⚠️ De plus en plus de rapports pointent du doigt la possibilité que le virus se soit échappé du laboratoire P4 de Wuhan, comme j'en parlais ici en février, mais qui n'était jusqu'ici qu'une théorie (c'est toujours le cas, mais elle devient de plus en plus crédible).
⚠️ Un rapport interne italien averti l'UE : il va falloir suivre de près l'évolution de l'épidémie en Italie lors du relâchement des mesures afin de pouvoir très rapidement anticiper une deuxième vague en Europe.
⚠️ De plus en plus d'effets potentiels à long terme sont découverts chez des patients malades, ce qui souligne qu'il y a encore d'énormes inconnues sur les réelles conséquences de la maladie.
⚠️ Rapport du CDC : près de 10 000 professionnels de santé sont malades aux USA.
Pendant ce temps, on continue d'apercevoir des vidéos de files d'attentes devant des hôpitaux chinois un peu partout dans le pays, sur les réseaux sociaux chinois.
Il y chaque jour de nouvelles villes placées en quarantaine.
Vous vous souvenez quand je parlais de voix dissidentes à l'intérieur de l'OMS déjà en février ?
Des preuves commencent à émerger démontrant que la direction de l'OMS a fait taire certains experts qui souhaitaient alerter la population sur la gravité de la situation et recommander une restriction massive des déplacements et ce... sur demande de.... suspense....
Des preuves commencent à émerger démontrant que la direction de l'OMS a fait taire certains experts qui souhaitaient alerter la population sur la gravité de la situation et recommander une restriction massive des déplacements et ce... sur demande de.... suspense....
Cela a commencé dès une réunion interne ayant eu lieu le 30 janvier...!
Un confinement ponctuel n'arrêtera pas le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 et des périodes répétées de distanciation sociale pourraient être nécessaires jusqu'en 2022 pour éviter que les hôpitaux ne soient débordés, ont déclaré mardi les scientifiques de Harvard qui ont modélisé la trajectoire de la pandémie.
Cette étude intervient alors que les États-Unis entrent dans la phase de pointe de leur charge de travail sur le virus Covid-19 et que les États envisagent un éventuel assouplissement des mesures de confinement.
La simulation informatique de l'équipe de Harvard, qui a été publiée dans un article de la revue Science, suppose que le virus deviendra saisonnier.
Mais beaucoup de choses restent inconnues, notamment le niveau d'immunité acquis par une infection antérieure et la durée de celle-ci, ont déclaré les auteurs.
"Nous avons constaté que les mesures ponctuelles de distanciation sociale sont probablement insuffisantes pour maintenir l'incidence du SRAS-CoV-2 dans les limites des capacités de soins intensifs aux États-Unis" (et donc partout dans le monde), a déclaré l'auteur principal Stephen Kissler.
"Ce qui semble nécessaire en l'absence d'autres types de traitements, ce sont des périodes intermittentes de distanciation sociale", a-t-il ajouté.
Des tests viraux à grande échelle seraient nécessaires afin de déterminer quand les seuils de distance de redéclenchement ont été franchis, ont déclaré les auteurs.
La durée et l'intensité des périodes de confinement peuvent être assouplies à mesure que les traitements et les vaccins deviennent disponibles. Mais en leur absence, une distance sociale continue donnerait aux hôpitaux le temps d'augmenter leur capacité de soins intensifs pour faire face à la montée en flèche des cas qui se produiront lorsque les mesures seront assouplies.
"En permettant des périodes de transmission qui atteignent une prévalence plus élevée qu'il ne serait possible autrement, elles permettent une acquisition accélérée de l'immunité collective", a déclaré le co-auteur Marc Lipsitch, dont j'ai cité plusieurs fois les travaux sur le groupe (fonction recherche si jamais).
Inversement, une trop grande distanciation sociale sans répit peut être une mauvaise chose. Selon un scénario modélisé, "la distanciation sociale a été si efficace que pratiquement aucune immunité de la population n'est construite", selon le document, d'où la nécessité d'une approche intermittente.
Une chose est cependant presque certaine : le virus est là pour rester. L'équipe a déclaré qu'il était très peu probable que l'immunité soit suffisamment forte et dure assez longtemps pour que le Covid-19 s'éteigne après une première vague, comme ce fut le cas lors de l'épidémie de SRAS de 2002-2003.
Les tests d'anticorps qui viennent d'être mis sur le marché et qui cherchent à savoir si une personne a déjà été infectée seront cruciaux pour répondre à ces questions vitales sur l'immunité, ont-ils affirmé.
Cette étude intervient alors que les États-Unis entrent dans la phase de pointe de leur charge de travail sur le virus Covid-19 et que les États envisagent un éventuel assouplissement des mesures de confinement.
