Cette protection imparfaite n’est pas le véritable problème, c’est juste un truc qui vient amplifier la problématique évoquée plus haut, avec les 4 points cités.
Suite à venir…
Suite à venir…
La politique actuelle visant à déterminer si une population est immunisée en mesurant le taux d’anticorps dont elle dispose est absolument stupide.
Votre corps ne génère pas des anticorps de manière continue. Lorsqu’il évalue que le risque de réinfection est réel, par prudence, votre système immunitaire génère les anticorps nécessaires à repousser une nouvelle tentative d’invasion.
Pour faire simple, votre corps est une forteresse bien gardée. Après une attaque, il est logique d’accentuer le nombre de gardes autour de la forteresse pour s’assurer qu’une autre attaque ne va pas arriver prochainement. Ces gardes sont vos anticorps.
Une fois la menace passée, au bout de quelques mois, il est logique que le nombre d’anticorps diminue. Votre corps cherche toujours à économiser de l’énergie et à être efficient.
Cela ne veut pas dire que votre base de données a oublié ! Au contraire, celle-ci est toujours à jour et des cellules dont le travail est de reconnaître la menace sont au travail constamment.
À peine une attaque arriverait-elle que votre corps générerait instantanément une nouvelle armée de soldats spécialement conçus pour défaire cette attaque.
Autrement dit, le taux d’anticorps dans le sang n’a AUCUN RAPPORT avec votre immunité.
Vous pouvez n’avoir que très peu d’anticorps et être immunisé au virus.
Tout ce que cela veut dire, c’est que votre corps ne considère plus que la menace est « active » et a décidé d’économiser ses ressources, mais il reste néanmoins prêt à les déployer rapidement en cas de nécessité.
Le problème avec une immunité par vaccin mRNA c’est que la base de données est corrompue et imparfaite pour deux raisons :
1. Elle ne cible qu’une partie de la menace, comme expliqué plus haut. Autrement dit, si une nouvelle attaque se produit mais que l’attaque a légèrement changé, le corps ne saura pas se défendre et ne déploiera pas son armée à temps.
2. Elle n’est pas permanente, la base de données oublie constamment la menace parce que le corps arrête de produire des casques rouges, et la base de données n’a jamais été vraiment mise à jour pour considérer ceux-ci comme une menace, vu qu’en soi ils ont inoffensifs.
C’est la raison pour laquelle il faut une deuxième puis troisième dose (puis quatrième, onzième, dix-huitième...).
Les cellules du corps arrêtent de produire les casques rouges, il faut leur demander de se remettre au travail pour que le corps n’oublie pas de se défendre quand il les voit.
D’un côté, on a une immunité naturelle efficace et adaptive, qui, dans la vaste majorité des cas, est longue car la base de données est mise à jour et se détériore lentement.
De l’autre, on a une immunité faible et trop ciblée, qui dans la vaste majorité ne dure pas puisque les casques rouges ne sont plus produits et que la base de données n’a jamais été mise à jour.
Suite à venir…
Votre corps ne génère pas des anticorps de manière continue. Lorsqu’il évalue que le risque de réinfection est réel, par prudence, votre système immunitaire génère les anticorps nécessaires à repousser une nouvelle tentative d’invasion.
Pour faire simple, votre corps est une forteresse bien gardée. Après une attaque, il est logique d’accentuer le nombre de gardes autour de la forteresse pour s’assurer qu’une autre attaque ne va pas arriver prochainement. Ces gardes sont vos anticorps.
Une fois la menace passée, au bout de quelques mois, il est logique que le nombre d’anticorps diminue. Votre corps cherche toujours à économiser de l’énergie et à être efficient.
Cela ne veut pas dire que votre base de données a oublié ! Au contraire, celle-ci est toujours à jour et des cellules dont le travail est de reconnaître la menace sont au travail constamment.
À peine une attaque arriverait-elle que votre corps générerait instantanément une nouvelle armée de soldats spécialement conçus pour défaire cette attaque.
Autrement dit, le taux d’anticorps dans le sang n’a AUCUN RAPPORT avec votre immunité.
Vous pouvez n’avoir que très peu d’anticorps et être immunisé au virus.
Tout ce que cela veut dire, c’est que votre corps ne considère plus que la menace est « active » et a décidé d’économiser ses ressources, mais il reste néanmoins prêt à les déployer rapidement en cas de nécessité.
Le problème avec une immunité par vaccin mRNA c’est que la base de données est corrompue et imparfaite pour deux raisons :
1. Elle ne cible qu’une partie de la menace, comme expliqué plus haut. Autrement dit, si une nouvelle attaque se produit mais que l’attaque a légèrement changé, le corps ne saura pas se défendre et ne déploiera pas son armée à temps.
2. Elle n’est pas permanente, la base de données oublie constamment la menace parce que le corps arrête de produire des casques rouges, et la base de données n’a jamais été vraiment mise à jour pour considérer ceux-ci comme une menace, vu qu’en soi ils ont inoffensifs.
C’est la raison pour laquelle il faut une deuxième puis troisième dose (puis quatrième, onzième, dix-huitième...).
Les cellules du corps arrêtent de produire les casques rouges, il faut leur demander de se remettre au travail pour que le corps n’oublie pas de se défendre quand il les voit.
D’un côté, on a une immunité naturelle efficace et adaptive, qui, dans la vaste majorité des cas, est longue car la base de données est mise à jour et se détériore lentement.
De l’autre, on a une immunité faible et trop ciblée, qui dans la vaste majorité ne dure pas puisque les casques rouges ne sont plus produits et que la base de données n’a jamais été mise à jour.
Suite à venir…
Pourquoi cette stratégie est une grosse erreur ?
La pression sélective exercée sur le virus est maintenant effectuée par une immunité fragile, sélectionnant dans un premier temps le variant le plus contagieux (ici, le Delta).
Une fois ce variant occupant la majorité de la population (si vous regardez les tranches de domination par variant, vous verrez qu’immédiatement après le début de la vaccination massive, les pays ont une montée du nombre d’infectés par Delta, puis il domine et devient le seul) ; les vaccinés deviennent un bassin de transmission dans lequel les mutations peuvent se faire tranquillement sans être détectées.
Pourquoi ?
Une grande partie des vaccinés sont infectés de manière asymptomatique. Le virus circule, mute, et finit par avoir une liberté de mutation extrême.
Les journalistes (et autres) font souvent une énorme erreur de compréhension : ils prétendent que plus la couverture vaccinale est grande, moins le virus circule et moins il a l’occasion de muter.
