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Au p'tit zouave est un film français réalisé par Gilles Grangier sorti en 1950.
La vie quotidienne dans un café de Paris toujours très calme, est bouleversée par l'arrivée d'un étranger qui s'avére être un assassin...
François Périer : M. Denis
Dany Robin : Hélène
Marie Daëms : Olga
Jacques Morel : Félix Lambert
Alice Field : Amélie Billot
Yves Deniaud : Henri
Paul Frankeur : le commissaire Bonnet
Réalisation : Gilles Grangier
Scénario et dialogue : Pierre Laroche
La vie quotidienne dans un café de Paris toujours très calme, est bouleversée par l'arrivée d'un étranger qui s'avére être un assassin...
François Périer : M. Denis
Dany Robin : Hélène
Marie Daëms : Olga
Jacques Morel : Félix Lambert
Alice Field : Amélie Billot
Yves Deniaud : Henri
Paul Frankeur : le commissaire Bonnet
Réalisation : Gilles Grangier
Scénario et dialogue : Pierre Laroche
Source : L'Église sous Vichy
Le nombre de morts des bombardements ( y compris les opérations de la Libération) s élèvera à :
36 000 morts, 48 500 blessés en 1944, 60 000 morts pour toute la guerre constituent un chiffre supérieur aux victimes anglaises du Blitz.
Un exemple, celui de Pâques 1944 dans le Nord, montre le caractère effrayant de ces pilonnages. La banlieue de Lille subit dans la nuit du samedi de Pâques trente-cinq minutes de bombardement !
Les 2 200 bombes! lâchées sur les maisons tuèrent 600 habitants ! Le clergé est très présent auprès des victimes. Le père Lucien -Marie de Saint-Joseph, prieur des Carmes, a la responsabilité des secours et le père Pacchiodo dirige les secouristes-infirmiers bénévoles. Le chanoine Detrez décrit les survivants errant hagards dans l enchevêtrement des gravats et des poutres, évitant les cratères profonds de dix mètres pour rassembler les quelques épaves d une pauvre vie. Les funérailles des 600 victimes eurent lieu le 14 avril 1944. Les Allemands attendaient des condamnations du clergé qui ne furent pas prononcées. Les 10-11 mai 1944, les bombardements tuèrent 184 habitants à Lille et Tourcoing. Du 12 au 15 juin, on releva 225 morts!
Le Maréchal Pétain se rend sur place en particulier à Paris pour assurer les familles des victimes de sa compassion et mettre en ACCUSATION les Anglo-Saxons meurtriers.
Le nombre de morts des bombardements ( y compris les opérations de la Libération) s élèvera à :
36 000 morts, 48 500 blessés en 1944, 60 000 morts pour toute la guerre constituent un chiffre supérieur aux victimes anglaises du Blitz.
Un exemple, celui de Pâques 1944 dans le Nord, montre le caractère effrayant de ces pilonnages. La banlieue de Lille subit dans la nuit du samedi de Pâques trente-cinq minutes de bombardement !
Les 2 200 bombes! lâchées sur les maisons tuèrent 600 habitants ! Le clergé est très présent auprès des victimes. Le père Lucien -Marie de Saint-Joseph, prieur des Carmes, a la responsabilité des secours et le père Pacchiodo dirige les secouristes-infirmiers bénévoles. Le chanoine Detrez décrit les survivants errant hagards dans l enchevêtrement des gravats et des poutres, évitant les cratères profonds de dix mètres pour rassembler les quelques épaves d une pauvre vie. Les funérailles des 600 victimes eurent lieu le 14 avril 1944. Les Allemands attendaient des condamnations du clergé qui ne furent pas prononcées. Les 10-11 mai 1944, les bombardements tuèrent 184 habitants à Lille et Tourcoing. Du 12 au 15 juin, on releva 225 morts!
Le Maréchal Pétain se rend sur place en particulier à Paris pour assurer les familles des victimes de sa compassion et mettre en ACCUSATION les Anglo-Saxons meurtriers.
Même https://chatgpt.com/ reconnait que Pétain (le collabo pour la doxa) a demandé à Darlan en Novembre 1942 de reprendre les combats avec les américains en Afrique du Nord, contre l'Allemagne Nazi.
ChatGPT :
"un régime collaborateur initie la reprise des combats contre l’Allemagne... avant même que la Résistance n’ait vraiment les moyens militaires de le faire."
ChatGPT :
"un régime collaborateur initie la reprise des combats contre l’Allemagne... avant même que la Résistance n’ait vraiment les moyens militaires de le faire."
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Zemmour sur Vichy
Forwarded from Arnaud Robert 🇨🇵
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🇨🇵 S'il avait été écouté...
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⚫ Pâques, 9/10 avril 1944.
