De plus, un groupe à l'OMS publie pour la deuxième fois un rapport interne demandant à changer la classification du COVID, le faisant passer d'une maladie respiratoire à une maladie cardiovasculaire.
Le rapport conclut par un paragraphe qui pourrait se révéler intéressant pour la suite : Omicron semble avoir évolué en ce sens, avec des symptômes respiratoires différents et plus faibles, pas de perte d'odorat, par exemple, mais un impact cardiaque plus important entraînant une réaction corporelle globale avec des effets potentiels à long terme plus dangereux pour le cœur qui doivent être étudiés à tout prix.
Souvenez-vous, je vous ai parlé d'un premier variant qui serait le candidat à une nouvelle famille, totalement différente. Pour que ce nouveau variant représente un danger, il faut cocher deux cases :
1. Un mode de transmission différent.
2. Un mode de développement différent.
Ici, on voit que les deux cases sont cochées. Je ne pense pas qu'Omicron soit un danger à court terme comme l'ont été les premiers. Il semble se transformer en maladie plus perverse, plus discrète, et donc sournoise.
Si celle-ci peut se transmettre sans aucune résistance (échappant au vaccin), avec des effets cardiovasculaires accrus, on pourrait se retrouver par la suite avec des nouvelles épidémies courtes mais répétitives et meurtrières de descendants d'Omicron imprévisibles.
Encore une fois, tout est flou pour le moment. Le problème d'Omicron c'est qu'il a été sélectionné pour être le plus évasif possible, ce qui signifie le plus de mutations possibles à la fois, et chacune de ces mutations peut engendrer des choses différentes que nous devrons étudier ces prochains mois.
Le rapport conclut par un paragraphe qui pourrait se révéler intéressant pour la suite : Omicron semble avoir évolué en ce sens, avec des symptômes respiratoires différents et plus faibles, pas de perte d'odorat, par exemple, mais un impact cardiaque plus important entraînant une réaction corporelle globale avec des effets potentiels à long terme plus dangereux pour le cœur qui doivent être étudiés à tout prix.
Souvenez-vous, je vous ai parlé d'un premier variant qui serait le candidat à une nouvelle famille, totalement différente. Pour que ce nouveau variant représente un danger, il faut cocher deux cases :
1. Un mode de transmission différent.
2. Un mode de développement différent.
Ici, on voit que les deux cases sont cochées. Je ne pense pas qu'Omicron soit un danger à court terme comme l'ont été les premiers. Il semble se transformer en maladie plus perverse, plus discrète, et donc sournoise.
Si celle-ci peut se transmettre sans aucune résistance (échappant au vaccin), avec des effets cardiovasculaires accrus, on pourrait se retrouver par la suite avec des nouvelles épidémies courtes mais répétitives et meurtrières de descendants d'Omicron imprévisibles.
Encore une fois, tout est flou pour le moment. Le problème d'Omicron c'est qu'il a été sélectionné pour être le plus évasif possible, ce qui signifie le plus de mutations possibles à la fois, et chacune de ces mutations peut engendrer des choses différentes que nous devrons étudier ces prochains mois.
Rappelez-vous, dans le cas du SARS-CoV-2, l'immunité innée protège l'individu et la population en même temps (c'est une immunité stérilisante, pas de pression de sélection naturelle, immunité collective possible) alors que l'immunité adaptative (et donc en retard, puisque toujours ciblée sur le variant dominant) induite par des vaccins a exactement l'effet inverse (non stérilisante, pression sélective et immunité collective impossible).
La question pour les variants à venir, Omicron et ses descendants (dans le cas où Omicron arrive à chasser Delta et à s'imposer, ce qui doit encore être démontré) : peuvent ces variants résister également aux anticorps naturels développés par les personnes qui ont guéri du COVID ? La pression sélective de la vaccination a poussé à sélectionner un tel degré de mutation que la question est totalement ouverte.
Espérons que la réponse est non.
La question pour les variants à venir, Omicron et ses descendants (dans le cas où Omicron arrive à chasser Delta et à s'imposer, ce qui doit encore être démontré) : peuvent ces variants résister également aux anticorps naturels développés par les personnes qui ont guéri du COVID ? La pression sélective de la vaccination a poussé à sélectionner un tel degré de mutation que la question est totalement ouverte.
