Après des avertissements de plusieurs comités internationaux et nationaux (y compris la Haute autorité de Santé en France), c'est maintenant le National Advisory Committee on Immunization (Canada) qui envoie une notification interne à l'OMS, signalant qu'ils envisagent bientôt de publier la même recommandation que les autres, à savoir de déconseiller le vaccin Moderna pour les moins de 30 ans, citant un rapport bénéfice-risque négatif à cause des risques augmentés de problèmes cardiaques. Rien de public pour l'instant. Le Japon devrait également faire bientôt de même et envisage une recommandation potentiellement similaire pour le vaccin Pfizer.
Un petit mot sur la situation Israël / Iran.
Israël a envoyé des mémos à ses partenaires, citant une présence iranienne accrue à sa frontière nord et vient de frapper des cibles en territoire syrien appartenant, selon Israël, au Hezbollah, qui y stockerait des armes pour l'Iran.
L'Iran, toujours par les canaux diplomatiques, fait savoir qu'il considère ces frappes comme une provocation grave, et annonce le déploiement d'un large dispositif anti-aérien dans la région.
Fin de parenthèse.
Israël a envoyé des mémos à ses partenaires, citant une présence iranienne accrue à sa frontière nord et vient de frapper des cibles en territoire syrien appartenant, selon Israël, au Hezbollah, qui y stockerait des armes pour l'Iran.
L'Iran, toujours par les canaux diplomatiques, fait savoir qu'il considère ces frappes comme une provocation grave, et annonce le déploiement d'un large dispositif anti-aérien dans la région.
Fin de parenthèse.
Albert Bourla, Directeur général de Pfizer, vient d'annoncer que le fait qu'Omicron est capable d'échapper à la protection vaccinale tout en étant moins virulent est une source d'inquiétude importante, car "des mutations dangereuses pourraient apparaître s'il se propage à des milliards de personnes".
Tiens tiens. 🧐
Tiens tiens. 🧐
Global Intel LIVE - CoronaLive
Cette pandémie est hors de contrôle, et ce contrôle nous échappe de plus en plus à cause de cette campagne. Omicron commencera par une maladie bénigne, car les anticorps anti-Spike éphémères et peu efficaces résultant d'une infection antérieure ne reconnaîtront…
Voir ici et après. C'est exactement ce dont je parlais, à ceci près que Bourla n'admettra probablement pas que les vaccins sont responsables de la situation.
Une première étude montre une réduction de la neutralisation des vaccins Pfizer par rapport à Omicron de 97.5%
Le CEO de BioNTech explique que le vaccin pour Omicron sera probablement de nouveau composé de trois doses, que les vaccins actuels ne semblent pas fonctionner comme ils devraient face au nouveau variant, et recommande tout de même la 3ème dose "booster" du vaccin actuel.
On n'est pas sorti de l'auberge.
Si la vaccination court après les variants, les variants auront toujours une longueur d'avance, l'immunité innée ne sera jamais libre de faire son travail, concurrencée par des anticorps à courte durée de mauvaise qualité.
La vaccination sélectionnera de nouveaux variants, encore et encore. Pour toujours.
On n'est pas sorti de l'auberge.
Si la vaccination court après les variants, les variants auront toujours une longueur d'avance, l'immunité innée ne sera jamais libre de faire son travail, concurrencée par des anticorps à courte durée de mauvaise qualité.
La vaccination sélectionnera de nouveaux variants, encore et encore. Pour toujours.
Des esprits cyniques pourraient presque penser que les grands laboratoires n'ont aucun intérêt financier à freiner ce mécanisme qu'ils engendrent, leur permettant ainsi d'écouler des milliards de doses tous les ans pour les années à venir.
Heureusement, nous ne sommes pas des esprits cyniques...
Heureusement, nous ne sommes pas des esprits cyniques...
Les conflits d'intérêts concernent tout le monde sauf les lobbies pharmaco-politiques.
Circulez, il n'y a rien à voir.
Circulez, il n'y a rien à voir.
PS : Si vous avez aimé Omicron, vous allez adorer Omicron 2.
Une théorie discutée dans le milieu scientifique depuis environ une semaine semble se confirmer.
Une analyse des 131 séquences de variants Omicron du 9 novembre au 28 novembre 2021 révèle que les variants ont divergé en au moins 6 sous-groupes majeurs. 86,3 % des cas présentent une insertion à l'acide aminé 214 (INS214EPE) de la protéine spike.
