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Focus sur les événements mettant en péril la stabilité mondiale, via des sources publiques mais aussi confidentielles et exclusives.
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⚠️ Le Dr Fauci dit maintenant qu'il n'est "pas convaincu" que le COVID-19 s'est développé naturellement, et il a appelé à une enquête ouverte sur l'origine du virus.

Bon bah, il faut croire que tout ce dont je parlais dans le message précédent se confirme.
(pour rappel, Fauci est le mec à la tête de la lutte contre le COVID-19 aux USA, qui a toujours nié catégoriquement avoir financé le labo de Wuhan (alors qu'il l'a fait), et toujours accusé les gens prétendant que le virus n'était pas d'origine naturelle de fous conspirationnistes...)
Trois experts du laboratoire de Wuhan étaient tellement malades en Novembre 2019 qu'ils ont dû être hospitalisés.

Il semblerait que l'histoire de l'origine du virus commence à se révéler enfin, et c'est malheureusement celle dont je parle ici depuis des mois.
Comme prédit ici depuis plusieurs mois, le ton change complètement aux USA, l'ensemble des médias US font un 180° dérapage contrôlé sur le fait que la "théorie du virus échappé d'un laboratoire est en fait totalement possible, voire probable" et font semblant que ce n'était pas le cas avant, comme si de nouvelles preuves avaient émergé alors qu'elles ont toujours été disponibles; nous construisent des timelines laissant bien volontiers de côté tous leurs articles bidons disant que c'était impossible, et certains, comme CNN, accusent même le camp Trump de ne pas avoir pris suffisamment au sérieux cette possibilité. On croit rêver.
🔥🔥🔥 Une nouvelle étude explosive affirme que les chercheurs ont trouvé des "empreintes uniques" dans les échantillons de COVID-19 qui, selon eux, ne peuvent provenir que de manipulations en laboratoire.

L'étude montre qu'il existe des preuves suggérant que des scientifiques chinois ont créé le virus alors qu'ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans un laboratoire de Wuhan. La recherche sur le gain de fonction, qui a été temporairement interdite aux États-Unis, consiste à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d'étudier leurs effets potentiels sur l'homme.

Selon l'étude, les scientifiques chinois ont pris la "colonne vertébrale" d'un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises et y ont ajouté une nouvelle "pointe", le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible. Les chercheurs, qui ont conclu que le COVID-19 "n'a pas d'ancêtre naturel crédible", pensent également que les scientifiques ont procédé à une rétro-ingénierie des versions du virus pour brouiller les pistes.

"Nous pensons que des virus de rétro-ingénierie ont été créés", ont-ils déclaré. "Ils ont modifié le virus, puis ont essayé de faire croire qu'il était dans une séquence il y a des années". L'étude fait également état de "destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données" dans les laboratoires chinois et note que "les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n'ont pas pu le faire ou ont disparu".
Quelle est la différence entre une bonne théorie du complot et la vérité ?
À peu près 8 ou 9 mois...
⚠️ La ville de Guangzhou, dans le sud de la Chine, a imposé des restrictions aux déplacements et a intensifié les tests de dépistage de masse du coronavirus, la métropole géante luttant contre une variante dangereuse du COVID-19 dans l'une des flambées les plus alarmantes du pays depuis l'été dernier.

Les efforts déployés par Guangzhou pour contenir l'épidémie constitueront un test important pour la Chine dans sa lutte contre ce virus en mutation, ont déclaré les experts. Le Conseil d'État, le cabinet chinois, a dépêché une équipe spéciale d'experts à Guangzhou pour étudier l'épidémie et les mesures de contrôle du virus.

L'épidémie de Guangzhou est également un essai en temps réel pour les vaccins COVID-19. Certains des patients de Guangzhou avaient reçu la première injection de vaccins fabriqués en Chine, ce qui indique que les inoculations pourraient ne pas être efficaces contre la nouvelle variante. Mais jusqu'à présent, aucune des maladies de ces patients n'est devenue grave, ce qui suggère que les vaccins peuvent réduire la gravité de la maladie.