C’est faux.
Dans ce cas précis, c’est le contraire qui se produit. Plus la couverture de mauvaise qualité est grande, plus le virus circule car il y a de moins en moins de contrôle de la propagation, et plus il mute.
Par exemple, cette étude : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33909660/
Citation : « Quand des anticorps neutralisants sont présents massivement dans la population, une sélection de variants évadant à l’immunité induite par ladite population donnera naissance à une rapide montée du nombre d’infections par SARS-CoV-2. » Il n’est pas conspirationniste de dire ce genre de choses. Il s’agit ici de scientifiques parmi les meilleurs au monde (Harvard, etc.).
Il existe des dizaines d’études du genre. Pourtant, les médias et les politiques font semblant de ne pas connaître leur existence, ou sont totalement incompétents.
L’augmentation soudaine des cas dans les pays les plus vaccinés n’est pas un hasard.
Quelques citations :
« Des preuves émanent de nombreuses études expérimentales suggèrent qu’un variant particulier émergera, pouvant éviter la cible immunitaire vaccinale de la protéine de pointe (les « casques rouges » dans notre exemple, ndr) chez de nombreux individus, ce qui répandra rapidement des nouvelles variantes résistantes aux vaccins du SARS-CoV-2. »
« Un variant capable d’échapper à la neutralisation immunitaire est déjà en circulation en Afrique du Sud et pourra être soumis à une plus grande pression sélective une fois les vaccins déployés massivement. »
« Dans ce contexte, des vaccins qui ne proposent pas d’immunité stérilisante (et donc n’arrêtent pas la transmission) vont mener à une large population de nouveaux virus, augmentant de manière très importante le risque d’échappée immunitaire ».
Ça ressemble à quelque chose qu’on serait en train de vivre, peut-être ?
Suite à venir…
La pression sélective exercée sur le virus est maintenant effectuée par une immunité fragile, sélectionnant dans un premier temps le variant le plus contagieux (ici, le Delta).
Une fois ce variant occupant la majorité de la population (si vous regardez les tranches de domination par variant, vous verrez qu’immédiatement après le début de la vaccination massive, les pays ont une montée du nombre d’infectés par Delta, puis il domine et devient le seul) ; les vaccinés deviennent un bassin de transmission dans lequel les mutations peuvent se faire tranquillement sans être détectées.
Pourquoi ?
Une grande partie des vaccinés sont infectés de manière asymptomatique. Le virus circule, mute, et finit par avoir une liberté de mutation extrême.
Les journalistes (et autres) font souvent une énorme erreur de compréhension : ils prétendent que plus la couverture vaccinale est grande, moins le virus circule et moins il a l’occasion de muter.
C’est faux.
Dans ce cas précis, c’est le contraire qui se produit. Plus la couverture de mauvaise qualité est grande, plus le virus circule car il y a de moins en moins de contrôle de la propagation, et plus il mute.
Par exemple, cette étude : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33909660/
Citation : « Quand des anticorps neutralisants sont présents massivement dans la population, une sélection de variants évadant à l’immunité induite par ladite population donnera naissance à une rapide montée du nombre d’infections par SARS-CoV-2. » Il n’est pas conspirationniste de dire ce genre de choses. Il s’agit ici de scientifiques parmi les meilleurs au monde (Harvard, etc.).
Il existe des dizaines d’études du genre. Pourtant, les médias et les politiques font semblant de ne pas connaître leur existence, ou sont totalement incompétents.
L’augmentation soudaine des cas dans les pays les plus vaccinés n’est pas un hasard.
Quelques citations :
« Des preuves émanent de nombreuses études expérimentales suggèrent qu’un variant particulier émergera, pouvant éviter la cible immunitaire vaccinale de la protéine de pointe (les « casques rouges » dans notre exemple, ndr) chez de nombreux individus, ce qui répandra rapidement des nouvelles variantes résistantes aux vaccins du SARS-CoV-2. »
« Un variant capable d’échapper à la neutralisation immunitaire est déjà en circulation en Afrique du Sud et pourra être soumis à une plus grande pression sélective une fois les vaccins déployés massivement. »
« Dans ce contexte, des vaccins qui ne proposent pas d’immunité stérilisante (et donc n’arrêtent pas la transmission) vont mener à une large population de nouveaux virus, augmentant de manière très importante le risque d’échappée immunitaire ».
Ça ressemble à quelque chose qu’on serait en train de vivre, peut-être ?
Suite à venir…
L’histoire des variants est une histoire compliquée.
Le Delta, par exemple, a réussi à s’imposer de par sa grande capacité à échapper aux vaccins.
Les pires variants, et j’en avais parlé ici plusieurs fois, ont été ceux du Brésil qui a connu un taux de mortalité de près de 3000 personnes par million, là où les variants indiens, par exemple, ont été bien plus cléments, l’Inde étant en réalité beaucoup moins touchée.
Et c’est normal. L’inquiétude s’est propagée lorsque des variants extrêmement dangereux ont décimé des populations entières au Brésil, et dans d’autres pays voisins, mais leur mortalité trop importante a rapidement mis un terme à leur transmission.
Il faut bien comprendre que le problème émerge en deux temps :
D’abord, la sélection d’un variant moins violent que les précédents, ici le Delta, mais extrêmement contagieux, on en avait parlé également. Le processus de sélection est simple, il existe un spectre avec à ses extrêmes mortalité et contagiosité. Si un virus est trop mortel, par exemple le SARS-CoV (première édition), il s’éteint naturellement, tuant ses hôtes avant qu’ils ne puissent le transmettre.
Si un virus n’est pas assez dangereux, il ne crée aucun symptôme ce le rend également difficile à transmettre.
Il faut donc un équilibre entre symptômes plus légers et haute contagiosité, allié également à un rapide capacité à muter.
Les inquiétudes sont malheureusement tombées trop vite. Les pass vaccinaux ont été un véritable cheval de Troie dans l’immunité collective. Ils ont permis aux virus de circuler uniquement parmi les gens qui se rencontraient (donc, dont la majorité était vaccinée) pendant que les non-vaccinés se tenaient à l’écart.
Ce bassin de mutation était donc parfait pour de nouveaux variants. D’abord, le Delta se répand parmi les vaccinés, puis, il mute et commence à générer des variants plus dangereux, ensuite, les vaccinés représentant la majorité de la population et servant de bassin de mutation infectent les non-vaccinés. Pour terminer, les vaccinés, les politiciens et les médias accusent les non-vaccinés d’être responsables de la situation (vu qu’ils représentent la majorité des cas graves, alors qu’ils ont été probablement infectés par des vaccinés), et on les culpabilise en leur disant que l’épidémie n’arrivera jamais au bout à cause d’eux, alors que c’est précisément tout le contraire…
Suite à venir…
Le Delta, par exemple, a réussi à s’imposer de par sa grande capacité à échapper aux vaccins.