La protéine Spike d'Omicron présente 26 mutations d'acides aminés (23 substitutions, deux délétions et une insertion) qui sont distinctes par rapport à d'autres variantes préoccupantes.
Alors que les mutations de substitution et de suppression sont apparues dans des lignées antérieures de SARS-CoV-2, la mutation d'insertion (INS214EPE) n'a pas été observée auparavant dans une lignée de SARS-CoV-2 autre qu'Omicron. Cette mutation "d'insertion" pourrait être le résultat d'un hôte ayant des cellules à la fois contaminées par le SARS-CoV-2 et un coronavirus plus commun, entraînant une forme grippale.
Pour vulgariser, au sein d'une cellule, un variant aurait acquis une séquence d'un coronavirus de la grippe habituelle, lui conférant un probable avantage en terme de contagiosité. Il est possible que ce soit ce mécanisme qui est à l'origine de la domination d'Omicron.
Il est maintenant nécessaire de comprendre la fonction de l'insertion Omicron et de savoir si les cellules hôtes humaines sont exploitées par le SRAS-CoV-2 comme un "bassin évolutif" pour l'interaction génomique hôte-virus et inter-virale, ce qui serait un nouveau problème.
Dans tous les cas, une nouvelle vaccination ciblée anti-Omicron serait une très mauvaise idée, donnant un nouvel élan au virus pour trouver, une fois de plus, de nouveaux chemins évolutifs à son avantage tout en cultivant des réponses immunitaires imparfaites et de courte durée qui finiraient par se retourner contre la population.
Il se pourrait néanmoins qu'en cessant toute campagne de vaccination massive, par je ne sais quelle prise de conscience politique, on puisse bénéficier, par chance, d'une réponse immunitaire plus efficace face à un variant qui se banaliserait petit à petit. Pour cela il faudrait arrêter de vacciner, surtout éviter la vaccination anti-Omicron, et laisser le temps à ces mutations plus banales de s'installer.
Une analyse des 131 séquences de variants Omicron du 9 novembre au 28 novembre 2021 révèle que les variants ont divergé en au moins 6 sous-groupes majeurs. 86,3 % des cas présentent une insertion à l'acide aminé 214 (INS214EPE) de la protéine spike.
La protéine Spike d'Omicron présente 26 mutations d'acides aminés (23 substitutions, deux délétions et une insertion) qui sont distinctes par rapport à d'autres variantes préoccupantes.
Alors que les mutations de substitution et de suppression sont apparues dans des lignées antérieures de SARS-CoV-2, la mutation d'insertion (INS214EPE) n'a pas été observée auparavant dans une lignée de SARS-CoV-2 autre qu'Omicron. Cette mutation "d'insertion" pourrait être le résultat d'un hôte ayant des cellules à la fois contaminées par le SARS-CoV-2 et un coronavirus plus commun, entraînant une forme grippale.
Pour vulgariser, au sein d'une cellule, un variant aurait acquis une séquence d'un coronavirus de la grippe habituelle, lui conférant un probable avantage en terme de contagiosité. Il est possible que ce soit ce mécanisme qui est à l'origine de la domination d'Omicron.
Il est maintenant nécessaire de comprendre la fonction de l'insertion Omicron et de savoir si les cellules hôtes humaines sont exploitées par le SRAS-CoV-2 comme un "bassin évolutif" pour l'interaction génomique hôte-virus et inter-virale, ce qui serait un nouveau problème.
Dans tous les cas, une nouvelle vaccination ciblée anti-Omicron serait une très mauvaise idée, donnant un nouvel élan au virus pour trouver, une fois de plus, de nouveaux chemins évolutifs à son avantage tout en cultivant des réponses immunitaires imparfaites et de courte durée qui finiraient par se retourner contre la population.
Il se pourrait néanmoins qu'en cessant toute campagne de vaccination massive, par je ne sais quelle prise de conscience politique, on puisse bénéficier, par chance, d'une réponse immunitaire plus efficace face à un variant qui se banaliserait petit à petit. Pour cela il faudrait arrêter de vacciner, surtout éviter la vaccination anti-Omicron, et laisser le temps à ces mutations plus banales de s'installer.
