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🚨⚠️ Fausse opposition : En 2017 Perronne en bon élève lit la feuille de route envoyée par l'OMS pour vendre la soupe papillomavirus.
Le 28 février 2023 macron annonce la campagne vaccinale ! 300€ la dose !!!
👉 https://francais.medscape.com/voirarticle/3603146
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RAOULT - MERIEUX - France china fondation - PCC - test PCR
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☑️ Explications vidéos
https://t.me/code_quantum/11805
☑️ Mérieux fondation board of director
https://www.fondation-merieux.org/en/governance/
☑️ Le point sur les rapports déclarés entre Didier Raoult et l'industrie pharmaceutique au cours des dernières années
En plus de ses fonctions à l’IHU, Didier Raoult siège à la Fondation Mérieux. Depuis décembre 2015, il est membre du « collège des personnalités qualifiées » de la fondation, consacrée à la lutte contre les maladies infectieuses dans les pays en voie de développement. Une représentante de la Fondation Mérieux souligne que les membres du conseil d'administration « ne reçoivent aucune rémunération pour assurer leur rôle auprès de la fondation ».
Didier Raoult avait rappelé sur BFMTV que la fondation privée est un membre « fondateur » de l’IHU. « On a des liens [avec eux] mais qui ne sont pas des liens de travail [car] c’est impossible », avait-il ajouté.
Dans son dernier rapport disponible, portant sur l’année 2018, la Fondation Mérieux indique compter parmi ses partenaires Sanofi Pasteur, Sanofi USA, Gilead et la Fondation Gilead.
Une représentante de Gilead précise à 20 Minutes ne pas vouloir faire de commentaires et ajoute que l’entreprise « est disponible pour répondre à toutes les questions des parlementaires de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale »
https://www.20minutes.fr/societe/2807731-20200627-coronavirus-point-rapports-declares-entre-didier-raoult-industrie-pharmaceutique-cours-dernieres-annees
☑️ Communiqué BIOMERIEUX
L’Institut Hospitalo-Universitaire (IHU) Méditerranée Infection, sur le site de la Timone à Marseille est un institut dont l’une des missions principales est
de répondre aux urgences sanitaires en maladies infectieuses. Avec son pôle d’Infectiologie, grâce à ses locaux de type NSB3 et ses capacités de diagnostic moléculaire, l’IHU est capable de prendre en charge des patients dans un contexte d’émergence de nouveaux pathogènes.
Quel dispositif d’urgence dédié au Covid-19 a été intégré au sein de l’IHU ? Quelle stratégie a été adoptée par l’IHU pour diagnostiquer ces patients « suspectés » ? Précisions avec le Pr Pierre-Édouard Fournier, médecin
biologiste à l’IHU Méditerranée Infection
Dans le contexte actuel d’alerte sanitaire et fidèles à l’engagement de bioMérieux pour la santé mondiale, les équipes de recherche de bioMérieux sont actuellement mobilisées pour le développement de tests diagnostiques pour détecter le virus SARS-CoV-2 responsable
du COVID-19
Quelles ont été vos attentes vis-à-vis de bioMérieux ?
Dans cette crise du SARS-CoV-2, nous avons dû être efficaces. Confrontés à l’arrivée prévue des rapatriés de Chine, il a fallu mettre en place rapidement des tests diagnostiques. Nous cherchions des partenaires avec l’expertise en diagnostic moléculaire pour nous aider à équiper notre POC à l’accueil des Urgences. BioMérieux était très réactif dans cette situation de crise et nous a mis à disposition un système BioFire® FilmArray® v2.0.
https://diag-innov.biomerieux.fr/wp-content/uploads/2020/03/2020_Biologiste-Info_BioFire-RP_contexte-Covid-19_IHU.pdf
☑️ Raoult - Les milliardaires au chevet de la recherche
Pris dans le feu des échéances électorales, les politiques négligent d'investir dans la recherche. Gates, Milner, Zuckerberg et consorts ont pris le relais.
https://amp.lepoint.fr/2234195
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Didier Raoult avait rappelé sur BFMTV que la fondation privée est un membre « fondateur » de l’IHU. « On a des liens [avec eux] mais qui ne sont pas des liens de travail [car] c’est impossible », avait-il ajouté.
