Global Intel LIVE - CoronaLive
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Focus sur les événements mettant en péril la stabilité mondiale, via des sources publiques mais aussi confidentielles et exclusives.
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Oui, sauf qu’un mois après, qu’est-ce qui se passe ?

Et bien la tendance s’inverse. Il commence à y avoir de plus en plus de malades chez les vaccinés en proportion de leur population respective.

On remarque néanmoins un effet surprenant, la proportion de malades non-vaccinés chez les moins de 18 ans semble exploser par rapport aux vaccinés.

C’est en réalité normal. Leur immunité innée étant très active, leur capacité à empêcher les infections par une immunité acquise (et donc durable contrairement à l’immunité innée) est faible. On crée une deuxième illusion, on dit « regardez, il faut vacciner les enfants maintenant ! la preuve, les enfants vaccinés sont beaucoup mieux protégés ! »
Vous verrez que cette tendance va également s’inverser dans les mois à venir, pour une raison simple : l’immunité innée des enfants sera de plus en plus entraînée à lutter, et commencer à cibler les infections les plus variées, là où l’immunité imposée par le vaccin sur les enfants engendrera une incapacité progressive à tomber malade ; comme pour toutes les autres tranches d’âge, la tendance s’inversera.

Si on vaccine les enfants en masses, ce sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase de la catastrophe.

On va supprimer une immunité innée extrêmement puissante qui est en train de devenir de plus en plus efficace et la remplacer par une immunité imposée partielle qui finira par sélectionner à son tour des variants capables d’y échapper. On inventera la 8ème version du vaccin pour la 52ème dose, et on se demandera pourquoi on n’arrive pas à générer une immunité collective… (et on mettra probablement encore une fois la faute sur les non-vaccinés, parce que bon, c’est plus facile).

Donc, plutôt que d’avoir une population de plus en plus immunisée avec des enfants qui grandissent et protègent de plus en plus la société avec une immunité innée entraînée à faire face à de nombreux variants, on générera une pandémie interminable.

Le deuxième effet pervers, c’est qu’au lieu de permettre à leur immunité innée d’exterminer le virus (l’immunité innée est stérilisante, c’est-à-dire qu’elle détruit le virus avant qu’il ait le temps de se développer), on les ajoutera au bassin de mutation déjà grand des vaccinés, rendant ce dernier encore plus propice à générer des variants de plus en plus problématiques !

Alors que les enfants devaient agir comme un bouclier de plus en plus puissant, ils serviront de catalyseur comme les vaccinés.

Enfin, la pire chose parmi tout ça, c’est que lorsque les nouveaux variants plus dangereux émergeront, il n’y aura aucune immunité innée dans la population capable de mettre fin à l’épidémie, totalement supprimée par l’immunité acquise par la vaccination ; et leurs anticorps seront totalement incapables de les protéger.

Et bien sûr, je n’ai pas parlé des effets secondaires, qui sont un problème supplémentaire qui questionnent le rapport bénéfice/risque chez les jeunes sous 30 ans, voire plus.

Une vaccination de masse des enfants engendrera inévitablement la création d’un variant qui feront des enfants une population particulièrement à risque alors même que jusqu’à aujourd’hui, ils ne risquaient absolument rien.

Quand ce nouveau super-variant verra le jour, il ne sera plus jamais possible d’atteindre une immunité collective ; et seuls les non-vaccinés, desquels l’immunité innée aura été préservée, auront une chance de se défendre.

On pourra alors accuser tant qu’on veut les non-vaccinés d’être les responsables, mais un jour il sera clair qu’ils auront pris la bonne décision.

Le seul remède, c’est un arrêt immédiat de la campagne de vaccination massive avant qu’il ne soit trop tard.

Il faut donc absolument éviter la vaccination massive des enfants, c’est la dernière pièce du puzzle qui complètera la recette pour une catastrophe majeure.

Le nouveau variant dont les médias parlent ces jours pourrait être un premier aperçu de ce que va donner cette campagne dangereuse.

Mais bon, je ne suis pas médecin hein, je ne fais aucune recommandation de santé. Agissez en votre propre âme et conscience.
C'est tout pour ajourd'hui.
Omicron est déjà partout et est inarrêtable.

Les simulations internes à l'OMS sont formelles.

Prendre des mesures de limitation des voyages n'y changera absolument rien.
Fauci, en charge de la gestion de la crise aux USA, qui par ailleurs finançait le programme de création de super-virus dans le laboratoire P4 de Wuhan qui est à l'origine de cette pandémie, nous fait le coup de Véran de 2020 : "Le virus ne circule pas sur le territoire national".
Un peu hors-sujet, et je m'en excuse, mais je pense que cela pourrait changer un peu la dynamique des choses.

