🧠 Quelle habitude mentale avez-vous développée pour rester focus sur vos objectifs ?
J'avais 22% de :
ON.L'A PAS VOLÉ.NOTRE RETRAITE:;??!! JE NE REGARDERAI PLUS.VOS.VIDEOS !!!!;::
MONIQUE DURANT
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MONIQUE DURANT
📌 Si vous pouviez organiser un événement entrepreneurial, quel en serait le thème ?
💻 Si vous pouviez améliorer un aspect de votre setup de travail, ce serait lequel ?
🚨 Le gouvernement bascule en mode full communisme : on fait les poches des micro-entrepreneurs !
À ce stade, on peut se demander si le gouvernement a un agenda secret pour éradiquer toute forme d’initiative individuelle.
Non contents d’avoir multiplié les hausses d’impôts, laminé le pouvoir d’achat et creusé la dette comme jamais, ils viennent de sortir une nouvelle idée géniale : abaisser le seuil de franchise de TVA pour les micro-entreprises.
En clair, des dizaines de milliers d’indépendants, artisans, freelances et commerçants vont être forcés de facturer la TVA. Une TVA qu’ils ne pourront ni récupérer ni éviter, et qui va les mettre face à un choix impossible : soit ils augmentent leurs prix de 21 %, au risque de perdre une bonne partie de leur clientèle, soit ils absorbent le choc et acceptent une perte nette de 21 % de leur chiffre d’affaires.
Dans un pays où les marges sont déjà ultra-serrées à cause des charges sociales délirantes et des impôts à répétition, cette mesure est une balle dans la tête pour des milliers de micro-entrepreneurs.
Une décision délirante
D’abord, il faut tordre le cou à cette idée absurde que la TVA est un impôt “neutre”.
Ceux qui répètent ce mantra vivent dans un monde abstrait, déconnecté de la réalité des petites entreprises.
La TVA est peut-être neutre pour une grande société qui vend à d’autres entreprises, lesquelles récupèrent la TVA en crédit d’impôt.
Mais pour un indépendant qui travaille avec des particuliers ou des petits clients non assujettis, c’est un impôt qui se traduit immédiatement par une baisse de revenus ou une perte de compétitivité.
Les secteurs les plus touchés seront évidemment ceux qui vendent en B2C.
Un coach sportif, un graphiste, un artisan, un restaurateur, un consultant : tous vont voir leurs tarifs exploser du jour au lendemain, sans que leurs clients aient plus d’argent pour payer.
S’ils ne répercutent pas cette hausse, c’est leur chiffre d’affaires qui s’effondre.
Ceux qui frôlent la rentabilité vont devoir trancher : soit augmenter leurs prix au risque de faire fuir leurs clients, soit encaisser la perte et rogner sur leurs marges déjà faibles.
Pour certains, ce sera un coup fatal. Les indépendants qui n’ont pas de trésorerie solide ou qui fonctionnent sur des modèles à faible marge risquent de disparaître purement et simplement. Et comme toujours, l’État aura l’air surpris de voir des faillites en cascade.
La grande constante : ne jamais baisser la dépense publique
Mais la vraie question, c’est pourquoi ? Pourquoi ce gouvernement continue d’accumuler les taxes et les contraintes administratives sur ceux qui créent de la richesse ? Parce que, comme toujours, il refuse catégoriquement de toucher à la dépense publique.
Chaque année, le budget explose. Chaque année, les déficits se creusent. Et chaque année, plutôt que de couper dans les dépenses inutiles, on invente de nouvelles ponctions fiscales.
Réduire les gaspillages ? Supprimer des agences inutiles ? Rationaliser le nombre de fonctionnaires ? Ce sont des options inenvisageables. À la place, on préfère s’attaquer aux petits indépendants, ceux qui n’ont ni les moyens de faire du lobbying ni la possibilité de s’exiler fiscalement.
🔥 La dérive communiste continue
Le message est clair : si tu veux entreprendre en France, prépare-toi à payer toujours plus. Gagne de l’argent, et l’État viendra te le prendre. Ce n’est plus seulement une question de fiscalité, c’est une philosophie politique : empêcher toute forme d’enrichissement qui ne passe pas par l’État.
On assiste à un nivellement par le bas. Plutôt que de créer un environnement économique favorable à l’entrepreneuriat, on alourdit encore la machine bureaucratique et fiscale pour punir ceux qui essaient de s’en sortir.