Quand la gauche de la 3ème république mettait en place des camps d'internement pour immigrés clandestins.
1939 – Les premiers camps français. L’internement des réfugiés espagnols de la Retirada - Marie Rafaneau-Boj
https://www.persee.fr/doc/chral_1167-4733_2008_num_12_1_882
1939 – Les premiers camps français. L’internement des réfugiés espagnols de la Retirada - Marie Rafaneau-Boj
https://www.persee.fr/doc/chral_1167-4733_2008_num_12_1_882
Forwarded from Maréchal Pétain
Bernard Legoux - 39-45 Les mensonges de juin 1940 - P292
On peut donc estimer le nombre de juifs de France morts du fait des nazis à 77 000, dont 22 000 de nationalité française et 55 000 étrangers ou apatrides. S. Klarsfeld estime le nombre de juifs présents en France en juin 1940 à 330 000, dont 165 000 Français et 165 000 étrangers et apatrides. Le taux de mortalité global a donc été de 23,3 %, dont 13,3 % pour les Français et 33,3% pour les étrangers et apatrides. On peut noter que R. Hilberg cite des chiffres nettement inférieurs :70 000 morts pour une population juive de 270 000 personnes (240).
Ce pourcentage de 23,3% est moins élevé que ceux des juifs morts dans tous les pays occupés par les Allemands, qui ont été d’environ 41% en Belgique(38,5% pour R.Hilberg,44,4% pour S.Poliakov),50% en Hongrie et plus de 80 % aux PaysBas, en Yougoslavie, en Grèce, en Tchécoslovaquie et en Pologne (240). Seul le Danemark, ayant conservé son roi et son gouvernement pendant l’occupation allemande, a réussi à sauver la plus grande partie de ses juifs, d’ailleurs en assez faible nombre: seuls 7% des 7000 juifs danois furent victimes des nazis. Dans une France totalement occupée, avec un gouvernement entièrement à la solde des Allemands, les pourcentages de juifs assassinés auraient été, de toute évidence, beaucoup plus proches de ceux des autres pays européens occupés. Même en ne prenant que les pourcentages les plus faibles observés, par exemple en Belgique, ce sont prés de 18 % de juifs supplémentaires, soit environ 60 000 personnes, qui seraient partis en déportation et y seraient morts en quasi totalité. Presque un doublement du nombre de victimes juives.
On ne peut qu’approuver Albert Chambon qui affirme : « Qui, aujourd’hui, oserait soutenir que, de préférence au gouvernement de Vichy, mieux aurait valu pour la France avoir un Gauleiter allemand, sous les ordres duquel l’extermination de la population juive aurait très certainement atteint les effroyables chiffres qu’elle a eue partout ailleurs » (47) ?
On peut donc estimer le nombre de juifs de France morts du fait des nazis à 77 000, dont 22 000 de nationalité française et 55 000 étrangers ou apatrides. S. Klarsfeld estime le nombre de juifs présents en France en juin 1940 à 330 000, dont 165 000 Français et 165 000 étrangers et apatrides. Le taux de mortalité global a donc été de 23,3 %, dont 13,3 % pour les Français et 33,3% pour les étrangers et apatrides. On peut noter que R. Hilberg cite des chiffres nettement inférieurs :70 000 morts pour une population juive de 270 000 personnes (240).
Ce pourcentage de 23,3% est moins élevé que ceux des juifs morts dans tous les pays occupés par les Allemands, qui ont été d’environ 41% en Belgique(38,5% pour R.Hilberg,44,4% pour S.Poliakov),50% en Hongrie et plus de 80 % aux PaysBas, en Yougoslavie, en Grèce, en Tchécoslovaquie et en Pologne (240). Seul le Danemark, ayant conservé son roi et son gouvernement pendant l’occupation allemande, a réussi à sauver la plus grande partie de ses juifs, d’ailleurs en assez faible nombre: seuls 7% des 7000 juifs danois furent victimes des nazis. Dans une France totalement occupée, avec un gouvernement entièrement à la solde des Allemands, les pourcentages de juifs assassinés auraient été, de toute évidence, beaucoup plus proches de ceux des autres pays européens occupés. Même en ne prenant que les pourcentages les plus faibles observés, par exemple en Belgique, ce sont prés de 18 % de juifs supplémentaires, soit environ 60 000 personnes, qui seraient partis en déportation et y seraient morts en quasi totalité. Presque un doublement du nombre de victimes juives.
On ne peut qu’approuver Albert Chambon qui affirme : « Qui, aujourd’hui, oserait soutenir que, de préférence au gouvernement de Vichy, mieux aurait valu pour la France avoir un Gauleiter allemand, sous les ordres duquel l’extermination de la population juive aurait très certainement atteint les effroyables chiffres qu’elle a eue partout ailleurs » (47) ?