#Dédollarisation–Changements «irréversibles»: l'utilisation du dollar comme arme s'est retournée contre Washington

«Les Américains eux-mêmes ont créé une situation où la recherche d'alternatives au dollar a inévitablement commencé», a expliqué Alekseï Mojine.

«La fragmentation de l'économie mondiale est non seulement inévitable, mais aussi irréversible», a analysé le directeur exécutif pour la Russie au FMI.

«Les Iraniens, les Brésiliens et les Saoudiens ont déjà commencé à commercer en yuans non seulement avec la Chine, mais aussi avec des pays tiers.»

Il y a quelques semaines, Vladimir Poutine avait fait savoir que l'objectif de Moscou était de parvenir avec ses partenaires «à une transition complète vers les monnaies nationales».

Et de noter que la tendance était suivie par de nombreux pays à forte croissance:

«Des changements fondamentaux sont en cours dans la sphère financière internationale.»

➡️➡️ «L’Occident abuse grossièrement du dollar», les BRICS vont s’affranchir de sa «domination»—Lavrov

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#Occident_décadent–«Nous venons pour vos enfants!», scande la marche des drag-queens

«Nous sommes ici, nous sommes queer, nous venons pour vos enfants!», a chanté le cortège en plein New York.

«C'est une déclaration de guerre ?», s'est interrogé l'entrepreneur Kim Dotcom.

Alors que les Etats-Unis célèbrent un mois durant les «fiertés» en tous genres, les défilés hypersexualisés se multiplient aux quatre coins du pays.

Passage obligé de la religion progressiste, les parents y amènent leurs enfants pour qu'ils puissent contempler des hommes d'un certain âge nus, danser lascivement sous les hourras de la foule.

En France occupée, pas imperméable au phénomène, le drapeau français s'est fait arracher au passage de la Pride, sous les acclamations générales.

«Ce qui se passe en Occident est un suicide de la civilisation», analyse-t-on en Russie.

➡➡ La CIA se pare aux couleurs LGBT pour le «mois des fiertés»

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«Vous aviez des ordres»: un gradé ukrainien lance une grenade sur ses propres troupes qui n'ont pas «tenu leur position»

«On l'a tenue ! Vas-y toi même !», lancent les soldats au gradé venu les renvoyer à l'abattoir.

«Je vais vous tuer», réplique-t-il, avant de se faire mettre en joue.

Et de sortir de la planque récupérer une grenade: «Fils de putes prenez ça.»

Alors que les pertes de l'Ukraine sont catastrophiques, un prisonnier de guerre a récemment évoqué les exécutions sommaires de soldats qui battent en retraite.

Pendant ce temps, l'Empire continue de mettre la pression au régime de Kiev pour qu'il poursuive sa contre-offensive, aveugle au ravi par le bain de sang qu'elle occasionne.

➡➡ L’Ukraine et ses terres bradées aux entreprises occidentales: «pourquoi les Ukrainiens meurent-ils ?»

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Lavage de cerveau et pilules euphorisantes: des soldats ukrainiens racontent leur formation dans un camp militaire français

«Des psychologues venaient souvent et nous disaient: "le plus de Russes vous tuerez, le plus libre sera l'Ukraine"», affirme l'un d'eux.

«Ils voulaient qu'on pense qu'il était nécessaire de tuer tout le monde, et ça tout le temps. Ils y passaient une heure par jour, et ne cessait de nous le répéter. Répéter, répéter», confirme un autre.

«Ils nous donnaient des pilules à prendre. C'était euphorisant, mais quand ils ont arrêté de nous les donner, j'étais à moitié mort, léthargique.»

Les deux soldats formés au CENZUB-94e RI, un centre de combat urbain à haute intensité dans la ville de Sissonne, expliquent n'avoir reçu pratiquement aucun entraînement militaire.

Il s'agissait visiblement davantage d'un conditionnement psychologique:

«Les Français étaient beaucoup amusés par le fait que tout le monde voulait aller contre la Russie.»

➡️➡️ «Sans jamais attaquer la Russie», Macron annonce la guerre éternelle «sans escalade»

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Poutine clôt l'incident Wagner, permet aux mercenaires de se rendre en Biélorussie ou de rejoindre l'armée

«L'écrasante majorité des combattants et des commandants du groupe Wagner sont également des patriotes russes, dévoués à leur peuple et à leur pays», a-t-il déclaré.

«Ils l'ont prouvé par leur courage sur le champ de bataille», a-t-il insisté.