Dans son dernier rapport disponible, portant sur l’année 2018, la Fondation Mérieux indique compter parmi ses partenaires Sanofi Pasteur, Sanofi USA, Gilead et la Fondation Gilead.
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de répondre aux urgences sanitaires en maladies infectieuses. Avec son pôle d’Infectiologie, grâce à ses locaux de type NSB3 et ses capacités de diagnostic moléculaire, l’IHU est capable de prendre en charge des patients dans un contexte d’émergence de nouveaux pathogènes.
Quel dispositif d’urgence dédié au Covid-19 a été intégré au sein de l’IHU ? Quelle stratégie a été adoptée par l’IHU pour diagnostiquer ces patients « suspectés » ? Précisions avec le Pr Pierre-Édouard Fournier, médecin
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Dans le contexte actuel d’alerte sanitaire et fidèles à l’engagement de bioMérieux pour la santé mondiale, les équipes de recherche de bioMérieux sont actuellement mobilisées pour le développement de tests diagnostiques pour détecter le virus SARS-CoV-2 responsable
du COVID-19
Quelles ont été vos attentes vis-à-vis de bioMérieux ?
Dans cette crise du SARS-CoV-2, nous avons dû être efficaces. Confrontés à l’arrivée prévue des rapatriés de Chine, il a fallu mettre en place rapidement des tests diagnostiques. Nous cherchions des partenaires avec l’expertise en diagnostic moléculaire pour nous aider à équiper notre POC à l’accueil des Urgences. BioMérieux était très réactif dans cette situation de crise et nous a mis à disposition un système BioFire® FilmArray® v2.0.
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Chloé F qui fait la promo du livre et du canal d Henrion Caude ça vous inspire quoi? 🤡
Tout comme quand elle soutient Denis Agret ou encore Perronne.. des pro vax pro pasteur pro virus en puissance ..
Une vraie opposition cette Chloé y a pas à dire …
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LA CULTURE DU MENSONGE.
Le système de santé s'occupe de la maladie pas de la santé !!!
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🛑⚠️ RAPPORT SÉNAT 3 juin 2021 : CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES - répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés - PARTIE 1
Prenez le temps de lire et partager ce rapport et sa synthèse (joints à la fin du post en partie 2 ), ils nous disent tout de leur stratégie de contrôle numérique pour les crises à venir. Quand on le lit, on sent bien qu une autre PLANDÉMIE arrivera tôt ou tard.
👉 Quelques passages que j ai relevés :
IV. FACE AUX PROCHAINES PANDÉMIES, DES PERSPECTIVES IMMENSES ET DES QUESTIONS VERTIGINEUSES
Si le recours aux outils numériques s'est fait de façon très inégale en fonction des pays, toutes les stratégies ont un point commun : par choix politiques ou par impossibilité matérielle, elles n'exploitent en réalité qu'une très faible part des possibilités théoriques des technologies actuelles, sans même parler des possibilités des technologies à venir. À cet égard, la pandémie de Covid-19 présente une double particularité : c'est à la fois la première fois que le numérique est autant mobilisé, et sans doute la dernière fois où il le sera aussi peu.
B. DEMAIN, UNE GESTION DES CRISES PAR LE NUMÉRIQUE ?
1. Crises sanitaires, catastrophes naturelles, accidents industriels
On le voit : les perspectives ouvertes par le recours aux technologies numériques sont immenses, et la crise du Covid-19 n'a donné qu'un avant-goût des multiples cas d'usage possibles, à court, moyen ou long terme.
