Forwarded from Dynamiques de conflit
Connaissez-vous la théorie contrôle-maîtrise ?
La théorie contrôle maitrise a été développée par Joseph Weiss, Harold Sampson et leurs collègues à San Francisco. Elle renouvelle profondément la manière de concevoir la motivation humaine et le changement thérapeutique. Elle est née d’un constat clinique : les comportements observés chez les patients ne correspondaient pas toujours aux enseignements classiques basés sur la théorie des pulsions. Cette théorie se présente à la fois comme une extension de la psychologie du Moi et comme une critique radicale de la théorie des pulsions freudienne.
Contrairement à la perspective pulsionnelle, qui voit l’être humain dominé par des forces inconscientes irrationnelles, la théorie du contrôle et de la maîtrise part du principe que les individus cherchent activement à surmonter leurs conflits et à s’adapter. Le Moi y est vu comme capable de contrôler (même inconsciemment) les processus mentaux, et la motivation principale des individus est la survie et l’adaptation – notamment à travers l’attachement et les relations aux figures parentales.
Une idée centrale de cette théorie est que les personnes construisent, souvent inconsciemment, des croyances pathogènes à partir de leur histoire relationnelle. Ces croyances, issues de contextes traumatiques ou contraignants, peuvent orienter les comportements de manière désavantageuse, sans que la personne en soit consciente. Par exemple, un enfant dont le parent devient triste ou inquiet lorsqu’il s’éloigne socialement peut développer inconsciemment la croyance qu’il ne doit pas se faire d’amis, pour protéger ce parent. Cette croyance agit comme une évaluation inconsciente du danger, guidant les choix futurs du sujet pour maintenir l’attachement au détriment de ses propres besoins.
Trois grandes formes de croyances pathogènes sont décrites :
La culpabilité de séparation : sentiment inconscient que se différencier, avoir des opinions ou une vie propre menacerait psychologiquement les personnes aimées. Cette culpabilité peut inhiber les choix d’individuation (études, carrière, autonomie).
La culpabilité du survivant : conviction qu’on ne mérite pas une vie meilleure que celle des proches souffrants, ou que s’améliorer causera de la douleur à ceux qui ne vont pas bien. Elle est fréquente chez les étudiants issus de milieux défavorisés ou dans des familles où l’amélioration de soi est vécue comme une trahison.
La conformité aux attentes parentales négatives : les enfants peuvent intégrer des croyances dévalorisantes sur eux-mêmes, en écho aux jugements explicites ou implicites de leurs parents. Même des messages apparemment protecteurs ou bienveillants peuvent engendrer des limitations internes durables.
Post psychologie
🚨https://t.me/dynamiquesdeconflit
La théorie contrôle maitrise a été développée par Joseph Weiss, Harold Sampson et leurs collègues à San Francisco. Elle renouvelle profondément la manière de concevoir la motivation humaine et le changement thérapeutique. Elle est née d’un constat clinique : les comportements observés chez les patients ne correspondaient pas toujours aux enseignements classiques basés sur la théorie des pulsions. Cette théorie se présente à la fois comme une extension de la psychologie du Moi et comme une critique radicale de la théorie des pulsions freudienne.
Contrairement à la perspective pulsionnelle, qui voit l’être humain dominé par des forces inconscientes irrationnelles, la théorie du contrôle et de la maîtrise part du principe que les individus cherchent activement à surmonter leurs conflits et à s’adapter. Le Moi y est vu comme capable de contrôler (même inconsciemment) les processus mentaux, et la motivation principale des individus est la survie et l’adaptation – notamment à travers l’attachement et les relations aux figures parentales.
Une idée centrale de cette théorie est que les personnes construisent, souvent inconsciemment, des croyances pathogènes à partir de leur histoire relationnelle. Ces croyances, issues de contextes traumatiques ou contraignants, peuvent orienter les comportements de manière désavantageuse, sans que la personne en soit consciente. Par exemple, un enfant dont le parent devient triste ou inquiet lorsqu’il s’éloigne socialement peut développer inconsciemment la croyance qu’il ne doit pas se faire d’amis, pour protéger ce parent. Cette croyance agit comme une évaluation inconsciente du danger, guidant les choix futurs du sujet pour maintenir l’attachement au détriment de ses propres besoins.
Trois grandes formes de croyances pathogènes sont décrites :
La culpabilité de séparation : sentiment inconscient que se différencier, avoir des opinions ou une vie propre menacerait psychologiquement les personnes aimées. Cette culpabilité peut inhiber les choix d’individuation (études, carrière, autonomie).
La culpabilité du survivant : conviction qu’on ne mérite pas une vie meilleure que celle des proches souffrants, ou que s’améliorer causera de la douleur à ceux qui ne vont pas bien. Elle est fréquente chez les étudiants issus de milieux défavorisés ou dans des familles où l’amélioration de soi est vécue comme une trahison.