La simulation informatique de l'équipe de Harvard, qui a été publiée dans un article de la revue Science, suppose que le virus deviendra saisonnier.
Mais beaucoup de choses restent inconnues, notamment le niveau d'immunité acquis par une infection antérieure et la durée de celle-ci, ont déclaré les auteurs.
"Nous avons constaté que les mesures ponctuelles de distanciation sociale sont probablement insuffisantes pour maintenir l'incidence du SRAS-CoV-2 dans les limites des capacités de soins intensifs aux États-Unis" (et donc partout dans le monde), a déclaré l'auteur principal Stephen Kissler.
"Ce qui semble nécessaire en l'absence d'autres types de traitements, ce sont des périodes intermittentes de distanciation sociale", a-t-il ajouté.
Des tests viraux à grande échelle seraient nécessaires afin de déterminer quand les seuils de distance de redéclenchement ont été franchis, ont déclaré les auteurs.
La durée et l'intensité des périodes de confinement peuvent être assouplies à mesure que les traitements et les vaccins deviennent disponibles. Mais en leur absence, une distance sociale continue donnerait aux hôpitaux le temps d'augmenter leur capacité de soins intensifs pour faire face à la montée en flèche des cas qui se produiront lorsque les mesures seront assouplies.
"En permettant des périodes de transmission qui atteignent une prévalence plus élevée qu'il ne serait possible autrement, elles permettent une acquisition accélérée de l'immunité collective", a déclaré le co-auteur Marc Lipsitch, dont j'ai cité plusieurs fois les travaux sur le groupe (fonction recherche si jamais).
Inversement, une trop grande distanciation sociale sans répit peut être une mauvaise chose. Selon un scénario modélisé, "la distanciation sociale a été si efficace que pratiquement aucune immunité de la population n'est construite", selon le document, d'où la nécessité d'une approche intermittente.
Une chose est cependant presque certaine : le virus est là pour rester. L'équipe a déclaré qu'il était très peu probable que l'immunité soit suffisamment forte et dure assez longtemps pour que le Covid-19 s'éteigne après une première vague, comme ce fut le cas lors de l'épidémie de SRAS de 2002-2003.
Les tests d'anticorps qui viennent d'être mis sur le marché et qui cherchent à savoir si une personne a déjà été infectée seront cruciaux pour répondre à ces questions vitales sur l'immunité, ont-ils affirmé.
La Suisse va assouplir les mesures dès le 27 avril, puis le 11 mai.
Ce que le Conseil Fédéral ne dit pas, c'est que c'est juste un gros test pour voir comment la courbe des malades et des décès va réagir aux assouplissements, et qu'en fonction de cela, les mesures seront assouplies davantage en juin, ou au contraire, renforcées à nouveau.
Ce que le Conseil Fédéral ne dit pas, c'est que c'est juste un gros test pour voir comment la courbe des malades et des décès va réagir aux assouplissements, et qu'en fonction de cela, les mesures seront assouplies davantage en juin, ou au contraire, renforcées à nouveau.
⚠️ La Belgique est officiellement le pays le plus touché au monde avec 420 décès par million d'habitants.
Nouveau classement :
1. Belgique (+1)
2. Espagne (-1)
3. Italie (-)
4. France (-)
5. Royaume-Uni (-)
6. Pays-Bas (-)
7. Suisse (-)
8. Suède (-)
9. Luxembourg (+2)
10. États-Unis (-)
(Chine, Iran et tout petits pays ignorés)
Nouveau classement :
1. Belgique (+1)
2. Espagne (-1)
3. Italie (-)
4. France (-)
5. Royaume-Uni (-)
6. Pays-Bas (-)
7. Suisse (-)
8. Suède (-)
9. Luxembourg (+2)
10. États-Unis (-)
(Chine, Iran et tout petits pays ignorés)
Si la ville de New York était un pays, elle serait en tête du classement avec 3 fois plus de décès par million d'habitants que la Belgique.
On entend Macron qui suit Trump et remet les chiffres chinois en cause, après quelques autres pays qui lui ont ouvert la porte.
Plusieurs choses à dire... déjà, ça fait un moment qu'il est au courant. Vous pensez bien que si je le dis, le répète et le prouve depuis début février ici, donc depuis deux mois et demi, les services de renseignement français (et tous les services de renseignement d'ailleurs) sont au courant. On évite de le faire en public car, comme j'en ai parlé ici à plusieurs reprises, on a peur de se mettre en face de la Chine pour tout un tas de raison, et puis, on préfère faire semblant pour préserver de bonnes relation diplomatiques.
Le truc c'est que depuis que Trump a commencé à le faire publiquement, forcément, ça débride un peu les esprits et les autres se sentent davantage capables de remettre les chiffres en cause bien qu'ils n'auraient jamais osé être les premiers à le faire.