Espérons que la réponse est non.
L'OMS intègre les deux points ci-dessus et fait passer le risque à "très élevé".
D'après des données préliminaires, à prendre avec beaucoup de prudence car l'échantillon est très petit, 100% des malades d'Omicron au Botswana étaient vaccinés.
Il n'y a que 37% de la population qui est vaccinée au Botswana.
https://www.axios.com/iran-enrich-weapons-grade-uranium-israel-f624e90a-2283-4b55-adca-d5aae1403912.html
"SCOOP" publié il y a 5 minutes.
Voilà.
Je vous laisse lire la première phrase et comparer avec ce que je vous disais.
Ce qu'il faut savoir, en plus, c'est que cet article n'en dit qu'une petite partie.
"Israel has shared intelligence over the past two weeks with the U.S. and several European allies suggesting that Iran is taking technical steps to prepare to enrich uranium to 90% purity — the level needed to produce a nuclear weapon, two U.S. sources briefed on the issue tell me."
Ce qu'il ne dit pas, c'est qu'Israël a également transmis un plan d'attaque détaillé et exige de ses partenaires un soutien infaillible, alors que l'Iran prévient que la Chine défendra ses intérêts dans la région en cas d'escalade.
Je vous laisse en tirer vos conclusions. Je vous avais dit que je donnerais quelques détails, maintenant mes sources ont transmis l'information plus loin, donc la suite vous pourrez la suivre dans la presse.
"SCOOP" publié il y a 5 minutes.
Voilà.
Je vous laisse lire la première phrase et comparer avec ce que je vous disais.
Ce qu'il faut savoir, en plus, c'est que cet article n'en dit qu'une petite partie.
"Israel has shared intelligence over the past two weeks with the U.S. and several European allies suggesting that Iran is taking technical steps to prepare to enrich uranium to 90% purity — the level needed to produce a nuclear weapon, two U.S. sources briefed on the issue tell me."
Ce qu'il ne dit pas, c'est qu'Israël a également transmis un plan d'attaque détaillé et exige de ses partenaires un soutien infaillible, alors que l'Iran prévient que la Chine défendra ses intérêts dans la région en cas d'escalade.
Je vous laisse en tirer vos conclusions. Je vous avais dit que je donnerais quelques détails, maintenant mes sources ont transmis l'information plus loin, donc la suite vous pourrez la suivre dans la presse.
Si vous connaissez un peu la situation géopolitique et qui soutient qui, vous comprenez pourquoi l'escalade pourrait dégénérer rapidement, et pourquoi la France tente tant bien que mal de jouer l'apaisement de par ses intérêts multiples dans la région (dans les deux camps).
Et si vous pensez qu'on parle juste du même conflit depuis 20 ans, Israël vs Iran, et que c'est comme d'habitude, vous faites erreur. Il y a une ambiance d'avant-guerre qui se répand dans les canaux diplomatiques, et il va falloir négocier très rapidement et arriver à une conclusion ferme pour empêcher Israël de déclencher un assaut qui forcerait ses alliés à choisir un camp.
La Chine fait savoir que toutes les cartes sont sur la table pour défendre ses alliés, et joue la carte du chantage avec Taïwan, la Russie sait qu'elle tient sa part du jeu avec l'Ukraine...
On n'a jamais été aussi proche d'un déclenchement.
Je m'arrête là sur ce sujet, puisque les médias commenceront gentiment à en parler (ou pas ?) si ça dégénère davantage.
Et si vous pensez qu'on parle juste du même conflit depuis 20 ans, Israël vs Iran, et que c'est comme d'habitude, vous faites erreur. Il y a une ambiance d'avant-guerre qui se répand dans les canaux diplomatiques, et il va falloir négocier très rapidement et arriver à une conclusion ferme pour empêcher Israël de déclencher un assaut qui forcerait ses alliés à choisir un camp.
La Chine fait savoir que toutes les cartes sont sur la table pour défendre ses alliés, et joue la carte du chantage avec Taïwan, la Russie sait qu'elle tient sa part du jeu avec l'Ukraine...
On n'a jamais été aussi proche d'un déclenchement.