La conformité aux attentes parentales négatives : les enfants peuvent intégrer des croyances dévalorisantes sur eux-mêmes, en écho aux jugements explicites ou implicites de leurs parents. Même des messages apparemment protecteurs ou bienveillants peuvent engendrer des limitations internes durables.
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Forwarded from Dynamiques de conflit
HISTOIRE
Il y a plus de 2 400 ans, les Perses de l'Antiquité ont réalisé un exploit d'ingénierie incroyable en créant de la glace au milieu du désert. Ils ont construit une structure remarquable appelée Yakhchal, ou « puits de glace », qui leur permettait de produire et de stocker de la glace même par une chaleur torride. Ces structures en forme de dôme, souvent faites de briques de terre crue, étaient conçues pour conserver la glace au frais grâce à une combinaison d'isolation et d'une conception astucieuse.
Le Yakhchal fonctionnait en exploitant la puissance de la nature. Pendant les froides nuits d'hiver, l'eau était canalisée dans des bassins peu profonds où elle gelait. La glace était ensuite découpée en blocs et stockée à l'intérieur du Yakhchal. Les murs épais et l'espace de stockage souterrain offraient une excellente isolation, empêchant la glace de fondre même pendant les mois les plus chauds. Certains Yakhchal étaient également équipés de capteurs de vent, qui canalisaient l'air frais dans la structure, préservant ainsi la glace.
Cette technologie ancienne permettait non seulement de stocker la glace, mais aussi de déguster des aliments et des boissons frais bien avant l'invention de la réfrigération moderne. Le Yakhchal témoigne de l'ingéniosité et de l'ingéniosité des civilisations anciennes, illustrant leur adaptation à leur environnement grâce à des solutions innovantes. Aujourd'hui, ces structures demeurent un exemple fascinant des débuts de l'ingénierie et témoignent de la capacité de l'humanité à surmonter les défis avec créativité et habileté.
(Source National Geographic)
🚨https://t.me/dynamiquesdeconflit
Il y a plus de 2 400 ans, les Perses de l'Antiquité ont réalisé un exploit d'ingénierie incroyable en créant de la glace au milieu du désert. Ils ont construit une structure remarquable appelée Yakhchal, ou « puits de glace », qui leur permettait de produire et de stocker de la glace même par une chaleur torride. Ces structures en forme de dôme, souvent faites de briques de terre crue, étaient conçues pour conserver la glace au frais grâce à une combinaison d'isolation et d'une conception astucieuse.
Le Yakhchal fonctionnait en exploitant la puissance de la nature. Pendant les froides nuits d'hiver, l'eau était canalisée dans des bassins peu profonds où elle gelait. La glace était ensuite découpée en blocs et stockée à l'intérieur du Yakhchal. Les murs épais et l'espace de stockage souterrain offraient une excellente isolation, empêchant la glace de fondre même pendant les mois les plus chauds. Certains Yakhchal étaient également équipés de capteurs de vent, qui canalisaient l'air frais dans la structure, préservant ainsi la glace.
Cette technologie ancienne permettait non seulement de stocker la glace, mais aussi de déguster des aliments et des boissons frais bien avant l'invention de la réfrigération moderne. Le Yakhchal témoigne de l'ingéniosité et de l'ingéniosité des civilisations anciennes, illustrant leur adaptation à leur environnement grâce à des solutions innovantes. Aujourd'hui, ces structures demeurent un exemple fascinant des débuts de l'ingénierie et témoignent de la capacité de l'humanité à surmonter les défis avec créativité et habileté.
(Source National Geographic)
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Forwarded from STRATPOL
On pense que les supermarchés seront toujours pleins et que les camions continueront à livrer chaque jour.
Mais une panne logistique, un conflit géopolitique ou une catastrophe naturelle suffit à tout bloquer en un rien de temps.
Une ville comme Paris ne tiendrait même pas 7 jours sans approvisionnement !
Ceux qui n’ont rien prévu se retrouvent vulnérables, incapables d'assurer les besoins de leur famille. C’est le chaos assuré.
Avoir un stock de nourriture, c’est comme une assurance : on espère ne jamais en avoir besoin, mais ça fait toute la différence quand le système flanche.
👉 Pour passer à l’action maintenant, téléchargez gratuitement le dossier “10 astuces pour se constituer un stock de nourriture” : https://go.aps-formations.com/l/R87tO
Mais une panne logistique, un conflit géopolitique ou une catastrophe naturelle suffit à tout bloquer en un rien de temps.
Une ville comme Paris ne tiendrait même pas 7 jours sans approvisionnement !
Ceux qui n’ont rien prévu se retrouvent vulnérables, incapables d'assurer les besoins de leur famille. C’est le chaos assuré.
Avoir un stock de nourriture, c’est comme une assurance : on espère ne jamais en avoir besoin, mais ça fait toute la différence quand le système flanche.
👉 Pour passer à l’action maintenant, téléchargez gratuitement le dossier “10 astuces pour se constituer un stock de nourriture” : https://go.aps-formations.com/l/R87tO