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Comment ce fabricant ukrainien de talkies-walkies a attiré l’attention de l’armée américaine

Article de Rebecca Rommen publié le 19 avril 2025

Himera est une startup technologique ukrainienne qui fabrique des talkies-walkies résistants à la guerre électronique.
Elle a été fondée après l'invasion totale de l'Ukraine par la Russie.
Ses produits sont actuellement testés par l'armée de l'air américaine.
L'industrie ukrainienne des technologies de défense a connu un véritable essor ces dernières années.

Des fabricants de drones et de robots aux fournisseurs de systèmes de guerre électronique, l'innovation ukrainienne est à l'honneur depuis que la Russie a lancé son invasion totale du pays en février 2022.

L'une des entreprises qui a vu le jour depuis le début du conflit est Himera qui fabrique des talkies-walkies résistants à la guerre électronique.
Ses produits comprennent le G1 Pro - une radio tactique portable - et le répéteur B1, qui étend la portée des communications.
Bien qu'elle n'ait été lancée qu'en 2022, l'entreprise a rapidement attiré l'attention de l'industrie des technologies de défense et de l'armée américaine.

Le principal argument de vente du produit est qu'il offre une solution potentielle à l'un des défis majeurs de la guerre en Ukraine : la guerre électronique.
Le G1 est résistant à la guerre électronique et utilise une technologie de saut de fréquence pour éviter les interférences de la guerre électronique, qui cherche à perturber et à brouiller certains signaux tels que le GPS, la radio et la vidéo.

Reticulate Micro, qui fournit les radios Himera aux États-Unis, a annoncé la première livraison de radios G1 Pro à l'armée de l'air américaine en octobre 2024.
L'entreprise a déclaré que l'armée de l'air testerait le G1 Pro avec la technologie Video Assured Secure Transmission (VAST) de Reticulate, qui fournit un flux vidéo en temps réel.

Dans un communiqué de presse publié à l'époque, Joshua Cryer, alors président-directeur général de Reticulate Micro, a déclaré : « En associant l'Himera G1 Pro à la technologie VAST, nous visons à démocratiser la transmission vidéo sécurisée sur le champ de bataille, en dotant chaque combattant d'une technologie radio compatible avec la vidéo pour une meilleure connaissance de la situation.

Misha Rudominski, l'un des cofondateurs d'Himera, a déclaré à Business Insider que la technologie d'Himera « comble le fossé » entre les solutions de communication tactiques et commerciales.
« Nous prenons le meilleur des deux mondes », a-t-il déclaré. « Nous fournissons toutes les fonctionnalités tactiques pertinentes, comme une faible probabilité de détection, une faible probabilité d'interception et une faible probabilité de brouillage, que l'on ne trouve pas dans les solutions commerciales.
« Mais nous le faisons d'une manière très conviviale », a-t-il poursuivi. « Nous voulons la radio la plus légère, nous avons l'une des plus longues durées de vie de batterie sur le marché.

La G1 Pro a une autonomie d'environ 48 heures et ne pèse que 300 grammes. Elle peut prendre en charge la transmission de plusieurs types d'informations, comme le GPS, les données vocales et les textes, et est programmable par une application cryptée sur un appareil mobile ou une tablette.
« Nous proposons une solution très évolutive et abordable », ajoute M. Rudominski. « L'évolutivité est un point important car nous n'utilisons que des composants commerciaux disponibles sur étagère.
En mars, des représentants d'Himera ont déclaré au média ukrainien Militarnyi que la société « produisait jusqu'à 1 000 radios par mois » et qu'elle avait la capacité de « passer rapidement à 2 500 unités ».
« Pour les commandes à grande échelle, nous sommes prêts à fournir 10 000 à 15 000 radios par mois », ont-ils déclaré.


https://www.businessinsider.com/ukrainian-walkie-talkie-maker-caught-attention-us-military-2025-4


Article traduit par CSP Comment Se Préparer


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HIMERA radios: une startup ukrainienne qui conquiert le monde

Le produit est actuellement testé par le laboratoire de recherche de l'armée de l'air américaine. Après des essais réussis avec les forces d'opérations spéciales américaines, les Américains se sont intéressés au produit et évaluent actuellement l'opportunité d'introduire la technologie à grande échelle dans l'armée américaine. Ça a l'air cool, non ?

