Demain, c'est Grève pour le climat partout en France ! Mobilisons-nous pour réclamer la justice sociale et climatique qui est de plus en plus urgente. #GreveClimat #Greve #Climat #YouthForClimate #globalstrikeforfuture
#MarcheClimat #25Mars
PS : Merci @greveclimat2503 pour ces visuels très clairs ! 🔥
https://www.instagram.com/p/Cbfrdc2tfR6/?utm_medium=share_sheet
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No Pàsaran ! Évidemment antifascistes, nous appelons demain au rassemblement à 11H sur la Place de la République à Paris pour dire non au danger du fascisme que représente le candidat Éric Zemmour et son camp.
#Antifacisme #Paris #Facisme #Extremedroite
#presidentielle2022
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#presidentielle2022
Forwarded from Anonyme Citoyen
Tensions : des militants de la Cocarde, l'UNI et de Génération Z ont débloqué par la force SciencesPo Paris bloqué depuis ce matin par des étudiants qui protestent contre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. La BRAV-M a été déployé pour libérer la rue.
➡️ t.me/AnonymeCitoyen
➡️ t.me/AnonymeCitoyen
Le 10 avril dernier, à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron et Marine
Le Pen ont été qualifié·e·s pour le second tour.
La jeunesse a majoritairement montré qu’elle voulait une rupture avec notre modèle de
société. Nous, jeunes, avons porté dans les urnes un élan massif derrière des programmes qui
traduisent les revendications écologistes, féministes, anticapitalistes, égalitaires que nous avons porté
au cours des mobilisations de ces dernières années. De peu, ce premier tour a trouvé la même issue
qu’en 2017. Avec le néolibéralisme autoritaire d’un côté, et l’extrême-droite raciste de l’autre, les
jeunes ne trouveront aucun espoir de changement dans les programmes présentés.
Nous devons tout faire pour empêcher l’extrême-droite d’arriver au pouvoir. Ce dimanche,
aucune voix ne doit aller à Marine Le Pen, qui est l’incarnation dédiabolisée du camp fasciste. En
effet, nous ne pouvons laisser l’appareil d’état tout entier, avec l’École, soumis à des politiques
nationalistes, racistes, ultra-libérales, discriminantes, qui veulent annihiler les mouvements sociaux et
toute forme d’organisation des travailleurs, étudiants et lycéens pour défendre leurs droits, leurs
intérêts et la transformation sociale.
La victoire de l’extrême-droite est aujourd’hui une menace réelle puisque d’autant plus probable, c’est
pourquoi chaque lycéen·ne en mesure de voter doit se saisir de tous les moyens possibles
pour faire barrage à cette extrême ennemie de nos luttes et de notre projet de société.
Nous réaffirmons évidemment notre opposition ferme aux deux projets portés par les deux
candidats du second tour. Au cours du quinquennat Macron, l'accumulation des réformes de casse
sociale, l’éloignement progressif des principes de l’École égalitaire et émancipatrice que nous
portons, à travers la destruction des services publics et la multiplication de discours et mesures
sécuritaires, autoritaires et toujours plus discriminantes, surtout à l’égard des étranger·es et des
réfugié·e·s ont entretenu la misère sociale et le désespoir de beaucoup de citoyens vis à vis de
l'action politique.
Emmanuel Macron, au cours du quinquennat, a participé activement de la
banalisation et de la montée de l’extrême-droite et de ses idées dans le pays.
L’issue de cette élection présidentielle, quelle qu’elle soit, ne nous donne qu’une perspective :
préparer un mouvement lycéen et jeune de grande ampleur. Si ce second tour est le choix
inévitable du moins pire, il peut n’être qu’une échéance dont nous n’acceptons pas la traduction
politique. Nous utiliserons donc la rue, les instances et la mobilisation générale autour de notre
organisation pour imposer notre rapport de force et faire passer les revendications des lycéen·ne·s et
des jeunes.
Le Pen ont été qualifié·e·s pour le second tour.
La jeunesse a majoritairement montré qu’elle voulait une rupture avec notre modèle de
société. Nous, jeunes, avons porté dans les urnes un élan massif derrière des programmes qui
traduisent les revendications écologistes, féministes, anticapitalistes, égalitaires que nous avons porté
au cours des mobilisations de ces dernières années. De peu, ce premier tour a trouvé la même issue
qu’en 2017. Avec le néolibéralisme autoritaire d’un côté, et l’extrême-droite raciste de l’autre, les
jeunes ne trouveront aucun espoir de changement dans les programmes présentés.
Nous devons tout faire pour empêcher l’extrême-droite d’arriver au pouvoir. Ce dimanche,
aucune voix ne doit aller à Marine Le Pen, qui est l’incarnation dédiabolisée du camp fasciste. En
effet, nous ne pouvons laisser l’appareil d’état tout entier, avec l’École, soumis à des politiques
nationalistes, racistes, ultra-libérales, discriminantes, qui veulent annihiler les mouvements sociaux et
toute forme d’organisation des travailleurs, étudiants et lycéens pour défendre leurs droits, leurs
intérêts et la transformation sociale.
La victoire de l’extrême-droite est aujourd’hui une menace réelle puisque d’autant plus probable, c’est
pourquoi chaque lycéen·ne en mesure de voter doit se saisir de tous les moyens possibles
pour faire barrage à cette extrême ennemie de nos luttes et de notre projet de société.
Nous réaffirmons évidemment notre opposition ferme aux deux projets portés par les deux
candidats du second tour. Au cours du quinquennat Macron, l'accumulation des réformes de casse
sociale, l’éloignement progressif des principes de l’École égalitaire et émancipatrice que nous
portons, à travers la destruction des services publics et la multiplication de discours et mesures
sécuritaires, autoritaires et toujours plus discriminantes, surtout à l’égard des étranger·es et des
réfugié·e·s ont entretenu la misère sociale et le désespoir de beaucoup de citoyens vis à vis de
l'action politique.
Emmanuel Macron, au cours du quinquennat, a participé activement de la
banalisation et de la montée de l’extrême-droite et de ses idées dans le pays.
L’issue de cette élection présidentielle, quelle qu’elle soit, ne nous donne qu’une perspective :
préparer un mouvement lycéen et jeune de grande ampleur. Si ce second tour est le choix
inévitable du moins pire, il peut n’être qu’une échéance dont nous n’acceptons pas la traduction
politique. Nous utiliserons donc la rue, les instances et la mobilisation générale autour de notre
organisation pour imposer notre rapport de force et faire passer les revendications des lycéen·ne·s et
des jeunes.