Je m'excuse également du ton un peu "conspirationniste" de ce message, j'essaie d'en dire un peu sans en dire trop, pour des raisons évidentes.

Hier, un proche m'a parlé d'une probabilité de conflit militaire de grande ampleur dans les mois à venir qui semblait se dessiner dans les coulisses de la scène diplomatique internationale.

J'ai d'abord pris ceci à la rigolade, ai ridiculisé sa source et lui ai dit qu'il n'y avait rien de sérieux.

Puis, j'ai contacté quelques autres personnes...

J'ai appris que depuis dix jours, les canaux de communication sont plus actifs que d'habitude, et des alliances militaires commencent à se nouer. Certains pays se sont mis à envoyer des requêtes diplomatiques afin de s'assurer du soutiens de leurs alliés dans les mois à venir en cas d'éclatement de la guerre. La France a d'ailleurs reçu plusieurs sollicitations mais pour l'instant joue l'apaisement.

Il y a principalement un pays qui est à l'origine de ces requêtes et qui semble mettre un point d'honneur à se tisser un réseau solide de soutien avant de passer à la déclaration de guerre. Je ne sais pas si ça aboutira, et je vais tenter de ne pas trop parler de ces choses pour rester dans le thème.

J'en parle simplement parce que la guerre a toujours été utilisée comme moyen de détourner l'attention et d'unifier les peuples; alors quand j'entends que les canaux diplomatiques s'excitent, je ne peux m'empêcher de penser à la situation actuelle.
PS : ce n'est probablement pas ce à quoi vous pensez, raison pour laquelle j'ai d'abord ridiculisée l'idée.
Pour le reste, l'OMS vient d'ajouter deux points dans le nouveau rapport interne concernant Omicron :

1. Changement majeur de l'épidémiologie du COVID-19
2. Diminution de l'efficacité des mesures sociales et de santé publique, des diagnostics, vaccins et thérapeutiques disponibles

Il y a deux jours, cela avait été envisagé lorsque le virus est passé à VOC dans leur classification (Variant of Concern).

C'est maintenant acquis. L'OMS, après les simulations dont j'ai parlé hier, considère que le variant va complètement changer la donne. Pas de déclaration publique sur ce changement de considération pour l'heure.
De plus, un groupe à l'OMS publie pour la deuxième fois un rapport interne demandant à changer la classification du COVID, le faisant passer d'une maladie respiratoire à une maladie cardiovasculaire.

Le rapport conclut par un paragraphe qui pourrait se révéler intéressant pour la suite : Omicron semble avoir évolué en ce sens, avec des symptômes respiratoires différents et plus faibles, pas de perte d'odorat, par exemple, mais un impact cardiaque plus important entraînant une réaction corporelle globale avec des effets potentiels à long terme plus dangereux pour le cœur qui doivent être étudiés à tout prix.

Souvenez-vous, je vous ai parlé d'un premier variant qui serait le candidat à une nouvelle famille, totalement différente. Pour que ce nouveau variant représente un danger, il faut cocher deux cases :

1. Un mode de transmission différent.
2. Un mode de développement différent.

Ici, on voit que les deux cases sont cochées. Je ne pense pas qu'Omicron soit un danger à court terme comme l'ont été les premiers. Il semble se transformer en maladie plus perverse, plus discrète, et donc sournoise.

Si celle-ci peut se transmettre sans aucune résistance (échappant au vaccin), avec des effets cardiovasculaires accrus, on pourrait se retrouver par la suite avec des nouvelles épidémies courtes mais répétitives et meurtrières de descendants d'Omicron imprévisibles.

Encore une fois, tout est flou pour le moment. Le problème d'Omicron c'est qu'il a été sélectionné pour être le plus évasif possible, ce qui signifie le plus de mutations possibles à la fois, et chacune de ces mutations peut engendrer des choses différentes que nous devrons étudier ces prochains mois.
Rappelez-vous, dans le cas du SARS-CoV-2, l'immunité innée protège l'individu et la population en même temps (c'est une immunité stérilisante, pas de pression de sélection naturelle, immunité collective possible) alors que l'immunité adaptative (et donc en retard, puisque toujours ciblée sur le variant dominant) induite par des vaccins a exactement l'effet inverse (non stérilisante, pression sélective et immunité collective impossible).