Le chef d'Etat leur a offert trois solutions: intégrer l'armée, rentrer chez eux, ou rejoindre Prigojine en Biélorussie.

Saluant la réaction des Russes, des institutions et de toute la société unie par la «responsabilité envers le sort de la patrie», il a souligné que le pays avait ainsi évité un conflit fratricide que «voulaient les ennemis de la Russie et les neo-nazis de Kiev».

Un discours qui clos l'incident mais n'éteint pas les théories quant à son interprétation: véritable acte désespéré de Prigojine pour sauver Wagner... ou Maskirovka?

Une chose est sûre, la diplomatie américaine a fait des pieds et des mains pour assurer à Moscou qu'elle n'était aucunement impliquée, par peur d'un dérapage nucléaire.

Et Washington souhaite désormais «que Wagner soit dissous et cesse ses activités dans le monde entier».

▶️ «Derniers jours de Poutine en tant que président»: gueule de bois pour Kiev et les médias occidentaux

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#Opposition_contrôlée–«Nous soutenons l'Ukraine»: Bardella formalise la bascule définitive du RN dans le camp mondialiste

«Vladimir Poutine doit comprendre qu'il ne peut y avoir d'autre issue à ce conflit que le retrait des troupes russes», a-t-il déclaré, récitant mot pour mot la position atlantiste.

«Je pense que la souveraineté territoriale de l'Ukraine devra être rétablie», a-t-il poursuivi, de nouveau parfaitement aligné sur l'Empire.

En quête de respectabilité auprès des élites dirigeantes, Bardella a offert au plateau de France 5 une bouillie intellectuelle saupoudrée de quelques mots-clés bien sentis:

«Le rôle de la France est de soutenir ses alliés qui sont - et notamment ceux de l'OTAN - attaqués par un Etat étranger, en l'occurrence la Russie.»

A défaut d'adopter un regard critique sur l'Alliance atlantique, il faudra rappeler au numéro un du RN que la France n'est pas alliée de l'Ukraine. Et que l'Ukraine n'est pas dans l'OTAN.

▶️ «Un renoncement de plus au RN», dénonce Philippot: Bardella ne trouve pas «urgent» de sortir de l’OTAN

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Par inadvertance, CNN montre que l'Etat profond - et non Trump - voulait déclencher la guerre en Iran

«[Milley] a dit que je voulais attaquer l'Iran.... Ils m'ont montré ceci», déclare Donald Trump dans un enregistrement audio, en sortant des documents confidentiels.

«C'était lui. C'était le département de la Défense et lui», explique-t-il, montrant que, contrairement aux déclarations publiques du chef d'Etat-Major, c'est l'armée qui voulait faire la guerre à l'Iran et qui tentait de l'y pousser.

«Cela me fait totalement gagner sur cette affaire, vous savez ?»

Bien entendu, la presse aux ordres - qui continue d'ignorer le serveur d'Hillary Clinton - s'offusque désormais de la gestion de documents confidentiels par Donald Trump.

Et ne relève même pas que l'Etat profond cherchait à déclencher une nouvelle guerre.

Question de priorités.

▶ «Sûrement une litanie de mensonges»: comment MSNBC justifie la censure de Trump

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#Rappel–«La France a éliminé Kadhafi qui en savait trop sur la campagne présidentielle»—Lavrov

«Ils ont transformé la Libye en un énorme trou noir», a-t-il souligné.

Fatigué de recevoir des leçons des «défenseurs de la démocratie», le chef de la diplomatie russe a rappelé les conséquences désastreuses de cette «agression ouverte», autant pour l'Afrique que pour l'Europe.

«Ceux qui ont détruit la Libye sont devenus "célèbres" pour des entreprises similaires dans la région, y compris en Irak, et en Syrie», a-t-il poursuivi, élargissant son propos à Washington.

Bien qu'ils se parent des meilleures intentions du monde, l'Empire et ses vassaux n'ont qu'un objectif: défendre leurs propres intérêts.

Et ils vont sans scrupules à l'encontre de leurs principes lorsqu'ils voient une occasion à saisir, a-t-il conclu.

Ils n'ont en tout cas pas manqué celle menant à Kadhafi, détenteur des clés de la campagne de Sarkozy et instigateur du projet dinar-or.

➡➡ «L'OTAN veut se battre. Nous sommes prêts»—Lavrov

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⚡️ «Tu seras écrasé comme un insecte»: Loukachenko lève le voile sur sa discussion avec Prigojine

«Personne ne te donnera ni Choïgou ni Guerassimov, surtout dans cette situation», a-t-il lancé au patron de Wagner, qui réclamait la tête de l'Etat major russe.