Mais en même temps, les besoins de l'armée ukrainienne restent une priorité pour la startup 🇺🇦.
Au cours des trois dernières années, l'équipe a fabriqué et livré plus de 6 000 talkies-walkies à l'armée ukrainienne. Elle améliore actuellement la technologie et prévoit de l'étendre aux entreprises individuelles et aux unités des forces de défense.

Découvrez leur parcours et les défis auxquels ils sont confrontés dans le secteur de la défense dans notre entretien avec Misha Rudominsky, cofondateur de HIMERA.

Mettez la traduction et les sous-titres

https://www.youtube.com/watch?v=ws8TE-AkpFM

Le site internet de l'entreprise : https://himeratech.com/en


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🔴 26 avril 1983 : Robert Faurisson condamné pour avoir fait de la peine « à autrui »

Le 26 avril est la date anniversaire du fameux « Arrêt du 26 avril 1983 » rendu par la première chambre, section A, de la Cour d’appel de Paris dans l’affaire introduite par la LIC(R)A et autres associations coalisées contre le professeur Robert Faurisson.

➡ https://jeune-nation.com/kultur/culture/26-avril-1983-robert-faurisson-condamne-pour-avoir-fait-de-la-peine-a-autrui-2

🇫🇷 @jeunenation2 ✋

⚜️ 25 avril 1214: naissance Louis IX, futur Saint Louis

Commençons par cette citation du futur Saint Louis, qui mérite réflexion:

« J’interdis la spéculation par accaparement sur les matières premières et sur les marchandises, ainsi que la surproduction. Le livre des métiers encourage les harmonies des compagnons et maîtres. Il rappelle le sens sacré de l’ouvrage qui est création. Le travail, qui n’est qu’un moyen, meurt en l’objet créé, l’effort n’est pas une fin en soi. La fin, c’est l’œuvre. Le chef d’atelier et ses ouvriers créent un « chef-d’œuvre ».

Je veux aussi domestiquer le commerce de l’argent. L’argent n’est qu’un serviteur, le vrai capital, c’est le savoir-faire. Il est pernicieux que l’argent produise de l’argent. Toute stipulation d’intérêt relève d’une vilaine paresse car elle vient, sans labeur, grossir, au moment de la restitution, la somme prêtée. Je veux interdire l’usure et l’argent qui prospèrent en dormant. »

Louis IX, monte sur le trône de France à 12 ans. Guerrier courageux et combatif, souverain habile et sage, mari empressé autant que fidèle, profondément pieux, le roi apparaît comme le modèle du chevalier chrétien, d'où sa canonisation quelques années après sa mort.

Son long règne coïncide avec l'apogée de la France médiévale, capétienne et chrétienne. Il met fin à la première guerre contre l'Angleterre ainsi qu'à la croisade des Albigeois. Il remet à leur place les turbulents seigneurs féodaux et modernise l'administration.

Sous son règne, Paris devient la ville la plus prestigieuse d’Occident avec son Université et ses monuments religieux (Sainte Chapelle, Notre-Dame). Les foires de Champagne favorisent le commerce et permettent la naissance d'une bourgeoisie urbaine active et entreprenante.

Le XIIIe siècle français est souvent qualifié à juste titre de « Siècle de Saint Louis ». Il a régné près de quarante-quatre ans jusqu'à sa mort devant Tunis, le 25 août 1270.

Durant cette longue période, il a porté le royaume capétien à son maximum de prestige, ce qui lui a valu de devenir, sous le nom de Saint Louis, le roi le plus aimé des Français, tant sous la monarchie que sous la République.

Reprise de :
https://www.facebook.com/groups/196234247525295/permalink/1093689074446470/

Rudolf Hess (en allemand Heß) est un homme politique allemand, né le 26 avril 1894 à Alexandrie (Égypte) et mort en détention le 17 août 1987 à Berlin-Ouest (Allemagne de l'Ouest).

Compagnon politique indéfectible d'Adolf Hitler depuis le tout début des années 1920, ministre sans portefeuille (Reichsminister ohne Geschäftsbereich) de son gouvernement dès son accession au pouvoir en 1933, alors porté à la direction du parti national-socialiste sous le vocable Stellvertreter des Führers (« adjoint » du Führer en tant que chef du parti), Hess est une personnalité majeure du Troisième Reich jusqu'en 1941, mais dont l'influence est restée limitée.

À Munich, en 1923, il s'investit dans la tentative du putsch de la Brasserie ; en conséquence, il est emprisonné avec Hitler et l'aide à dactylographier son manifeste politique, Mein Kampf.