Je m'arrête là sur ce sujet, puisque les médias commenceront gentiment à en parler (ou pas ?) si ça dégénère davantage.
PS : Cela m'avait échappé, le ministre de la défense Benny Gantz a confirmé il y a quelques heures qu'Israel a fait savoir à ses alliés qu'elle envisageait d'être "forte et indépendante pour présenter ses propres solutions afin de se défendre, par elle-même, lorsqu'elle décidera que cela doit être fait."
Preuve : https://www.jpost.com/breaking-news/gantz-says-israel-sharing-intel-on-iran-as-nuclear-talks-begin-in-vienna-687318
Je vous le partage parce que ça confirme ce dont je parlais hier, et l'annonce vient tout juste d'être faite. C'est simplement pour vous montrer que je n'invente rien. Je m'excuse à nouveau si ça sonnait un peu conspirationniste sur le moment, mais ne sachant pas quand les informations seraient publiées, je me devais de n'exposer personne.
Cela confirme qu'Israël est bien en train de passer à l'action, et averti maintenant publiquement qu'elle n'attendra pas le feu vert. Cela ne l'empêche pas néanmoins, en coulisse, de s'assurer du soutien de ses alliés.
EDIT : La seule manière d'éviter un ce déclenchement va être que les gros joueurs (Chine/USA/Russie) calment la partie avec des négociations rapides et strictes.
Preuve : https://www.jpost.com/breaking-news/gantz-says-israel-sharing-intel-on-iran-as-nuclear-talks-begin-in-vienna-687318
Je vous le partage parce que ça confirme ce dont je parlais hier, et l'annonce vient tout juste d'être faite. C'est simplement pour vous montrer que je n'invente rien. Je m'excuse à nouveau si ça sonnait un peu conspirationniste sur le moment, mais ne sachant pas quand les informations seraient publiées, je me devais de n'exposer personne.
Cela confirme qu'Israël est bien en train de passer à l'action, et averti maintenant publiquement qu'elle n'attendra pas le feu vert. Cela ne l'empêche pas néanmoins, en coulisse, de s'assurer du soutien de ses alliés.
EDIT : La seule manière d'éviter un ce déclenchement va être que les gros joueurs (Chine/USA/Russie) calment la partie avec des négociations rapides et strictes.
Il y a deux fois plus de nouveaux cas COVID en Afrique du Sud aujourd'hui qu'hier, et 20 fois plus qu'il n'y en avait chaque jour il y a deux semaines.
90% de cas actifs sont des cas Omicron.
90% de cas actifs sont des cas Omicron.
Autrement dit, Omicron a déjà quasiment chassé Delta en Afrique du Sud en 2 semaines.
Global Intel LIVE - CoronaLive
Rappelez-vous, dans le cas du SARS-CoV-2, l'immunité innée protège l'individu et la population en même temps (c'est une immunité stérilisante, pas de pression de sélection naturelle, immunité collective possible) alors que l'immunité adaptative (et donc en…
La réserve émise ici sur le fait qu'Omicron arriverait à s'imposer ne tient donc plus. Delta n'a aucune chance. Il faut s'attendre à des réactions fortes ces 24 prochaines heures, ainsi que des nouvelles annonces concernant les non-vaccinés. (puisque les autorités n'y comprennent rien)
Rappelez-vous, Omicron en tant que tel n'est peut-être pas la menace, il faut encore définir ses symptômes cardiovasculaires durables, mais le reste de sa symptomatique semble être plus clément.
Néanmoins, il est la fondation sur laquelle une nouvelle famille de variants pourraient émerger bientôt.
Ne vous faites pas avoir par le discours disant qu'Omicron est moins grave car instable ou présente trop de mutations le menant bientôt à l'autodestruction. Restez neutre. D'un côté, certains crient à la catastrophe absolue, d'autres tentent de faire croire qu'Omicron est enfin la grippe à laquelle ils n'ont cessé de comparer le COVID pour en réduire l'impact.
Le danger du COVID n'a jamais été un danger absolu et immédiat, il a toujours été un danger endémique et prolongé, dont la portée a été aggravée par la vaccination massive.
