🇩🇿 ALERTE | L’#Algérie frôle le #CasusBelli sur l’affaire des jet-skieurs assassinés au large de #Saïdia, au #Maroc.

- « On me met la tête dans un seau, je suis #torturé »

- « J’ai une botte sur la joue et on me demande si je suis allé en #Israël »

- « On me tend un téléphone, dessus, une photo de mon ami, #Abdelali, #mort, criblé de balles ».

Les gardes-côtes algériens ont violemment maltraités les #vacanciers franco-marocains. Les références irréelles et incompréhensibles à une « judéité » des jet-skieurs révèle un #antisémitisme algérien très profond.

TELEGRAM EXCLUSIVE ⤵️

Il y a un an, des gardes-côtes algeriens ont prit pour cible 4 jet-skieurs marocains, perdus en mer.

Rescapé, mais emprisonné, Ismail Snabi, pere de famille de 3 enfants, a enfin été liberé apres 1 an dans les prisons 🇩🇿

Au quotidien Le Monde, il raconte son expérience cauchemardesque, témoignant de la jaine viscérale que voue les autorités algériennes au Maroc, et aux marocains :

"On fait des tours, des Snapchat, puis, la nuit tombe, la brume se lève ».

Je m’arrête et je dis à Mohamed qu’on s’est trompés. On voit juste un truc blanc au loin. Il n’y a pas de panneau en mer."

Puis les gardes côtes algériens foncent sur eux à toute vitesse, en zigzaguant entre les jet-skis.

« Au départ, je suis content de les voir.
Je me dis qu’ils vont nous aider, nous indiquer la route ».

Ils leurs lancent: « On s’est trompés, on vient du Maroc ».

Les gardes côtes leurs répondent : « Foutez le camp ! Le Maroc, c’est là-bas »

En se dirigeant vers les côtes marocaines, ils entendent des coups de feux (comme relayés par les medias algériens);

Pris de panique, Ismail se jette à l'eau :

« Je me mets à ‘chahed’ comme si mon heure était arrivée, et là j’entends: “T’es juif, pourquoi tu ‘chahed’"? »

Repêché par les gardes-côtes, il est rapidement plaqué au fond du bateau, pieds et mains attachés « comme un agneau » :

« J’ai une botte sur la joue, on me frappe, et on me demande si je suis allé en Israël »

Commence alors l'interrogatoire :

« On me redemande si je suis allé en Israël, si je bois de l’alcool, si je peux réciter telle ou telle sourate du Coran. Je répète que je suis français »

« Je reçois des coups, on me met la tête dans un seau d’eau. Je suis torturé, quoi »

Un agent lui passe la flamme d’un briquet sous sa barbe. « À cet instant, j’ai tellement peur que je n’ai pas mal »

Ils le prennent ensuite en photo aux côtés de son jet-ski criblé de balles, tel «un trophée» de chasse.

Le lendemain il est immédiatement transféré devant un juge et il est condamné dans un premier temps à 3 mois de prison ferme pour « entrée illégale » et pour « délit de contrebande d’un véhicule ».

Le 6 septembre, sa peine passe à 6 mois de prison ferme et à une amende de 15 millions de dinars, soit 100.000 euros

Le 1er octobre le "juge" le condamne finalement à 1 an de prison ferme

En prison, Il «dort sur des couvertures humides, (…) perd 30 kilos -il en pesait 120-, le sommeil, la raison».

Un mois après son incarcération un policier lui tend un téléphone, dessus, une photo de son ami, Abdelali, allongé, mort, et criblé de balles.

Un corps que les autorités algériennes ont d'ailleurs pris 4 mois avant de rendre à la famille, pour qu'il puisse enfin être enterré dignement.

Après s'etre endetté aupres de ses proches, (il touche 1700 EUR en France) il paye la rancon, et est libéré apres un an.

Lui qui est marié à une algérienne, on lui conseille « de mettre son histoire de côté, de ne pas évoquer son affaire en France [car] si tu parles, n’oublies pas que tu as de la famille en Algérie »

Il sera bientot écouté par la police française.

[Texte récupéré via le compte @Jafkech sur X]