Alors que la pandémie de Covid-19 n'est pas terminée, et qu'il est probable que celle-ci ne soit ni la dernière, ni la plus forte, il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. Les restrictions généralisées imposées aux libertés « physiques » ces derniers mois sont de moins en moins supportables. Elles ne sont ni durables, ni même très efficaces, en comparaison de ce que permettrait un usage plus systématique du numérique.
Le recours au numérique permettrait de contrôler précisément le respect des mesures sanitaires, à un niveau individuel et en temps réel : en contrepartie, les restrictions pourraient être ciblées sur un faible nombre de personnes, et être plus limitées dans le temps, tout en ayant une efficacité maximale. Peut-être pourrons-nous demain, grâce au numérique, retrouver nos libertés « physiques » plus vite, ou même ne jamais les abandonner, et avoir des pandémies sans confinement - et ceci même si aucun vaccin ou traitement n'est disponible.
Enfin, dans les situations de crise les plus extrêmes, les outils numériques pourraient permettre d'exercer un contrôle effectif, exhaustif et en temps réel du respect des restrictions par la population, assorti le cas échéant de sanctions dissuasives, et fondé sur une exploitation des données personnelles encore plus dérogatoire.
Ces outils sont les plus efficaces, mais aussi les plus attentatoires aux libertés -
mais une fois de plus, il serait irresponsable de ne pas au moins les envisager, ne serait-ce que pour se convaincre de tout faire en amont pour ne pas en arriver là. De nombreux cas d'usages sont possibles, et notamment :
- le contrôle des déplacements : bracelet électronique pour contrôler le respect de la quarantaine, désactivation du pass pour les transports en commun, détection automatique de la plaque d'immatriculation par les radars, portiques de contrôle dans les magasins, caméras thermiques dans les restaurants, etc. ;
- le contrôle de l'état de santé, via des objets connectés dont l'utilisation serait cette fois-ci obligatoire, et dont les données seraient exploitées à des fins de contrôle ;
- le contrôle des fréquentations, par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que l'on est contagieux ;
- le contrôle des transactions, permettant par exemple d'imposer une amende automatique, de détecter un achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie), ou encore la poursuite illégale d'une activité professionnelle (commerce, etc.) en dépit des restrictions.
☑️ Partie 2
https://t.me/code_quantum/11819
Prenez le temps de lire et partager ce rapport et sa synthèse (joints à la fin du post en partie 2 ), ils nous disent tout de leur stratégie de contrôle numérique pour les crises à venir. Quand on le lit, on sent bien qu une autre PLANDÉMIE arrivera tôt ou tard.
👉 Quelques passages que j ai relevés :
IV. FACE AUX PROCHAINES PANDÉMIES, DES PERSPECTIVES IMMENSES ET DES QUESTIONS VERTIGINEUSES
Si le recours aux outils numériques s'est fait de façon très inégale en fonction des pays, toutes les stratégies ont un point commun : par choix politiques ou par impossibilité matérielle, elles n'exploitent en réalité qu'une très faible part des possibilités théoriques des technologies actuelles, sans même parler des possibilités des technologies à venir. À cet égard, la pandémie de Covid-19 présente une double particularité : c'est à la fois la première fois que le numérique est autant mobilisé, et sans doute la dernière fois où il le sera aussi peu.
B. DEMAIN, UNE GESTION DES CRISES PAR LE NUMÉRIQUE ?
1. Crises sanitaires, catastrophes naturelles, accidents industriels
On le voit : les perspectives ouvertes par le recours aux technologies numériques sont immenses, et la crise du Covid-19 n'a donné qu'un avant-goût des multiples cas d'usage possibles, à court, moyen ou long terme.
Alors que la pandémie de Covid-19 n'est pas terminée, et qu'il est probable que celle-ci ne soit ni la dernière, ni la plus forte, il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. Les restrictions généralisées imposées aux libertés « physiques » ces derniers mois sont de moins en moins supportables. Elles ne sont ni durables, ni même très efficaces, en comparaison de ce que permettrait un usage plus systématique du numérique.
