METAPHYSIQUE, HISTOIRE & SCIENCE 🔬@metaphysiquescience
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme
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On pousse les enfants à étudier uniquement l’histoire de France, sans jamais rien apprendre de leur culture locale et encore moins des anciennes exactions commises par la France comme les bonnets rouges (évidemment).
On assiste à une répression culturelle et historique.
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923402551371722940?t=n6hQKEJVdwTk8rOIPLcqyg&s=09

IV - La forte mortalité des bretons dans la WW1, ses causes et conséquences

Au fil des années, le breton devient racialisé : on l’associe à un homme “d’une race forte mais simple (d’esprit)”, endurants et aptes à obéir sans discuter.
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Les régiments bretons (notamment ceux du Finistère et des Côtes-d’Armor) enregistrent une mortalité bien supérieure à la moyenne nationale.
En Bretagne, on parle de « saignée bretonne », mais cette spécificité n’est jamais reconnue officiellement par l’Etat français.
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923403178713776401?t=-8haUVg4ppuLNb2M0VREyg&s=09

Alors que la République célèbre "les Poilus", en Bretagne, beaucoup vivent cette guerre comme une injustice, un sacrifice disproportionné, causés par des stéréotypes du breton paysan, fort mais faible d’esprit (conscrits qui parlaient mal français, vu comme arriérés)
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923403609972035646?t=HYbmekWZo5EosptmfOBT-A&s=09

V - L’attentat du Gwenn ha Du - 1932

Le 7 août 1932, des militants nationalistes bretons du Parti National Breton (PNB) font exploser une statue de la République à Rennes, un acte symbolique contre l'annexion de la Bretagne à la France.
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923404182440005845?t=Rk1P0zPOzsNaW_BPBGovrQ&s=09

VI - Les bretons sous Vichy (1940-1944)

Le mouvement de résistance en Bretagne se développe dès l’occupation allemande. Il est constitué de réseaux de maquisards, de réseaux de renseignement, et de partisans de l’indépendance bretonne.
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923404522040283536?t=sCx3Px-pYoH4WOUrQUngZw&s=09

Contrairement à certaines croyances issues de la propagande française, les résistants bretons combattaient à la fois les nazis ET l’occupation française du régime de Vichy qui mènera une répression féroce contre les résistants bretons.
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923405184966746260?t=aEpXHkw6sHr-Xa--pztRIg&s=09

Le régime de Vichy mène une répression féroce contre les résistants bretons (Maquis de Saint-Marcel dans le Morbihan), notamment des villages entiers brulés par la gestapo, arrestations massives, exécutions sommaires (Plouharnel en 44), torture,...
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923405354911613111?t=cTkyXQsmfpOd925VnZ6cPA&s=09

V - Répression des mouvements indépendantistes bretons

Dans les années 60 se développent les mouvements indépendantistes bretons (FLB/ARB), qui mènent souvent des actions peu licites (attentat à la bombe) mais en évitant toujours les victimes humaine, ayant une portée symbolique
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923405512688763330?t=LOuLU32FFPCxPmMLuWVuYA&s=09

La répression de ces mouvements par la police française est violente : sympathisants arrêtés (sans lien avec les actes),fichages, GAV abusives, peines lourdes, procès politisés,... comme l’affaire plévin de 1978, ( des membres de l’ARB détenaient des explosifs dans leur sous-sol)
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923405850296639808?t=883ssUPPBOQSJvLdfQ9_4w&s=09

VI - L’offensive administrative française

La France, depuis l’avènement de la Ve république, a également multiplié les lois anti-bretons : interdictions du bretons dans les actes administratifs/prénoms des nouveaux nés, une négation de l’identité bretonne jusqu’en 1993.
https://x.com/beaumaslerouge/status/1923406786993742285?t=okC2bsqdWA08skiB_fVqTQ&s=09

Ce mouvement paysan breton s’inscrit dans un contexte de modernisation agricole inégalement répartie et de marginalisation des producteurs bretons dans les circuits économiques. Face aux protestations, l'État réagit avec une répression policière ciblée marquée par des arrestations de figures locales du mouvement, souvent très enracinées dans leur territoire. Cette répression est vécue comme un mépris du pouvoir central envers les campagnes bretonnes.