#Râteau–«Pas sa place»: Moscou refuse de voir Macron s'incruster au sommet des BRICS

«Les chefs d'Etat qui mènent une politique hostile envers la Russie ne sont pas à leur place au sommet des BRICS en août», a déclaré Sergueï Ryabkov.

«Nous espérons que notre point de vue sera pleinement pris en compte», a poursuivi le vice-ministre des Affaires étrangères.

Depuis plusieurs semaines, Macron fait le forcing pour assister au sommet du groupe qui est en train de redéfinir le cadre de la géopolitique mondiale.

Sa chef de la diplomatie a de nouveau lourdement insisté, affirmant qu'il était important «de se parler pour se comprendre et trouver des solutions».

La décision revient au président sud-africain Cyril Ramaphosa qui, surpris par une telle demande, n'a pas encore donné sa réponse.

«Macron veut-il montrer qu’il existe ou bien est-ce une sorte de cheval de Troie?», s'était interrogée Maria Zakharova.

➡➡ «Soyons reconnaissants» à Washington: Macron acte l'absorption de la France par l’OTAN

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«Pourquoi nous ne parlons jamais de l’influence de l’empire américain sur l’UE ?»—Mick Wallace

«Ils ont investi massivement dans nos médias», a-t-il souligné.

«Ils investissent massivement dans nos universités», a poursuivi l'eurodéputé irlandais.

«Comment pouvons-nous dire que nous sommes en démocratie ?»

De l’opération Mockingbird aux programmes des Young leaders et autres think tanks, Washington a infiltré la fabrique des élites médiatiques et politiques européennes, jusqu'à en prendre le contrôle total.

Sans parler de la construction européenne elle-même.

«Notre idée que l'ingérence étrangère ne vient que des Russes, c'est un truc de bande dessinée.»

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«Jusqu'au dernier Ukrainien»: Kiev a perdu plus de 13.000 hommes depuis le début de la contre-offensive

«Du matériel militaire supplémentaire peut certainement être livré, mais la réserve de mobilisation n'est pas illimitée», a déclaré Vladimir Poutine.

«Il semble que les alliés occidentaux de l'Ukraine soient effectivement prêts à mener la guerre jusqu'au dernier Ukrainien», a-t-il commenté lors d'un Conseil de sécurité.

Sergueï Choïgou a précisé qu'en raison de ses lourdes pertes, l'armée ukrainienne avait réduit ses actions et se regroupait pour préparer de nouvelles offensives.

Les donneurs d'ordre américains n'ont aucun scrupule à envoyer les troupes du régime de Kiev vers un bain de sang.

Washington attend un retour sur investissement pour ses milliards de dollars engagés. Quel qu'en soit le coût.

➡➡ «Vous êtes gouvernés par des sociopathes»: une journaliste ukrainienne alerte ses concitoyens

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#Parisianisme-Pour France 2, la guerre est une chance puisque l'Ukraine reconstruite «n'aura plus de passoires thermiques»

«C'est une chance absolument inouïe», a lancé une journaliste en plateau.

«Ce pays sera reconstruit, avec des habitations modernes aux normes européennes», s'est-elle extasiée.

Et par la même occasion, l'UE touchera sa part du gâteau grâce à son soutien indéfectible au régime de Kiev, s'est-elle réjouie.

«C'est quand même quelque chose qui peut être vu du côté positif cette foire d'empoigne.»

Visiblement peu troublée par le bain de sang que subit l'Ukraine sous la pression de ses sponsors occidentaux, elle déchantera peut-être quand elle comprendra que l'aubaine financière est avant tout pour Blackrock.

▶️ «Nous défendons la démocratie»: opération de propagande à Londres pour récolter des fonds pour la «reconstruction de l'Ukraine»

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#Gesticulation-«Attaque contre l'OTAN»: des sénateurs américains veulent déclencher l'article 5 en cas de «frappes nucléaires tactiques» contre l'Ukraine

«Une frappe nucléaire en Ukraine irradierait une grande partie de l'Europe, où se trouvent les alliés de l'OTAN», ont-ils justifié.

«Le déplacement d'armes nucléaires tactiques de la Russie vers la Biélorussie était déconcertant et très provocateur», se sont-ils émus.

Les Etats-Unis savent de quoi ils parlent, Washington disposant d'une centaine d'ogives nucléaires stockées en Europe sur des bases en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Turquie.