Hors sujet :
Israël continue de presser ses partenaires européens avant de déclencher une opération d'ampleur contre l'Iran.
La Russie, qui tente de mettre la pression sur les deux camps en utilisant l'Ukraine comme point de négociation (tout comme la Chine avec Taiwan) se retrouve forcée à clarifier sa décision; en effet, l'Ukraine vient d'accepter de soutenir Israël et d'encourager ses partenaires européens à faire de même : En échange de sa reconnaissance de Jerusalem comme capitale officielle avec effet immédiat, Israël assure à l'Ukraine la protection américaine contre la Russie.
Israël, de son côté, renforce son soutien européen dans le conflit à venir, mettant les partenaires de l'Ukraine dans son camp, par défaut.
La Russie, jusqu'ici plutôt neutre, se voit donc forcée à clarifier sa situation puisque si elle attaque l'Ukraine, elle se retrouve exclue du camp israelo-occidental face à l'Iran.
Israël continue de presser ses partenaires européens avant de déclencher une opération d'ampleur contre l'Iran.
La Russie, qui tente de mettre la pression sur les deux camps en utilisant l'Ukraine comme point de négociation (tout comme la Chine avec Taiwan) se retrouve forcée à clarifier sa décision; en effet, l'Ukraine vient d'accepter de soutenir Israël et d'encourager ses partenaires européens à faire de même : En échange de sa reconnaissance de Jerusalem comme capitale officielle avec effet immédiat, Israël assure à l'Ukraine la protection américaine contre la Russie.
Israël, de son côté, renforce son soutien européen dans le conflit à venir, mettant les partenaires de l'Ukraine dans son camp, par défaut.
La Russie, jusqu'ici plutôt neutre, se voit donc forcée à clarifier sa situation puisque si elle attaque l'Ukraine, elle se retrouve exclue du camp israelo-occidental face à l'Iran.
⚠️ Un rapport interne à l'OMS recommande vivement à la tête de l'organisation "de faire preuve d'objectivité et de retrouver la raison". Plusieurs personnes appellent à profiter de la dangerosité diminuée d'Omicron (qui a été sélectionné, rappelons-le, par une vaccination massive sélectionnant des mutations importantes sur la protéine de pointe).
Je cite le rapport interne (traduit) :
"En conclusion, il semble donc déraisonnable de penser qu'une intervention vaccinale de masse ciblée sur cette nouvelle variante du SARS-CoV-2 soit justifiable pour deux raisons principales :
La première est le risque de déplacer la pression sélective vers certaines des nombreuses mutations mal comprises d'Omicron qui pourraient favoriser l'émergence de variantes beaucoup plus dangereuses, et la seconde est qu'une approche passive-attentive pouvant favoriser enfin l'apparition d'une immunité collective potentielle exige l'arrêt immédiat de toute vaccination sans discernement de groupes."
Rappelez-vous que le problème de la stratégie vaccinale a toujours été en deux étapes. La première étape mène à l'émergence de variants extrêmement contagieux, capables d'échapper à l'immunité peu efficace et peu durable des vaccins tout en bénéficiant d'un bassin de mutations exceptionnel (on en a parlé ici depuis fin 2020 déjà) puis dans un deuxième temps, l'émergence d'un descendant de ce variant "inarrêtable" qui finirait par devenir plus dangereux à cause d'une immunité innée incapable d'agir, concurrencée par une immunité acquise médiocre qui occuperait une grande partie de la population.
La 1ère étape est maintenant derrière nous. Omicron pourrait être une porte de sortie à condition de tout arrêter et de ne surtout pas l'attaquer frontalement avec une nouvelle génération de vaccins anti-Omicron, ce qui mènerait inévitablement à la 2ème étape, celle qu'on veut absolument éviter.
De plus en plus de gens à l'OMS en sont également convaincus.
Je cite le rapport interne (traduit) :
"En conclusion, il semble donc déraisonnable de penser qu'une intervention vaccinale de masse ciblée sur cette nouvelle variante du SARS-CoV-2 soit justifiable pour deux raisons principales :
La première est le risque de déplacer la pression sélective vers certaines des nombreuses mutations mal comprises d'Omicron qui pourraient favoriser l'émergence de variantes beaucoup plus dangereuses, et la seconde est qu'une approche passive-attentive pouvant favoriser enfin l'apparition d'une immunité collective potentielle exige l'arrêt immédiat de toute vaccination sans discernement de groupes."