C’est le coup de grâce pour des milliers de micro-entrepreneurs, mais c’est aussi un signal. La France ne veut pas de ses créateurs de valeur.
Alors beaucoup feront ce que font déjà les meilleurs : partir, optimiser, ou fuir ce délire avant qu’il ne soit trop tard.
À ce stade, on peut se demander si le gouvernement a un agenda secret pour éradiquer toute forme d’initiative individuelle.
Non contents d’avoir multiplié les hausses d’impôts, laminé le pouvoir d’achat et creusé la dette comme jamais, ils viennent de sortir une nouvelle idée géniale : abaisser le seuil de franchise de TVA pour les micro-entreprises.
En clair, des dizaines de milliers d’indépendants, artisans, freelances et commerçants vont être forcés de facturer la TVA. Une TVA qu’ils ne pourront ni récupérer ni éviter, et qui va les mettre face à un choix impossible : soit ils augmentent leurs prix de 21 %, au risque de perdre une bonne partie de leur clientèle, soit ils absorbent le choc et acceptent une perte nette de 21 % de leur chiffre d’affaires.
Dans un pays où les marges sont déjà ultra-serrées à cause des charges sociales délirantes et des impôts à répétition, cette mesure est une balle dans la tête pour des milliers de micro-entrepreneurs.
Une décision délirante
D’abord, il faut tordre le cou à cette idée absurde que la TVA est un impôt “neutre”.
Ceux qui répètent ce mantra vivent dans un monde abstrait, déconnecté de la réalité des petites entreprises.
La TVA est peut-être neutre pour une grande société qui vend à d’autres entreprises, lesquelles récupèrent la TVA en crédit d’impôt.
Mais pour un indépendant qui travaille avec des particuliers ou des petits clients non assujettis, c’est un impôt qui se traduit immédiatement par une baisse de revenus ou une perte de compétitivité.
Les secteurs les plus touchés seront évidemment ceux qui vendent en B2C.
Un coach sportif, un graphiste, un artisan, un restaurateur, un consultant : tous vont voir leurs tarifs exploser du jour au lendemain, sans que leurs clients aient plus d’argent pour payer.
S’ils ne répercutent pas cette hausse, c’est leur chiffre d’affaires qui s’effondre.
Ceux qui frôlent la rentabilité vont devoir trancher : soit augmenter leurs prix au risque de faire fuir leurs clients, soit encaisser la perte et rogner sur leurs marges déjà faibles.
Pour certains, ce sera un coup fatal. Les indépendants qui n’ont pas de trésorerie solide ou qui fonctionnent sur des modèles à faible marge risquent de disparaître purement et simplement. Et comme toujours, l’État aura l’air surpris de voir des faillites en cascade.
La grande constante : ne jamais baisser la dépense publique
Mais la vraie question, c’est pourquoi ? Pourquoi ce gouvernement continue d’accumuler les taxes et les contraintes administratives sur ceux qui créent de la richesse ? Parce que, comme toujours, il refuse catégoriquement de toucher à la dépense publique.
Chaque année, le budget explose. Chaque année, les déficits se creusent. Et chaque année, plutôt que de couper dans les dépenses inutiles, on invente de nouvelles ponctions fiscales.
Réduire les gaspillages ? Supprimer des agences inutiles ? Rationaliser le nombre de fonctionnaires ? Ce sont des options inenvisageables. À la place, on préfère s’attaquer aux petits indépendants, ceux qui n’ont ni les moyens de faire du lobbying ni la possibilité de s’exiler fiscalement.
🔥 La dérive communiste continue
Le message est clair : si tu veux entreprendre en France, prépare-toi à payer toujours plus. Gagne de l’argent, et l’État viendra te le prendre. Ce n’est plus seulement une question de fiscalité, c’est une philosophie politique : empêcher toute forme d’enrichissement qui ne passe pas par l’État.
On assiste à un nivellement par le bas. Plutôt que de créer un environnement économique favorable à l’entrepreneuriat, on alourdit encore la machine bureaucratique et fiscale pour punir ceux qui essaient de s’en sortir.
C’est le coup de grâce pour des milliers de micro-entrepreneurs, mais c’est aussi un signal. La France ne veut pas de ses créateurs de valeur.
Alors beaucoup feront ce que font déjà les meilleurs : partir, optimiser, ou fuir ce délire avant qu’il ne soit trop tard.
📚 Quel livre recommanderiez-vous à quelqu’un qui veut lancer un business ?