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Focus sur les événements mettant en péril la stabilité mondiale, via des sources publiques mais aussi confidentielles et exclusives.
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L'OMS est en alerte.
Rappelez-vous, Omicron en tant que tel n'est peut-être pas la menace, il faut encore définir ses symptômes cardiovasculaires durables, mais le reste de sa symptomatique semble être plus clément.

Néanmoins, il est la fondation sur laquelle une nouvelle famille de variants pourraient émerger bientôt.

Ne vous faites pas avoir par le discours disant qu'Omicron est moins grave car instable ou présente trop de mutations le menant bientôt à l'autodestruction. Restez neutre. D'un côté, certains crient à la catastrophe absolue, d'autres tentent de faire croire qu'Omicron est enfin la grippe à laquelle ils n'ont cessé de comparer le COVID pour en réduire l'impact.

Le danger du COVID n'a jamais été un danger absolu et immédiat, il a toujours été un danger endémique et prolongé, dont la portée a été aggravée par la vaccination massive.

Le pire, c'est qu'on va maintenant créer des vaccins anti-Omicron, en nous sortant les mêmes délires, selon lesquels c'est la seule manière de mettre fin à la pandémie. Arrêtons ces bêtises.

Ni les politiciens, ni les médias, ni les responsables de la Santé publique ne savent ce qu'ils font. Il y a un groupe dissident à l'intérieur de l'OMS dont j'ai parlé plusieurs fois ici en 2020 qui tente tant bien que mal de faire comprendre au grand public certaines choses, et qui a été à l'origine des fuites menant à l'acceptation de la théorie de la fuite du laboratoire, même si les gouvernements ne le reconnaissent pas officiellement pour ne pas se mettre la Chine à dos, tout le monde sait que le virus a échappé du laboratoire P4, à l'OMS c'est acquis depuis des mois déjà, et dans les cercles politiques aussi.
Le corps médical, naïf et endoctriné dès sa formation par les théories selon lesquelles les vaccins sont les remèdes à tout, ne cherche pas à comprendre les effets d'une pression immunitaire généralisée.

Il ne fait aucun doute qu'Omicron n'est qu'un exemple parmi d'autres et que d'autres variants abritant une panoplie similaire de mutations de la protéine Spike apparaîtront bientôt dans d'autres pays.

Par ailleurs, les pays qui - avec la vaccination de masse - ont préparé leurs populations à servir d'excellent bassin de mutation et de reproduction pour des variants plus infectieux, feront preuve d'un haut niveau d'hospitalisation par Omicron et ses descendants. C'est inévitable. Les pays qui s'en sortiront probablement le mieux seront ceux dont l'immunité innée de la population est toujours capable d'agir comme un barrage adaptif à la transmission.
Cette pandémie est hors de contrôle, et ce contrôle nous échappe de plus en plus à cause de cette campagne. Omicron commencera par une maladie bénigne, car les anticorps anti-Spike éphémères et peu efficaces résultant d'une infection antérieure ne reconnaîtront plus Omicron.

Il est en effet très probable que la résistance d'Omicron ne se limite pas aux anticorps vaccinaux, mais aussi aux anticorps de faible affinité induits naturellement par une infection asymptomatique ou légère.

Pourquoi Omicron semble bénin ? C'est normal. Attendons qu'Omicron devienne dominant et provoque des taux d'infection élevés. Dans ce cas, des anticorps anti-Spike de courte durée et de faible affinité commenceront à entrer en concurrence avec les anticorps innés dans une partie croissante de la population, en raison de la probabilité accrue d'une nouvelle exposition peu de temps après une infection antérieure.

Les taux élevés d'infection par Omicron empêcheront les anticorps anti-Spike à courte durée de vie et peu fonctionnels de décliner dans de grandes parties de la population. Ce phénomène, associé à la poursuite de la vaccination de masse avec des vaccins anti-Omicron, permettra à de grandes populations d'exercer une pression immunitaire sur l'infectiosité d'Omicron à son tour !

Aucune de ces réponses immunitaires n'est cependant capable de freiner la transmission du virus.