Rappelez-vous que le problème de la stratégie vaccinale a toujours été en deux étapes. La première étape mène à l'émergence de variants extrêmement contagieux, capables d'échapper à l'immunité peu efficace et peu durable des vaccins tout en bénéficiant d'un bassin de mutations exceptionnel (on en a parlé ici depuis fin 2020 déjà) puis dans un deuxième temps, l'émergence d'un descendant de ce variant "inarrêtable" qui finirait par devenir plus dangereux à cause d'une immunité innée incapable d'agir, concurrencée par une immunité acquise médiocre qui occuperait une grande partie de la population.
La 1ère étape est maintenant derrière nous. Omicron pourrait être une porte de sortie à condition de tout arrêter et de ne surtout pas l'attaquer frontalement avec une nouvelle génération de vaccins anti-Omicron, ce qui mènerait inévitablement à la 2ème étape, celle qu'on veut absolument éviter.
De plus en plus de gens à l'OMS en sont également convaincus.
defuse-project-rejection-by-darpa.pdf
57.6 KB
Des documents militaires indiquent qu'EcoHealth Alliance a approché la DARPA en mars 2018 pour obtenir des fonds afin de mener des recherches sur le gain de fonction des coronavirus transmis par les chauves-souris. La proposition, nommée Project Defuse, a été rejetée par la DARPA pour des raisons de sécurité et parce qu'elle violait le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction.
JAG_Docs_pt1_Og_WATERMARK_OVER_Redacted.pdf
7.4 MB
Le rapport principal concernant la proposition de l'Alliance EcoHealth a fuité sur Internet il y a quelques mois, il est resté non vérifié jusqu'à présent. Project Veritas (un groupe de journalistes d'investigation indépendants aux USA) a obtenu un rapport séparé destiné à l'Inspecteur Général du Département de la Défense, écrit par le Major du Corps des Marines des Etats-Unis, Joseph Murphy, un ancien membre de la DARPA.
A_prempt-background-hr001118s0017.pdf
1.2 MB
Les documents en question proviennent d'un rapport de la Defense Advanced Research Projects Agency, plus connue sous le nom de DARPA, et étaient cachés dans un dossier top secret.
La DARPA est une agence du Département de la Défense des Etats-Unis chargée de faciliter la recherche de technologies ayant des applications militaires potentielles.
La DARPA est une agence du Département de la Défense des Etats-Unis chargée de faciliter la recherche de technologies ayant des applications militaires potentielles.
Selon les documents, le NIAID, sous la direction du Dr Fauci, a poursuivi les recherches à Wuhan, en Chine, et sur plusieurs sites aux États-Unis.
Le Dr Fauci a maintenu à plusieurs reprises, sous serment, que le NIH et le NAIAD n'ont pas été impliqués dans la recherche de gain de fonction avec le programme EcoHealth Alliance. Mais selon les documents obtenus par Project Veritas, qui décrivent pourquoi la proposition d'EcoHealth Alliance a été rejetée, la DARPA a bel et bien classé la recherche en question comme un gain de fonction, ce qui, je le répète, a toujours été nié par Fauci devant le Sénat américain, sous serment.
"La proposition ne mentionne ni n'évalue les risques potentiels de la recherche sur le gain de fonction (GoF)", citation directe de la lettre de rejet de la DARPA.
Le Dr Fauci a maintenu à plusieurs reprises, sous serment, que le NIH et le NAIAD n'ont pas été impliqués dans la recherche de gain de fonction avec le programme EcoHealth Alliance. Mais selon les documents obtenus par Project Veritas, qui décrivent pourquoi la proposition d'EcoHealth Alliance a été rejetée, la DARPA a bel et bien classé la recherche en question comme un gain de fonction, ce qui, je le répète, a toujours été nié par Fauci devant le Sénat américain, sous serment.
"La proposition ne mentionne ni n'évalue les risques potentiels de la recherche sur le gain de fonction (GoF)", citation directe de la lettre de rejet de la DARPA.