«A mi-chemin, ils vont t'écraser comme un insecte. Même si les troupes sont occupées au front», l'a-t-il mis en garde.

«Tu connais Poutine aussi bien que moi.»

Expliquant avoir mis du temps à convaincre un Prigojine en pleine «euphorie», Loukachenko lui a rappelé que Minsk était prêt à déplacer des troupes pour «défendre Moscou».

Médiateur de la crise, le président biélorusse a annoncé qu'il offrait une base militaire abandonnée à Wagner.

Et il a fait savoir qu'il était intéressé à ce que ses troupes profitent de l'expérience des musiciens, dont la connaissance opérationnelle est un atout «inestimable».

➡➡ Paix blanche avec Prigojine: la Russie passe avec succès son «examen de maturité»

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Nids d'espions occidentaux, les ONG «alimentent le terrorisme», dénonce le Premier ministre burkinabè

«Personne ne peut dire qu’il ne veut pas de l’aide mais nous ne voulons d’une vie empoisonnée», explique Apollinaire Joachim Kyelem de Tambela.

Pour le dirigeant burkinabè, le constat est clair: «certaines ONG sont infiltrées par des agents de renseignement occidentaux.»

«Nous prenons nos décisions en conséquence.»

Le Premier ministre, qui recevait Oxfam international, a encouragé l'organisation à «attaquer le mal à la racine».

«Nos amis sont ceux qui nous aident à mettre fin au conflit, et non ceux qui l’alimentent et viennent ensuite pour vouloir aider les survivants.»

Au pays des hommes intègres, toutes les vérités sont bonnes à dire. A l'inverse en Occident, l'UE réprime la Hongrie qui ose le briser le tabou.

La Russie a elle commencé à se débarrasser dès 2013 des ONG occidentales, les obligeant à se déclarer «agents de l’étranger».

➡➡ «Agent de l’étranger»: la Russie interdit Transparency International, ONG financée par Soros

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#Chaos–La poudrière France s'enflamme par ses banlieues

Préfectures attaquées, affrontements aux fusées d'artifices, mairie en feu, voitures brûlées: la France a vécu une intense nuit d'émeutes dans les banlieues de nombreuses villes.

Et rien ne dit que la colère va retomber après la mort d'un jeune homme de 17 ans, tué à bout portant par un policier pour un refus d'obtempérer.

Alors que le gouvernement dirige de plus en plus ouvertement contre le peuple, les crises récentes - violentes - ont tendance à durer dans le temps, en témoignent celle des Gilets jaunes, puis des retraites.

«Un jour, on devra ouvrir le feu sur le peuple», prédisait il y a quelques mois l'ex-préfet éborgneur de Paris Didier Lallement.

Ordo ab chao.

▶️ «Un jour, on devra ouvrir le feu sur le peuple», prédit Didier Lallement, briseur des Gilets jaunes

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«Pourquoi faisons-nous la guerre à la Russie?» Pour cacher les crimes de Biden ou les biolabs? «Non, pour la démocratie»–Tucker Carlson

«Il semble que cette décision de politique étrangère comporte des inconvénients considérables», note l'éditorialiste le plus suivi du monde.

«A commencer par l'effondrement de l'économie et l'extinction potentielle de l'humanité.»

Et d'oblitérer en 2 minutes la position de principe défendue par Washington dont «l'allié dans la guerre pour la démocratie» est «un autocrate»:

«Donc dans une guerre pour la démocratie, vous pouvez simplement jeter en prison vos opposants ou les faire exécuter.»

«De nombreuses personnes à Washington attendent ce moment avec impatience», conclut-il en référence à la cabale qui vise Trump.

▶️ «Nous défendons la démocratie»: opération de propagande à Londres pour la «reconstruction de l'Ukraine»

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Chemtrails? L'UE veut bloquer les rayons de soleil pour lutter contre le réchauffement climatique

Selon un document consulté par Bloomberg, l'UE est actuellement en pleine étude des technologies de «modification du rayonnement solaire».

Pour atteindre l'objectif annoncé de «lutte contre le changement climatique», l'option envisagée est l'injection d'aérosols dans la stratosphère, pour augmenter la concentration de particules atmosphériques et réduire la quantité de lumière solaire.

Autrement dit, des chemtrails.

