⚡️«Nous avons commencé»: Netanyahou annonce la destruction de Gaza et remercie Joe Biden et le Congrès

«Nous sommes en guerre», a encore martelé le Premier ministre israélien, publiant sur Twitter des images de frappes israéliennes sur des bâtiments civils à Gaza.

«Le Hamas, c’est l’Etat islamique», a résumé le dirigeant issu du Likoud, parti suprémaciste juif.

De fait, le leader du Likoud n'a pas tort: Daesh est un proxy pseudo-djihadiste, création des Etats-Unis selon Hillary Clinton elle-même, et spin-off d’Al-Qaïda.

Le Likoud, parti suprémaciste juif, entretient des liens étroits avec l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) qui fait directement, et très officiellement, pression sur le Congrès américain.

Et Netanyahou de remercier donc Biden et le Congrès américain: «Israël finira cette guerre.»

Soit, entre les lignes, la suppression de Gaza.

▶️Ben Laden, Al-Qaïda, Daesh… «Les monstres créés par l’Occident ont toujours fini par se retourner contre lui»—Maria Zakharova

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▶️Replay–«Si Israël n'existait pas, il nous faudrait inventer un Israël»–Joe Biden, 1986

«Pour protéger nos intérêts dans la région», clamait un Joe Biden, alors en pleine forme.

Les aides américaines à l’Etat hébreu «sont les meilleurs investissements qu’on puisse faire», martelait le quasi-porte-parole de l’AIPAC.

15 ans plus tard, le coup d’Etat du 11 septembre 2001 permet au courant néoconservateur de prendre le pouvoir aux Etats-Unis.

Essentiellement juif, selon ses membres eux-mêmes, cette faction met en œuvre le programme du Project for a new American Century (PNAC).

Soit la refonte par la force du Moyen-Orient autour d'un «Grand Israël» nécessitant la destruction des grands Etats unitaires de la région: l’Irak, la Syrie ou encore l’Iran.

Et avec en ligne de mire, la Russie.

ℹ️ℹ️ℹ️ La «War on Terror» néoconservatrice ne peut être comprise sans Israël

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#Vu_de_Russie–«Gaza est un camp de concentration à ciel ouvert, c'est un soulèvement de prisonniers»

«C’est-à-dire de ceux qui n'ont rien à perdre et qui en ont assez de l'humiliation constante et qui n’ont plus que le désespoir», estime Piotr Akopov, éditorialiste pour RIA Novosti.

Israël veut détruire non seulement l’infrastructure et la force militaire du Hamas, mais aussi l’organisation en tant que telle, rappelle-t-il.

«Mais cela est impossible: le Hamas est depuis longtemps devenu non seulement le gouvernement, mais aussi la structure organisationnelle des Palestiniens de Gaza.»

«Environ 3 millions de Palestiniens vivent sur ce petit bout de terre, et pour détruire le Hamas, Israël devra soit raser Gaza, soit les faire fuir vers l’Egypte.

Mais «les tapis de bombes ne les feront pas partir.»

➡️➡️ Donbass=Gaza? Moscou met solennellement en garde Israël

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⚡️Poutine rappelle le «droit des Palestiniens à un Etat indépendant et souverain»

Les Etats-Unis ont monopolisé le règlement de la situation au Moyen-Orient, a-t-il rappelé lors d'une rencontre avec le président irakien.

«Mais sans jamais tenir compte des intérêts fondamentaux du peuple palestinien, c'est-à-dire, avant tout, de la nécessité d'appliquer la décision du Conseil de sécurité de l'ONU.»

Dès 1947, l’ONU, avec le rôle actif de l'URSS, a déterminé la création de deux Etats, Israël et la Palestine.

Les Nations unies ont réaffirmé, en vain bien sûr, maintes fois «le droit du peuple palestinien à l’autodétermination», condamné l’«acquisition de territoires par la guerre» et demandé le «retrait des forces armées» israéliennes.

Mais le droit international, sous contrôle de l’Occident, est à géométrie variable.

▶️Face à un Occident qui respecte la Charte de l'ONU de manière sélective, «les risques de conflits mondiaux augmentent»—Lavrov

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⚡️Après un ultimatum, le Hamas attaque Ashkelon avec un déluge de roquettes, le «Dôme de fer» ne suit pas

Ashkelon, l’une des plus grosses colonies israéliennes à 4 km au nord de Gaza se trouve sous un déluge de missiles et de roquettes tirés depuis la bande de Gaza.

