à sa manière, patiemment. Fidèle à une tradition stratégique millénaire, elle avance sur le temps long, méthodiquement, en combinant puissance économique, pragmatisme monétaire et influence diplomatique.
🔍Un des instruments clés de cette stratégie : ses réserves en dollars, et plus précisément, ses bons du Trésor américain. À travers leur utilisation, Pékin bâtit une influence monétaire qui sert ses ambitions géopolitiques.
♦️Des bons du Trésor au service de l’influence
Avec plus de 800 milliards de dollars d’obligations américaines en réserve, la Chine n’investit pas seulement pour la sécurité ou le rendement. Elle utilise ces actifs comme un outil de stabilité interne et d’influence externe.
Ces réserves permettent à la Chine :
➡️d’injecter des dollars dans son économie ou celle de ses partenaires sans fragiliser le yuan,
➡️de répondre rapidement à des besoins de liquidité dans des projets stratégiques à l’étranger,
➡️et de soutenir, indirectement, les pays qu’elle souhaite intégrer dans sa sphère d’influence.
♦️Routes de la soie, dettes et dépendances
Depuis 2013, à travers l’Initiative des Nouvelles Routes de la Soie (BRI), la Chine finance ports, chemins de fer, centrales et corridors économiques dans des dizaines de pays. Ces projets sont souvent financés par des prêts en dollars… que les pays bénéficiaires ont parfois du mal à rembourser.
Exemples : Le Pakistan, dont le corridor économique avec la Chine nécessite des devises fortes pour importer du matériel chinois, ou encore le Sri Lanka et le Bangladesh, confrontés à une crise de dette libellée en dollars.
➡️ La Chine, via ses réserves en bons du Trésor, peut temporairement fournir ces dollars pour stabiliser les projets… tout en renforçant son levier d’influence : concessions commerciales, accès à des ressources, accords politiques.
♦️ Le double jeu monétaire : soutenir le dollar… pour mieux s’en détacher
D’un côté, la Chine soutient encore le système dollar car il est le pivot du commerce mondial. De l’autre, elle œuvre pour son érosion progressive, en favorisant l’usage du yuan et en accumulant de l’or.
Elle investit dans les dettes en dollars, puis les redistribue pour créer de la dépendance. Elle soutient les devises qu’elle cherche à remplacer. Elle joue sur la durée, la stabilité et l’influence, bien plus que sur le choc...
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Forwarded from Camille Moscow 🇷🇺 ☦️
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🚨 Nouveau radar, nouveau racket :
Le LIDAR 3D arrive. Il vous flashe même si vous respectez les limitations.
✅ Ceinture ?
✅ Vitesse ?
✅ Téléphone posé ?
Trop tard. Il modélise en 3D votre voiture et peut vous coller jusqu’à 8 points d’un coup.
Bienvenue dans l’État radar. 🐷💶
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Forwarded from Valérie Bugault officiel
Le Monde.fr
Au Japon, des archives révèlent l’ampleur d’expérimentations sur des humains entre 1938 et 1945
De nouveaux documents confirment l’ambition du pays de se doter d’armes bactériologiques lors de la guerre du Pacifique. L’unité 731 de l’armée impériale à Harbin, en Chine, n’aurait pas été la seule à mettre à contribution des cobayes humains.
Forwarded from Anguille sous roche
Un aéroport japonais n’a pas perdu un seul bagage au cours des 30 dernières années
L’aéroport international du Kansai accueille des dizaines de millions de passagers chaque…
https://www.anguillesousroche.com/insolite/un-aeroport-japonais-na-pas-perdu-un-seul-bagage-au-cours-des-30-dernieres-annees/
L’aéroport international du Kansai accueille des dizaines de millions de passagers chaque…
https://www.anguillesousroche.com/insolite/un-aeroport-japonais-na-pas-perdu-un-seul-bagage-au-cours-des-30-dernieres-annees/
Forwarded from Katehon en français
SUR LA ROUTE EN IRAN – Le Corridor international de transport nord-sud (INSTC) est l’un des projets géoéconomiques et infrastructurels les plus importants du XXIe siècle. Il relie trois pays clés des BRICS – la Russie, l’Iran et l’Inde – et s’étend jusqu’au Caucase et à l’Asie centrale. Une fois pleinement opérationnel, l’INSTC offrira un corridor commercial et de connectivité exempt de sanctions, moins cher et plus rapide que le canal de Suez pour une grande partie de l’Eurasie. Les conséquences géoéconomiques seront stupéfiantes.
✍️ Pepe Escobar @rocknrollgeopolitics
🌐 De la mer Caspienne au golfe Persique, sur les traces du corridor nord-sud iranien
✍️ Pepe Escobar @rocknrollgeopolitics
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Katehon. Publication d'information et d'analyse
De la mer Caspienne au golfe Persique, sur les traces du corridor
SUR LA ROUTE EN IRAN – Le Corridor international de transport nord-sud (INSTC) est l’un des projets géoéconomiques et infrastructurels les plus importants du XXIe siècle. Il relie trois pays clés des