La vaccination de masse favorise donc la résistance virale aux vaccins. La résistance virale entraîne une infectiosité accrue du SARS-CoV-2 (Omicron) et peut, en fin de compte, permettre au SARS-CoV-2 d'utiliser d'autres déterminants de surface cellulaire pour pénétrer dans les cellules permissives.
Encore une fois, si vous étiez en laboratoire et que vous vouliez créer un super-virus, vous feriez exactement ce qu'on fait aujourd'hui.

Vous prendriez une population d'organismes, les infecteriez avec un virus, et lui appliqueriez une pression sélective en pleine épidémie. Si vous voulez qu'il devienne plus contagieux, vous appliquez cette pression sur l'outil qu'il utilise pour se répandre.

De cette manière, après quelques milliers de mutations, un variant serait capable de dépasser cette barrière imposée et donnerait naissance à une nouvelle génération de descendants capables de se déplacer malgré cette contrainte.

Si, une fois cette contrainte dépassée, vous mettez à nouveau une pression sélective sur la nouvelle génération, quelques milliers de générations plus tard, vous avez une 3ème génération de variants disposant de deux nouvelles armes dont la 1ère ne disposait pas, les rendant plus contagieux.

Répétez encore l'opération, et puis encore et encore, et vous finissez avec un super-virus qui arrive à se transmettre tellement facilement qu'il n'y a plus grand chose à faire pour l'arrêter à part le stériliser. Et la seule manière de le stériliser, c'est l'immunité innée. Chaque vaccin est une pression sélective supplémentaire poussant à un virus encore plus contagieux, et ainsi de suite.

Autrement dit, sans arrêter cette campagne de vaccination massive, nous sommes en train de créer un super-virus à l'échelle mondiale contre lequel nous serons de moins en moins capables de nous défendre et contre lequel, à terme, les vaccinés seront de plus en plus sensibles (puisqu'ils lui auront donné à chaque nouvelle dose une nouvelle arme pour contourner leur immunité), alors que les non-vaccinés auront une chance, bien que rien ne le garantisse, de développer une immunité stérilisante.
Il est indéniable que la vaccination de masse ne fera que pousser le virus à exploiter pleinement sa capacité d'évolution, y compris - si nécessaire - sa capacité à utiliser d'autres domaines récepteurs sur les cellules permissives.

Le coût d'adaptation qui pourrait résulter d'une mutation aussi spectaculaire sera probablement récompensé par une pathogénicité accrue. Il y a des raisons d'avoir peur que cette dynamique finisse par permettre la sélection naturelle d'individus dotés d'une immunité innée sans compromis (non-vaccinés), tout en éliminant ceux qui en sont dépourvus. Ce serait le pire scénario imaginable. Une véritable pandémie meurtrière touchant principalement les vaccinés.

Une telle sélection naturelle conduirait enfin à l'éradication du SAAS-CoV-2, car l'immunité innée stérilise le virus et bloque la transmission, mais le prix à payer serait inimaginable. Pour mettre fin à la pandémie par l'éradication du virus, cela coûterait beaucoup, beaucoup plus cher en vies humaines que ce qui aurait été nécessaire pour générer une immunité collective et permettre au virus d'entrer dans un état endémique bénin comme la grippe.

Ceux qui imposent la vaccination de masse optent pour la première solution, le risque de la création d'un super-virus aux capacités dévastatrices, au lieu de la seconde, un coût à court terme récompensé par une endémie légère.

Si le premier scénario venait à se produire, l'Histoire s'en souviendra comme la plus grande erreur jamais commise par l'Homme.
PS : ceux qui pensent que je suis "antivax", sachez que cet avis est partagé par de nombreux scientifiques parmi les plus grands experts de la vaccination du monde, avec des carrières de plusieurs décennies dans le domaine, qui publient des avertissement et des études, tentent tant bien que mal de tirer la sonnette d'alarme.

Ces gens ont participé, encouragé et développé la vaccination dans le monde entier, mis fin à des épidémies meurtrières, développé des stratégies vaccinales partout sur la planète, et nous avertissent aujourd'hui des risques de la vaccination massive du COVID de la façon dont nous l'opérons.

Il n'y a rien d'antivax ici. Juste de la pure biologie évolutive et de la virologie de base.
D'ailleurs, ce problème est connu et étudié depuis longtemps.

