CULTE DE L'ORDRE ET CULTURE DU VIOL : NOTRE ETAT DES LIEUX SUR LE SEXISME SYSTEMIQUE
À l’heure où certaines féministes en appellent à une police “mieux formée”, il est bon de rappeler différents exemples qui démontrent combien les forces de l’ordre profitent de leur fonction pour soumettre définitivement celles qu’ils considèrent, dans leur for intérieur, comme inférieures.
Les violences du corps policier à l’encontre des femmes sont avant tout autoritaires, alliage entre un pouvoir universel et socialement admis de contrôle et de punition de la part des hommes, qui les amène à s’arroger le droit de jugement, mais également de vie ou de mort sur la victime, moyen de contrôle absolu et définitif démontrant la toute puissance de la sauvagerie masculine.
Les femmes doivent être à la disposition des hommes et doivent être soumises à leurs injonctions, à leurs désirs, et ce qu’elles refusent de donner, les hommes peuvent le prendre par la violence. Ce qui est vrai pour les hommes en général l’est vrai pour les hommes de l’Ordre en particulier. Il est nécessaire de rappeler que les violences policières sexistes sont interdépendantes de la structure et de l’histoire de l’institution policière, mais aussi du systeme judiciaire et carcéral.
Pour analyser cette domination, nous proposons de partir des violences individuelles des hommes de l’Ordre, puis de l’affirmation de leur toute puissance au sein de l’appareil d’Etat, pour aboutir sur les violences dans les lieux de privation de liberté et élargir sur cette question éminemment contemporaine : comment s’affranchir des forces de l’ordre dans nos luttes ?
La suite ici :
https://desarmons.net/2021/03/08/culte-de-lordre-culture-du-viol-etat-des-lieux/
À l’heure où certaines féministes en appellent à une police “mieux formée”, il est bon de rappeler différents exemples qui démontrent combien les forces de l’ordre profitent de leur fonction pour soumettre définitivement celles qu’ils considèrent, dans leur for intérieur, comme inférieures.
Les violences du corps policier à l’encontre des femmes sont avant tout autoritaires, alliage entre un pouvoir universel et socialement admis de contrôle et de punition de la part des hommes, qui les amène à s’arroger le droit de jugement, mais également de vie ou de mort sur la victime, moyen de contrôle absolu et définitif démontrant la toute puissance de la sauvagerie masculine.
Les femmes doivent être à la disposition des hommes et doivent être soumises à leurs injonctions, à leurs désirs, et ce qu’elles refusent de donner, les hommes peuvent le prendre par la violence. Ce qui est vrai pour les hommes en général l’est vrai pour les hommes de l’Ordre en particulier. Il est nécessaire de rappeler que les violences policières sexistes sont interdépendantes de la structure et de l’histoire de l’institution policière, mais aussi du systeme judiciaire et carcéral.
Pour analyser cette domination, nous proposons de partir des violences individuelles des hommes de l’Ordre, puis de l’affirmation de leur toute puissance au sein de l’appareil d’Etat, pour aboutir sur les violences dans les lieux de privation de liberté et élargir sur cette question éminemment contemporaine : comment s’affranchir des forces de l’ordre dans nos luttes ?
La suite ici :
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Désarmons-les !
Culte de l’Ordre, culture du viol : état des lieux - Désarmons-les !
Appel à témoignages. 💬
Pour une enquête avec l'École de journalisme de Lille, je cherche des personnes qui ont souffert de séquelles durables (au moins plusieurs semaines) après avoir été exposées à des GAZ LACRYMOGÈNES. Cela peut être des problèmes respiratoires, cardiaques, menstruels, des problèmes de peau, aux yeux, une grande fatigue... Tous les témoignages sont bienvenus.
Vous pouvez me contacter par mail : samuelravier@yahoo.fr. 📩
Merci ! Et n'hésitez pas à partager auprès de vos proches.