Au 31 mai, Guangzhou avait administré plus de 13 millions de vaccins COVID. Selon les données officielles, environ 3,3 millions de personnes dans la ville ont reçu deux vaccins.

Tout en intensifiant les tests de dépistage du virus, Guangzhou a également imposé un confinement pour limiter les sorties de la ville. Des vidéos émergent sur les réseaux sociaux, du même genre de celles que je partageais ici il y a plus d'une année, avec des gens hurlant qu'ils meurent de faim par les fenêtres.

Il est difficile de savoir ce qui s'y passe car le Parti Communiste a bien compris qu'il fallait garder le contrôle à tout prix sur les informations qui sortent de la ville, Internet a été coupé pour une grande partie des habitants qui ont du mal à communiquer avec l'extérieur.
⚠️ Il y a quelques temps, je vous ai parlé du fait que la vaccination en pleine pandémie imposait au virus un processus sélectif plus intense, ce qui était un potentiel danger pour la suite.

Un scientifique belge, Geert Vanden Bossche, a été le premier à tirer la sonnette d'alarme, suivi d'autres de ses collègues. De nombreux membres de la communauté scientifique ont accusé Vanden Bossche d'être un dangereux conspirationniste ou autres accusations farfelues. Pourtant, il s'agit d'un virologue reconnu et un expert vaccinal qui a toujours été pour la vaccination.
Dans un laboratoire, quand vous voulez rendre un virus plus puissant (c'est probablement ce qui a été fait à Wuhan avant qu'il ne s'échappe), vous lui faites subir un maximum de mutations. Pour ce faire, vous l'injectez dans des organismes propices à des variations rapides et vous appliquez à ces organismes des contraintes sélectives qui le forcent à s'adapter.

C'est exactement ce que nous sommes en train de faire aujourd'hui, à grande échelle. Attention, cela ne veut absolument pas dire que Geert Vanden Bossche et d'autes de son "camp" ont raison, mais leur argument est censé et vaut la peine d'être entendu, et ne doit surtout pas être rejeté sans la moindre considération.
Lors que vous vaccinez une population alors même qu'elle est en train de subir une épidémie très intense, ce que vous faites, c'est que vous interdisez à toutes les variantes les moins offensives de subsister, et celles qui étaient plus robustes finissent par être les seules à survivre. Dans un premier temps, vous avez une baisse significative des cas, puisque la plupart des variantes (pour lesquelles les vaccins ont été développés) s'éteignent petit à petit. Néanmoins, toutes les mutations qui sont plus résistantes aux vaccins survivent et commence à se reproduire, devenant inévitablement les souches dominantes.

Il y a quelques mois, de nombreux scientifiques trouvaient cette idée totalement absurde, et les théories de Vanden Bossche et d'autres étaient totalement discréditées par un discours rassurant par défaut, qui ne voulait absolument pas voir le danger potentiel d'une telle opération de vaccination à grande ampleur en pleine pandémie.
Malheureusement, d'après des rapports internes de l'OMS dont certaines fuites ont fait un peu de bruit, on commence à constater que la variante Delta commence à muter en ce sens (anciennement appelée variante indienne), et que de nouvelles mutations, résistantes au virus, semblent commencer à apparaître.
Selon un groupe d'épidémiologistes de l'OMS, il se pourrait qu'à l'avenir, une "constellation de mutations" fasse perdre leur efficacité aux vaccins, et qu'une nouvelle génération de virus plus résistants commencent à se répandre dans la population.

Cela semble largement dû à la vaccination de masse, ce n'était par exemple pas du tout arrivé dans les dernières pandémies (ex. la Grippe Espagnole), dont les recherches et prélèvements ont montré une absence de variations majeures d'un bout à l'autre de la planète, suggérant qu'un seul virus, non-soumis aux processus sélectifs induits par un vaccin à grande échelle, s'était éteint naturellement après que l'immunité collective a été atteinte.
Les campagnes de vaccination de masse lancées au plus fort d'une pandémie engendreront inévitablement des variants plus infectieux qui finiront par devenir résistants aux vaccins.