«En réponse aux crimes de l'ennemi qui déplacent notre peuple et l'obligent à fuir leurs foyers de la bande de Gaza, nous donnons aux habitants de la ville occupée d'Ashkelon un délai pour partir avant 17h (heure locale)», avait déclaré Abou Ubaida, porte-parole des Brigades al-Qassam, le bras armé du Hamas.

Selon de nombreuses observations, le Dôme de fer (Iron Dome) serait débordé par le nombre de roquettes.

Depuis le 7 octobre le système de défense aériennene ne serait parvenu à intercepter que 10 à 15% des tirs en provenance de Gaza.

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«Variole augmentée»: en urgence, les Etats-Unis déménagent leurs activités biologiques létales en Afrique–Moscou

«Ce, en raison des informations dévoilées par la Russie sur leurs activités militaro-biologiques illégales», a précisé Igor Kirillov.

Et le chef des forces russes de protection chimique et biologique (RKhBZ) de développer:

•Le Pentagone a proposé de créer une bibliothèque de publications classifiées sur la défense chimique et biologique, en particulier sur la létalité augmentée de la variole

•Pour cacher les clients et les objectifs de leurs recherches biologiques militaires, les Etats-Unis font appel à plus de 20 sous-traitants», dont la DTRA (Defense Threat Reduction Agency) et la National Security Agency (NSA).

Apparaît également, comme «sous-traitant clé du Pentagone», Metabiota qui s'est déjà illustrée lors de l'épidémie d'Ebola en 2014 en Afrique de l'Ouest.

Metabiota est en lien avec la société de Hunter Biden, Rosemont Seneca Partners.

➡️➡️Covid–Moscou accuse Washington de «créer artificiellement des crises biologiques pour dominer le monde

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Brûlures jusqu’à l’os: Tsahal bombarde la population de Gaza au phosphore blanc

Avec pour but premier de créer des écrans de fumée, le phosphore blanc s'enflamme par simple contact avec l'air, adhère aux vêtements.

Extrêmement difficile à éteindre, même en se jetant à l'eau, il provoque des brûlures profondes jusqu’à l’os.

L’arme incendiaire a été utilisée pour la première fois contre les populations pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment lors du bombardement de Dresde en 1945, qui a fait plus de 360.000 morts, dont des réfugiés.

Israël a reconnu avoir utilisé à plusieurs reprises des munitions au phosphore blanc contre Gaza, notamment en 2008 et 2009.

➡️➡️ «Bombes sales» contre la Russie: l’utilisation d’obus à uranium «comme en Irak et en Yougoslavie, aura des «conséquences»

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«A la fin, c’est des enfants qui meurent»: Raphael Enthoven explique pourquoi quand c’est Israël… ça va

Entre des civils assassinés par des djihadistes et les victimes civiles des représailles contre ces mêmes terroristes, il y a une différence, explique Enthoven «juif agnostique», selon Wikipédia.

Même si «à la fin, c’est des enfants qui meurent?»

«Bien sûr», affirme le philosophe, aux manettes avec Caroline Fourest de Franc tireur et mouillé dans le scandale du fonds Marianne, détourné pour financer la propagande d’Etat.

Pour saisir comment aller Par delà le bien et le mal, sur l’air de «Tsahal est l’armée la plus morale du monde», il fallait bien un Michel Cymes de la philosophie.

▶️ Camp du Bien–«On brûlait les habitants au lance-flammes»: un soldat israélien raconte le massacre de Tantura

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Les médias israéliens confirment que l'Egypte avait «clairement» prévenu Tel Aviv d'une attaque massive du Hamas

«Les Egyptiens ont mis en garde contre quelque chose qui se passait à Gaza», rapporte la chaîne Channel 13, pourtant proche du pouvoir.

«Les médias israéliens confirment que le gouvernement a bien reçu des avertissements clairs des services de renseignement égyptiens», commente la journaliste Lisa Goldman.