Le pire, c'est qu'on va maintenant créer des vaccins anti-Omicron, en nous sortant les mêmes délires, selon lesquels c'est la seule manière de mettre fin à la pandémie. Arrêtons ces bêtises.
Ni les politiciens, ni les médias, ni les responsables de la Santé publique ne savent ce qu'ils font. Il y a un groupe dissident à l'intérieur de l'OMS dont j'ai parlé plusieurs fois ici en 2020 qui tente tant bien que mal de faire comprendre au grand public certaines choses, et qui a été à l'origine des fuites menant à l'acceptation de la théorie de la fuite du laboratoire, même si les gouvernements ne le reconnaissent pas officiellement pour ne pas se mettre la Chine à dos, tout le monde sait que le virus a échappé du laboratoire P4, à l'OMS c'est acquis depuis des mois déjà, et dans les cercles politiques aussi.
Néanmoins, il est la fondation sur laquelle une nouvelle famille de variants pourraient émerger bientôt.
Ne vous faites pas avoir par le discours disant qu'Omicron est moins grave car instable ou présente trop de mutations le menant bientôt à l'autodestruction. Restez neutre. D'un côté, certains crient à la catastrophe absolue, d'autres tentent de faire croire qu'Omicron est enfin la grippe à laquelle ils n'ont cessé de comparer le COVID pour en réduire l'impact.
Le danger du COVID n'a jamais été un danger absolu et immédiat, il a toujours été un danger endémique et prolongé, dont la portée a été aggravée par la vaccination massive.
Le pire, c'est qu'on va maintenant créer des vaccins anti-Omicron, en nous sortant les mêmes délires, selon lesquels c'est la seule manière de mettre fin à la pandémie. Arrêtons ces bêtises.
Ni les politiciens, ni les médias, ni les responsables de la Santé publique ne savent ce qu'ils font. Il y a un groupe dissident à l'intérieur de l'OMS dont j'ai parlé plusieurs fois ici en 2020 qui tente tant bien que mal de faire comprendre au grand public certaines choses, et qui a été à l'origine des fuites menant à l'acceptation de la théorie de la fuite du laboratoire, même si les gouvernements ne le reconnaissent pas officiellement pour ne pas se mettre la Chine à dos, tout le monde sait que le virus a échappé du laboratoire P4, à l'OMS c'est acquis depuis des mois déjà, et dans les cercles politiques aussi.
Le corps médical, naïf et endoctriné dès sa formation par les théories selon lesquelles les vaccins sont les remèdes à tout, ne cherche pas à comprendre les effets d'une pression immunitaire généralisée.
Il ne fait aucun doute qu'Omicron n'est qu'un exemple parmi d'autres et que d'autres variants abritant une panoplie similaire de mutations de la protéine Spike apparaîtront bientôt dans d'autres pays.
Par ailleurs, les pays qui - avec la vaccination de masse - ont préparé leurs populations à servir d'excellent bassin de mutation et de reproduction pour des variants plus infectieux, feront preuve d'un haut niveau d'hospitalisation par Omicron et ses descendants. C'est inévitable. Les pays qui s'en sortiront probablement le mieux seront ceux dont l'immunité innée de la population est toujours capable d'agir comme un barrage adaptif à la transmission.
Il ne fait aucun doute qu'Omicron n'est qu'un exemple parmi d'autres et que d'autres variants abritant une panoplie similaire de mutations de la protéine Spike apparaîtront bientôt dans d'autres pays.
Par ailleurs, les pays qui - avec la vaccination de masse - ont préparé leurs populations à servir d'excellent bassin de mutation et de reproduction pour des variants plus infectieux, feront preuve d'un haut niveau d'hospitalisation par Omicron et ses descendants. C'est inévitable. Les pays qui s'en sortiront probablement le mieux seront ceux dont l'immunité innée de la population est toujours capable d'agir comme un barrage adaptif à la transmission.
Cette pandémie est hors de contrôle, et ce contrôle nous échappe de plus en plus à cause de cette campagne. Omicron commencera par une maladie bénigne, car les anticorps anti-Spike éphémères et peu efficaces résultant d'une infection antérieure ne reconnaîtront plus Omicron.