Un des papiers les plus cités, considérés comme un des plus solides en virologie, cité 248 fois, publié il y a plus de 6 ans, nous avertissait déjà d'un tel risque.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC4516275/

Ce papier prouve par l'expérience et l'observation que notre stratégie actuelle est mauvaise.

"Nous montrons ici de manière expérimentale que l'immunisation des poulets contre le virus de la maladie de Marek augmente la valeur adaptative des souches les plus virulentes, rendant possible la transmission des souches hyperpathogènes. L'immunité provoquée par la vaccination directe ou par la vaccination maternelle prolonge la survie de l'hôte mais n'empêche pas l'infection, la réplication virale ou la transmission, prolongeant ainsi les périodes infectieuses de souches autrement trop létales pour persister. Nos données montrent que les vaccins anti-maladie qui n'empêchent pas la transmission peuvent créer des conditions qui favorisent l'émergence de souches pathogènes qui provoquent des maladies plus graves chez les hôtes non vaccinés."

Notez la dernière phrase : "plus grave chez les hôtes non vaccinés".

Oui, dans le cas d'une campagne de vaccination unique.

Si vous répétez encore et encore l'opération, une fois que les non-vaccinés ont été gravement touchés et ont développé leur immunité, c'est au tour des vaccinés de subir les effets de leur propre immunisation partielle.
Dernière chose : je ne cherche à faire peur à personne. Je cherche à parler des risques. Rien de ce que je dis ici n'est absolument certain, des nouveaux mécanismes peuvent surgir, un nouveau remède stérilisant peut voir le jour (traitement actif ou préventif), un changement de stratégie peut se mettre en place, il existe de nombreux moyens d'éviter le pire.

Je ne dis pas que ça va arriver, je dis que si on continue dans cette voie, il y a des probabilités importantes que ça se produise. Inutile de paniquer, soyez informés, comprenez mon raisonnement, posez des questions, exigez des des réponses. Si vous trouvez une explication qui semble convaincante et qui contredit tout mon développement en se basant sur des principes premiers, faites-vous votre propre conclusion.

Avant tout, j'ai créé ce groupe pour offrir un autre son de cloche que tout ce qui est dit et répété dans les médias. J'ai averti de l'arrivée de la pandémie alors qu'il n'y avait que quelques cas en Chine selon la presse et l'OMS, j'ai donné dans l'ordre les pays dans lesquels la situation dégénérerait avant qu'ils ne soient annoncés en me basant sur des rapports internes, j'ai averti des risques majeurs sans mesures drastiques (qui ont heureusement été prises et nous ont fait gagner du temps et d'assister à une diminution de la dangerosité des variants, n'en déplaise aux anti-masques/anti-confinement), j'ai ensuite averti que la vaccination massive en pleine pandémie engendrerait inévitablement dans un premier temps des variants plus contagieux, là encore, il me semble avoir eu raison.

Aujourd'hui, j'avertis simplement de la suite logique, encore une fois, de ce que j'entrevois, de par mes différentes sources.

Si vous pensez que je suis un dangereux conspirationniste, rien ne vous retient ici. Je ne cherche pas à répandre des théories fumeuses, il y en a assez à la télévision. Je cherche à ouvrir l'horizon des débats pour comprendre plus précisément qui se déroule.

Oui, les masques et les confinements étaient utiles à un moment et ont épargné le pire, et nous ont permis de nous adapter.

Oui, les masques sont toujours utiles, mais les confinements ne le sont plus à cause des variants, et font maintenant plus de mal que de bien.

Non, les pass sanitaires ne sont pas une solution, ils agissent négativement sur la pression sélective en renforçant les liens des vaccinés et donc la rapidité de mutation du virus; en plus d'être des outils de contrôles totalitaires chéris par le pouvoir, mais ça, c'est un autre sujet.

Oui, la vaccination est une très mauvaise idée de cette manière, elle doit être ciblée et exclusivement réservée aux personnes à risque pour limiter la pression sélective et endiguer la pandémie, comme ça a toujours été fait par le passé (et oui, de cette manière, la vaccination fonctionne !)