Les pires variants, et j’en avais parlé ici plusieurs fois, ont été ceux du Brésil qui a connu un taux de mortalité de près de 3000 personnes par million, là où les variants indiens, par exemple, ont été bien plus cléments, l’Inde étant en réalité beaucoup moins touchée.
Et c’est normal. L’inquiétude s’est propagée lorsque des variants extrêmement dangereux ont décimé des populations entières au Brésil, et dans d’autres pays voisins, mais leur mortalité trop importante a rapidement mis un terme à leur transmission.
Il faut bien comprendre que le problème émerge en deux temps :
D’abord, la sélection d’un variant moins violent que les précédents, ici le Delta, mais extrêmement contagieux, on en avait parlé également. Le processus de sélection est simple, il existe un spectre avec à ses extrêmes mortalité et contagiosité. Si un virus est trop mortel, par exemple le SARS-CoV (première édition), il s’éteint naturellement, tuant ses hôtes avant qu’ils ne puissent le transmettre.
Si un virus n’est pas assez dangereux, il ne crée aucun symptôme ce le rend également difficile à transmettre.
Il faut donc un équilibre entre symptômes plus légers et haute contagiosité, allié également à un rapide capacité à muter.
Les inquiétudes sont malheureusement tombées trop vite. Les pass vaccinaux ont été un véritable cheval de Troie dans l’immunité collective. Ils ont permis aux virus de circuler uniquement parmi les gens qui se rencontraient (donc, dont la majorité était vaccinée) pendant que les non-vaccinés se tenaient à l’écart.
Ce bassin de mutation était donc parfait pour de nouveaux variants. D’abord, le Delta se répand parmi les vaccinés, puis, il mute et commence à générer des variants plus dangereux, ensuite, les vaccinés représentant la majorité de la population et servant de bassin de mutation infectent les non-vaccinés. Pour terminer, les vaccinés, les politiciens et les médias accusent les non-vaccinés d’être responsables de la situation (vu qu’ils représentent la majorité des cas graves, alors qu’ils ont été probablement infectés par des vaccinés), et on les culpabilise en leur disant que l’épidémie n’arrivera jamais au bout à cause d’eux, alors que c’est précisément tout le contraire…
Suite à venir…
Alors oui, je sais, on va me traiter d’antivax et autres âneries et c’est exactement pour cette raison que je n’ai pas donné de nouvelles pendant ces derniers mois. Plutôt que de crier au loup encore et encore, il était plus simple de laisser l’expérience démontrer que la vaccination n’aiderait pas du tout à mettre fin à la pandémie après vous avoir averti.
Je n’ai rien contre la vaccination. La vaccination est un outil exceptionnel, une invention géniale.
Comme tout outil, néanmoins, lorsque mal utilisé, elle peut engendrer des problèmes majeurs.
Il aurait fallu vacciner les personnes à risque au creux de la vague avec un vaccin à l’ancienne induisant un ciblage complet du virus, lors d’un dernier confinement général. À ce moment-là, tout le monde aurait pu reprendre sa vie sans problème et la pandémie aurait été menée à terme, car les virus circulant au sein d’un même ménage auraient disparu (six semaines est le temps nécessaire pour avoir 100% de chances qu’un ménage n’est plus infecté). En prenant en charge les malades uniquement, tout se serait réglé.
Lors du déconfinement, personne n’aurait eu le moindre problème, les variants existants auraient rencontré une population à risque protégée, et le reste de la population aurait tranquillement développé une immunité sans sélectionner les variants échappant aux vaccins.
Évidemment, je cite ici un scénario utopique, il n’aurait probablement pas été possible de le faire de manière coordonnée, je dis juste ce qu’il aurait fallu faire.
Lorsque le virus a émergé à Wuhan, il était EXTRÊMEMENT meurtrier. Il est maintenant évident qu’il s’est échappé du laboratoire P4 (oui, et tout le monde le sait, même l’OMS, ce sera bientôt une information qui sera acceptée par tout le monde… souvenez-vous, la guerre en Irak, les armes de destruction massive, il a fallu dix ans pour que tout le monde accepte que ce fût un mensonge).
Des travailleurs au laboratoire de Wuhan sont tombé malades vers mi-2019, des mois avant les premiers cas « officiels », et la femme d’un des travailleurs du laboratoire en est décédée.
Évidemment, en se répandant, le virus est devenu de moins en moins meurtrier (pensez au spectre mortalité/contagiosité dont je parlais avant), pour pouvoir infecter le maximum de gens. C’est la raison pour laquelle les prédictions très apocalyptiques ont été déjouées par la succession de variants pré-vaccins.
Il était donc logique d’avoir peur jusqu’à fin 2020, mais à ce moment-là, la tendance était claire. Variants de moins en moins dangereux, essoufflement de l’épidémie… bref. Nous avons sacrifié une tendance totalement favorable, avec de moins en moins de morts et un virus de moins en moins dangereux qui donnerait enfin naissance à une immunité collective, pour une tendance défavorable… qui se retournera bientôt contre nous.
Nous aurions tous fini par attraper le COVID, les plus fragiles en seraient morts, et en appliquant des mesures de distances sociale simples, port du masques (oui ça marche, désolé pour ceux qui refusent de l’admettre) et autres, on aurait aujourd’hui un virus qui commencerait tranquillement à se rapprocher de celui de la grippe, une immunité collective pratiquement acquise et une situation retournant lentement à la normale.
C’est aujourd’hui impossible car la vaccination de masse, pour aussi longtemps qu’elle durera, nous interdira toute immunité collective.
Suite à venir…
Je n’ai rien contre la vaccination. La vaccination est un outil exceptionnel, une invention géniale.
Comme tout outil, néanmoins, lorsque mal utilisé, elle peut engendrer des problèmes majeurs.
Il aurait fallu vacciner les personnes à risque au creux de la vague avec un vaccin à l’ancienne induisant un ciblage complet du virus, lors d’un dernier confinement général. À ce moment-là, tout le monde aurait pu reprendre sa vie sans problème et la pandémie aurait été menée à terme, car les virus circulant au sein d’un même ménage auraient disparu (six semaines est le temps nécessaire pour avoir 100% de chances qu’un ménage n’est plus infecté). En prenant en charge les malades uniquement, tout se serait réglé.