Plus la population est petite et plus les campagnes de vaccination de masse sont rapides, plus les taux d'infection et de mortalité augmenteront rapidement. Compte tenu de l'évolution actuelle de la pandémie dans un certain nombre de petits pays ou d'îles, il est raisonnable de penser qu'au cours des prochains mois, voire des prochaines semaines, plusieurs autres pays connaîtront également une augmentation spectaculaire de ces taux.
Bien évidemment, rien ne prédit que ces variants plus infectieux et résistants aux vaccin seront plus dangereux que les autres, avec de la chance, la campagne de vaccination massive suffira à éteindre définitivement cette pandémie. Le problème, c'est qu'il existe plusieurs scénarios dans lesquels la campagne de vaccination massive se retourne contre nous, et il faut espérer qu'aucun de ces scénarios ne finira par se dérouler.
Point sur la situation à suivre.
Attaquer une pandémie avec un vaccin qui n'empêche pas la transmission sur un virus à mutation rapides est une hérésie. N’importe quelle personne avec un minimum de compréhension en biologie évolutive devrait le comprendre.

Oui, c’est la merde.

Oui, la situation est grave.

Oui, vous aviez été prévenus.

Non, je n’exagère pas.

Nous en avions parlé, et je n'ai plus communiqué depuis, parce qu'on allait me reprocher de faire du sensationnalisme. Je savais que ce jour arriverait, et nous y voilà. L'été passé, tout le monde criait victoire, les vaccins fonctionnaient à merveille, la situation mondiale semblait se calmer, l'économie repartait.

La seule chose c'est que ce le temps joue contre nous. Il m'a donc suffi d'attendre quelques mois pour que cette situation dégénère.
Le nouveau variant dont tout le monde parle aujourd’hui n’a rien à voir, absolument rien à voir avec les précédents. On pourrait presque parler d’un nouveau virus.

Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous avons vacciné en masse sur un virus mutant rapidement et ce en pleine pandémie.

Les gens qui disent que cette théorie est farfelue se cachent souvent derrière des exemples comme la rougeole. C’est une erreur factuelle. Jamais la rougeole n’a été attaquée vaccinalement en pleine pandémie avec un vaccin n’empêchant pas la transmission, sur toutes les tranches d’âge, et de manière massive. La vaccination contre la rougeole a toujours été ciblée, sur une tranche d’âge particulière, avec un vaccin fonctionnant de pair avec l’immunité naturelle.

La rougeole n’a d’ailleurs jamais été un virus hautement mutant.

Voici la recette d’une catastrophe vaccinale :
1. Une pandémie en cours
2. Un vaccin qui ne bloque pas la transmission
3. Une vaccination massive sur toutes les tranches d’âge
4. Un virus mutant rapidement

Oui mais la grippe ? Diront certains.

La grippe n’est pas concernée non plus. Nous avons une immunité collective avec la grippe, qui va et vient, et qui entraîne de nouvelles épidémies mineures. Pas une pandémie, pas de vaccination massive sur tous les âges, sinon cela entraînerait exactement le même problème.

La grippe se répand, rencontre rapidement des jeunes avec un système immunitaire fort qui arrêtent la transmission et développent une immunité collective mettant fin à la nouvelle épidémie.

JAMAIS dans l’histoire de l’humanité les quatre points ci-dessus ont été respectés en même temps.

Suite à venir…
Avant de poursuivre, enterrons définitivement ce mythe du "cette théorie c'est de la merde, regarde la rougeole".

En vert, la mortalité de la rougeole par an, la flèche, c'est quand le vaccin a été introduit dans la population.

Oui, l'immunité collective était déjà là, le virus aurait sûrement disparu tout seul, et ce n'était ni une pandémie, ni un virus mutant rapidement.
Il y a deux types d’immunités.

L’immunité naturelle, et l’immunité imposée.

L’immunité naturelle est quasiment parfaite. Elle empêche la maladie, la transmission, etc.