Les anti-masques/antivax me détestent car je prends la menace du COVID au sérieux.

Les pro-pass/provax me détestent car je réfléchis à la problématique à terme de leur stratégie débile.

Si je cherchais à plaire, je dirais ce que tout le monde a envie d'entendre. Or, je ne cherche à plaire à personne, c'est ce qui fait de ce canal une source d'information que je tente tant bien que mal de garder neutre. Navré si certaines choses ne vous plaisent pas. 😉
Après des avertissements de plusieurs comités internationaux et nationaux (y compris la Haute autorité de Santé en France), c'est maintenant le National Advisory Committee on Immunization (Canada) qui envoie une notification interne à l'OMS, signalant qu'ils envisagent bientôt de publier la même recommandation que les autres, à savoir de déconseiller le vaccin Moderna pour les moins de 30 ans, citant un rapport bénéfice-risque négatif à cause des risques augmentés de problèmes cardiaques. Rien de public pour l'instant. Le Japon devrait également faire bientôt de même et envisage une recommandation potentiellement similaire pour le vaccin Pfizer.
Un petit mot sur la situation Israël / Iran.

Israël a envoyé des mémos à ses partenaires, citant une présence iranienne accrue à sa frontière nord et vient de frapper des cibles en territoire syrien appartenant, selon Israël, au Hezbollah, qui y stockerait des armes pour l'Iran.

L'Iran, toujours par les canaux diplomatiques, fait savoir qu'il considère ces frappes comme une provocation grave, et annonce le déploiement d'un large dispositif anti-aérien dans la région.

Fin de parenthèse.
Albert Bourla, Directeur général de Pfizer, vient d'annoncer que le fait qu'Omicron est capable d'échapper à la protection vaccinale tout en étant moins virulent est une source d'inquiétude importante, car "des mutations dangereuses pourraient apparaître s'il se propage à des milliards de personnes".

Tiens tiens. 🧐
Une première étude montre une réduction de la neutralisation des vaccins Pfizer par rapport à Omicron de 97.5%
Le CEO de BioNTech explique que le vaccin pour Omicron sera probablement de nouveau composé de trois doses, que les vaccins actuels ne semblent pas fonctionner comme ils devraient face au nouveau variant, et recommande tout de même la 3ème dose "booster" du vaccin actuel.

On n'est pas sorti de l'auberge.

Si la vaccination court après les variants, les variants auront toujours une longueur d'avance, l'immunité innée ne sera jamais libre de faire son travail, concurrencée par des anticorps à courte durée de mauvaise qualité.

La vaccination sélectionnera de nouveaux variants, encore et encore. Pour toujours.
Des esprits cyniques pourraient presque penser que les grands laboratoires n'ont aucun intérêt financier à freiner ce mécanisme qu'ils engendrent, leur permettant ainsi d'écouler des milliards de doses tous les ans pour les années à venir.

Heureusement, nous ne sommes pas des esprits cyniques...
Les conflits d'intérêts concernent tout le monde sauf les lobbies pharmaco-politiques.

Circulez, il n'y a rien à voir.
PS : Si vous avez aimé Omicron, vous allez adorer Omicron 2.
Une théorie discutée dans le milieu scientifique depuis environ une semaine semble se confirmer.

Une analyse des 131 séquences de variants Omicron du 9 novembre au 28 novembre 2021 révèle que les variants ont divergé en au moins 6 sous-groupes majeurs. 86,3 % des cas présentent une insertion à l'acide aminé 214 (INS214EPE) de la protéine spike.

La protéine Spike d'Omicron présente 26 mutations d'acides aminés (23 substitutions, deux délétions et une insertion) qui sont distinctes par rapport à d'autres variantes préoccupantes.

Alors que les mutations de substitution et de suppression sont apparues dans des lignées antérieures de SARS-CoV-2, la mutation d'insertion (INS214EPE) n'a pas été observée auparavant dans une lignée de SARS-CoV-2 autre qu'Omicron. Cette mutation "d'insertion" pourrait être le résultat d'un hôte ayant des cellules à la fois contaminées par le SARS-CoV-2 et un coronavirus plus commun, entraînant une forme grippale.