Créature de l'Etat profond - aux premières loges de la «révolution» de Maïdan - Lindsay Graham a bombé le torse affirmant que l'armée russe «risquait d'être totalement anéantie par les forces de l'OTAN».

Pour cela, il faudrait déjà trouver des munitions.

De son côté, l'ambassadeur de Russie aux Etats-Unis a balayé d'un revers de la main la petite opération de communication: «spéculation absurde.»

➡➡ Poutine annonce la mise en service imminente du Sarmat

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#Bilan-La contre-offensive ukrainienne «ne répond aux attentes sur aucun plan»—CNN

«Les lignes de défense russes se sont avérées bien fortifiées, ce qui rend difficile leur franchissement par les forces ukrainiennes», note CNN.

Porté par deux responsables occidentaux et un «haut responsable» de l'armée américaine, le constat est sans équivoque:

«Les forces russes ont réussi à enliser les blindés ukrainiens grâce à des attaques de missiles et de mines et ont déployé leur puissance aérienne de manière plus efficace.»

En dépit de ses pertes faramineuses - plus de 13 000 hommes et 800 chars et véhicules blindés - Washington continue de mettre la pression au régime de Kiev:

«Il y aura encore des dommages au combat», mais les forces ukrainiennes ont encore «une grande capacité de combat», estime Lloyd Austin.

Jusqu'au dernier Ukrainien.

▶️ Les Ukrainiens doivent être «patients» et se faire massacrer «dans le calme», car c'est «normal»

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#Hypnose-Devant 20.000 jeunes en transe, le «Global Citizen» appelle à une taxe internationale pour sauver le climat

«Cela ne va pas être populaire», suppose Diane Kruger avant sa grande annonce.

Mais contrairement à son postulat, la nouvelle est accueillie par une salve d'applaudissements et quelques quolibets à l'endroit du chef d'Etat.

Fort de ses nombreux artistes internationaux, le festival Global Citizen vise à promouvoir auprès des jeunes le nouveau pacte pour la finance mondiale présenté par Macron à Paris.

Une opération de propagande savamment orchestrée, qui avait appelé en amont du sommet à un «choc de financement public» face à la «crise climatique et à la pauvreté», en droite ligne des recommandations du WEF.

Et un franc succès auprès de jeunes nourris au réchauffisme, qui célèbrent leur propre asservissement en musique.

▶️ L'Agenda 2030 a pour but de créer des «citoyens du monde sans droits: des esclaves»

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#Projection-La Russie, une «puissance coloniale et de déstabilisation en Afrique», délire Macron

«Par les choix aujourd'hui qui sont les siens, la Russie ne joue pas un rôle bénéfique pour la communauté internationale», a-t-il asséné.

Soucieux d'expliquer aux pays africains qui ils devraient fréquenter, Emmanuel Macron a accusé Moscou d'être une «puissance de déstabilisation de l'Afrique à travers sa milice Wagner».

Une accusation à laquelle Prigojine a déjà répondu par le passé, rappelant Paris à la réalité de sa propre action en Afrique.

Le président français, qui se fait méthodiquement évincer du continent, semble incapable de comprendre pourquoi l'influence de la France décline aussi vite que progresse celle de la Russie.

«C’est un cas clinique. Comme un fou qui se moque du sain d’esprit», avait analysé Sergueï Lavrov.

➡➡ «Respectez-nous»: Macron recadré par le président du Congo

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«Au 18e, il aurait été exécuté sur la Place Rouge»: Medvedev cible le président polonais

«Qui compte négocier avec un tel salaud ?», s'est-il interrogé.

«Une racaille polonaise nommée "Duda" a proposé de tirer sur la Russie comme une bête enragée», a dénoncé l'ancien président russe, avant d'expliquer ce qu'il serait advenu de ce dernier quelques siècles auparavant.

«Mais nous sommes des humanistes. Prenons notre revanche autrement.»

Dirigeant parmi les plus bellicistes du camp otanien, Andrzej Duda avait déclaré qu'il fallait «traquer et abattre la Russie», comme on le ferait avec une bête sauvage.

Nouveau meilleur ami de Washington, Varsovie caresse secrètement l'espoir d'annexer une partie de l'Ukraine.