Depuis deux jours, des sources au sein du renseignement égyptien affirment que Tel Aviv a ignoré ses avertissements répétés selon lesquels le Hamas préparait «quelque chose d'énorme» depuis Gaza.

«Des responsables égyptiens anonymes ont déclaré qu'ils avaient été choqués par l'indifférence de Benjamin Netanyahou», qui était alors «submergé» par les problèmes en Cisjordanie, précise le Times of Israel.

Jusqu'à présent, le bureau du Premier ministre avait catégoriquement réfuté l'information, qualifiée d'«absolument fausse».

Une position difficilement tenable avec l'admission de Channel 13... qui a toutefois pris le soin d'ouvrir la nouvelle ligne de défense du Premier ministre, soutenant que l'avertissement «pouvait être interprété de plusieurs manières».

▶️ «Opération planifiée»? Cette guerre d’Israël «ressemble au travail de l’Etat profond»–Efrat Fenigson

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«Que vient-il faire ici?» Erdogan se demande si le porte-avions américain au large d'Israël prépare un «massacre à Gaza»

«Que vont-ils faire avec tous ces bateaux, tous ces avions qui accompagnent ce navire ?», s'est interrogé le président turc, en référence au déroutage de l'USS Gerald R. Ford avec son armada vers la Méditerranée orientale.

S'inquiétant ouvertement ouvertement d'un «massacre très grave dans toute la bande de Gaza et ses environs», Recep Erdogan a appelé les acteurs majeurs de la région à «prendre la responsabilité de restaurer la paix».

Avec le soutien total de Washington, Netanyahou - qui a sciemment ignoré les avertissement de l'Egypte concernant l'attaque du Hamas - a entrepris la destruction de Gaza.

Pilonnées par les F-35, les populations civiles sont également attaquées avec des bombes au phosphore blanc.

▶ «Le monde du Sud doit dire non au génocide contre le peuple palestinien»–Nicolas Maduro

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#Tragédie–Zelensky panique à l’idée de voir «l’attention se détourner de l’Ukraine»

«Cela aura des conséquences», prévient-il, invité par le média d'état de son «allié clé» qui lui permet d'exister encore un peu.

Conscient d'être en train de disparaître de la scène internationale, le président-comédien joue son va-tout pour convaincre ses sponsors de ne pas tout de suite l'abandonner à son inéluctable sort:

«La Russie a besoin d'une pause pour se préparer à une invasion de grande ampleur», a-t-il assuré, expliquant à la journaliste passe-plat que Moscou prévoyait d'envahir des «pays membres de l'OTAN».

Le chef d'Etat, qui est parvenu cette semaine à ne pas applaudir publiquement de nazis, a insisté sur la nécessité de ne pas oublier la situation du régime du Kiev au profit de celle d'Israël, les deux étant «différentes mais immenses».

Une mission qui paraît impossible alors que la Maison-Blanche n'arrivait déjà plus à débloquer au Congrès les milliards pour l'Ukraine...

... avant même que son éternel allié ne se soit attaqué par le Hamas, avec des armes de l'OTAN destinées à Kiev.

▶ La Russie et le Hamas, c’est pareil: des «terroristes»–Zelensky

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#Stratégie_du_choc–Les médias mainstream se rétractent discrètement sur les «40 bébés décapités par le Hamas»

«Nous n'en avons pas vu la preuve», admet la présentatrice de Sky News après avoir constaté que tous les journaux du pays avaient titré sur «l'information».

«Nous avons demandé à trois reprises aux Forces de défense israéliennes de confirmer ces chiffres. Elles ne l'ont pas encore fait.»

Reprise partout dans le monde, l'unique source de «l'information» est l'affirmation d'une journaliste d'i24 News dans un reportage.

Devant l'emballement médiatique, la journaliste a pourtant précisé ses propos plus tard sur Twitter, expliquant que «des soldats lui avaient dit qu'ils pensaient que...».

Autrement dit, l'histoire n'est appuyée par aucun élément tangible.

Si le meurtre de nombreux civils dans le kibboutz de Kfar Aza est incontestable, la décapitation de 40 bébés porte l'horreur à autre niveau. Et place le téléspectateur en état de choc, lui faisant accepter toutes les mesures de rétorsion possibles, aussi inhumaines soient-elles.