Pour une enquête avec l'École de journalisme de Lille, je cherche des personnes qui ont souffert de séquelles durables (au moins plusieurs semaines) après avoir été exposées à des GAZ LACRYMOGÈNES. Cela peut être des problèmes respiratoires, cardiaques, menstruels, des problèmes de peau, aux yeux, une grande fatigue... Tous les témoignages sont bienvenus.
Vous pouvez me contacter par mail : samuelravier@yahoo.fr. 📩
Merci ! Et n'hésitez pas à partager auprès de vos proches.
Nous vous présentons deux nouveaux lots de stickers made by Désarmons-les ! :
https://t.me/addstickers/bonflic
https://t.me/addstickers/bonflic
Pour celles et ceux qui ne jurent que par Signal (en se disant que Désarmons-les! ne capte rien à la sécurité), mais sont quand même sur des fils Telegram (où ils n'hésitent pas par ailleurs à échanger des postures puristes, des infos et délations sur d'autres collectifs et militants) :
https://signal.art/addstickers/#pack_id=69936509d747e666fabc466aad102d21&pack_key=7efe3b81836c81ddc2fc61ed3c9a072a3dff58fa3738f1b8c4d9080137927f1a
Et au fait, on se décontracte, ce sont juste des autocollants, comme ceux qu'on colle sur des lampadères !
Amour et rage ! ✊🏾❤️
P.S. : On n'a pas fait pour Whatsapp, mais pourquoi pas... Pourquoi priver nos parents et collègues de bons messages politiques ? 😜
https://signal.art/addstickers/#pack_id=69936509d747e666fabc466aad102d21&pack_key=7efe3b81836c81ddc2fc61ed3c9a072a3dff58fa3738f1b8c4d9080137927f1a
Et au fait, on se décontracte, ce sont juste des autocollants, comme ceux qu'on colle sur des lampadères !
Amour et rage ! ✊🏾❤️
P.S. : On n'a pas fait pour Whatsapp, mais pourquoi pas... Pourquoi priver nos parents et collègues de bons messages politiques ? 😜
COMMUNIQUE DE SOUTIEN AUX "MALFAITEURS" DE BURE
Les 1er, 2 et 3 juin 2021, les militant-es antinucléaires de Bure passeront au tribunal de Bar le Duc. Nous seront présent-es et appelons l’ensemble des forces vives du pays et d’ailleurs à se joindre à nous pour occuper le territoire de cette ville qui prétend héberger impunément un tel procès en sorcellerie.
Nous sommes tou-tes des malfaiteurs ! Nous ne nous tiendrons pas tranquilles !
Collectif “DESARMONS-LES !”
L'intégralité du communiqué sur :
https://desarmons.net/2021/04/21/communique-de-soutien-aux-malfaiteurs-de-bure-et-dailleurs/
Les 1er, 2 et 3 juin 2021, les militant-es antinucléaires de Bure passeront au tribunal de Bar le Duc. Nous seront présent-es et appelons l’ensemble des forces vives du pays et d’ailleurs à se joindre à nous pour occuper le territoire de cette ville qui prétend héberger impunément un tel procès en sorcellerie.
Nous sommes tou-tes des malfaiteurs ! Nous ne nous tiendrons pas tranquilles !
Collectif “DESARMONS-LES !”
L'intégralité du communiqué sur :
https://desarmons.net/2021/04/21/communique-de-soutien-aux-malfaiteurs-de-bure-et-dailleurs/
Désarmons-les !
Communiqué de soutien aux “malfaiteurs” de Bure et d’ailleurs - Désarmons-les !
VIOL DE TOMMI : LE COMMISSARIAT DU 19EME ENCORE UNE FOIS ÉPICENTRE DES VIOLENCES POLICIÈRES RACISTES
Le 5 avril 2021, dans le 19ème arrondissement de Paris, une brigade de police interpelle Tommi suite à des soupçons de recel de vol et un refus d’obtempérer. Circulant au volant d’une voiture de location (qui aurait été déclarée volée), un équipage de police s’approche et lui fait signe de s’arrêter pour un contrôle. Tommi, qui comme beaucoup de jeunes a l’expérience de rapports difficiles avec la police, ainsi que de gardes-à-vue répétitives, tente d’échapper au contrôle, mais est rattrappé quelques centaines de mètres plus loin et son véhicule percuté par celui des policiers. Il se fait interpeller après s’être extrait du véhicule.