Il participe activement en 1935 à la rédaction des lois antisémites de Nuremberg. Le reste du temps, bien que dans le premier cercle de Hitler, il est cantonné à des rôles de représentation.

Le 10 mai 1941, il décolle seul, secrètement, pour l'Écosse aux commandes d'un avion Messerschmitt, soi-disant sans en informer Hitler, afin de proposer un traité de paix séparée avec le Royaume-Uni, peu avant l’attaque-surprise allemande contre l’Union soviétique, violant le pacte de non-agression ou plus probablement anticipant de quelques jours une attaque massive des troupes de Staline.

Son geste peut s'expliquer par des évènements ayant eu lieu presque un an auparavant, alors que l'armée allemande, victorieuse, se précipitait vers la manche, menaçant d'enfermer dans une gigantesque nasse l'ensemble des armées alliées imprudemment entrées en Belgique, suite à la rupture du front français de Sedan.

Les services secrets avaient encouragé le Premier ministre britannique à accepter d'ouvrir des discussions avec des représentants de l'Allemagne nazie pour gagner du temps, permettre à l'armée de se rétablir après Dunkerque et laisser Hitler penser qu'une paix était envisageable. Pour rendre crédible cette opération, la stratégie consistait à laisser croire qu'une fois que Winston Churchill serait mis en opposition à la Chambre des lords, Lord Halifax — son successeur le plus crédible — accepterait de négocier un arrêt des hostilités. À cette époque, l'Empire britannique se retrouvait le seul État en Europe non occupée en conflit avec l'Allemagne, supportait seul l'effort de guerre et la politique de Churchill était mise en doute par une minorité de parlementaires et une petite partie de la classe politique qui souhaitaient l'arrêt des hostilités afin de préserver l'Empire.

Les Allemands tombèrent dans le piège.

En effet, le 20 mai, deux divisions de panzers commandées par Heinz Guderian atteignent Abbeville et la mer. La Wehrmacht parvient ainsi à couper les armées alliées en deux. Un million de soldats français, belges et britanniques sont isolés entre la Manche et les troupes allemandes dont les chars poursuivent leur progression vers la côte. Le 24 mai, les avant-gardes de Guderian établissent six têtes de pont sur l'Aa et atteignent Bourbourg. Elles ont pratiquement le champ libre lorsqu'un ordre impératif du général von Rundstedt, confirmé par Hitler, les stoppe jusqu'au matin du 27.

Les troupes britanniques en profiteront pour se replier sur Dunkerque, détruisant ainsi tout l'effort franco-belge pour reconstruire un front cohérent sur la Lys et entraînant la capitulation de l'armée belge.

L'armée française n'avait alors plus d'autre choix que de protéger la retraite britannique, en espérant que la Royal Navy intervienne afin de lui permettre, également, d'embarquer.

Cet espoir fut vain et la magnifique résistance des Français autour du camp retranché portuaire ne fut nullement récompensée par les Britanniques...

Mais l'armée de Grande-Bretagne, composée d'engagés et indispensable à la continuation du combat pour ce pays, dépourvu de service militaire en temps de paix, fut sauvée.

Elle était à vrai dire le seul trésor dont disposait ce pays.

Cela explique qu'après avoir vaincu la France et obtenu l'armistice de Rethondes, effectif le 25 juin 1940, l'Allemagne soit restée l'arme au pied pendant plus de quinze jours, offrant aux Britanniques le répit indispensable pour préparer leur résistance lors de la bataille d'Angleterre.

En Allemagne, le départ imprévu de Rudolf Hess, un an plus tard, est publiquement assimilé à une désertion, même si personne ne peut affirmer que Hitler n'en avait pas été au préalable informé.

À son arrivée, en Écosse, sa démarche n'est pas prise au sérieux ; il est arrêté et maintenu en détention jusqu'à la fin de la guerre, puis il est transféré à Nuremberg pour y être jugé avec les principaux responsables allemands : reconnu coupable de complot et de crime contre la paix, il est condamné à la prison à vie et détenu dans la prison de Spandau à Berlin-Ouest.

En 1987, après quarante-six années de détention et âgé de 93 ans, il est trouvé pendu dans une maisonnette de jardin, dans l'enceinte de l'édifice pénitentiaire, qui lui servait de salle de lecture.

Hess, pendant les vingt et une dernières années de sa vie, est resté le seul occupant de la prison berlinoise mobilisant ainsi pour son seul service des ressources non négligeables pour les puissances occupantes.

