Global Intel LIVE - CoronaLive
27.2K subscribers
277 photos
162 videos
7 files
179 links
Focus sur les événements mettant en péril la stabilité mondiale, via des sources publiques mais aussi confidentielles et exclusives.
Download Telegram
Une théorie discutée dans le milieu scientifique depuis environ une semaine semble se confirmer.

Une analyse des 131 séquences de variants Omicron du 9 novembre au 28 novembre 2021 révèle que les variants ont divergé en au moins 6 sous-groupes majeurs. 86,3 % des cas présentent une insertion à l'acide aminé 214 (INS214EPE) de la protéine spike.

La protéine Spike d'Omicron présente 26 mutations d'acides aminés (23 substitutions, deux délétions et une insertion) qui sont distinctes par rapport à d'autres variantes préoccupantes.

Alors que les mutations de substitution et de suppression sont apparues dans des lignées antérieures de SARS-CoV-2, la mutation d'insertion (INS214EPE) n'a pas été observée auparavant dans une lignée de SARS-CoV-2 autre qu'Omicron. Cette mutation "d'insertion" pourrait être le résultat d'un hôte ayant des cellules à la fois contaminées par le SARS-CoV-2 et un coronavirus plus commun, entraînant une forme grippale.

Pour vulgariser, au sein d'une cellule, un variant aurait acquis une séquence d'un coronavirus de la grippe habituelle, lui conférant un probable avantage en terme de contagiosité. Il est possible que ce soit ce mécanisme qui est à l'origine de la domination d'Omicron.

Il est maintenant nécessaire de comprendre la fonction de l'insertion Omicron et de savoir si les cellules hôtes humaines sont exploitées par le SRAS-CoV-2 comme un "bassin évolutif" pour l'interaction génomique hôte-virus et inter-virale, ce qui serait un nouveau problème.

Dans tous les cas, une nouvelle vaccination ciblée anti-Omicron serait une très mauvaise idée, donnant un nouvel élan au virus pour trouver, une fois de plus, de nouveaux chemins évolutifs à son avantage tout en cultivant des réponses immunitaires imparfaites et de courte durée qui finiraient par se retourner contre la population.

Il se pourrait néanmoins qu'en cessant toute campagne de vaccination massive, par je ne sais quelle prise de conscience politique, on puisse bénéficier, par chance, d'une réponse immunitaire plus efficace face à un variant qui se banaliserait petit à petit. Pour cela il faudrait arrêter de vacciner, surtout éviter la vaccination anti-Omicron, et laisser le temps à ces mutations plus banales de s'installer.
Hors sujet :

Israël continue de presser ses partenaires européens avant de déclencher une opération d'ampleur contre l'Iran.

La Russie, qui tente de mettre la pression sur les deux camps en utilisant l'Ukraine comme point de négociation (tout comme la Chine avec Taiwan) se retrouve forcée à clarifier sa décision; en effet, l'Ukraine vient d'accepter de soutenir Israël et d'encourager ses partenaires européens à faire de même : En échange de sa reconnaissance de Jerusalem comme capitale officielle avec effet immédiat, Israël assure à l'Ukraine la protection américaine contre la Russie.

Israël, de son côté, renforce son soutien européen dans le conflit à venir, mettant les partenaires de l'Ukraine dans son camp, par défaut.

La Russie, jusqu'ici plutôt neutre, se voit donc forcée à clarifier sa situation puisque si elle attaque l'Ukraine, elle se retrouve exclue du camp israelo-occidental face à l'Iran.
⚠️ Un rapport interne à l'OMS recommande vivement à la tête de l'organisation "de faire preuve d'objectivité et de retrouver la raison". Plusieurs personnes appellent à profiter de la dangerosité diminuée d'Omicron (qui a été sélectionné, rappelons-le, par une vaccination massive sélectionnant des mutations importantes sur la protéine de pointe).

Je cite le rapport interne (traduit) :

"En conclusion, il semble donc déraisonnable de penser qu'une intervention vaccinale de masse ciblée sur cette nouvelle variante du SARS-CoV-2 soit justifiable pour deux raisons principales :

La première est le risque de déplacer la pression sélective vers certaines des nombreuses mutations mal comprises d'Omicron qui pourraient favoriser l'émergence de variantes beaucoup plus dangereuses, et la seconde est qu'une approche passive-attentive pouvant favoriser enfin l'apparition d'une immunité collective potentielle exige l'arrêt immédiat de toute vaccination sans discernement de groupes."