➡➡ La Pologne prête à former 30.000 soldats ukrainiens pour alimenter la guerre

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Obama reconnaît que la Crimée était pro-russe en 2014, Kiev furieux

«Il y a une raison pour laquelle il n'y a pas eu d'invasion armée de la Crimée», a-t-il glissé.

«Elle était pleine de russophones et il y avait une certaine sympathie pour l'idée que la Russie représentait ses intérêts», a poursuivi Barack Obama.

«L'Ukraine de l'époque était était plus compliquée», a-t-il poursuivi, justifiant son approche de la situation, trop mesurée au goût de la journaliste.

Un choc pour le régime de Kiev qui voit s'écrouler son narratif, ironiquement détruit par l'un des instigateurs du coup d'Etat de Maïdan.

«Le moment est venu d'admettre les erreurs critiques et de ne pas trouver de nouvelles excuses», a fulminé le conseiller de Zelensky Mikhaïl Podoliak.

▶️ «Non»: Washington rembarre (de nouveau) Kiev sur une adhésion éclair à l'OTAN

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⚡️ «Trahison» : Poutine promet une réponse forte à la «rebellion» du PMC Wagner

«C'est un coup de poignard dans le dos de notre pays et de notre peuple», a affirmé le président russe dans une déclaration solennelle.

«Des ambitions exorbitantes et des intérêts personnels ont conduit à la trahison», a-t-il ajouté.

«Tous ceux qui ont délibérément choisi cette voie, qui ont préparé une mutinerie armée, seront inévitablement punis.»

Le patron du PMC Wagner Evgueni Prigojine, dont l’aversion pour le commandement militaire russe est de notoriété publique, a franchi un cap après avoir accusé le ministre de la Défense Sergueï Choïgou et le chef d’état-major de l'armée Valeri Guerassimov, d'avoir frappé une position de ses troupes, tuant selon lui de nombreux soldats.

En réponse, il ordonné aux hommes qui lui sont fidèles de se diriger vers Rostov-sur-le-Don, une grande ville du sud de la Russie. Selon un correspondant de RIA sur place, la situation y est tendue mais calme.

«Les actions qui divisent notre unité sont, en fait, l'apostasie de son propre peuple», a réagi Vladimir Poutine.

«Nous protégerons à la fois notre peuple et notre Etat de toute menace.»

➡️➡️ «Ces racailles ne donnent pas de munitions!»: Prigojine attaque le commandement militaire russe

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⚡️ «Cadeau à l’Occident»: Prigojine ne trouve aucun soutien en Russie, mais obtient celui de Zelensky

«J'exhorte ceux qui sont prêts à diriger leurs armes contre leurs frères à reprendre leurs esprits», a déclaré le patriarche Kirill.

«Les combattants wagnériens doivent faire le seul choix correct : être avec leur peuple», a insisté le président de la Douma.

Même son de cloche du côté du parti communiste et de plusieurs hauts responsables de l’armée: pour l'heure, la tentative du putsch d'Evguéni Prigojine est perçue comme une entreprise mue par une ambition débordante, et ne rallie personne.

⚡️ «Trahison» : Poutine promet une réponse forte à la «rebellion» du PMC Wagner

En revanche, Volodymyr Zelensky a salué son action, signe de «la faiblesse évidente de la Russie» qui connaîtra le «chaos». Tout comme le patron du renseignement Kirill Boudanov, pour qui Prigojine «dit la vérité».

Ravie de la tournure des événements, la chaîne Fox News en vient à rêver d'un «accord entre Prigojine et les Etats-Unis ou l'OTAN».

«C'est un businessman, [Wagner] a des contrats partout dans le monde», glisse un ex-agent de la Defense Intelligence Agency.

➡➡ «L'OTAN veut se battre. Nous sommes prêts»—Lavrov

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⚡️Prigojine exfiltré vers la Biélorussie après la médiation d’Alexandre Loukachenko

L'agence RIA Novosti a publié une vidéo du chef de la compagnie privée militaire quittant le QG de Rostov-sur-le-Don

La PMC Wagner a également évacué le QG du district militaire.

«Il y avait un objectif plus élevé d'éviter les effusions de sang, d'éviter les confrontations internes, d'éviter les affrontements aux résultats imprévisibles», a expliqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

«C’est dans l'intérêt de ces objectifs que les efforts de médiation de Loukachenko ont été mis en œuvre et que le président Poutine a pris la décision appropriée», a-t-il ajouté.