Le recours au numérique permettrait de contrôler précisément le respect des mesures sanitaires, à un niveau individuel et en temps réel : en contrepartie, les restrictions pourraient être ciblées sur un faible nombre de personnes, et être plus limitées dans le temps, tout en ayant une efficacité maximale. Peut-être pourrons-nous demain, grâce au numérique, retrouver nos libertés « physiques » plus vite, ou même ne jamais les abandonner, et avoir des pandémies sans confinement - et ceci même si aucun vaccin ou traitement n'est disponible.
Enfin, dans les situations de crise les plus extrêmes, les outils numériques pourraient permettre d'exercer un contrôle effectif, exhaustif et en temps réel du respect des restrictions par la population, assorti le cas échéant de sanctions dissuasives, et fondé sur une exploitation des données personnelles encore plus dérogatoire.
Ces outils sont les plus efficaces, mais aussi les plus attentatoires aux libertés -
mais une fois de plus, il serait irresponsable de ne pas au moins les envisager, ne serait-ce que pour se convaincre de tout faire en amont pour ne pas en arriver là. De nombreux cas d'usages sont possibles, et notamment :
- le contrôle des déplacements : bracelet électronique pour contrôler le respect de la quarantaine, désactivation du pass pour les transports en commun, détection automatique de la plaque d'immatriculation par les radars, portiques de contrôle dans les magasins, caméras thermiques dans les restaurants, etc. ;
- le contrôle de l'état de santé, via des objets connectés dont l'utilisation serait cette fois-ci obligatoire, et dont les données seraient exploitées à des fins de contrôle ;
- le contrôle des fréquentations, par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que l'on est contagieux ;
- le contrôle des transactions, permettant par exemple d'imposer une amende automatique, de détecter un achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie), ou encore la poursuite illégale d'une activité professionnelle (commerce, etc.) en dépit des restrictions.
☑️ Partie 2
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🛑⚠️ RAPPORT SÉNAT 3 juin 2021 : CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES - répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés - PARTIE 2
3. La coûteuse absence de l'identité numérique
Au-delà du strict domaine médical et sanitaire, où l'identifiant numérique…
3. La coûteuse absence de l'identité numérique
Au-delà du strict domaine médical et sanitaire, où l'identifiant numérique…
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🛑⚠️ RAPPORT SÉNAT 3 juin 2021 : CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES - répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés - PARTIE 2
3. La coûteuse absence de l'identité numérique
Au-delà du strict domaine médical et sanitaire, où l'identifiant numérique de santé (INS) aurait pu, comme on l'a vu, se révéler précieux, c'est l'identité numérique en général qui aurait pu constituer un atout précieux pour la gestion de crise, entre autres bénéfices qui dépassent le cadre du présent rapport (cf. encadré).
Les enjeux de l'identité numérique
L'identité numérique est la clé de voûte de l'État-plateforme. Celle-ci permettrait à chacun d'accéder à l'ensemble des services publics au moyen d'un identifiant unique prouvant son identité de façon certaine et sécurisée. Elle ouvrirait la voie non seulement à l'allègement considérable des démarches de la vie quotidienne, mais aussi au développement d'une offre de services nouvelle, venant aussi bien de l'État que des collectivités locales et de la sphère sociale, mais aussi du secteur privé ou associatif.
Reste encore à franchir le pas décisif, celui d'une identité numérique universel et obligatoire, qui aurait, comme en Estonie et dans d'autres pays, pu se révéler précieuse face à la crise.
Il faut être clair : pour la gestion d'une épidémie comme en général, il n'y a pas - et il n'y aura jamais - d'outils numériques efficaces sans utilisation des données, y compris personnelles. Progresser dans cette voie est un devoir.