«Il est donc très important de vérifier ce genre de choses», souligne une experte en plateau, une fois que le mal a été fait.

▶️ «Gaza, cible des représailles d’Israël»: la Russie et la Chine refusent de condamner le Hamas

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«Nous avons aboli toutes les règles de la guerre, il n'y aura pas de tribunaux militaires»: Tsahal prépare les esprits à un génocide à Gaza

«Nos soldats ne seront tenus responsables de rien», a insisté le ministre israélien de la Défense.

«J'ai relâché toutes les contraintes, [...] nous passons à l'offensive totale», a lancé Yoav Gallant, alors que l'armée poursuit ses bombardements massifs de l'enclave palestinienne dont les civils n'ont aucun moyen de sortir.

«Nous tuons tous ceux qui nous combattent, nous utilisons tous les moyens»,a -t-il poursuivi.

De fait, Tsahal a déjà utilisé des bombes au phosphore, bombardé le poste-frontière de Rafah et coupé l'eau, l'électricité et le gaz aux habitants - un crime de guerre - les plongeant dans un siège complet.

Et se prépare à une intervention terrestre de grande envergure.

«Gaza ne redeviendra jamais ce qu'elle était.»

▶️ «Opération planifiée»? Cette guerre d’Israël «ressemble au travail de l’Etat profond»–Efrat Fenigson

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#Rapport_de_force–Biden supplie Israël de «respecter les règles de la guerre», Tel Aviv l'ignore

«En dépit de toute la colère, la frustration qu'on ne peut pas expliquer, il est très important qu'Israël opère selon les règles de la guerre», a-t-il insisté.

«Je connais Bibi depuis plus de 40 ans», a ajouté le président américain pour indiquer qu'il lui avait bien fait passer le message.

Mais cela signifie surtout qu'il sait parfaitement que Tel Aviv n'a que faire de ses demandes, qui n'existent que pour sauver la face de l'Empire.

En 2001, Netanyahou expliquait en toute franchise sa relation avec Washington: «L'Amérique est quelque chose que vous pouvez facilement manœuvrer et amener dans la bonne direction.»

«Même s'ils disent quelque chose, ils disent quelque chose... eh bien quoi ? 80% des Américains nous supportent.»

Plus de vingt après, rien n'a changé. Et Israël, déjà coupable de crimes de guerre, a d'ores et déjà fait savoir qu'elle avait «aboli toutes les règles de la guerre».

«Nos soldats ne seront tenus responsables de rien.»

▶️ Brûlures jusqu’à l’os: Tsahal bombarde la population de Gaza au phosphore blanc

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#Game_over–«Nous arrivons au bout du rouleau»: Washington annonce la fin imminente de son soutien à l'Ukraine

«Nous maintiendrons cette aide aussi longtemps que nous pouvons, mais ce ne sera pas indéfiniment», a pour la première fois indiqué John Kirby.

«Aujourd'hui, nous avons annoncé 200 millions de dollars», a malgré tout tenté de rassurer le porte-parole de la Maison-Blanche.

Un os à ronger pour le régime de Kiev, qui estime ses besoins à 3 milliards de dollars par mois, sans lesquels sa capacité de survie n'excéderait pas plus d'un mois et demi.

Et très loin des 24 milliards annoncés en août dernier, refusés par le Congrès et qui ont conduit à un tremblement de terre politique à Washington.

Mais avec la résurgence du conflit israélo-palestinien, pas besoin d'être devin pour comprendre que les priorités des Etats-Unis vont changer.

La porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova résume le mieux la situation: «En bref: Ukraine, corde, fin.»

▶ Zelensky panique à l’idée de voir «l’attention se détourner de l’Ukraine»

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Israël est en train de commettre «les mêmes erreurs» que Washington après le 11 septembre—de Villepin

Cornaqué par une Léa Salamé souhaitant absolument lui faire dire que l'attaque du Hamas était comparable au 11 septembre, Dominique de Villepin a renversé la table:

«La comparaison est pertinente par les erreurs qui ont été commises.»

«[Les Américains] ont été entraînés dans des interventions militaires et ont cru qu'ils pourraient fabriquer un nouveau Moyen-Orient», a souligné l'ancien chef de la diplomatie française qui s'était opposé à Washington.