Rappelez-vous que le problème de la stratégie vaccinale a toujours été en deux étapes. La première étape mène à l'émergence de variants extrêmement contagieux, capables d'échapper à l'immunité peu efficace et peu durable des vaccins tout en bénéficiant d'un bassin de mutations exceptionnel (on en a parlé ici depuis fin 2020 déjà) puis dans un deuxième temps, l'émergence d'un descendant de ce variant "inarrêtable" qui finirait par devenir plus dangereux à cause d'une immunité innée incapable d'agir, concurrencée par une immunité acquise médiocre qui occuperait une grande partie de la population.

La 1ère étape est maintenant derrière nous. Omicron pourrait être une porte de sortie à condition de tout arrêter et de ne surtout pas l'attaquer frontalement avec une nouvelle génération de vaccins anti-Omicron, ce qui mènerait inévitablement à la 2ème étape, celle qu'on veut absolument éviter.

De plus en plus de gens à l'OMS en sont également convaincus.
"Vaccins"
defuse-project-rejection-by-darpa.pdf
57.6 KB
Des documents militaires indiquent qu'EcoHealth Alliance a approché la DARPA en mars 2018 pour obtenir des fonds afin de mener des recherches sur le gain de fonction des coronavirus transmis par les chauves-souris. La proposition, nommée Project Defuse, a été rejetée par la DARPA pour des raisons de sécurité et parce qu'elle violait le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction.
JAG_Docs_pt1_Og_WATERMARK_OVER_Redacted.pdf
7.4 MB
Le rapport principal concernant la proposition de l'Alliance EcoHealth a fuité sur Internet il y a quelques mois, il est resté non vérifié jusqu'à présent. Project Veritas (un groupe de journalistes d'investigation indépendants aux USA) a obtenu un rapport séparé destiné à l'Inspecteur Général du Département de la Défense, écrit par le Major du Corps des Marines des Etats-Unis, Joseph Murphy, un ancien membre de la DARPA.
A_prempt-background-hr001118s0017.pdf
1.2 MB
Les documents en question proviennent d'un rapport de la Defense Advanced Research Projects Agency, plus connue sous le nom de DARPA, et étaient cachés dans un dossier top secret.

La DARPA est une agence du Département de la Défense des Etats-Unis chargée de faciliter la recherche de technologies ayant des applications militaires potentielles.
Selon les documents, le NIAID, sous la direction du Dr Fauci, a poursuivi les recherches à Wuhan, en Chine, et sur plusieurs sites aux États-Unis.

Le Dr Fauci a maintenu à plusieurs reprises, sous serment, que le NIH et le NAIAD n'ont pas été impliqués dans la recherche de gain de fonction avec le programme EcoHealth Alliance. Mais selon les documents obtenus par Project Veritas, qui décrivent pourquoi la proposition d'EcoHealth Alliance a été rejetée, la DARPA a bel et bien classé la recherche en question comme un gain de fonction, ce qui, je le répète, a toujours été nié par Fauci devant le Sénat américain, sous serment.

"La proposition ne mentionne ni n'évalue les risques potentiels de la recherche sur le gain de fonction (GoF)", citation directe de la lettre de rejet de la DARPA.
Project Veritas a contacté la DARPA pour obtenir des commentaires sur les documents étouffés et s'est entretenu avec le chef des communications, Jared Adams, qui a déclaré : "Cela ne me semble pas normal", lorsqu'il a été interrogé sur la façon dont les documents étaient enterrés dans un dossier top secret. "Si un document est classifié, il doit être marqué de manière appropriée", a déclaré M. Adams. "Je ne suis pas du tout familier avec des documents non marqués qui résident dans un espace classifié, non."

Dans une vidéo publiée lundi soir, le PDG de Project Veritas, James O'Keefe, a posé une question à la DARPA :

"Qui à la DARPA a pris la décision d'enterrer le rapport original ? Ils auraient pu tirer la sonnette d'alarme au Pentagone, à la Maison Blanche ou au Congrès, ce qui aurait pu empêcher toute cette pandémie qui a entraîné la mort de 5,4 millions de personnes dans le monde et causé beaucoup de douleur et de souffrance à des millions d'autres."

Le Dr Anthony Fauci n'a pas encore répondu à une demande de commentaire sur cette histoire.
Pour faire simple :

On a interdit aux USA la GoF (Gain of Function, processus permettant de créer des "super-virus") car dangereuse.

Fauci l'a cependant financée et exportée à l'étranger (notamment en Chine) pour contourner l'interdiction.

