Un prodige du piano français, Lucas Debargue
https://www.youtube.com/watch?v=S4K_Xu55ueU&t=3690s&ab_channel=PianoJazzConcept
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Lucas Debargue : « une interprétation est un commentaire de texte »
Rencontre en forme de master class avec le prodige Lucas Debargue. Simple, généreux, lucide, et d'une rare intelligence artistique. Les interprètes, en particulier les plus jeunes, doivent absolument écouter le message de Lucas.
La chaîne de Lucas : htt…
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Forwarded from Mel Gibson
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Lady Gaga performs a satanic ritual during Coachella, wearing a blood-red dress while singing "Bloody Mary."
She chants, "Like Jesus said, I'm gonna dance, dance, dance," in a performance filled with dark and disturbing symbolism.
At one point, she acts as if she’s possessed by a demon.
Liberals and the mainstream media are hailing the performance as a powerful work of art.
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Subscribe: Mel Gibson
She chants, "Like Jesus said, I'm gonna dance, dance, dance," in a performance filled with dark and disturbing symbolism.
At one point, she acts as if she’s possessed by a demon.
Liberals and the mainstream media are hailing the performance as a powerful work of art.
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LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE SE VAUTRE DANS LE WOKISME
L'ancien secrétaire général de l'Élysée, Alexis Kohler, rejoindra donc la Société générale, en juin prochain, avec le titre de directeur général adjoint. Un document important et confidentiel vient d'être diffusé dans les "boîtes" des responsables des ressources humaines et des patrons de services de la Société générale: seize pages qui développent l'objectif suivant : <<< Accompagner les personnes transgenres chez la Société générale. >>> Il cible << tout collaborateur qui souhaiterait avoir une vision plus claire de ce que peut représenter une transition pour les personnes qui décident d'avancer sur ce parcours. » Ce document intitulé "Transidentité est signé de deux hauts responsables de la maison, le directeur de l'audit et de l'inspection et la directrice administrative et financière du groupe. « La Société générale pose comme principe que toute personne doit se sentir libre d'être elle-même dans l'entreprise, quelle que soit son identité de genre. >> On apprend dans ce document que <<< certaines personnes ne se sentent pas appartenir au genre/sexe qui leur a été assigné à la naissance ». La Société générale est coutumière de ce genre de fantaisies. Elle a signé, dès 2018, les cinq principes directeurs de l'ONU contre la discrimination des personnes LGBT+ dans le monde du travail. En mars 2021, elle a aussi ra-tifié la Charte d'engagement LGBT+ de l'Autre Cercle, un organisme qui « observe la situation des personnes LGBT+ dans le monde du travail et fait la promotion de ses actions et de ses valeurs afin de faire évoluer les mentalités ». Conséquence: << l'inclusion de la notion d'iden-tité de genre dans le Code de la Société générale détermine la politique diversité, équité et inclusion de la banque ». Et attention ! La Société générale a tout prévu (suscitant au passage le mécontentement de nombreux cadres). << Il faut éviter la sidération ou encore la compassion qui ne traduirait qu'une éventuelle perception de la transidentité comme une cause de souffrance >>. Donald Trump va sans doute s'occuper du cas de la Société générale. Fin mars, dans une lettre publiée par l'ambassade américaine à Paris, le président états-unien a réclamé aux entreprises françaises désireuses de travailler avec l'administration américaine de renoncer à tout wokisme. Cela paraît mal engagé pour la Société générale...
Robert SPIELER.
L'ancien secrétaire général de l'Élysée, Alexis Kohler, rejoindra donc la Société générale, en juin prochain, avec le titre de directeur général adjoint. Un document important et confidentiel vient d'être diffusé dans les "boîtes" des responsables des ressources humaines et des patrons de services de la Société générale: seize pages qui développent l'objectif suivant : <<< Accompagner les personnes transgenres chez la Société générale. >>> Il cible << tout collaborateur qui souhaiterait avoir une vision plus claire de ce que peut représenter une transition pour les personnes qui décident d'avancer sur ce parcours. » Ce document intitulé "Transidentité est signé de deux hauts responsables de la maison, le directeur de l'audit et de l'inspection et la directrice administrative et financière du groupe. « La Société générale pose comme principe que toute personne doit se sentir libre d'être elle-même dans l'entreprise, quelle que soit son identité de genre. >> On apprend dans ce document que <<< certaines personnes ne se sentent pas appartenir au genre/sexe qui leur a été assigné à la naissance ». La Société générale est coutumière de ce genre de fantaisies. Elle a signé, dès 2018, les cinq principes directeurs de l'ONU contre la discrimination des personnes LGBT+ dans le monde du travail. En mars 2021, elle a aussi ra-tifié la Charte d'engagement LGBT+ de l'Autre Cercle, un organisme qui « observe la situation des personnes LGBT+ dans le monde du travail et fait la promotion de ses actions et de ses valeurs afin de faire évoluer les mentalités ». Conséquence: << l'inclusion de la notion d'iden-tité de genre dans le Code de la Société générale détermine la politique diversité, équité et inclusion de la banque ». Et attention ! La Société générale a tout prévu (suscitant au passage le mécontentement de nombreux cadres). << Il faut éviter la sidération ou encore la compassion qui ne traduirait qu'une éventuelle perception de la transidentité comme une cause de souffrance >>. Donald Trump va sans doute s'occuper du cas de la Société générale. Fin mars, dans une lettre publiée par l'ambassade américaine à Paris, le président états-unien a réclamé aux entreprises françaises désireuses de travailler avec l'administration américaine de renoncer à tout wokisme. Cela paraît mal engagé pour la Société générale...