Il est en effet très probable que la résistance d'Omicron ne se limite pas aux anticorps vaccinaux, mais aussi aux anticorps de faible affinité induits naturellement par une infection asymptomatique ou légère.
Pourquoi Omicron semble bénin ? C'est normal. Attendons qu'Omicron devienne dominant et provoque des taux d'infection élevés. Dans ce cas, des anticorps anti-Spike de courte durée et de faible affinité commenceront à entrer en concurrence avec les anticorps innés dans une partie croissante de la population, en raison de la probabilité accrue d'une nouvelle exposition peu de temps après une infection antérieure.
Les taux élevés d'infection par Omicron empêcheront les anticorps anti-Spike à courte durée de vie et peu fonctionnels de décliner dans de grandes parties de la population. Ce phénomène, associé à la poursuite de la vaccination de masse avec des vaccins anti-Omicron, permettra à de grandes populations d'exercer une pression immunitaire sur l'infectiosité d'Omicron à son tour !
Aucune de ces réponses immunitaires n'est cependant capable de freiner la transmission du virus.
La vaccination de masse favorise donc la résistance virale aux vaccins. La résistance virale entraîne une infectiosité accrue du SARS-CoV-2 (Omicron) et peut, en fin de compte, permettre au SARS-CoV-2 d'utiliser d'autres déterminants de surface cellulaire pour pénétrer dans les cellules permissives.
Il est en effet très probable que la résistance d'Omicron ne se limite pas aux anticorps vaccinaux, mais aussi aux anticorps de faible affinité induits naturellement par une infection asymptomatique ou légère.
Pourquoi Omicron semble bénin ? C'est normal. Attendons qu'Omicron devienne dominant et provoque des taux d'infection élevés. Dans ce cas, des anticorps anti-Spike de courte durée et de faible affinité commenceront à entrer en concurrence avec les anticorps innés dans une partie croissante de la population, en raison de la probabilité accrue d'une nouvelle exposition peu de temps après une infection antérieure.
Les taux élevés d'infection par Omicron empêcheront les anticorps anti-Spike à courte durée de vie et peu fonctionnels de décliner dans de grandes parties de la population. Ce phénomène, associé à la poursuite de la vaccination de masse avec des vaccins anti-Omicron, permettra à de grandes populations d'exercer une pression immunitaire sur l'infectiosité d'Omicron à son tour !
Aucune de ces réponses immunitaires n'est cependant capable de freiner la transmission du virus.
La vaccination de masse favorise donc la résistance virale aux vaccins. La résistance virale entraîne une infectiosité accrue du SARS-CoV-2 (Omicron) et peut, en fin de compte, permettre au SARS-CoV-2 d'utiliser d'autres déterminants de surface cellulaire pour pénétrer dans les cellules permissives.
Encore une fois, si vous étiez en laboratoire et que vous vouliez créer un super-virus, vous feriez exactement ce qu'on fait aujourd'hui.
Vous prendriez une population d'organismes, les infecteriez avec un virus, et lui appliqueriez une pression sélective en pleine épidémie. Si vous voulez qu'il devienne plus contagieux, vous appliquez cette pression sur l'outil qu'il utilise pour se répandre.
De cette manière, après quelques milliers de mutations, un variant serait capable de dépasser cette barrière imposée et donnerait naissance à une nouvelle génération de descendants capables de se déplacer malgré cette contrainte.
Si, une fois cette contrainte dépassée, vous mettez à nouveau une pression sélective sur la nouvelle génération, quelques milliers de générations plus tard, vous avez une 3ème génération de variants disposant de deux nouvelles armes dont la 1ère ne disposait pas, les rendant plus contagieux.
Répétez encore l'opération, et puis encore et encore, et vous finissez avec un super-virus qui arrive à se transmettre tellement facilement qu'il n'y a plus grand chose à faire pour l'arrêter à part le stériliser. Et la seule manière de le stériliser, c'est l'immunité innée. Chaque vaccin est une pression sélective supplémentaire poussant à un virus encore plus contagieux, et ainsi de suite.
