Marion Maréchal
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Député français au Parlement européen | Présidente Identité-Libertés www.identite-libertes.fr | Co-fondatrice de l’ISSEP
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Je suis l’invitée de Laurence Ferrari demain matin à 8h15 dans #LaMatinale sur CNEWS.
Au programme : confinement, vaccination et loi « séparatisme ».
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« On ne peut pas mettre la société sous cloche éternellement. À un moment, il faut accepter de revivre, de sortir des restrictions moyennant des jauges et des précautions. »

J’étais l’invitée de Laurence Ferrari ce matin dans #LaMatinale de CNEWS.
Retrouvez mon passage en intégralité : https://youtu.be/XB4qv0uuH_c
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« Nous sommes dans une situation inextricable parce que c’est aussi le résultat d’une politique migratoire totalement erratique qui fait qu’aujourd’hui des professeurs se retrouvent devant des classes qui sont majoritairement d’origine immigrée et musulmane. »
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« Le projet de loi contre le "séparatisme" prétend lutter contre l’islamisme mais ne le nomme pas, le gouvernement évite les sujets qui fâchent et préfère la facilité. »

Le CAP de l’ISSEP a analysé ce projet de loi pour vous 👉 https://cap.issep.fr/notes-dactualite/projet-de-loi-confortant-le-respect-des-principes-de-la-republique-quels-mecanismes-et-quelles-ruptures/

Mon passage en intégralité 👉 https://youtu.be/XB4qv0uuH_c
Cette proposition du revenu universel revient régulièrement dans la débat par la voix d’hommes et femmes politiques de droite comme de gauche. Cette note du Centre d’Analyse et de Prospective (CAP) de l’ISSEP : Institut des Sciences Sociales Economiques et Politiques vous explique pourquoi il s’agit d’une fausse bonne idée. Ce revenu universel constituerait une dangereuse révolution anthropologique dont les effets sont détaillés ici. ⬇️

https://t.co/Yg4UzUm7Tb
Nous apprenons que Gerald Darmanin a décidé de dissoudre le mouvement Génération identitaire et ainsi leur interdire toute activité.
Pour rappel, ce mouvement rassemble des jeunes dont le but est d’alerter l’opinion et les pouvoirs publics sur les dangers de l’immigration incontrôlée, de l’insécurité et de l’islamisme. Pour cela, ils organisent des actions médiatiques dites d’ « agitprop » non violentes et légales.
À chaque action, comme celle par exemple de « Defend Europe » dans les Alpes, les responsables ont été poursuivis et chaque fois relaxés car aucun élément ne permettait de les condamner.

La ficelle est grosse: la gauche accusant le ministre de l’intérieur d’ « islamophobie » en raison de son projet de loi contre le séparatisme, ce dernier se sent certainement obligé de donner des gages. Il ferait mieux de mettre son énergie à identifier et combattre les individus et les trop nombreuses associations et mosquées islamistes continuant leur œuvre de subversion. Là est la vraie menace.

Je vous invite donc à dénoncer cet acte de censure politique qui porte gravement atteinte à la liberté d’expression et à la liberté d’association. Signez leur pétition!
Il reste dix jours pour réagir.

Je partage ici le message de leur page Télégram ⬇️

Le gouvernement lance la procédure de dissolution de Génération Identitaire

Ce vendredi 12 février, 4 policiers ont officiellement notifié au président de Génération Identitaire l’intention du gouvernement d’engager la dissolution de notre association.

Cette annonce scandaleuse ne repose sur aucun fait sérieux. Il nous est d’abord reproché de former une « milice privée ». Le ministre de l’Intérieur critique ainsi notre action « Defend Europe » dans les Alpes, alors même que nous avons été intégralement relaxés, et celle dans les Pyrénées qui n’a provoqué « aucun trouble à l’ordre public » selon le préfet de Région.

Gérald Darmanin nous accuse également « d’inciter à la haine », concept flou qui ne vise qu’à criminaliser toute opposition à l’invasion migratoire et pour lequel nous n’avons jamais été condamnés.

Nous allons bien entendu utiliser toutes les voies légales pour invalider cette décision inique qui bafoue nos libertés élémentaires.

Vous pouvez compter sur nous. On ne lâchera rien et on se battra jusqu’au bout.

Plus que jamais, nous avons besoin de vous.