L’immunité imposée est par essence imparfaite. Elle l’est d’autant plus quand elle ne cible qu’une partie du virus. Faisons une analogie très vulgarisée.

Imaginons que le virus est un petit soldat vert avec un casque rouge.

1. Immunité naturelle :

Votre système immunitaire le voit arriver et se dit qu’il doit zigouiller tous les trucs qu’il ne connaît pas (oui, votre système immunitaire est xénophobe).

Le petit soldat vert avec un casque rouge ne correspond à rien de ce qui est connu. Votre système mène l’enquête (ça prend du temps, période d’incubation) et finit par déterminer qu’il est nocif pour vous parce qu’il remarque que le petit soldat vert au casque rouge tire sur tout ce qui bouge et se multiplie rapidement. Votre système immunitaire le zigouille (fièvre, etc.) en mode génocide et entre dans sa base de données que la prochaine fois qu’un petit soldat débarque, on le zigouille sans réfléchir pour éviter de le laisser entamer le processus.

2. Vaccin à l’ancienne.

Par exemple, virus désactivé, on balance tout un tas de cadavres de petits soldats verts au casques rouges dans votre corps. Votre système immunitaire est légèrement excité avec des produits adjuvants, remarque les cadavres des soldats et se dit « ah tiens, c’est bizarre tous ces cadavres de trucs que je ne connais pas », met à jour sa base de données et décide qu’il doit les zigouiller sans réfléchir la prochaine fois qu’il voit des trucs du genre. Le vaccin "à l'ancienne" engendre donc une immunité comparable à une immunité naturelle.

3. Nouveau vaccins (plutôt… thérapie génétique expérimentale).

Un vaccin actuel, mRNA, enseigne à certaines de vos cellules à produire plein de casques rouges. Votre système immunitaire se dit alors « putain, c’est quoi ces casques rouges qui nous envahissent et se multiplient ? », finit par détruire tous les casques rouges et entre en base de données qu’il faut zigouiller les casques rouges.

Dans les trois cas, la prochaine fois que des petits soldats aux casques rouges entrent dans votre système, votre immunité réagit et les zigouilles.

Problème :

Demain, un variant émerge. Des soldats verts aux casques jaunes débarquent et tirent dans le tas.

L’immunité naturelle les reconnaît que ça ressemble au précédent, prend un petit moment pour réagir mais finit par rapidement décider de le zigouiller avant qu’ils ne s’installent.

L’immunité par vaccin à l’ancienne se dit que c’est un petit soldat vert, et qu’après tout même si le casque est jaune, c’est suffisamment semblable pour agir. Cela fonctionne à peu près pareil.

L’immunité par vaccins à mRNA (ARNm) se dit « tout va bien, pas de menace détectée, ce truc a un casque jaune, or la menace c’est juste les casques rouges ».

On voit bien que pour échapper à l’immunité des vaccins de nouvelle génération, c’est très simple, puisque l’immunité ne vise qu’une petite partie du virus (ici le casque rouge). Autrement dit, sans même parler du processus sélectif plus large sur lequel je reviens après, les nouveaux vaccins ont déjà un problème inhérent à leur fonctionnement.

Aujourd’hui, pour la première fois, nous avons un variant émergeant avec des mutations très importantes, et c’est probablement le premier d’une longue série à venir.

Puisque la plupart des gens n’ont pas une immunité naturelle, et que celle-ci n’a JAMAIS été nécessaire à créer par leur système immunitaire (puisque les soldats aux casques rouges étaient rapidement zigouillés), alors une grande partie de la population mondiale n’a pas les moyens de se défendre contre le virus. Si votre corps sait juste se défendre contre des casques rouges et rien d’autre, il ne comprend pas que la menace c’est le soldat qui porte le casque. Il suffit de changer de casque et votre soldat peut se balader tranquille.
Cette protection imparfaite n’est pas le véritable problème, c’est juste un truc qui vient amplifier la problématique évoquée plus haut, avec les 4 points cités.

Suite à venir…