Autrement dit, sans arrêter cette campagne de vaccination massive, nous sommes en train de créer un super-virus à l'échelle mondiale contre lequel nous serons de moins en moins capables de nous défendre et contre lequel, à terme, les vaccinés seront de plus en plus sensibles (puisqu'ils lui auront donné à chaque nouvelle dose une nouvelle arme pour contourner leur immunité), alors que les non-vaccinés auront une chance, bien que rien ne le garantisse, de développer une immunité stérilisante.
Vous prendriez une population d'organismes, les infecteriez avec un virus, et lui appliqueriez une pression sélective en pleine épidémie. Si vous voulez qu'il devienne plus contagieux, vous appliquez cette pression sur l'outil qu'il utilise pour se répandre.
De cette manière, après quelques milliers de mutations, un variant serait capable de dépasser cette barrière imposée et donnerait naissance à une nouvelle génération de descendants capables de se déplacer malgré cette contrainte.
Si, une fois cette contrainte dépassée, vous mettez à nouveau une pression sélective sur la nouvelle génération, quelques milliers de générations plus tard, vous avez une 3ème génération de variants disposant de deux nouvelles armes dont la 1ère ne disposait pas, les rendant plus contagieux.
Répétez encore l'opération, et puis encore et encore, et vous finissez avec un super-virus qui arrive à se transmettre tellement facilement qu'il n'y a plus grand chose à faire pour l'arrêter à part le stériliser. Et la seule manière de le stériliser, c'est l'immunité innée. Chaque vaccin est une pression sélective supplémentaire poussant à un virus encore plus contagieux, et ainsi de suite.
Autrement dit, sans arrêter cette campagne de vaccination massive, nous sommes en train de créer un super-virus à l'échelle mondiale contre lequel nous serons de moins en moins capables de nous défendre et contre lequel, à terme, les vaccinés seront de plus en plus sensibles (puisqu'ils lui auront donné à chaque nouvelle dose une nouvelle arme pour contourner leur immunité), alors que les non-vaccinés auront une chance, bien que rien ne le garantisse, de développer une immunité stérilisante.
Il est indéniable que la vaccination de masse ne fera que pousser le virus à exploiter pleinement sa capacité d'évolution, y compris - si nécessaire - sa capacité à utiliser d'autres domaines récepteurs sur les cellules permissives.
Le coût d'adaptation qui pourrait résulter d'une mutation aussi spectaculaire sera probablement récompensé par une pathogénicité accrue. Il y a des raisons d'avoir peur que cette dynamique finisse par permettre la sélection naturelle d'individus dotés d'une immunité innée sans compromis (non-vaccinés), tout en éliminant ceux qui en sont dépourvus. Ce serait le pire scénario imaginable. Une véritable pandémie meurtrière touchant principalement les vaccinés.
Une telle sélection naturelle conduirait enfin à l'éradication du SAAS-CoV-2, car l'immunité innée stérilise le virus et bloque la transmission, mais le prix à payer serait inimaginable. Pour mettre fin à la pandémie par l'éradication du virus, cela coûterait beaucoup, beaucoup plus cher en vies humaines que ce qui aurait été nécessaire pour générer une immunité collective et permettre au virus d'entrer dans un état endémique bénin comme la grippe.
Ceux qui imposent la vaccination de masse optent pour la première solution, le risque de la création d'un super-virus aux capacités dévastatrices, au lieu de la seconde, un coût à court terme récompensé par une endémie légère.
Si le premier scénario venait à se produire, l'Histoire s'en souviendra comme la plus grande erreur jamais commise par l'Homme.
Le coût d'adaptation qui pourrait résulter d'une mutation aussi spectaculaire sera probablement récompensé par une pathogénicité accrue. Il y a des raisons d'avoir peur que cette dynamique finisse par permettre la sélection naturelle d'individus dotés d'une immunité innée sans compromis (non-vaccinés), tout en éliminant ceux qui en sont dépourvus. Ce serait le pire scénario imaginable. Une véritable pandémie meurtrière touchant principalement les vaccinés.
Une telle sélection naturelle conduirait enfin à l'éradication du SAAS-CoV-2, car l'immunité innée stérilise le virus et bloque la transmission, mais le prix à payer serait inimaginable. Pour mettre fin à la pandémie par l'éradication du virus, cela coûterait beaucoup, beaucoup plus cher en vies humaines que ce qui aurait été nécessaire pour générer une immunité collective et permettre au virus d'entrer dans un état endémique bénin comme la grippe.