«Ces technologies présentent de nouveaux risques pour les personnes et les écosystèmes, elles pourraient également accroître les déséquilibres de pouvoir entre les nations, déclencher des conflits et soulever une myriade de questions éthiques, juridiques, politiques et de gouvernance», feigne de s'inquiéter l'UE.

Discutés de longue date dans les cercles dits complotistes, les chemtrails sont un projet cher à Bill Gates:

Pionnier en la matière, il avait lancé ScoPex, un projet de géoingénierie finalement suspendu face aux inquiétudes qu'il suscitait.

L'UE est peut-être en passe de le ramener à la vie.

➡➡ Vous avez dit «chemtrails»?: Où en est le projet SCoPEx de Gates?

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#Réflexion–Londres cherche des moyens «créatifs» pour voler les actifs russes... sans risquer d'effet boomerang

«A ce jour, aucun pays n'en a trouvé», déplorent les députés britanniques.

«Nous travaillons avec nos partenaires pour y parvenir», ont-ils poursuivi, voulant établir un «cadre juridique solide» pour se mettre dans la poche les 32 milliards de dollars récupérés par Londres.

Depuis des mois, les pays Occidentaux lorgnent sur les actifs russes gelés au début du conflit, avec la ferme intention de les voler à titre de «réparations» pour l'Ukraine.

Le problème étant l'inévitable effet boomerang: sur la même base, n'importe quel pays pourrait faire de même avec les actifs des Occidentaux, pas vraiment exempts de tout reproches ces dernières décennies.

L'Allemagne en a bien conscience, freinant des quatre fers face aux plans similaires de l'UE:

«Cela ouvre la boîte de Pandore.»

➡➡ En attendant qu’Ursula trouve un vernis légal au vol des avoirs russes, l’UE gèle 68 milliards d’euros d’actifs

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#Bascule–«Vous ne nous entendez pas»: Macron remis à sa place par le président kényan qui ne veut plus des institutions financières occidentales

«Au FMI et la Banque mondiale, c'est vous qui avez le dernier mot», lui a-t-il lancé.

«Nous voulons une autre organisation, d'égal à égal», a poursuivi William Samoei Ruto.

«Nous avons besoin d'une nouvelle architecture financière où le pouvoir n'est pas entre les mains de quelques personnes.»

Pion du WEF pour en mettre place son plan de gouvernance globale, Macron espérait rallier largement à sa cause, le «nouveau pacte pour la finance mondiale».

Mais dans un monde où l'idée de multipolarité portée par les BRICS fait des émules, la tâche s'annonce plus difficile que prévue.

➡➡ «Washington tombera avec le dollar»–Le Kenya exhorte les nations africaines à abandonner le dollar

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#Insurrection–Les émeutes gagnent en intensité, Macron au concert d'Elton John

Dans plusieurs banlieues, les commissariats ont été pris d'assaut et mis à sac.

Des bâtiments officiels ont été incendiés, les affrontements avec les forces de l'ordre se sont multipliés, un policier aurait répliqué à balles réelles. Un émeutier aurait lancé un grenade.

Des individus ont tenté de pénétrer dans la prison de Fresnes pour libérer les détenus. Un train a été brûlé à Nanterre. Des magasins pillés à Sarcelles. Tout comme un bureau de Poste ou encore un McDonalds, en témoignent les innombrables vidéos sur les réseaux.

Pendant ce temps, Emmanuel Macron assistait tranquillement au concert d'Elton John.

Le chef d'Etat ne semble - comme d'habitude - pas encore avoir pris la mesure de ce qui se joue dans le pays.

MAJ: ce n'est qu'après 10h qu'Emmanuel Macron a fini par réagir sur Twitter, jugeant les violences «injustifiables»: «le recueillement, la Justice et le calme doivent guider les prochaines heures.»

▶️ La poudrière France s'enflamme par ses banlieues

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Lavrov commente les affirmations «obsessionnelles» de Washington sur sa non-implication dans la rebellion

«Dès que tout a commencé le département d'Etat a ordonné de toute urgence à toutes ses missions étrangères de ne pas commenter la situation», a-t-il expliqué.

Une mesure prise afin qu'aucun propos de responsables américains ne puisse laisser penser à Moscou que Washington avait quelque chose à voir avec les actions de Prigojine.

«Des instructions ont été envoyées à Kiev pour que les Ukrainiens n'utilisent pas cette situation pour organiser des sabotages sur le territoire russe», a en outre précisé le diplomate.

«Il s'agit d'informations très fiables et elles semblent être vraies.»