Les policiers, portant l’uniforme bleu nuit des GSQ, le menacent de violences physiques tout en le plaçant à l’arrière de leur suv 5008 flambant neuf. Les violences ne se font pas attendre, puisque deux des policiers commencent à le violenter, l’un d’eux l’étranglant depuis le coffre du véhicule (dans lequel il s’est hissé dans le seul but de maintenir Tommi par derrière), tandis qu’un second, assis sur la banquette à côté de lui, le roue de coups de poings à l’abdomen, tout en proférant des insultes racistes.
Arrivés au commissariat, Tommi refuse la fouille à nu (interdite par l’article 63-6 du CPP et l’arrêté du 1er juin 2011 relatif aux mesures de sécurité) et se retrouve à nouveau étranglé et tabassé par les mêmes agents, dont l’un se fait appeler “Le Blond” et semble bénéficier d’une certaine réputation dans ce commissariat. Alors même que Tommi suffoque en raison des coups, l’un des agents lui enfonce le doigt dans l’anus jusqu’à ce que la résistance de Tommi le lui fasse retirer. Amené et menotté à un banc, puis accompagné à une cellule, Tommi subira les moqueries de plusieurs policiers, notamment en mentionnant le viol de Théo.
Le récit détaillé des faits et propos relatés par Tommi ont été retranscrits par Street Press dans les semaines suivantes, alors que l’IGPN avait déjà commencé son enquête sur la base de son dépôt de plainte. L’Unité Médico Judiciaire a également rendu son premier rapport, confirmant les violences et le viol subits par Tommi.
La suite de notre article :
https://desarmons.net/2021/05/02/viol-de-tommi-le-commissariat-du-19-eme-encore-une-fois-epicentre-des-violences-policieres-racistes/
Le 5 avril 2021, dans le 19ème arrondissement de Paris, une brigade de police interpelle Tommi suite à des soupçons de recel de vol et un refus d’obtempérer. Circulant au volant d’une voiture de location (qui aurait été déclarée volée), un équipage de police s’approche et lui fait signe de s’arrêter pour un contrôle. Tommi, qui comme beaucoup de jeunes a l’expérience de rapports difficiles avec la police, ainsi que de gardes-à-vue répétitives, tente d’échapper au contrôle, mais est rattrappé quelques centaines de mètres plus loin et son véhicule percuté par celui des policiers. Il se fait interpeller après s’être extrait du véhicule.
Les policiers, portant l’uniforme bleu nuit des GSQ, le menacent de violences physiques tout en le plaçant à l’arrière de leur suv 5008 flambant neuf. Les violences ne se font pas attendre, puisque deux des policiers commencent à le violenter, l’un d’eux l’étranglant depuis le coffre du véhicule (dans lequel il s’est hissé dans le seul but de maintenir Tommi par derrière), tandis qu’un second, assis sur la banquette à côté de lui, le roue de coups de poings à l’abdomen, tout en proférant des insultes racistes.
Arrivés au commissariat, Tommi refuse la fouille à nu (interdite par l’article 63-6 du CPP et l’arrêté du 1er juin 2011 relatif aux mesures de sécurité) et se retrouve à nouveau étranglé et tabassé par les mêmes agents, dont l’un se fait appeler “Le Blond” et semble bénéficier d’une certaine réputation dans ce commissariat. Alors même que Tommi suffoque en raison des coups, l’un des agents lui enfonce le doigt dans l’anus jusqu’à ce que la résistance de Tommi le lui fasse retirer. Amené et menotté à un banc, puis accompagné à une cellule, Tommi subira les moqueries de plusieurs policiers, notamment en mentionnant le viol de Théo.