Ceux qui imposent la vaccination de masse optent pour la première solution, le risque de la création d'un super-virus aux capacités dévastatrices, au lieu de la seconde, un coût à court terme récompensé par une endémie légère.
Si le premier scénario venait à se produire, l'Histoire s'en souviendra comme la plus grande erreur jamais commise par l'Homme.
PS : ceux qui pensent que je suis "antivax", sachez que cet avis est partagé par de nombreux scientifiques parmi les plus grands experts de la vaccination du monde, avec des carrières de plusieurs décennies dans le domaine, qui publient des avertissement et des études, tentent tant bien que mal de tirer la sonnette d'alarme.
Ces gens ont participé, encouragé et développé la vaccination dans le monde entier, mis fin à des épidémies meurtrières, développé des stratégies vaccinales partout sur la planète, et nous avertissent aujourd'hui des risques de la vaccination massive du COVID de la façon dont nous l'opérons.
Il n'y a rien d'antivax ici. Juste de la pure biologie évolutive et de la virologie de base.
Ces gens ont participé, encouragé et développé la vaccination dans le monde entier, mis fin à des épidémies meurtrières, développé des stratégies vaccinales partout sur la planète, et nous avertissent aujourd'hui des risques de la vaccination massive du COVID de la façon dont nous l'opérons.
Il n'y a rien d'antivax ici. Juste de la pure biologie évolutive et de la virologie de base.
D'ailleurs, ce problème est connu et étudié depuis longtemps.
Un des papiers les plus cités, considérés comme un des plus solides en virologie, cité 248 fois, publié il y a plus de 6 ans, nous avertissait déjà d'un tel risque.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC4516275/
Ce papier prouve par l'expérience et l'observation que notre stratégie actuelle est mauvaise.
"Nous montrons ici de manière expérimentale que l'immunisation des poulets contre le virus de la maladie de Marek augmente la valeur adaptative des souches les plus virulentes, rendant possible la transmission des souches hyperpathogènes. L'immunité provoquée par la vaccination directe ou par la vaccination maternelle prolonge la survie de l'hôte mais n'empêche pas l'infection, la réplication virale ou la transmission, prolongeant ainsi les périodes infectieuses de souches autrement trop létales pour persister. Nos données montrent que les vaccins anti-maladie qui n'empêchent pas la transmission peuvent créer des conditions qui favorisent l'émergence de souches pathogènes qui provoquent des maladies plus graves chez les hôtes non vaccinés."
Notez la dernière phrase : "plus grave chez les hôtes non vaccinés".
Oui, dans le cas d'une campagne de vaccination unique.
Si vous répétez encore et encore l'opération, une fois que les non-vaccinés ont été gravement touchés et ont développé leur immunité, c'est au tour des vaccinés de subir les effets de leur propre immunisation partielle.
Un des papiers les plus cités, considérés comme un des plus solides en virologie, cité 248 fois, publié il y a plus de 6 ans, nous avertissait déjà d'un tel risque.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC4516275/
Ce papier prouve par l'expérience et l'observation que notre stratégie actuelle est mauvaise.
"Nous montrons ici de manière expérimentale que l'immunisation des poulets contre le virus de la maladie de Marek augmente la valeur adaptative des souches les plus virulentes, rendant possible la transmission des souches hyperpathogènes. L'immunité provoquée par la vaccination directe ou par la vaccination maternelle prolonge la survie de l'hôte mais n'empêche pas l'infection, la réplication virale ou la transmission, prolongeant ainsi les périodes infectieuses de souches autrement trop létales pour persister. Nos données montrent que les vaccins anti-maladie qui n'empêchent pas la transmission peuvent créer des conditions qui favorisent l'émergence de souches pathogènes qui provoquent des maladies plus graves chez les hôtes non vaccinés."
Notez la dernière phrase : "plus grave chez les hôtes non vaccinés".
Oui, dans le cas d'une campagne de vaccination unique.
Si vous répétez encore et encore l'opération, une fois que les non-vaccinés ont été gravement touchés et ont développé leur immunité, c'est au tour des vaccinés de subir les effets de leur propre immunisation partielle.