Lors du déconfinement, personne n’aurait eu le moindre problème, les variants existants auraient rencontré une population à risque protégée, et le reste de la population aurait tranquillement développé une immunité sans sélectionner les variants échappant aux vaccins.
Évidemment, je cite ici un scénario utopique, il n’aurait probablement pas été possible de le faire de manière coordonnée, je dis juste ce qu’il aurait fallu faire.
Lorsque le virus a émergé à Wuhan, il était EXTRÊMEMENT meurtrier. Il est maintenant évident qu’il s’est échappé du laboratoire P4 (oui, et tout le monde le sait, même l’OMS, ce sera bientôt une information qui sera acceptée par tout le monde… souvenez-vous, la guerre en Irak, les armes de destruction massive, il a fallu dix ans pour que tout le monde accepte que ce fût un mensonge).
Des travailleurs au laboratoire de Wuhan sont tombé malades vers mi-2019, des mois avant les premiers cas « officiels », et la femme d’un des travailleurs du laboratoire en est décédée.
Évidemment, en se répandant, le virus est devenu de moins en moins meurtrier (pensez au spectre mortalité/contagiosité dont je parlais avant), pour pouvoir infecter le maximum de gens. C’est la raison pour laquelle les prédictions très apocalyptiques ont été déjouées par la succession de variants pré-vaccins.
Il était donc logique d’avoir peur jusqu’à fin 2020, mais à ce moment-là, la tendance était claire. Variants de moins en moins dangereux, essoufflement de l’épidémie… bref. Nous avons sacrifié une tendance totalement favorable, avec de moins en moins de morts et un virus de moins en moins dangereux qui donnerait enfin naissance à une immunité collective, pour une tendance défavorable… qui se retournera bientôt contre nous.
Nous aurions tous fini par attraper le COVID, les plus fragiles en seraient morts, et en appliquant des mesures de distances sociale simples, port du masques (oui ça marche, désolé pour ceux qui refusent de l’admettre) et autres, on aurait aujourd’hui un virus qui commencerait tranquillement à se rapprocher de celui de la grippe, une immunité collective pratiquement acquise et une situation retournant lentement à la normale.
C’est aujourd’hui impossible car la vaccination de masse, pour aussi longtemps qu’elle durera, nous interdira toute immunité collective.
Suite à venir…
Donc oui, ce qu’on aurait dû faire, c’est un ou deux ans de mesures soft, de sorte à ce que de moins en moins de gens se fassent infecter, par des variants de moins en moins dangereux. Il y aurait eu une grande première vague, une deuxième moyenne, une troisième plus petite, et ainsi de suite, avec des petites vagues successives de variants de plus en plus inoffensifs.
Aujourd’hui, on aurait probablement un COVID light.
Il ne fait plus aucun doute que les variants ont été sélectionnés par la vaccination.
Il suffit de regarder ce tableau.
Aujourd’hui, on aurait probablement un COVID light.
Il ne fait plus aucun doute que les variants ont été sélectionnés par la vaccination.
Il suffit de regarder ce tableau.
Une autre problématique que la plupart des gens ne comprennent pas, c’est que la protéine de pointe (Spike Protein) dont j’ai parlé ici dès la création du groupe en février 2020, est l’outil utilisé par le virus, pour la transmission du virus.
Et devinez quoi ? Ces vaccins sont tellement stupides qu’ils ciblent la protéine de pointe !
Si vous ne comprenez pas ce que ça veut dire, c’est simple, vulgarisons.
Imaginons que votre ennemi dispose d’une armée de chars d’assauts spéciaux, contenant une bombe à l’intérieur pouvant exploser après multiplication, détruisant tout ce qui se trouve là.
En plus, ces chars sont tous armés d’une espèce de pointe métallique capable de briser votre muraille. (pour le virus, c’est la Spike Protein)
Tant que les chars arrivent à pénétrer dans vos murailles, votre enceinte est submergée, il n’y a donc aucune nécessité de créer trop d’autres types de chars. Votre ennemi, qui génère des chars aléatoires dont la plupart partagent cette pointe métallique, est très satisfait, car cette pointe métallique pénètre facilement vos murs. Une fois dans votre base, ces chars se multiplient (c’est encore une de leur fonction) et attaquent les bases avoisinantes. C’est en se multipliant qu’ils peuvent renouveler leur attaque. S’ils ne peuvent pas se reproduire, leur espèce s’éteint.
Si vous êtes con comme un créateur de vaccin moderne ou un journaliste du Monde, la seule chose que vous faites pour vous protéger c’est de rendre vos murailles résistantes à cette pointe métallique et votre ennemi ne peut plus entrer.
Vous pensez donc être en sécurité. Super, vous êtes un génie ! Les chars restent coincés devant la muraille et finissent par tomber en panne d’essence. Vous donnez la recette à toutes les villes avoisinantes qui se sentent toutes super en sécurité.
Le problème, c’est que votre ennemi dispose de plein de chars différents, générés aléatoirement, dont la plupart sont équipés de la même pointe métallique, mais pas tous. Alors que 99.9% des chars meurent devant vos murs, au bout d’un moment, l’un d’entre eux arrive avec une scie géante à la place de sa pointe, et pour créer cette scie géante, il a dû sacrifier sa puissance de feu. Il est petit, inoffensif, mais très rapide et capable de rentrer facilement dans votre muraille.
Il donne ainsi naissance à une nouvelle famille de chars, capables de pénétrer tous les nouveaux murs renforcés que tout le monde a installé. Dans un premier temps, les gens se disent que ce n’est pas grave, puisque de toute façon, ils sont inoffensifs ! Regardez, après tout, ça ne fait rien, les seuls qui se font encore exploser par les chars sont les débiles qui n’ont pas installé la nouvelle défense super efficace, nous on est en sécurité, voyons ! D’ailleurs, s’il existe encore des vieux chars dangereux, c’est de leur faute, ils avaient qu’à renforcer leur muraille comme tout le monde !
Toute ressemblance avec une situation actuelle est purement fortuite… ou pas.
Suite à venir…
Et devinez quoi ? Ces vaccins sont tellement stupides qu’ils ciblent la protéine de pointe !
Si vous ne comprenez pas ce que ça veut dire, c’est simple, vulgarisons.
Imaginons que votre ennemi dispose d’une armée de chars d’assauts spéciaux, contenant une bombe à l’intérieur pouvant exploser après multiplication, détruisant tout ce qui se trouve là.