Le récit détaillé des faits et propos relatés par Tommi ont été retranscrits par Street Press dans les semaines suivantes, alors que l’IGPN avait déjà commencé son enquête sur la base de son dépôt de plainte. L’Unité Médico Judiciaire a également rendu son premier rapport, confirmant les violences et le viol subits par Tommi.
La suite de notre article :
https://desarmons.net/2021/05/02/viol-de-tommi-le-commissariat-du-19-eme-encore-une-fois-epicentre-des-violences-policieres-racistes/
Désarmons-les !
Viol de Tommi* : le commissariat du 19 ème encore une fois épicentre des violences policières racistes - Désarmons-les !
FICHER POUR MIEUX REGNER
Compte moral, sommier, registre, répertoire, casier et finalement « traitement de données à caractère personnel » : le vocabulaire est foisonnant pour décrire l’arme de basse intensité qu’est devenu le fichier dans l’arsenal répressif. Le système disciplinaire du capitalisme sécuritaire a toujours eu besoin d’ingrédients techniques pour contraindre les corps indociles à la bonne marche de l’ordre social. Si les fichiers clients ou les « profils » prospèrent aujourd’hui dans le marasme du Big Data, l’État puissant, qu’il soit monarchique, impérial ou républicain, s’est toujours évertué à étiqueter méthodiquement ses sujets afin de préserver son pouvoir de domination.
LIRE NOTRE ARTICLE ICI : https://desarmons.net/2021/05/04/ficher-pour-mieux-regner/
Compte moral, sommier, registre, répertoire, casier et finalement « traitement de données à caractère personnel » : le vocabulaire est foisonnant pour décrire l’arme de basse intensité qu’est devenu le fichier dans l’arsenal répressif. Le système disciplinaire du capitalisme sécuritaire a toujours eu besoin d’ingrédients techniques pour contraindre les corps indociles à la bonne marche de l’ordre social. Si les fichiers clients ou les « profils » prospèrent aujourd’hui dans le marasme du Big Data, l’État puissant, qu’il soit monarchique, impérial ou républicain, s’est toujours évertué à étiqueter méthodiquement ses sujets afin de préserver son pouvoir de domination.
LIRE NOTRE ARTICLE ICI : https://desarmons.net/2021/05/04/ficher-pour-mieux-regner/
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Ficher pour mieux régner - Désarmons-les !
Nous avons désormais une newsletter pour notre site, à diffuser pour les personnes qui n'utilisent pas les réseaux sociaux et n'ont pas de smartphone : https://desarmons.net/newsletter/
Nous avons aussi mis en place un agenda des événements concernant les violences policières : https://desarmons.net/calendar/
Aidez-nous à les mettre à jour / alimenter !!
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“Nos estan matando” : la police colombienne, ou les escadrons de la mort.
La Colombie est secouée depuis fin avril par la Paro Nacional (grève générale), révolte populaire faisant suite à une réforme fiscale, à laquelle doivent succéder des réformes des systèmes de santé et de retraite. La population s’oppose au gouvernement par des manifestations massives, violemment réprimées par la police nationale et en particulier par ses escadrons antiémeutes, les ESMAD (Escuadrón Móvil Antidisturbios), des unités de police militarisées qui s’illustrent par leur ultra-violence.
Selon le média en ligne La Oreja Roja, le bilan s’élevait au 10 mai 2021 à 980 disparitions signalées, dont 109 toujours en recherche active, 962 arrestations arbitraires, 1443 victimes de violences policières, 111 usages d’armes à feu contre des civils (canal @laorejaroja sur Instagram), 16 victimes d’abus sexuels commis par les forces de l’ordre, et finalement 47 victimes d’homicides, dont 37 manifestant.e.s tué.e.s par la police ou les ESMAD. Dès le 28 avril, 1er jour des mobilisations, 9 personnes ont été tuées.