Enfin, gardez cela en tête quand les responsables de la situation actuelle vous diront "ce n'est pas de notre faute, c'est la faute de la Chine/de l'OMS/des mensonges/des rapports/des scientifiques/...personne ne pouvait le prévoir/etc.".
C'est absolument faux.
TOUS, je dis bien TOUS les gouvernements européens (et occidentaux d'ailleurs) étaient au courant depuis fin janvier que cela allait arriver, TOUS.
La plupart d'entre eux ont délibérément choisi de ne pas agir assez rapidement pour des raisons politiques ou économiques. Ne vous laissez pas berner. La Chine est coupable, mais les complices sont nombreux.
Plusieurs choses à dire... déjà, ça fait un moment qu'il est au courant. Vous pensez bien que si je le dis, le répète et le prouve depuis début février ici, donc depuis deux mois et demi, les services de renseignement français (et tous les services de renseignement d'ailleurs) sont au courant. On évite de le faire en public car, comme j'en ai parlé ici à plusieurs reprises, on a peur de se mettre en face de la Chine pour tout un tas de raison, et puis, on préfère faire semblant pour préserver de bonnes relation diplomatiques.
Le truc c'est que depuis que Trump a commencé à le faire publiquement, forcément, ça débride un peu les esprits et les autres se sentent davantage capables de remettre les chiffres en cause bien qu'ils n'auraient jamais osé être les premiers à le faire.
Enfin, gardez cela en tête quand les responsables de la situation actuelle vous diront "ce n'est pas de notre faute, c'est la faute de la Chine/de l'OMS/des mensonges/des rapports/des scientifiques/...personne ne pouvait le prévoir/etc.".
C'est absolument faux.
TOUS, je dis bien TOUS les gouvernements européens (et occidentaux d'ailleurs) étaient au courant depuis fin janvier que cela allait arriver, TOUS.
La plupart d'entre eux ont délibérément choisi de ne pas agir assez rapidement pour des raisons politiques ou économiques. Ne vous laissez pas berner. La Chine est coupable, mais les complices sont nombreux.
Rappelons qu'un mois et demi après que le gouvernement français a été informé que l'épidémie était inévitable, on avait un ministre de la santé qui répétait tous les soirs à la télé : "le virus ne circule pas sur le territoire national".
Ce n'est pas seulement un mensonge, c'est un crime.
Ce n'est pas seulement un mensonge, c'est un crime.
⚠️ 4 nouvelles villes placées en quarantaine aujourd'hui en Chine, près de la moitié des usines n'ont toujours pas réouvert leur portes.
⚠️ L'OMS avertira bientôt : il n'y aucune information à l'heure actuelle qui démontrerait sans le moindre doute une immunité au COVID-19 après l'avoir contracté.
⚠️ Une source interne à l'OMS a confirmé au Business Insider que le message posté le 14 juin par l'OMS disant qu'il n'y avait "aucune preuve que le virus se transmettait d'homme à homme" était posté pour faire "plaisir" à la Chine.
⚠️ Selon plusieurs rapports de la population sur les réseaux sociaux, on assiste à des personnes qui "s'effondrent au sol" dans plusieurs provinces chinoises depuis plusieurs jours, alors que la Chine continue de prétendre que l'épidémie est terminée et que les nouveaux cas sont des cas "importés".
Il n'y a pas eu beaucoup de bonnes nouvelles ces derniers temps. Mais avec les déclarations selon lesquelles le "pic" de la pression sur le système de santé public se situait pendant la période de Pâques, vous pourriez avoir l'impression que la tempête est en train de passer et que la pandémie de COVID-19 ne sera bientôt plus qu'un souvenir.
Les études menées auprès des populations déjà touchées par la pandémie alimentent cette impression. Nous commençons enfin à voir les résultats de recherches visant à déceler les signes d'une infection antérieure, grâce à la présence d'anticorps contre le Sars-CoV-2, le virus à l'origine du COVID-19. Certaines de ces données suggèrent fortement que de nombreuses infections peuvent être passées inaperçues, les seuls symptômes étant des choses bénignes telles que la perte du goût et de l'odorat, et qu'en conséquence, davantage de personnes peuvent être immunisées que ce que l'on croyait. C'est certainement un signe que les communautés du monde entier peuvent pousser un petit cri de soulagement et se remettre au travail.
Malheureusement, il n'en est absolument rien.
Parler de "pic" peut être trompeur, car le pic est beaucoup plus prononcé dans un pays que dans l'autre. Dans des pays comme l'Italie (contrairement à Wuhan), la poussée initiale de la pandémie de COVID-19 ne s'est pas évaporée rapidement. Il y a de multiples raisons à cela, mais la plus importante est que l'impact de la distanciation physique réalisée en Chine a été difficile à réaliser ailleurs, principalement en raison des libertés que nous apprécions à juste titre dans les démocraties libérales.