Robert SPIELER.
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Au p'tit zouave est un film français réalisé par Gilles Grangier sorti en 1950.
La vie quotidienne dans un café de Paris toujours très calme, est bouleversée par l'arrivée d'un étranger qui s'avére être un assassin...
François Périer : M. Denis
Dany Robin : Hélène
Marie Daëms : Olga
Jacques Morel : Félix Lambert
Alice Field : Amélie Billot
Yves Deniaud : Henri
Paul Frankeur : le commissaire Bonnet
Réalisation : Gilles Grangier
Scénario et dialogue : Pierre Laroche
La vie quotidienne dans un café de Paris toujours très calme, est bouleversée par l'arrivée d'un étranger qui s'avére être un assassin...
François Périer : M. Denis
Dany Robin : Hélène
Marie Daëms : Olga
Jacques Morel : Félix Lambert
Alice Field : Amélie Billot
Yves Deniaud : Henri
Paul Frankeur : le commissaire Bonnet
Réalisation : Gilles Grangier
Scénario et dialogue : Pierre Laroche
Source : L'Église sous Vichy
Le nombre de morts des bombardements ( y compris les opérations de la Libération) s élèvera à :
36 000 morts, 48 500 blessés en 1944, 60 000 morts pour toute la guerre constituent un chiffre supérieur aux victimes anglaises du Blitz.
Un exemple, celui de Pâques 1944 dans le Nord, montre le caractère effrayant de ces pilonnages. La banlieue de Lille subit dans la nuit du samedi de Pâques trente-cinq minutes de bombardement !
Les 2 200 bombes! lâchées sur les maisons tuèrent 600 habitants ! Le clergé est très présent auprès des victimes. Le père Lucien -Marie de Saint-Joseph, prieur des Carmes, a la responsabilité des secours et le père Pacchiodo dirige les secouristes-infirmiers bénévoles. Le chanoine Detrez décrit les survivants errant hagards dans l enchevêtrement des gravats et des poutres, évitant les cratères profonds de dix mètres pour rassembler les quelques épaves d une pauvre vie. Les funérailles des 600 victimes eurent lieu le 14 avril 1944. Les Allemands attendaient des condamnations du clergé qui ne furent pas prononcées. Les 10-11 mai 1944, les bombardements tuèrent 184 habitants à Lille et Tourcoing. Du 12 au 15 juin, on releva 225 morts!
Le Maréchal Pétain se rend sur place en particulier à Paris pour assurer les familles des victimes de sa compassion et mettre en ACCUSATION les Anglo-Saxons meurtriers.
Le nombre de morts des bombardements ( y compris les opérations de la Libération) s élèvera à :
36 000 morts, 48 500 blessés en 1944, 60 000 morts pour toute la guerre constituent un chiffre supérieur aux victimes anglaises du Blitz.
Un exemple, celui de Pâques 1944 dans le Nord, montre le caractère effrayant de ces pilonnages. La banlieue de Lille subit dans la nuit du samedi de Pâques trente-cinq minutes de bombardement !
Les 2 200 bombes! lâchées sur les maisons tuèrent 600 habitants ! Le clergé est très présent auprès des victimes. Le père Lucien -Marie de Saint-Joseph, prieur des Carmes, a la responsabilité des secours et le père Pacchiodo dirige les secouristes-infirmiers bénévoles. Le chanoine Detrez décrit les survivants errant hagards dans l enchevêtrement des gravats et des poutres, évitant les cratères profonds de dix mètres pour rassembler les quelques épaves d une pauvre vie. Les funérailles des 600 victimes eurent lieu le 14 avril 1944. Les Allemands attendaient des condamnations du clergé qui ne furent pas prononcées. Les 10-11 mai 1944, les bombardements tuèrent 184 habitants à Lille et Tourcoing. Du 12 au 15 juin, on releva 225 morts!
Le Maréchal Pétain se rend sur place en particulier à Paris pour assurer les familles des victimes de sa compassion et mettre en ACCUSATION les Anglo-Saxons meurtriers.
Même https://chatgpt.com/ reconnait que Pétain (le collabo pour la doxa) a demandé à Darlan en Novembre 1942 de reprendre les combats avec les américains en Afrique du Nord, contre l'Allemagne Nazi.
ChatGPT :
"un régime collaborateur initie la reprise des combats contre l’Allemagne... avant même que la Résistance n’ait vraiment les moyens militaires de le faire."
ChatGPT :
"un régime collaborateur initie la reprise des combats contre l’Allemagne... avant même que la Résistance n’ait vraiment les moyens militaires de le faire."
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Zemmour sur Vichy