La.thèse de son assassinat par les services secrets britanniques, confrontés à une volonté des autres alliés de le libérer, prend tout son sens si l'on considère le risque qu'aurait fait courir la révélation de la duperie anglaise vis a vis de son allié, sacrifié face à l'Allemagne victorieuse, au printemps 1940.

Le comportement des Britanniques, début juillet 1940, trouverait ainsi une explication : consciente d'avoir trahi la France en provoquant le "Halt Befehl" et en permettant l'évacuation de ses troupes à Dunkerque, l'Angleterre redoutait que celle-ci, à la suite de l'armistice, ne s'allie purement et simplement avec l'Allemagne pour régler ses comptes.

L'attaque de la flotte française à Mers-el-Kebir et dans ses ports prend ainsi tout son sens : hors d'atteinte de l'occupant allemand, celle-ci n'aurait pu devenir ennemie que si le gouvernement français avait changé ses alliances.

Et le gouvernement de Churchill savait que le prix de sa trahison en Belgique, aurait pu être ce retournement...

Quoi qu'il en soit de ces hypothèses, la prison, vide après sa mort, fut détruite peu après et les matériaux en sont dispersés en mer du Nord, dans le but de décourager toute velléité d’expression de nostalgie hitlérienne.

Vae victis !

Connaissez-vous la théorie contrôle-maîtrise ?

La théorie contrôle maitrise a été développée par Joseph Weiss, Harold Sampson et leurs collègues à San Francisco. Elle renouvelle profondément la manière de concevoir la motivation humaine et le changement thérapeutique. Elle est née d’un constat clinique : les comportements observés chez les patients ne correspondaient pas toujours aux enseignements classiques basés sur la théorie des pulsions. Cette théorie se présente à la fois comme une extension de la psychologie du Moi et comme une critique radicale de la théorie des pulsions freudienne.
Contrairement à la perspective pulsionnelle, qui voit l’être humain dominé par des forces inconscientes irrationnelles, la théorie du contrôle et de la maîtrise part du principe que les individus cherchent activement à surmonter leurs conflits et à s’adapter. Le Moi y est vu comme capable de contrôler (même inconsciemment) les processus mentaux, et la motivation principale des individus est la survie et l’adaptation – notamment à travers l’attachement et les relations aux figures parentales.
Une idée centrale de cette théorie est que les personnes construisent, souvent inconsciemment, des croyances pathogènes à partir de leur histoire relationnelle. Ces croyances, issues de contextes traumatiques ou contraignants, peuvent orienter les comportements de manière désavantageuse, sans que la personne en soit consciente. Par exemple, un enfant dont le parent devient triste ou inquiet lorsqu’il s’éloigne socialement peut développer inconsciemment la croyance qu’il ne doit pas se faire d’amis, pour protéger ce parent. Cette croyance agit comme une évaluation inconsciente du danger, guidant les choix futurs du sujet pour maintenir l’attachement au détriment de ses propres besoins.

Trois grandes formes de croyances pathogènes sont décrites :

La culpabilité de séparation : sentiment inconscient que se différencier, avoir des opinions ou une vie propre menacerait psychologiquement les personnes aimées. Cette culpabilité peut inhiber les choix d’individuation (études, carrière, autonomie).

La culpabilité du survivant : conviction qu’on ne mérite pas une vie meilleure que celle des proches souffrants, ou que s’améliorer causera de la douleur à ceux qui ne vont pas bien. Elle est fréquente chez les étudiants issus de milieux défavorisés ou dans des familles où l’amélioration de soi est vécue comme une trahison.

La conformité aux attentes parentales négatives : les enfants peuvent intégrer des croyances dévalorisantes sur eux-mêmes, en écho aux jugements explicites ou implicites de leurs parents. Même des messages apparemment protecteurs ou bienveillants peuvent engendrer des limitations internes durables.

Post psychologie

🚨https://t.me/dynamiquesdeconflit

On pense que les supermarchés seront toujours pleins et que les camions continueront à livrer chaque jour.
Mais une panne logistique, un conflit géopolitique ou une catastrophe naturelle suffit à tout bloquer en un rien de temps.
Une ville comme Paris ne tiendrait même pas 7 jours sans approvisionnement !
Ceux qui n’ont rien prévu se retrouvent vulnérables, incapables d'assurer les besoins de leur famille. C’est le chaos assuré.
Avoir un stock de nourriture, c’est comme une assurance : on espère ne jamais en avoir besoin, mais ça fait toute la différence quand le système flanche.
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