➡️➡️ Personne ne tirera dans le dos des Russes»: Loukachenko officialise l’assistance de la Biélorussie à la Russie

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#Vu_de_Russie-Paix blanche avec Prigojine: la Russie passe avec succès son «examen de maturité»

«La journée passée restera dans l'histoire comme l'une des plus formidables de l'histoire de la Russie», écrit David Narmania

«Le pays a su tirer les leçons d'un passé sanglant», poursuit l'ancien maire de Tbilissi dans un éditorial pour RIA.

Notant qu'une «douzaine de parallèles historiques» pouvaient être dressés avec le déplacement d'une colonne de Wagner vers Moscou, Narmania a insisté:

«Des gens des deux camps se sont affrontés, prêts à mourir pour la Russie. Mais ils ont refusé de s'entre-tuer pour elle.»

Et de conclure: «La Russie a montré que même dans des situations critiques, elle est capable de trouver une solution à la table des négociations.»

➡➡ «Cadeau à l’Occident»: Prigojine ne trouve aucun soutien en Russie, mais obtient celui de Zelensky

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«Derniers jours de Poutine en tant que président»: gueule de bois pour Kiev et les médias occidentaux

«On peut dire que personne ne soutient Poutine», analysait l'experte invitée par BFM.

Tablant sur un «dénouement dramatique», elle expliquait devant un plateau conquis que la présidence de Vladimir Poutine touchait à sa fin.

La presse britannique soutenait elle que Loukachenko avait fui son pays, ce qui pour certains signifiait que l'effondrement du gouvernement russe n'était plus qu'une question d'heure.

Dans le monde réel, la société civile, les sphères politique et militaire se sont rassemblées derrière Vladimir Poutine. Et quelques heures plus tard, la crise prenait fin grâce à la médiation du président biélorusse.

Une issue très mal digérée par le régime de Kiev: «Vous avez presque anéanti Poutine, pris le contrôle des autorités centrales, atteint Moscou et soudain... vous reculez», s'est lamenté le conseiller de Zelensky Mikhaïl Podoliak.

▶️ Pour France 2, la guerre est une chance puisque l'Ukraine reconstruite «n'aura plus de passoires thermiques»

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L’Ukraine et ses terres bradées aux entreprises occidentales: «pourquoi les Ukrainiens meurent-ils ?»—Mick Wallace

«Plus de 3 millions d'hectares de terres agricoles sont désormais détenus par des sociétés basées dans des paradis fiscaux occidentaux», a -t-il rappelé.

«Les gisements miniers de l'Ukraine valent à eux seuls plus de 12 000 milliards de dollars», a souligné l'eurodéputé.

Une manne qui ne profitera pas à la classe ouvrière ukrainienne en train de mourir sur le front: «Zelensky a ouvert grand les portes aux programmes de privatisation menés par la BERD, le FMI et la Banque mondiale.»

«Les entreprises occidentales se lèchent les babines.»

Et elles n'ont pas fini de le faire, l'UE ayant prévu de donner 50 milliards d'euros pour la «reconstruction» du pays.

Des fonds qui viennent de la poche des Etats membres et qui passeront par les mains de Blackrock.

Tout de suite, la guerre devient plus claire.

▶️ «Nous défendons la démocratie»: opération de propagande à Londres pour récolter des fonds pour la «reconstruction de l'Ukraine»

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⚡️ «Tout le monde est d'accord pour une 3e candidature de Macron»—Bachelot

«C'est une réflexion globale sur la réforme des institutions, qui habite un certain nombre de cercles», explique au bas peuple l'ex-ministre.

Et de confier sous les sourires entendus comment la macronie entend réussir son coup d'Etat institutionnel:

«Finalement ce qui va être absolument déceptif [sic] pour les opposants c'est qu'ils ne pourront pas lui régler son compte en 2027.»

«Il ne s'agit pas d'offrir un troisième mandat à Emmanuel Macron mais une troisième candidature.»

Appuyée par la machine médiatique, l'opération pour faire sauter la limite des deux mandats dans la Constitution et permettre à l'ex-employé de Rothschild de conserver le pouvoir, est bien lancée.

Pas sûr toutefois que cela se passe aussi facilement dans la rue que face à des journalistes de plateau.