En plus, ces chars sont tous armés d’une espèce de pointe métallique capable de briser votre muraille. (pour le virus, c’est la Spike Protein)
Tant que les chars arrivent à pénétrer dans vos murailles, votre enceinte est submergée, il n’y a donc aucune nécessité de créer trop d’autres types de chars. Votre ennemi, qui génère des chars aléatoires dont la plupart partagent cette pointe métallique, est très satisfait, car cette pointe métallique pénètre facilement vos murs. Une fois dans votre base, ces chars se multiplient (c’est encore une de leur fonction) et attaquent les bases avoisinantes. C’est en se multipliant qu’ils peuvent renouveler leur attaque. S’ils ne peuvent pas se reproduire, leur espèce s’éteint.
Si vous êtes con comme un créateur de vaccin moderne ou un journaliste du Monde, la seule chose que vous faites pour vous protéger c’est de rendre vos murailles résistantes à cette pointe métallique et votre ennemi ne peut plus entrer.
Vous pensez donc être en sécurité. Super, vous êtes un génie ! Les chars restent coincés devant la muraille et finissent par tomber en panne d’essence. Vous donnez la recette à toutes les villes avoisinantes qui se sentent toutes super en sécurité.
Le problème, c’est que votre ennemi dispose de plein de chars différents, générés aléatoirement, dont la plupart sont équipés de la même pointe métallique, mais pas tous. Alors que 99.9% des chars meurent devant vos murs, au bout d’un moment, l’un d’entre eux arrive avec une scie géante à la place de sa pointe, et pour créer cette scie géante, il a dû sacrifier sa puissance de feu. Il est petit, inoffensif, mais très rapide et capable de rentrer facilement dans votre muraille.
Il donne ainsi naissance à une nouvelle famille de chars, capables de pénétrer tous les nouveaux murs renforcés que tout le monde a installé. Dans un premier temps, les gens se disent que ce n’est pas grave, puisque de toute façon, ils sont inoffensifs ! Regardez, après tout, ça ne fait rien, les seuls qui se font encore exploser par les chars sont les débiles qui n’ont pas installé la nouvelle défense super efficace, nous on est en sécurité, voyons ! D’ailleurs, s’il existe encore des vieux chars dangereux, c’est de leur faute, ils avaient qu’à renforcer leur muraille comme tout le monde !
Toute ressemblance avec une situation actuelle est purement fortuite… ou pas.
Suite à venir…
Alors évidemment, tout ceci est vulgarisé pour le rendre compréhensible, mais dans les grandes lignes c’est exactement ce qui se passe.
Oui, sauf qu’il y a deux trucs que je n’ai pas dit.
L’armée des ennemis, à la base, elle se fatigue de plus en plus à chaque attaque successive des mêmes chars, car les chars finissent par vieillir et devenir rouillés.
Il aurait fallu se contenter de protéger les villes les plus fragiles, et créer des murs entre les autres. De cette façon, les villes les plus fragiles auraient en partie pu être sauvées, et les autres n’auraient pas laissé passer les chars d’une à l’autre, ce qui aurait fini par les mener à l’extinction.
Oui, parce que la deuxième chose que je n’ai pas dite, c’est que si un char pénétrait dans votre ville, une fois explosé et quelques dégâts générés, vous deveniez quasiment parfaitement immunisé à tous les types de chars, quelles que soient la forme des trucs qu’ils utilisent, et en plus même s’ils arrivent à entrer, ils sont instantanément détruits avant d’avoir pu se reproduire et infecter les bases avoisinantes.
Alors oui, encore une fois, c’est vulgarisé et certains diront que ça l’est trop. Mais non, le mécanisme de base est le même, l’idée, dans les grandes lignes, est la même.
Ces derniers mois, on était au stade où les nouveaux petits chars très rapides ont commencé à infiltrer toutes les murailles renforcées, alors qu’avant, les chars étaient plus lents car plus lourds. Après avoir sécurisé la plupart des murailles, les seuls qui pouvaient y entrer étaient donc ces nouveaux chars, plus rapides, ce qui a mené à une explosion du nombre de murailles pénétrées.
Jusqu’à maintenant, il y avait des millions de chars très rapides qui se déplaçaient partout, inarrêtables par nos murailles, qui s’étaient en plus regroupées uniquement entre celles qui avaient les murailles renforcées, avec un "pass muraille" valable uniquement en cas de renfort installé, multipliant de facto davantage le nombre de nouveaux chars.
Maintenant, nous entrons dans la troisième étape du problème. Ces nouveaux chars, petits et rapides, commencent à générer de nouvelles générations aléatoires, elles aussi, se reposant déjà sur une technologie super efficace d’infiltration des murailles. Tout ce qu’il leur restait à faire… c’est trouver de nouvelles bombes compatibles avec leur nouvelle forme.
Suite à venir….
Oui, sauf qu’il y a deux trucs que je n’ai pas dit.
L’armée des ennemis, à la base, elle se fatigue de plus en plus à chaque attaque successive des mêmes chars, car les chars finissent par vieillir et devenir rouillés.
Il aurait fallu se contenter de protéger les villes les plus fragiles, et créer des murs entre les autres. De cette façon, les villes les plus fragiles auraient en partie pu être sauvées, et les autres n’auraient pas laissé passer les chars d’une à l’autre, ce qui aurait fini par les mener à l’extinction.
Oui, parce que la deuxième chose que je n’ai pas dite, c’est que si un char pénétrait dans votre ville, une fois explosé et quelques dégâts générés, vous deveniez quasiment parfaitement immunisé à tous les types de chars, quelles que soient la forme des trucs qu’ils utilisent, et en plus même s’ils arrivent à entrer, ils sont instantanément détruits avant d’avoir pu se reproduire et infecter les bases avoisinantes.
Alors oui, encore une fois, c’est vulgarisé et certains diront que ça l’est trop. Mais non, le mécanisme de base est le même, l’idée, dans les grandes lignes, est la même.
Ces derniers mois, on était au stade où les nouveaux petits chars très rapides ont commencé à infiltrer toutes les murailles renforcées, alors qu’avant, les chars étaient plus lents car plus lourds. Après avoir sécurisé la plupart des murailles, les seuls qui pouvaient y entrer étaient donc ces nouveaux chars, plus rapides, ce qui a mené à une explosion du nombre de murailles pénétrées.
Jusqu’à maintenant, il y avait des millions de chars très rapides qui se déplaçaient partout, inarrêtables par nos murailles, qui s’étaient en plus regroupées uniquement entre celles qui avaient les murailles renforcées, avec un "pass muraille" valable uniquement en cas de renfort installé, multipliant de facto davantage le nombre de nouveaux chars.