Project Veritas a contacté la DARPA pour obtenir des commentaires sur les documents étouffés et s'est entretenu avec le chef des communications, Jared Adams, qui a déclaré : "Cela ne me semble pas normal", lorsqu'il a été interrogé sur la façon dont les documents étaient enterrés dans un dossier top secret. "Si un document est classifié, il doit être marqué de manière appropriée", a déclaré M. Adams. "Je ne suis pas du tout familier avec des documents non marqués qui résident dans un espace classifié, non."
Dans une vidéo publiée lundi soir, le PDG de Project Veritas, James O'Keefe, a posé une question à la DARPA :
"Qui à la DARPA a pris la décision d'enterrer le rapport original ? Ils auraient pu tirer la sonnette d'alarme au Pentagone, à la Maison Blanche ou au Congrès, ce qui aurait pu empêcher toute cette pandémie qui a entraîné la mort de 5,4 millions de personnes dans le monde et causé beaucoup de douleur et de souffrance à des millions d'autres."
Le Dr Anthony Fauci n'a pas encore répondu à une demande de commentaire sur cette histoire.
Dans une vidéo publiée lundi soir, le PDG de Project Veritas, James O'Keefe, a posé une question à la DARPA :
"Qui à la DARPA a pris la décision d'enterrer le rapport original ? Ils auraient pu tirer la sonnette d'alarme au Pentagone, à la Maison Blanche ou au Congrès, ce qui aurait pu empêcher toute cette pandémie qui a entraîné la mort de 5,4 millions de personnes dans le monde et causé beaucoup de douleur et de souffrance à des millions d'autres."
Le Dr Anthony Fauci n'a pas encore répondu à une demande de commentaire sur cette histoire.
Pour faire simple :
On a interdit aux USA la GoF (Gain of Function, processus permettant de créer des "super-virus") car dangereuse.
Fauci l'a cependant financée et exportée à l'étranger (notamment en Chine) pour contourner l'interdiction.
Elle a été focalisée sur des virus modifiés émergeant de chauves-souris au laboratoire P4 de Wuhan.
Quelques mois avant l'éclatement de la pandémie, plusieurs membres du laboratoire en question sont tombés gravement malades, la femme de l'un d'entre eux est même décédée d'une "maladie mystérieuse".
La pandémie éclate à quelques centaines de mètres du laboratoire.
La Chine dément et kidnappe les lanceurs d'alerte qui ont tous disparus depuis (j'en parlais ici en février 2020).
Fauci, à l'origine de toute cette histoire, ayant financé la recherche sur ces virus, se retrouve en charge de la task force pour lutter contre la pandémie aux USA. Il est également très proche de plusieurs laboratoires travaillant sur ces nouveaux "vaccins".
Tout ça est vérifiable. À vous de tirer vos conclusions. 😉
On a interdit aux USA la GoF (Gain of Function, processus permettant de créer des "super-virus") car dangereuse.
Fauci l'a cependant financée et exportée à l'étranger (notamment en Chine) pour contourner l'interdiction.
Elle a été focalisée sur des virus modifiés émergeant de chauves-souris au laboratoire P4 de Wuhan.
Quelques mois avant l'éclatement de la pandémie, plusieurs membres du laboratoire en question sont tombés gravement malades, la femme de l'un d'entre eux est même décédée d'une "maladie mystérieuse".
La pandémie éclate à quelques centaines de mètres du laboratoire.
La Chine dément et kidnappe les lanceurs d'alerte qui ont tous disparus depuis (j'en parlais ici en février 2020).
Fauci, à l'origine de toute cette histoire, ayant financé la recherche sur ces virus, se retrouve en charge de la task force pour lutter contre la pandémie aux USA. Il est également très proche de plusieurs laboratoires travaillant sur ces nouveaux "vaccins".
Tout ça est vérifiable. À vous de tirer vos conclusions. 😉
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Dingue !
C'est comme si on en parlait pas ici depuis un an.
L'UE se réveille-t-elle ?
"On s'inquiète qu'à terme, la réponse immunitaire soit diminuée, et soit moins bonne que ce qu'on souhaite, si on venait à adopter une stratégie consistant à injecter à la population des doses "booster" tous les 4 mois environ".
C'est comme si on en parlait pas ici depuis un an.
L'UE se réveille-t-elle ?
"On s'inquiète qu'à terme, la réponse immunitaire soit diminuée, et soit moins bonne que ce qu'on souhaite, si on venait à adopter une stratégie consistant à injecter à la population des doses "booster" tous les 4 mois environ".