Elle a été focalisée sur des virus modifiés émergeant de chauves-souris au laboratoire P4 de Wuhan.

Quelques mois avant l'éclatement de la pandémie, plusieurs membres du laboratoire en question sont tombés gravement malades, la femme de l'un d'entre eux est même décédée d'une "maladie mystérieuse".

La pandémie éclate à quelques centaines de mètres du laboratoire.

La Chine dément et kidnappe les lanceurs d'alerte qui ont tous disparus depuis (j'en parlais ici en février 2020).

Fauci, à l'origine de toute cette histoire, ayant financé la recherche sur ces virus, se retrouve en charge de la task force pour lutter contre la pandémie aux USA. Il est également très proche de plusieurs laboratoires travaillant sur ces nouveaux "vaccins".

Tout ça est vérifiable. À vous de tirer vos conclusions. 😉
This media is not supported in your browser
VIEW IN TELEGRAM
Dingue !

C'est comme si on en parlait pas ici depuis un an.

L'UE se réveille-t-elle ?

"On s'inquiète qu'à terme, la réponse immunitaire soit diminuée, et soit moins bonne que ce qu'on souhaite, si on venait à adopter une stratégie consistant à injecter à la population des doses "booster" tous les 4 mois environ".
"Donc nous devons être très prudent de ne pas surcharger le système immunitaire avec des immunisations répétées."
Quand la communauté scientifique commence à comprendre le problème de la mise en concurrence de l'immunité innée avec une immunité de mauvaise qualité...
Je vous ai parlé depuis des mois d'un groupe dissident à l'intérieur de l'OMS demandant explicitement aux décideurs d'arrêter cette campagne délirante.

Cette dissidence est en train de gagner de l'ampleur :

https://fortune.com/2022/01/11/pushback-fourth-covid-vaccine-doses-second-boosters-israel-uk-pfizer/
Au passage, la Cour Suprême vient à l'instant de mettre une immense fessée à l'administration Biden en mettant un terme à l'obligation vaccinale pour 80 millions de travailleurs, ainsi que de la règle forçant les travailleurs à être vaccinés ou testés pour travailler.
Résumons :

On commence à avoir des officiels qui reconnaissent que la vaccination massive a sélectionné de nouveaux variants plus contagieux.

On commence à avoir des officiels qui reconnaissent que vacciner contre Omicron serait une erreur.

On commence à avoir des officiels qui reconnaissent que des boosters successifs auront un impact négatif sur l'immunité et "surchargeraient" le système immunitaire.

Okay, à la base, on avait un virus meurtrier qui aurait pu faire s'effondrer le système de santé mondial et qui a justifié des mesures drastiques et des confinements ponctuels, certes.

Mais Omicron n'a plus rien à voir avec la souche initiale, ni en terme de comportement, ni en terme de transmission et encore moins en terme de symptomatique.

Certains scientifiques de renom aux USA évoquent même un hypothèse assez folle (à laquelle je ne crois pas, mais qui est possible), selon laquelle Omicron aurait été discrètement mis au point par un laboratoire afin de fournir au monde une sortie de crise, citant une généalogie très étrange (en gros, Omicron ne descend pas de Delta mais d'une vieille souche qui n'était plus active, ni ne mutait plus depuis longtemps, ce qui voudrait dire qu'il n'a plus circulé ni muté durant des mois, puis circulé et muté très vite d'un coup). Ce laboratoire aurait ensuite libéré le variant de manière clandestine pour offrir au monde l'équivalent d'un vaccin qui fonctionne (les vaccins diminués permettent de générer le même type de réponse immunitaire qu'avec Omicron). Encore une fois, je juge cette proposition peu probable, mais elle n'est pas totalement farfelue compte-tenu de certaines zones d'ombre.

Bref, on a maintenant une espèce de grippe qui circule (pour le coup cette fois on peut le dire), pour laquelle on sait que collectivement les vaccins ne servent à rien et dont le rapport bénéfice-risque au niveau individuel semble défavorable, pour laquelle on n'aurait jamais pris la moindre mesure si elle avait débarqué directement, avec une prise de conscience progressive de la communauté scientifique sur le fait que vacciner contre Omicron serait une erreur (puisque sélectionnerait de nouveaux variants potentiellement bien plus problématiques) et qu'elle pousserait vers une stratégie du "booster permanent" qui affaiblirait le système immunitaire de la population en le surchargeant, tel que discuté ici depuis des mois maintenant.