Maintenant, nous entrons dans la troisième étape du problème. Ces nouveaux chars, petits et rapides, commencent à générer de nouvelles générations aléatoires, elles aussi, se reposant déjà sur une technologie super efficace d’infiltration des murailles. Tout ce qu’il leur restait à faire… c’est trouver de nouvelles bombes compatibles avec leur nouvelle forme.
Suite à venir….
Pour conclure donc sur le problème de la stratégie de ces vaccins, c’est qu’en visant la protéine de pointe, vous visez l’outil servant au virus de se répandre, et donc, vous placez la pression sélective précisément sur la pire chose. Vous dites au virus, en gros : « si tu veux survivre, il va falloir trouver un moyen plus efficace de te répandre ! ».
Avançons un peu.
Ce qu’on observe maintenant dans les chiffres, c’est une décroissance constante du nombre de malades avec des symptômes « importants » parmi les non-vaccinés. Le mécanisme en place naturellement fait son travail, et la population non-vaccinée et de plus en plus protégée naturellement.
À contrario, dans la population vaccinée, le nombre de malades reste stable.
Pourquoi ?
Il existe deux immunités naturelles. L’immunité innée, et l’immunité acquise.
L’immunité innée est capable de se défendre rapidement contre une attaque, et souvent l’infection est asymptomatique. Il est très important, pour que cette immunité innée s’active, que la personne attaquée n’ait pas une immunité acquise (naturelle ou par vaccin).
Dans un premier temps, le vaccin fait effet (voir image ci-dessous), et vous pouvez bien voir que les personnes jusqu’à 39 ans sont plus infectées chez les non-vaccinés que les vaccinés. C’est normal. Le vaccin semble efficace, mais encore une fois, c’est l’étape illusoire.
On se dit alors « c’est génial ce vaccin, il a un effet très puissant sur la transmission, la preuve ! ».
Avançons un peu.
Ce qu’on observe maintenant dans les chiffres, c’est une décroissance constante du nombre de malades avec des symptômes « importants » parmi les non-vaccinés. Le mécanisme en place naturellement fait son travail, et la population non-vaccinée et de plus en plus protégée naturellement.
À contrario, dans la population vaccinée, le nombre de malades reste stable.
Pourquoi ?
Il existe deux immunités naturelles. L’immunité innée, et l’immunité acquise.
L’immunité innée est capable de se défendre rapidement contre une attaque, et souvent l’infection est asymptomatique. Il est très important, pour que cette immunité innée s’active, que la personne attaquée n’ait pas une immunité acquise (naturelle ou par vaccin).
Dans un premier temps, le vaccin fait effet (voir image ci-dessous), et vous pouvez bien voir que les personnes jusqu’à 39 ans sont plus infectées chez les non-vaccinés que les vaccinés. C’est normal. Le vaccin semble efficace, mais encore une fois, c’est l’étape illusoire.
On se dit alors « c’est génial ce vaccin, il a un effet très puissant sur la transmission, la preuve ! ».
Oui, sauf qu’un mois après, qu’est-ce qui se passe ?
Et bien la tendance s’inverse. Il commence à y avoir de plus en plus de malades chez les vaccinés en proportion de leur population respective.
On remarque néanmoins un effet surprenant, la proportion de malades non-vaccinés chez les moins de 18 ans semble exploser par rapport aux vaccinés.
C’est en réalité normal. Leur immunité innée étant très active, leur capacité à empêcher les infections par une immunité acquise (et donc durable contrairement à l’immunité innée) est faible. On crée une deuxième illusion, on dit « regardez, il faut vacciner les enfants maintenant ! la preuve, les enfants vaccinés sont beaucoup mieux protégés ! »
Et bien la tendance s’inverse. Il commence à y avoir de plus en plus de malades chez les vaccinés en proportion de leur population respective.
On remarque néanmoins un effet surprenant, la proportion de malades non-vaccinés chez les moins de 18 ans semble exploser par rapport aux vaccinés.
C’est en réalité normal. Leur immunité innée étant très active, leur capacité à empêcher les infections par une immunité acquise (et donc durable contrairement à l’immunité innée) est faible. On crée une deuxième illusion, on dit « regardez, il faut vacciner les enfants maintenant ! la preuve, les enfants vaccinés sont beaucoup mieux protégés ! »
Vous verrez que cette tendance va également s’inverser dans les mois à venir, pour une raison simple : l’immunité innée des enfants sera de plus en plus entraînée à lutter, et commencer à cibler les infections les plus variées, là où l’immunité imposée par le vaccin sur les enfants engendrera une incapacité progressive à tomber malade ; comme pour toutes les autres tranches d’âge, la tendance s’inversera.
Si on vaccine les enfants en masses, ce sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase de la catastrophe.
On va supprimer une immunité innée extrêmement puissante qui est en train de devenir de plus en plus efficace et la remplacer par une immunité imposée partielle qui finira par sélectionner à son tour des variants capables d’y échapper. On inventera la 8ème version du vaccin pour la 52ème dose, et on se demandera pourquoi on n’arrive pas à générer une immunité collective… (et on mettra probablement encore une fois la faute sur les non-vaccinés, parce que bon, c’est plus facile).
Donc, plutôt que d’avoir une population de plus en plus immunisée avec des enfants qui grandissent et protègent de plus en plus la société avec une immunité innée entraînée à faire face à de nombreux variants, on générera une pandémie interminable.
Le deuxième effet pervers, c’est qu’au lieu de permettre à leur immunité innée d’exterminer le virus (l’immunité innée est stérilisante, c’est-à-dire qu’elle détruit le virus avant qu’il ait le temps de se développer), on les ajoutera au bassin de mutation déjà grand des vaccinés, rendant ce dernier encore plus propice à générer des variants de plus en plus problématiques !
Alors que les enfants devaient agir comme un bouclier de plus en plus puissant, ils serviront de catalyseur comme les vaccinés.
Enfin, la pire chose parmi tout ça, c’est que lorsque les nouveaux variants plus dangereux émergeront, il n’y aura aucune immunité innée dans la population capable de mettre fin à l’épidémie, totalement supprimée par l’immunité acquise par la vaccination ; et leurs anticorps seront totalement incapables de les protéger.
Et bien sûr, je n’ai pas parlé des effets secondaires, qui sont un problème supplémentaire qui questionnent le rapport bénéfice/risque chez les jeunes sous 30 ans, voire plus.