La question pour les variants à venir, Omicron et ses descendants (dans le cas où Omicron arrive à chasser Delta et à s'imposer, ce qui doit encore être démontré) : peuvent ces variants résister également aux anticorps naturels développés par les personnes qui ont guéri du COVID ? La pression sélective de la vaccination a poussé à sélectionner un tel degré de mutation que la question est totalement ouverte.

Espérons que la réponse est non.
L'OMS intègre les deux points ci-dessus et fait passer le risque à "très élevé".
D'après des données préliminaires, à prendre avec beaucoup de prudence car l'échantillon est très petit, 100% des malades d'Omicron au Botswana étaient vaccinés.
Il n'y a que 37% de la population qui est vaccinée au Botswana.
https://www.axios.com/iran-enrich-weapons-grade-uranium-israel-f624e90a-2283-4b55-adca-d5aae1403912.html

"SCOOP" publié il y a 5 minutes.

Voilà.

Je vous laisse lire la première phrase et comparer avec ce que je vous disais.

Ce qu'il faut savoir, en plus, c'est que cet article n'en dit qu'une petite partie.

"Israel has shared intelligence over the past two weeks with the U.S. and several European allies suggesting that Iran is taking technical steps to prepare to enrich uranium to 90% purity — the level needed to produce a nuclear weapon, two U.S. sources briefed on the issue tell me."

Ce qu'il ne dit pas, c'est qu'Israël a également transmis un plan d'attaque détaillé et exige de ses partenaires un soutien infaillible, alors que l'Iran prévient que la Chine défendra ses intérêts dans la région en cas d'escalade.

Je vous laisse en tirer vos conclusions. Je vous avais dit que je donnerais quelques détails, maintenant mes sources ont transmis l'information plus loin, donc la suite vous pourrez la suivre dans la presse.
Si vous connaissez un peu la situation géopolitique et qui soutient qui, vous comprenez pourquoi l'escalade pourrait dégénérer rapidement, et pourquoi la France tente tant bien que mal de jouer l'apaisement de par ses intérêts multiples dans la région (dans les deux camps).

Et si vous pensez qu'on parle juste du même conflit depuis 20 ans, Israël vs Iran, et que c'est comme d'habitude, vous faites erreur. Il y a une ambiance d'avant-guerre qui se répand dans les canaux diplomatiques, et il va falloir négocier très rapidement et arriver à une conclusion ferme pour empêcher Israël de déclencher un assaut qui forcerait ses alliés à choisir un camp.

La Chine fait savoir que toutes les cartes sont sur la table pour défendre ses alliés, et joue la carte du chantage avec Taïwan, la Russie sait qu'elle tient sa part du jeu avec l'Ukraine...

On n'a jamais été aussi proche d'un déclenchement.

Je m'arrête là sur ce sujet, puisque les médias commenceront gentiment à en parler (ou pas ?) si ça dégénère davantage.
PS : Cela m'avait échappé, le ministre de la défense Benny Gantz a confirmé il y a quelques heures qu'Israel a fait savoir à ses alliés qu'elle envisageait d'être "forte et indépendante pour présenter ses propres solutions afin de se défendre, par elle-même, lorsqu'elle décidera que cela doit être fait."

Preuve : https://www.jpost.com/breaking-news/gantz-says-israel-sharing-intel-on-iran-as-nuclear-talks-begin-in-vienna-687318

Je vous le partage parce que ça confirme ce dont je parlais hier, et l'annonce vient tout juste d'être faite. C'est simplement pour vous montrer que je n'invente rien. Je m'excuse à nouveau si ça sonnait un peu conspirationniste sur le moment, mais ne sachant pas quand les informations seraient publiées, je me devais de n'exposer personne.

Cela confirme qu'Israël est bien en train de passer à l'action, et averti maintenant publiquement qu'elle n'attendra pas le feu vert. Cela ne l'empêche pas néanmoins, en coulisse, de s'assurer du soutien de ses alliés.

EDIT : La seule manière d'éviter un ce déclenchement va être que les gros joueurs (Chine/USA/Russie) calment la partie avec des négociations rapides et strictes.
Je me concentre à nouveau sur le COVID.
Il y a deux fois plus de nouveaux cas COVID en Afrique du Sud aujourd'hui qu'hier, et 20 fois plus qu'il n'y en avait chaque jour il y a deux semaines.

90% de cas actifs sont des cas Omicron.
Autrement dit, Omicron a déjà quasiment chassé Delta en Afrique du Sud en 2 semaines.