2. La mauvaise excuse des dictatures
L'un des arguments les plus fréquemment évoqués à l'encontre du recours au numérique dans la lutte contre le Covid-19 est qu'il s'agirait de méthodes caractéristiques de régimes autoritaires et autres « dictatures numériques » que l'on trouve surtout en Asie. Cet argument, à la subtilité douteuse, appelle deux réponses.
Premièrement, c'est faux : les pays qui se sont appuyés sur des outils numériques puissants, souvent très intrusifs et obligatoires, sont dans leur majorité des pays démocratiques, avec des élections libres et un État de droit
Deuxièmement, tout ceci n'est pas le problème. Si une « dictature » sauve des vies pendant qu'une « démocratie » pleure ses morts, la bonne attitude n'est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s'interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs.
Or tout est affaire de proportionnalité : a-t-on les mêmes « valeurs absolues », universelles et non négociables, quand il s'agit de sauver 1 000 vies ou 100 000 vies ? Ou, face à une menace plus grave, un million, voire dix millions ? Nos « lignes rouges » ont déjà beaucoup évolué en un an.
Le pass sanitaire constitue, bien entendu, un outil précieux dans le cadre de la sortie de la crise actuelle. Les Français d'ailleurs ne s'y trompent plus : 60 % d'entre eux se déclarent désormais favorables au dispositif et prêts à s'y conformer121(*), afin de retrouver une « vie normale ».
Surtout, et quoi que cela ne soit pas évoqué par le Gouvernement, il s'agit d'un outil qui pourrait désormais être activé facilement à l'occasion d'une nouvelle crise sanitaire : c'est donc un grand progrès.
. UN COMPROMIS À ASSUMER : DES MESURES INTRUSIVES MAIS PLUS CIBLÉES ET LIMITÉES DANS LE TEMPS
Le présent rapport propose donc de recourir bien plus fortement aux outils numériques dans le cadre de la gestion des crises sanitaires ou des crises comparables (catastrophe naturelle, industrielle, etc.), notamment en vue de contrôler au niveau individuel le respect des mesures imposées par la situation, et y compris si cela implique d'exploiter des données de manière intrusive et dérogatoire.
❇️ Rapport
https://www.senat.fr/rap/r20-673/r20-6731.pdf
❇️ Synthèse du rapport (ou ils expliquent le « crisis data hub »)
https://www.senat.fr/rap/r20-673/r20-673-syn.pdf
☑️ Partie 1
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3. La coûteuse absence de l'identité numérique
Au-delà du strict domaine médical et sanitaire, où l'identifiant numérique de santé (INS) aurait pu, comme on l'a vu, se révéler précieux, c'est l'identité numérique en général qui aurait pu constituer un atout précieux pour la gestion de crise, entre autres bénéfices qui dépassent le cadre du présent rapport (cf. encadré).
Les enjeux de l'identité numérique
L'identité numérique est la clé de voûte de l'État-plateforme. Celle-ci permettrait à chacun d'accéder à l'ensemble des services publics au moyen d'un identifiant unique prouvant son identité de façon certaine et sécurisée. Elle ouvrirait la voie non seulement à l'allègement considérable des démarches de la vie quotidienne, mais aussi au développement d'une offre de services nouvelle, venant aussi bien de l'État que des collectivités locales et de la sphère sociale, mais aussi du secteur privé ou associatif.
Reste encore à franchir le pas décisif, celui d'une identité numérique universel et obligatoire, qui aurait, comme en Estonie et dans d'autres pays, pu se révéler précieuse face à la crise.
Il faut être clair : pour la gestion d'une épidémie comme en général, il n'y a pas - et il n'y aura jamais - d'outils numériques efficaces sans utilisation des données, y compris personnelles. Progresser dans cette voie est un devoir.
2. La mauvaise excuse des dictatures
L'un des arguments les plus fréquemment évoqués à l'encontre du recours au numérique dans la lutte contre le Covid-19 est qu'il s'agirait de méthodes caractéristiques de régimes autoritaires et autres « dictatures numériques » que l'on trouve surtout en Asie. Cet argument, à la subtilité douteuse, appelle deux réponses.