Une vaccination de masse des enfants engendrera inévitablement la création d’un variant qui feront des enfants une population particulièrement à risque alors même que jusqu’à aujourd’hui, ils ne risquaient absolument rien.
Quand ce nouveau super-variant verra le jour, il ne sera plus jamais possible d’atteindre une immunité collective ; et seuls les non-vaccinés, desquels l’immunité innée aura été préservée, auront une chance de se défendre.
On pourra alors accuser tant qu’on veut les non-vaccinés d’être les responsables, mais un jour il sera clair qu’ils auront pris la bonne décision.
Le seul remède, c’est un arrêt immédiat de la campagne de vaccination massive avant qu’il ne soit trop tard.
Il faut donc absolument éviter la vaccination massive des enfants, c’est la dernière pièce du puzzle qui complètera la recette pour une catastrophe majeure.
Le nouveau variant dont les médias parlent ces jours pourrait être un premier aperçu de ce que va donner cette campagne dangereuse.
Mais bon, je ne suis pas médecin hein, je ne fais aucune recommandation de santé. Agissez en votre propre âme et conscience.
Si on vaccine les enfants en masses, ce sera la goutte d’eau qui fera déborder le vase de la catastrophe.
On va supprimer une immunité innée extrêmement puissante qui est en train de devenir de plus en plus efficace et la remplacer par une immunité imposée partielle qui finira par sélectionner à son tour des variants capables d’y échapper. On inventera la 8ème version du vaccin pour la 52ème dose, et on se demandera pourquoi on n’arrive pas à générer une immunité collective… (et on mettra probablement encore une fois la faute sur les non-vaccinés, parce que bon, c’est plus facile).
Donc, plutôt que d’avoir une population de plus en plus immunisée avec des enfants qui grandissent et protègent de plus en plus la société avec une immunité innée entraînée à faire face à de nombreux variants, on générera une pandémie interminable.
Le deuxième effet pervers, c’est qu’au lieu de permettre à leur immunité innée d’exterminer le virus (l’immunité innée est stérilisante, c’est-à-dire qu’elle détruit le virus avant qu’il ait le temps de se développer), on les ajoutera au bassin de mutation déjà grand des vaccinés, rendant ce dernier encore plus propice à générer des variants de plus en plus problématiques !
Alors que les enfants devaient agir comme un bouclier de plus en plus puissant, ils serviront de catalyseur comme les vaccinés.
Enfin, la pire chose parmi tout ça, c’est que lorsque les nouveaux variants plus dangereux émergeront, il n’y aura aucune immunité innée dans la population capable de mettre fin à l’épidémie, totalement supprimée par l’immunité acquise par la vaccination ; et leurs anticorps seront totalement incapables de les protéger.
Et bien sûr, je n’ai pas parlé des effets secondaires, qui sont un problème supplémentaire qui questionnent le rapport bénéfice/risque chez les jeunes sous 30 ans, voire plus.
Une vaccination de masse des enfants engendrera inévitablement la création d’un variant qui feront des enfants une population particulièrement à risque alors même que jusqu’à aujourd’hui, ils ne risquaient absolument rien.
Quand ce nouveau super-variant verra le jour, il ne sera plus jamais possible d’atteindre une immunité collective ; et seuls les non-vaccinés, desquels l’immunité innée aura été préservée, auront une chance de se défendre.
On pourra alors accuser tant qu’on veut les non-vaccinés d’être les responsables, mais un jour il sera clair qu’ils auront pris la bonne décision.
Le seul remède, c’est un arrêt immédiat de la campagne de vaccination massive avant qu’il ne soit trop tard.
Il faut donc absolument éviter la vaccination massive des enfants, c’est la dernière pièce du puzzle qui complètera la recette pour une catastrophe majeure.
Le nouveau variant dont les médias parlent ces jours pourrait être un premier aperçu de ce que va donner cette campagne dangereuse.
Mais bon, je ne suis pas médecin hein, je ne fais aucune recommandation de santé. Agissez en votre propre âme et conscience.
Omicron est déjà partout et est inarrêtable.
Les simulations internes à l'OMS sont formelles.
Prendre des mesures de limitation des voyages n'y changera absolument rien.
Les simulations internes à l'OMS sont formelles.
Prendre des mesures de limitation des voyages n'y changera absolument rien.
Fauci, en charge de la gestion de la crise aux USA, qui par ailleurs finançait le programme de création de super-virus dans le laboratoire P4 de Wuhan qui est à l'origine de cette pandémie, nous fait le coup de Véran de 2020 : "Le virus ne circule pas sur le territoire national".
Un peu hors-sujet, et je m'en excuse, mais je pense que cela pourrait changer un peu la dynamique des choses.
Je m'excuse également du ton un peu "conspirationniste" de ce message, j'essaie d'en dire un peu sans en dire trop, pour des raisons évidentes.
Hier, un proche m'a parlé d'une probabilité de conflit militaire de grande ampleur dans les mois à venir qui semblait se dessiner dans les coulisses de la scène diplomatique internationale.
J'ai d'abord pris ceci à la rigolade, ai ridiculisé sa source et lui ai dit qu'il n'y avait rien de sérieux.
Puis, j'ai contacté quelques autres personnes...
J'ai appris que depuis dix jours, les canaux de communication sont plus actifs que d'habitude, et des alliances militaires commencent à se nouer. Certains pays se sont mis à envoyer des requêtes diplomatiques afin de s'assurer du soutiens de leurs alliés dans les mois à venir en cas d'éclatement de la guerre. La France a d'ailleurs reçu plusieurs sollicitations mais pour l'instant joue l'apaisement.
Il y a principalement un pays qui est à l'origine de ces requêtes et qui semble mettre un point d'honneur à se tisser un réseau solide de soutien avant de passer à la déclaration de guerre. Je ne sais pas si ça aboutira, et je vais tenter de ne pas trop parler de ces choses pour rester dans le thème.
J'en parle simplement parce que la guerre a toujours été utilisée comme moyen de détourner l'attention et d'unifier les peuples; alors quand j'entends que les canaux diplomatiques s'excitent, je ne peux m'empêcher de penser à la situation actuelle.
Je m'excuse également du ton un peu "conspirationniste" de ce message, j'essaie d'en dire un peu sans en dire trop, pour des raisons évidentes.
Hier, un proche m'a parlé d'une probabilité de conflit militaire de grande ampleur dans les mois à venir qui semblait se dessiner dans les coulisses de la scène diplomatique internationale.
J'ai d'abord pris ceci à la rigolade, ai ridiculisé sa source et lui ai dit qu'il n'y avait rien de sérieux.