En d'autres termes, ce qui se passe actuellement pourrait n'être qu'un premier petit pic - pas LE pic. La raison en est que malgré tous ces signes positifs dus aux tests de dépistage des anticorps, l'immense majorité de la population n'est pas immunisée.
Un éditorial du British Medical Journal a rapporté des données en provenance de Chine suggérant que jusqu'à quatre cas sur cinq d'infection par le Sars-CoV-2 pourraient être asymptomatiques. Il poursuit en citant des personnes du Centre for Evidence-Based Medicine à Oxford, qui disent que si cette affirmation se vérifie "Pourquoi diable nous enfermons-nous ?"
J'aimerais que ces personnes aient le courage d'aller répéter cet avis dans une salle d'urgence en ce moment même, où l'on pratique la véritable médecine. S'inquiéter du taux exact d'infection asymptomatique, ou de la durée actuellement inconnue de l'immunité et d'une éventuelle "deuxième vague", c'est comme applaudir poliment la performance lors d'un concert et lancer un "bravo !" pendant que le bâtiment est démoli autour de vous et que le pianiste est décapité.
Prenons par exemple le cas de la France. Plus de 151 000 cas de COVID-19 ont été identifiés. Arrondissons et disons que c'est 150 000. Donc si les rapports de l'éditorial du BMJ sont exacts, le nombre réel serait celui multiplié par cinq, auquel cas il y aurait déjà eu environ 750 000 cas. Si c'est vraiment le pic et que nous voyons autant de cas en baisse qu'en hausse, cela ferait un million et demi d'infections par rapport à la poussée initiale en France - avec beaucoup de chance, toutes ces personnes seraient alors immunisées.
Cela laisserait environ 69 millions de personnes en France encore sans immunité.
Les études menées auprès des populations déjà touchées par la pandémie alimentent cette impression. Nous commençons enfin à voir les résultats de recherches visant à déceler les signes d'une infection antérieure, grâce à la présence d'anticorps contre le Sars-CoV-2, le virus à l'origine du COVID-19. Certaines de ces données suggèrent fortement que de nombreuses infections peuvent être passées inaperçues, les seuls symptômes étant des choses bénignes telles que la perte du goût et de l'odorat, et qu'en conséquence, davantage de personnes peuvent être immunisées que ce que l'on croyait. C'est certainement un signe que les communautés du monde entier peuvent pousser un petit cri de soulagement et se remettre au travail.
Malheureusement, il n'en est absolument rien.
Parler de "pic" peut être trompeur, car le pic est beaucoup plus prononcé dans un pays que dans l'autre. Dans des pays comme l'Italie (contrairement à Wuhan), la poussée initiale de la pandémie de COVID-19 ne s'est pas évaporée rapidement. Il y a de multiples raisons à cela, mais la plus importante est que l'impact de la distanciation physique réalisée en Chine a été difficile à réaliser ailleurs, principalement en raison des libertés que nous apprécions à juste titre dans les démocraties libérales.
En d'autres termes, ce qui se passe actuellement pourrait n'être qu'un premier petit pic - pas LE pic. La raison en est que malgré tous ces signes positifs dus aux tests de dépistage des anticorps, l'immense majorité de la population n'est pas immunisée.
Un éditorial du British Medical Journal a rapporté des données en provenance de Chine suggérant que jusqu'à quatre cas sur cinq d'infection par le Sars-CoV-2 pourraient être asymptomatiques. Il poursuit en citant des personnes du Centre for Evidence-Based Medicine à Oxford, qui disent que si cette affirmation se vérifie "Pourquoi diable nous enfermons-nous ?"
J'aimerais que ces personnes aient le courage d'aller répéter cet avis dans une salle d'urgence en ce moment même, où l'on pratique la véritable médecine. S'inquiéter du taux exact d'infection asymptomatique, ou de la durée actuellement inconnue de l'immunité et d'une éventuelle "deuxième vague", c'est comme applaudir poliment la performance lors d'un concert et lancer un "bravo !" pendant que le bâtiment est démoli autour de vous et que le pianiste est décapité.
Prenons par exemple le cas de la France. Plus de 151 000 cas de COVID-19 ont été identifiés. Arrondissons et disons que c'est 150 000. Donc si les rapports de l'éditorial du BMJ sont exacts, le nombre réel serait celui multiplié par cinq, auquel cas il y aurait déjà eu environ 750 000 cas. Si c'est vraiment le pic et que nous voyons autant de cas en baisse qu'en hausse, cela ferait un million et demi d'infections par rapport à la poussée initiale en France - avec beaucoup de chance, toutes ces personnes seraient alors immunisées.
Cela laisserait environ 69 millions de personnes en France encore sans immunité.