Quelle excuse reste-t-il aux pouvoirs en place pour poursuivre le délire des mesures actuelles ? Ils ont tardé à agir début 2020 ce qui a coûté des millions de vies à cause d'un virus extrêmement problématique, et maintenant sur-réagissent face à un virus qui ne représente quasiment plus une menace... à croire qu'ils font exprès.

Sauf si bien sûr, tout ça n'est pas une question de santé publique...
Le bon sens gagne du terrain. L'Angleterre supprime quasiment toutes les mesures, d'autres pays européens vont l'annoncer sous peu.
Un organisme de surveillance de l'UE a reproché à la Commission européenne de ne pas avoir recherché les messages texte entre sa présidente, Ursula von der Leyen, et le PDG du géant pharmaceutique Pfizer, Albert Bourla.

Les messages ont été demandés par le journaliste Alexander Fanta du site d'information netzpolitik(.)org après avoir été mentionnés dans un article du New York Times en avril dernier sur les efforts de l'UE pour se procurer un vaccin contre le coronavirus.

Une enquête du Médiateur européen, Emily O'Reilly, a révélé que la Commission n'avait pas demandé au bureau de Mme von der Leyen de rechercher les SMS, bien que Fanta les ait spécifiquement demandés. Au lieu de cela, elle a demandé des éléments qui répondent aux critères de la Commission pour enregistrer des "documents" - une définition qui n'inclut pas les SMS.

M. O'Reilly, dont le travail consiste à demander des comptes aux institutions européennes, a déclaré que le traitement de la demande par la Commission relevait d'une "mauvaise administration".

"La manière opaque dont cette demande d'accès public a été traitée signifie qu'aucune tentative n'a été faite pour identifier si des messages texte existaient", a-t-elle déclaré dans une déclaration. "Cela ne répond pas aux attentes raisonnables en matière de transparence et de normes administratives au sein de la Commission".

L'article du New York Times souligne que le chef de la Commission a "échangé des textos et des appels" avec M. Bourla pendant un mois et que sa diplomatie personnelle opaque a joué un rôle important dans un accord portant sur l'achat de 1,8 milliard de doses de vaccin. Mais en réponse à la demande de Fanta, la Commission a déclaré qu'elle ne détenait pas de documents autres qu'un courriel, une lettre et un communiqué de presse sur le sujet.

O'Reilly a insisté sur le fait que la loi de l'UE sur l'accès du public aux documents indique que la définition d'un document est "tout contenu quel que soit son support ... concernant une question relative aux politiques, activités et décisions relevant de la sphère de responsabilité de l'institution."

O'Reilly - qui mène également une enquête plus large sur la façon dont les institutions traitent les messages SMS/WhatsApp/etc. - a déclaré que "tous les messages textuels n'ont pas besoin d'être enregistrés, mais les messages textuels relèvent clairement de la loi européenne sur la transparence et les messages textuels pertinents doivent donc être enregistrés. Il n'est pas crédible de prétendre le contraire".

"Lorsqu'il s'agit du droit d'accès du public aux documents de l'UE, c'est le contenu du document qui compte et non le dispositif ou la forme", a-t-elle déclaré. "Si les messages textuels concernent les politiques et les décisions de l'UE, ils doivent être traités comme des documents de l'UE."

Le médiateur a maintenant recommandé à la Commission de demander au bureau personnel de Mme von der Leyen de rechercher les SMS pertinents et, si des textes sont identifiés, d'évaluer s'il convient de leur accorder l'accès en vertu du règlement sur l'accès du public aux documents.

Un porte-parole de la Commission a déclaré : "La Commission a pris note de la recommandation du Médiateur européen. La Commission répondra au Médiateur européen dans le délai qu'elle lui a fixé, c'est-à-dire le 26 avril 2022."

Fanta, le journaliste qui s'est plaint au Médiateur de la façon dont la Commission a traité sa demande, a déclaré qu'il allait poursuivre l'affaire.

Si la Commission refuse de réexaminer son cas, M. Fanta a déclaré qu'il "examinera attentivement" la possibilité de porter l'affaire devant les tribunaux, considérant que le fait que des SMS et des appels privés entre la présidente de la Commission Européenne et le PDG de Pfizer sur un deal massif mettant la santé des européens en jeu pourrait être une grave affaire de corruption.
PS : Par le passé, Ursula von der Leyen a déjà été épinglée pour des affaire de corruption similaires.

Lorsque le Ministère de la Défense avait demandé à accéder aux contenus des discussions privées de cette dernière, celles-ci avait été détruites et les données avaient disparu.