Puis, j'ai contacté quelques autres personnes...
J'ai appris que depuis dix jours, les canaux de communication sont plus actifs que d'habitude, et des alliances militaires commencent à se nouer. Certains pays se sont mis à envoyer des requêtes diplomatiques afin de s'assurer du soutiens de leurs alliés dans les mois à venir en cas d'éclatement de la guerre. La France a d'ailleurs reçu plusieurs sollicitations mais pour l'instant joue l'apaisement.
Il y a principalement un pays qui est à l'origine de ces requêtes et qui semble mettre un point d'honneur à se tisser un réseau solide de soutien avant de passer à la déclaration de guerre. Je ne sais pas si ça aboutira, et je vais tenter de ne pas trop parler de ces choses pour rester dans le thème.
J'en parle simplement parce que la guerre a toujours été utilisée comme moyen de détourner l'attention et d'unifier les peuples; alors quand j'entends que les canaux diplomatiques s'excitent, je ne peux m'empêcher de penser à la situation actuelle.
PS : ce n'est probablement pas ce à quoi vous pensez, raison pour laquelle j'ai d'abord ridiculisée l'idée.
Pour le reste, l'OMS vient d'ajouter deux points dans le nouveau rapport interne concernant Omicron :
1. Changement majeur de l'épidémiologie du COVID-19
2. Diminution de l'efficacité des mesures sociales et de santé publique, des diagnostics, vaccins et thérapeutiques disponibles
Il y a deux jours, cela avait été envisagé lorsque le virus est passé à VOC dans leur classification (Variant of Concern).
C'est maintenant acquis. L'OMS, après les simulations dont j'ai parlé hier, considère que le variant va complètement changer la donne. Pas de déclaration publique sur ce changement de considération pour l'heure.
1. Changement majeur de l'épidémiologie du COVID-19
2. Diminution de l'efficacité des mesures sociales et de santé publique, des diagnostics, vaccins et thérapeutiques disponibles
Il y a deux jours, cela avait été envisagé lorsque le virus est passé à VOC dans leur classification (Variant of Concern).
C'est maintenant acquis. L'OMS, après les simulations dont j'ai parlé hier, considère que le variant va complètement changer la donne. Pas de déclaration publique sur ce changement de considération pour l'heure.
De plus, un groupe à l'OMS publie pour la deuxième fois un rapport interne demandant à changer la classification du COVID, le faisant passer d'une maladie respiratoire à une maladie cardiovasculaire.
Le rapport conclut par un paragraphe qui pourrait se révéler intéressant pour la suite : Omicron semble avoir évolué en ce sens, avec des symptômes respiratoires différents et plus faibles, pas de perte d'odorat, par exemple, mais un impact cardiaque plus important entraînant une réaction corporelle globale avec des effets potentiels à long terme plus dangereux pour le cœur qui doivent être étudiés à tout prix.
Souvenez-vous, je vous ai parlé d'un premier variant qui serait le candidat à une nouvelle famille, totalement différente. Pour que ce nouveau variant représente un danger, il faut cocher deux cases :
1. Un mode de transmission différent.
2. Un mode de développement différent.
Ici, on voit que les deux cases sont cochées. Je ne pense pas qu'Omicron soit un danger à court terme comme l'ont été les premiers. Il semble se transformer en maladie plus perverse, plus discrète, et donc sournoise.
Si celle-ci peut se transmettre sans aucune résistance (échappant au vaccin), avec des effets cardiovasculaires accrus, on pourrait se retrouver par la suite avec des nouvelles épidémies courtes mais répétitives et meurtrières de descendants d'Omicron imprévisibles.
Encore une fois, tout est flou pour le moment. Le problème d'Omicron c'est qu'il a été sélectionné pour être le plus évasif possible, ce qui signifie le plus de mutations possibles à la fois, et chacune de ces mutations peut engendrer des choses différentes que nous devrons étudier ces prochains mois.
Le rapport conclut par un paragraphe qui pourrait se révéler intéressant pour la suite : Omicron semble avoir évolué en ce sens, avec des symptômes respiratoires différents et plus faibles, pas de perte d'odorat, par exemple, mais un impact cardiaque plus important entraînant une réaction corporelle globale avec des effets potentiels à long terme plus dangereux pour le cœur qui doivent être étudiés à tout prix.
Souvenez-vous, je vous ai parlé d'un premier variant qui serait le candidat à une nouvelle famille, totalement différente. Pour que ce nouveau variant représente un danger, il faut cocher deux cases :
1. Un mode de transmission différent.
2. Un mode de développement différent.
Ici, on voit que les deux cases sont cochées. Je ne pense pas qu'Omicron soit un danger à court terme comme l'ont été les premiers. Il semble se transformer en maladie plus perverse, plus discrète, et donc sournoise.
Si celle-ci peut se transmettre sans aucune résistance (échappant au vaccin), avec des effets cardiovasculaires accrus, on pourrait se retrouver par la suite avec des nouvelles épidémies courtes mais répétitives et meurtrières de descendants d'Omicron imprévisibles.
Encore une fois, tout est flou pour le moment. Le problème d'Omicron c'est qu'il a été sélectionné pour être le plus évasif possible, ce qui signifie le plus de mutations possibles à la fois, et chacune de ces mutations peut engendrer des choses différentes que nous devrons étudier ces prochains mois.
Rappelez-vous, dans le cas du SARS-CoV-2, l'immunité innée protège l'individu et la population en même temps (c'est une immunité stérilisante, pas de pression de sélection naturelle, immunité collective possible) alors que l'immunité adaptative (et donc en retard, puisque toujours ciblée sur le variant dominant) induite par des vaccins a exactement l'effet inverse (non stérilisante, pression sélective et immunité collective impossible).
La question pour les variants à venir, Omicron et ses descendants (dans le cas où Omicron arrive à chasser Delta et à s'imposer, ce qui doit encore être démontré) : peuvent ces variants résister également aux anticorps naturels développés par les personnes qui ont guéri du COVID ? La pression sélective de la vaccination a poussé à sélectionner un tel degré de mutation que la question est totalement ouverte.
Espérons que la réponse est non.
La question pour les variants à venir, Omicron et ses descendants (dans le cas où Omicron arrive à chasser Delta et à s'imposer, ce qui doit encore être démontré) : peuvent ces variants résister également aux anticorps naturels développés par les personnes qui ont guéri du COVID ? La pression sélective de la vaccination a poussé à sélectionner un tel degré de mutation que la question est totalement ouverte.
Espérons que la réponse est non.