Pour vulgariser, au sein d'une cellule, un variant aurait acquis une séquence d'un coronavirus de la grippe habituelle, lui conférant un probable avantage en terme de contagiosité. Il est possible que ce soit ce mécanisme qui est à l'origine de la domination d'Omicron.

Il est maintenant nécessaire de comprendre la fonction de l'insertion Omicron et de savoir si les cellules hôtes humaines sont exploitées par le SRAS-CoV-2 comme un "bassin évolutif" pour l'interaction génomique hôte-virus et inter-virale, ce qui serait un nouveau problème.

Dans tous les cas, une nouvelle vaccination ciblée anti-Omicron serait une très mauvaise idée, donnant un nouvel élan au virus pour trouver, une fois de plus, de nouveaux chemins évolutifs à son avantage tout en cultivant des réponses immunitaires imparfaites et de courte durée qui finiraient par se retourner contre la population.

Il se pourrait néanmoins qu'en cessant toute campagne de vaccination massive, par je ne sais quelle prise de conscience politique, on puisse bénéficier, par chance, d'une réponse immunitaire plus efficace face à un variant qui se banaliserait petit à petit. Pour cela il faudrait arrêter de vacciner, surtout éviter la vaccination anti-Omicron, et laisser le temps à ces mutations plus banales de s'installer.
Hors sujet :

Israël continue de presser ses partenaires européens avant de déclencher une opération d'ampleur contre l'Iran.

La Russie, qui tente de mettre la pression sur les deux camps en utilisant l'Ukraine comme point de négociation (tout comme la Chine avec Taiwan) se retrouve forcée à clarifier sa décision; en effet, l'Ukraine vient d'accepter de soutenir Israël et d'encourager ses partenaires européens à faire de même : En échange de sa reconnaissance de Jerusalem comme capitale officielle avec effet immédiat, Israël assure à l'Ukraine la protection américaine contre la Russie.

Israël, de son côté, renforce son soutien européen dans le conflit à venir, mettant les partenaires de l'Ukraine dans son camp, par défaut.

La Russie, jusqu'ici plutôt neutre, se voit donc forcée à clarifier sa situation puisque si elle attaque l'Ukraine, elle se retrouve exclue du camp israelo-occidental face à l'Iran.
⚠️ Un rapport interne à l'OMS recommande vivement à la tête de l'organisation "de faire preuve d'objectivité et de retrouver la raison". Plusieurs personnes appellent à profiter de la dangerosité diminuée d'Omicron (qui a été sélectionné, rappelons-le, par une vaccination massive sélectionnant des mutations importantes sur la protéine de pointe).

Je cite le rapport interne (traduit) :

"En conclusion, il semble donc déraisonnable de penser qu'une intervention vaccinale de masse ciblée sur cette nouvelle variante du SARS-CoV-2 soit justifiable pour deux raisons principales :

La première est le risque de déplacer la pression sélective vers certaines des nombreuses mutations mal comprises d'Omicron qui pourraient favoriser l'émergence de variantes beaucoup plus dangereuses, et la seconde est qu'une approche passive-attentive pouvant favoriser enfin l'apparition d'une immunité collective potentielle exige l'arrêt immédiat de toute vaccination sans discernement de groupes."

Rappelez-vous que le problème de la stratégie vaccinale a toujours été en deux étapes. La première étape mène à l'émergence de variants extrêmement contagieux, capables d'échapper à l'immunité peu efficace et peu durable des vaccins tout en bénéficiant d'un bassin de mutations exceptionnel (on en a parlé ici depuis fin 2020 déjà) puis dans un deuxième temps, l'émergence d'un descendant de ce variant "inarrêtable" qui finirait par devenir plus dangereux à cause d'une immunité innée incapable d'agir, concurrencée par une immunité acquise médiocre qui occuperait une grande partie de la population.

La 1ère étape est maintenant derrière nous. Omicron pourrait être une porte de sortie à condition de tout arrêter et de ne surtout pas l'attaquer frontalement avec une nouvelle génération de vaccins anti-Omicron, ce qui mènerait inévitablement à la 2ème étape, celle qu'on veut absolument éviter.

De plus en plus de gens à l'OMS en sont également convaincus.