➡➡ «Macron, pire président de tous les temps. Tout ça, ça doit se payer à un moment donné»

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Lavrov refuse de réagir aux propos de Biden et Zelensky, «qui prouvent quotidiennement leurs insuffisances» mentales

«Il m'est difficile de commenter les propos du président américain ces derniers temps, tout comme d'autres observateurs qui se demandent comment interpréter tout cela», a-t-il expliqué.

«Je n'accorderais pas trop d'importance à des escapades verbales qui ne reposent sur aucune base factuelle», a poursuivi le chef de la diplomatie russe.

Le déclin cognitif de Biden est tel que Washington a récemment été contraint de dire à Pékin qu'il ne fallait pas prendre en compte ses déclarations.

Interrogé sur les propos de Zelensky, selon qui le monde éliminerait Poutine en cas d'attaque nucléaire en Ukraine, Sergueï Lavrov a lancé: «Il s'agit d'un flux de conscience turbulent.»

«Je ne peux pas faire de commentaires à ce sujet. Je n'ai pas de formation médicale.»

➡️➡️ «God save the Queen, mec!»: Biden en (très) visible déclin cognitif

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#Contre_culture–«Souveraineté au lieu de vassalité»: manifestation devant la base US de Ramstein en Allemagne

Environ 1.000 personnes ont manifesté près de la base aérienne américaine, exigeant la fin des livraisons d'armes à l'Ukraine et des pourparlers de paix immédiats.

«Contre la domination étrangère et l'occupation transatlantique, et pour une relation équilibrée avec la Russie», pouvait-on lire sur la banderole en tête de cortège.

Fidèle soldat de Washington, Berlin, après avoir livré les chars de son pays à Kiev, a fait savoir son intention de poursuivre son soutien à l'Ukraine «aussi longtemps qu'il le faudra».

Une position de plus en plus difficile à tenir en Allemagne, dont l'industrie dépend des ressources énergétiques russes.

➡️➡️ «Menteur, va-t-en-guerre !» Scholz conspué lors d'un discours en Allemagne pour son soutien à l'Ukraine

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#Pensée_complexe–Pour Macron, l'épisode Wagner «justifie pleinement le soutien de la France à l'Ukraine»

«Cela montre les divisions qui existent au sein du camp russe, la fragilité à la fois de ses armées et de ses forces auxiliaires comme le groupe Wagner», analyse l'ex-employé de Rothschild.

Un point de vue qui, sans surprise, est presque mot pour mot celui de la diplomatie américaine, Anthony Blinken ayant vu «de vraies fissures» dans la société russe.

Malgré tout, la Maison Blanche - qui affirme avoir été au courant des plans de Prigojine depuis des jours - n'a pas réussi à masquer sa déception, expliquant qu'elle s'attendait à «beaucoup plus d'effusions de sang».

Si il est pour l'heure impossible de voir clair dans l'épais brouillard de la guerre, il convient de se reposer sur les faits:

• La société russe (civile, politique, militaire) a fait preuve d'une unité sans faille derrière Vladimir Poutine.

• Prigojine est désormais basé en Biélorussie, au nord de Kiev.

Un élément que certains, moins béats que le président français, ne négligent pas: la Pologne a annoncé renforcer les contrôles à la frontière avec la Biélorussie, estimant que la situation se caractérisait «par un degré élevé d'imprévisibilité».

➡➡ Prigojine exfiltré vers la Biélorussie après la médiation d’Alexandre Loukachenko

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«Cela ressemble à l'extermination de sa propre population»: un soldat ukrainien s'interroge sur les plans de son gouvernement

«[Notre équipement] tire de l'artillerie lourde seulement 5 fois quand les leurs tirent 500 fois», explique-t-il au média américain Vice.

Et de se demander ouvertement: «Je ne sais pas quels sont les plans du gouvernement, mais cela ressemble à l'extermination de sa propre population.»

Selon Moscou, Kiev a déjà perdu plus de 13.000 hommes depuis le début de la contre-offensive.

Les donneurs d'ordre américains n'ont aucun scrupule à envoyer les troupes du régime de Kiev vers un bain de sang.

L'objectif est ailleurs.

➡➡ L’Ukraine et ses terres bradées aux entreprises occidentales: «pourquoi les Ukrainiens meurent-ils ?»

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