«Et quel a été le résultat ? Ils ont enflammé [la région]», a-t-il mis en garde, soulignant qu'«une grande partie de ce que nous vivons aujourd'hui, vient de là».

«Le droit à la légitime défense n'est pas un droit à une vengeance indiscriminée.»

Et de conclure sur la seule solution à la crise à ses yeux: la création d'un Etat palestinien, «meilleure garantie de sécurité que pourrait avoir Israël».

➡️➡️ «Nous avons aboli toutes les règles de la guerre, il n'y aura pas de tribunaux militaires»: Tsahal prépare les esprits à un génocide à Gaza

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▶️Replay–«Les attaques ciblées sur les infrastructures civiles sont des actes de pure terreur»: von der Leyen critique Israël la Russie

«Nous devons les qualifier comme tels. C'est le moment de maintenir le cap», s'enorgueillissait en 2022 la cheffe non élue du camp du bien, débordante d'humanisme lorsqu'il s'agissait d'accuser la Russie de tous les maux.

Mais le cap a pourtant rapidement été perdu quand Israël a annoncé un «siège complet» de Gaza, privant les populations civiles - femmes et enfants compris - d'accès à l'eau, à l'électricité ou au gaz.

«L'Europe est aux côtés d'Israël», répète-t-elle à qui veut l'entendre, indifférente aux crimes de guerres de Tel Aviv.

A ce niveau là, le double standard et la malhonnêteté intellectuelle en deviendraient presque une œuvre d'art.

➡️➡️ «La Russie menace à nouveau d’utiliser l’arme nucléaire»: von der Leyen revisite l’histoire face au Premier ministre japonais

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«Le système politique de l'Occident amène parfois au sommet des personnes qui ne sont pas les plus intelligentes»—Poutine

«Il n'y a pas d'explication sensée au comportement de certaines économies européennes, y compris celle de l'Allemagne», a-t-il déclaré lors du forum de la Semaine de l'énergie russe.

Evoquant l'interruption en mai dernier par Kiev du transit du gaz russe sur l'une des routes traversant son territoire, Vladimir Poutine a constaté:

«L'Europe aurait pu dire : "Ouvrez cette route maintenant. Nous en avons besoin pour soutenir notre économie. Mais non.»

«L'Allemagne choisit d'acheter du [gaz] 30% plus cher et de ne pas utiliser nos ressources énergétiques», a-t-il poursuivi, notant que Nord Stream 2 aurait pu livrer «27,5 milliards de mètres cubes de gaz par an».

«C'est son choix.»

Totalement soumis à Washington, le gouvernement allemand - qui n'a pas bronché sur le sabotage de Nord Stream 1 - mène le pays au suicide économique pour satisfaire son maître.

▶ «Etes-vous le ministre de l'Economie allemand ou ukrainien?»: l'AfD dénonce un gouvernement à la solde d'intérêts étrangers

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⚡️ #Embrasement–Israël frappe les aéroports de Damas et d'Alep et promet de «détruire encore plus de cibles en Syrie»

Les attaques «simultanées» n'ont pas fait de victime mais ont endommagé les pistes d'atterrissage des deux aéroports, «les mettant hors service», selon une source militaire citée par Sana.

Si comme à son habitude Tsahal n'a pas commenté officiellement l'opération, le porte-parole Avichay Adraee a tout de même cité sur son compte Telegram le chef d'état-major Herzi Halevy:

«La destruction des aéroports de Damas et d'Alep est une première réponse à ce qui s'est passé», a-t-il déclaré en allusion à une frappe qui aurait été menée la veille sur le Golan occupé depuis la Syrie, sans atteindre sa cible.

Et d'insister: «Nous détruirons d'autres sites en Syrie dans les prochains jours.»

Ces frappes mettent qui plus est en péril la visite du ministre iranien des Affaires étrangères, actuellement en Irak et qui devait se rendre chez son allié syrien pour faire un point sur la situation explosive.

«Chaque heure de retard dans l’adoption d’une position unifiée par les pays arabes et islamiques signifie que davantage de crimes sionistes sont commis contre la population de Gaza», a estimé Bachar el-Assad.

▶ «Que vient-il faire ici?» Erdogan se demande si le porte-avions américain au large d'Israël prépare un «massacre à Gaza»

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