En recoupant avec d’autres sources, nous avons décompté un total de 63 personnes assassinées lors des mobilisations pour la grève générale : 34 par la police et les ESMAD, 10 par des civils armés et 19 sans responsables identifiés. Six victimes étaient par ailleurs encore cours d’identification. Sur la même période, nous avons décompté 67 blessés graves : 51 par la police et les ESMAD et 16 par des groupes civils armés. Plusieurs personnes blessées sont toujours en réanimation.
La suite de notre article : https://desarmons.net/2021/05/18/nos-estan-matando-la-police-colombienne-ou-les-escadrons-de-la-mort/
La Colombie est secouée depuis fin avril par la Paro Nacional (grève générale), révolte populaire faisant suite à une réforme fiscale, à laquelle doivent succéder des réformes des systèmes de santé et de retraite. La population s’oppose au gouvernement par des manifestations massives, violemment réprimées par la police nationale et en particulier par ses escadrons antiémeutes, les ESMAD (Escuadrón Móvil Antidisturbios), des unités de police militarisées qui s’illustrent par leur ultra-violence.
Selon le média en ligne La Oreja Roja, le bilan s’élevait au 10 mai 2021 à 980 disparitions signalées, dont 109 toujours en recherche active, 962 arrestations arbitraires, 1443 victimes de violences policières, 111 usages d’armes à feu contre des civils (canal @laorejaroja sur Instagram), 16 victimes d’abus sexuels commis par les forces de l’ordre, et finalement 47 victimes d’homicides, dont 37 manifestant.e.s tué.e.s par la police ou les ESMAD. Dès le 28 avril, 1er jour des mobilisations, 9 personnes ont été tuées.
En recoupant avec d’autres sources, nous avons décompté un total de 63 personnes assassinées lors des mobilisations pour la grève générale : 34 par la police et les ESMAD, 10 par des civils armés et 19 sans responsables identifiés. Six victimes étaient par ailleurs encore cours d’identification. Sur la même période, nous avons décompté 67 blessés graves : 51 par la police et les ESMAD et 16 par des groupes civils armés. Plusieurs personnes blessées sont toujours en réanimation.
La suite de notre article : https://desarmons.net/2021/05/18/nos-estan-matando-la-police-colombienne-ou-les-escadrons-de-la-mort/
Désarmons-les !
“Nos estan matando” : la police colombienne, ou les escadrons de la mort - Désarmons-les !
On a mis à jour notre Agenda des violences policières : https://desarmons.net/agenda_violences_policieres/
Désarmons-les !
Agenda des violences policières - Désarmons-les !
On a mis à jour aussi la liste des personnes qui ont été mutilées à l'oeil depuis 20 ans (liste qui n'est jamais exhaustive) : https://desarmons.net/2021/09/16/inventaire_eborgnes/
Désarmons-les !
Depuis 1999, l’État français a rendu borgnes au moins 66 personnes, dont 29 en une année (2018-2019) - Désarmons-les !
Notre communiqué par rapport au switch entre article 24 LSG et article 36 de la Loi Séparatisme, et sur l'incurie de la coordination "stop loi de sécurité globale" :
https://desarmons.net/2021/09/20/communique-de-24-a-36-ou-quand-la-loi-de-securite-globale-se-recycle-dans-la-loi-contre-le-separatisme/
https://desarmons.net/2021/09/20/communique-de-24-a-36-ou-quand-la-loi-de-securite-globale-se-recycle-dans-la-loi-contre-le-separatisme/
Désarmons-les !
Communiqué – De 24 à 36, ou quand la Loi de Sécurité Globale se recycle dans la Loi contre le “séparatisme” - Désarmons-les !
Et deux critiques du film "Les Misérables" :
https://desarmons.net/2021/09/13/les-miserables-critiques-du-film/
https://desarmons.net/2021/09/13/les-miserables-critiques-du-film/
Désarmons-les !
Film “Les Misérables” – 2 critiques - Désarmons-les !