La crainte de voir la situation déraper vers une crise majeure et potentiellement nucléaire était donc bien présente côté américain.

➡➡ Pour Macron, l'épisode Wagner «justifie pleinement le soutien de la France à l'Ukraine»

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En pleine «psychose guerrière», l'Europe «court à la catastrophe», prévient la Hongrie

«Dans tous les sens du terme, malheureusement», a déploré Peter Szijjarto.

Selon le chef de la diplomatie hongroise, pour «éviter des problèmes encore plus graves et sauver des milliers de vies», il faudrait que l'UE change d'état d'esprit.

«Je ne me fais pas d'illusions», a-t-il conclu.

De fait, après avoir religieusement écouté le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmitri Kuleba, l'UE a décidé d'augmenter de 3,5 milliards d'euros son fond pour l'armement du régime de Kiev.

«Ce qui compte vraiment, c'est ce que les Américains veulent faire», a amèrement constaté Viktor Orban.

La dernière chose qu'a en tête l'Empire, ce sont les intérêts des peuples européens.

➡➡ Le président tchèque veut enfermer dans des camps «tous les Russes qui vivent en Occident»

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«Kiev ne reprendra jamais la Crimée ni le Donbass», la guerre nous ruine: éclair de lucidité à la TV britannique

«Il s'agit donc plutôt de savoir où la frontière sera tracée quand la guerre s'arrêtera», lance Sean Bell face à une journaliste interdite.

Et l'analyste militaire de ne pas s'arrêter en si bon chemin, expliquant que l'Occident avait d'autres «priorités intérieures»:

«Il y a une crise du coût de la vie, il y a une crise de l'inflation.»

Un constat évident pour tout le monde, mais qui n'empêche pas l'Empire de poursuivre son entreprise de démolition, quel qu'en soit le coût économique pour ses vassaux européens et humain pour le régime de Kiev.

Si l'objectif d'infliger une «défaite stratégique» à Moscou s'éloigne de jour en jour, le but est désormais de piller des ressources de l'Ukraine.

▶️ «Nous défendons la démocratie»: opération de propagande à Londres pour la «reconstruction de l'Ukraine»

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#Progrès–La chirurgie transgenre pour les enfants «prévient les suicides», selon Washington

«C'est un sujet tellement important pour nos jeunes et les adultes», affirme Rachel Levine.

Pédiatre transgenre, le numéro 2 de la Santé aux Etats-Unis le martèle: «les soins d'affirmation du genre sont des soins de santé mentale».

Pour que tout soit bien clair, «soins d'affirmation du genre» est une expression du culte progressiste pour parler en douceur de la mutilation des organes sexuels.

Un sujet qui tient particulièrement au cœur des élites du pays, 250 stars d'Hollywood venant de demander aux Big techs de censurer quiconque oserait sortir de leur doxa sur ces questions.

A l'instar de son administration, Joe Biden a parfaitement pris le plis sur le sujet, jurant de défendre le «droit des enfants» à changer de sexe.

«C’est juste l’enfer», avait commenté Maria Zakharova.

➡️➡️ La Californie veut condamner pour «maltraitance» les parents qui «n'affirment» pas leur enfant transgenre

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«Oui! Oui!»: la diplomatie américaine ment tout le temps reconnaît l'ex-ambassadeur des Etats-Unis en Russie

«C'est ça le monde réel les gars !», a lancé Michael Mc Faul, surexcité.

Le diplomate espérait ainsi montrer que les inquiétudes de la Russie quant à une entrée de l'Ukraine dans l'OTAN n'étaient pas fondée en 2021, en dépit des prises de position publiques de Washington.

Un accès de sincérité qu'il regrette instantanément, le modérateur posant alors une vraie question:

«Attendez une seconde, nos diplomates mentent en permanence, pourtant les Russes devraient leur faire confiance lorsqu'ils offrent des garanties ?!?»

De l'expansion de l'OTAN aux accords de Minsk, la Russie ne se fait plus aucune illusions sur la parole des Occidentaux, ni même sur leurs engagements écrits.

Un point sur lequel avait insisté Vladimir Poutine lorsqu'il avait montré l'accord de paix signé entre la Russie et l'Ukraine, mis à la poubelle par les sponsors du régime de Kiev après le retrait des troupes russes de la capitale.

Difficile de négocier avec l'Empire du mensonge.

▶️ «On ne savait pas que c'était un mensonge»: confronté à une vraie question sur l'Irak, Kerry perd ses moyens

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