Premièrement, c'est faux : les pays qui se sont appuyés sur des outils numériques puissants, souvent très intrusifs et obligatoires, sont dans leur majorité des pays démocratiques, avec des élections libres et un État de droit
Deuxièmement, tout ceci n'est pas le problème. Si une « dictature » sauve des vies pendant qu'une « démocratie » pleure ses morts, la bonne attitude n'est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s'interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs.
Or tout est affaire de proportionnalité : a-t-on les mêmes « valeurs absolues », universelles et non négociables, quand il s'agit de sauver 1 000 vies ou 100 000 vies ? Ou, face à une menace plus grave, un million, voire dix millions ? Nos « lignes rouges » ont déjà beaucoup évolué en un an.
Le pass sanitaire constitue, bien entendu, un outil précieux dans le cadre de la sortie de la crise actuelle. Les Français d'ailleurs ne s'y trompent plus : 60 % d'entre eux se déclarent désormais favorables au dispositif et prêts à s'y conformer121(*), afin de retrouver une « vie normale ».
Surtout, et quoi que cela ne soit pas évoqué par le Gouvernement, il s'agit d'un outil qui pourrait désormais être activé facilement à l'occasion d'une nouvelle crise sanitaire : c'est donc un grand progrès.
. UN COMPROMIS À ASSUMER : DES MESURES INTRUSIVES MAIS PLUS CIBLÉES ET LIMITÉES DANS LE TEMPS
Le présent rapport propose donc de recourir bien plus fortement aux outils numériques dans le cadre de la gestion des crises sanitaires ou des crises comparables (catastrophe naturelle, industrielle, etc.), notamment en vue de contrôler au niveau individuel le respect des mesures imposées par la situation, et y compris si cela implique d'exploiter des données de manière intrusive et dérogatoire.
❇️ Rapport
https://www.senat.fr/rap/r20-673/r20-6731.pdf
❇️ Synthèse du rapport (ou ils expliquent le « crisis data hub »)
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Forwarded from En quête de vérité
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Cela fait un moment que je cherche....toutes ces histoires sur l'holocauste sont-elles réelles, pourquoi dès qu'on évoque une éventuelle manipulation de l'histoire les gens sont agressifs ? Qu'est-ce que cela cache ? Pourquoi et pour qui, si mensonge existe, existe t'il ?
https://t.me/+XBwVc1rnDu0zYjZk
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Forwarded from En quête de vérité
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Documentaire difficile à retrouver il est édifiant, il dévoile comment la population a été manipulée, trompée, comment l'histoire a été falsifiée et a quelle fin!
Attention âme sensible !
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Forwarded from Quoi2news 👀
La première journée de grève générale hier a coûté environs 1,5 milliards d’euros à la France.
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Forwarded from Youssef HINDI
La #grève ne pose aucun problème à un pouvoir dont la politique est la destruction économique. Au contraire, Macron/Rothschild pourra mettre sur le dos des grévistes l’effondrement économique de la France comme hier les non-vaccinés ont été désignés comme les boucs émissaires responsables de la diffusion du rhume-19.
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Forwarded from Opposition K
De plus en plus de gens se réveillent sur l'opposition contrôlée Didier Raoult.
Attendez, cela fait combien de temps déjà qu'on répète qu'il s'agit d'une opposition contrôlée ?
Posts passés sur Raoult en tant qu'opposition contrôlée :
https://t.me/oppositionKontrolee/756
- https://t.me/oppositionKontrolee/81
- https://t.me/oppositionKontrolee/66
- https://t.me/oppositionKontrolee/63
- https://t.me/oppositionKontrolee/16
Attendez, cela fait combien de temps déjà qu'on répète qu'il s'agit d'une opposition contrôlée ?
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