Aidez-nous en signant maintenant cette pétition et en la diffusant au maximum autour de vous !
http://www.france-petitions.com/signatures/add/664?key=f03dd5a78f7ec6162fe12e260f87ad5f59147a34&fields=aebc488fae074d40364fe31a619dea3a14543ddc%253A
Il faut être vigilant à ce qui se déroule actuellement aux Etats-Unis car nous assistons déjà à l’émergence de ces dérives racistes et liberticides en France.

L’élection de Joe Biden va encore accélérer ici l’importation de cette idéologie dite «  progressiste » avec son lot de censures, de mises à mort sociale, de statues déboulonnées, de rues débaptisées, d’idées criminalisées et de pans d’histoire effacés.

Extraits choisis de l’article ci-dessous :

[...] certains signes font sursauter. Par exemple, lorsque le nouveau président américain, Joe Biden, suggère, à l’occasion de son discours d’investiture, qu’il existe une seule « vérité », il faut comprendre le « progressisme », et que ceux qui sont contre sont aussi les ennemis de l’Amérique, le message a de forts relents d’idéologie. [...]

Parmi les mesures qui rappellent les purges soviétiques figurent celles prises par plusieurs universités américaines. Harvard refuse les étudiants asiatiques et privilégie les afro-américains. L’Université de Chicago introduit des cours obligatoires de « culture noire ». Même les écoles s’y mettent. À San Francisco, pas moins de 44 écoles ont changé de nom. Fin janvier, le San Francisco Unified School District (SFUSD) a décidé ce chambardement pour obéir à des critères « progressistes et antiracistes » [...] représentée, le concours a été supprimé. L’admission se fait désormais selon des critères raciaux. [...]

Les noms de rues et même d’universités sont remplacés par d’autres noms qui ne « portent pas atteinte à la dignité des minorités ». [...]

Le célèbre The New York Times vient de proposer à l’administration Biden de mettre sur pied une « agence » ou un « groupe de travail centralisé » pour lutter, en collaboration avec les grands réseaux sociaux, contre la « désinformation » et « l’extrémisme », c’est-à-dire contre tout ce qui n’est pas conforme à la propagande officielle. Avec à sa tête un « reality czar », il s’agirait de contrôler l’information et les idées « subversives », de décider de ce qui est correct et de ce qui ne l’est pas. [...]

➡️ https://www.causeur.fr/joe-biden-realisme-socialiste-realisme-progressiste-191563?fbclid=IwAR10eFjcUH0nDxiXkWHs-hNzQRMIGCU-Ne5cuZp0RZ0jjp1dUQ9ScK3QVTM
Suite à mon message de soutien à Génération Identitaire, Facebook a supprimé ma publication et bloqué ma page. Je ne peux donc plus publier quoique ce soit sur ma page pendant un certain temps. Les GAFAM sont dans une démarche de censure idéologique et politique en dehors de tout cadre légal ou judiciaire. Après ce qui s’est passé aux États-Unis, il est certain que ces plateformes vont limiter de plus en plus fortement en France la diffusion de certaines idées pour influencer les prochaines élections.
Cherchons dès à présent des alternatives, partagez ma chaîne Telegram ➡️ t.me/MarionMarechal
Extraits choisis de l’entretien de P-A Taguieff dans Marianne sur l’omniprésence des idéologies “islamo-gauchistes” à l’Université. ⬇️

Plutôt discrète sur la gestion de la crise sanitaire, Frédérique Vidal ( ministre de l’Enseignement supérieur) s'est offert un moment d'exposition médiatique en dénonçant la montée de l'« islamo-gauchisme » à l'université. En proposant, le 16 février, de confier au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) une enquête sur « l'ensemble des recherches » qui se déroulent en France, la ministre de l'enseignement supérieure s'est attiré les foudres d'une partie du monde universitaire. Au premier rang desquels le CNRS lui-même, assurant dans un communiqué que, « s'il pourra participer à la production de l’étude », l'islamo-gauchisme « ne correspond à aucune réalité scientifique. »
[...]
Mais le P.-D.G. du CNRS, Antoine Petit, protecteur des études postcoloniales et défenseur de la « théorie critique de la race », paraît fort mal placé pour favoriser une telle enquête et en garantir l’impartialité. Rappelons les positions qu’il a prises en novembre 2019 dans l’avant-propos qu’il a rédigé, en écriture inclusive, pour un méchant ouvrage collectif rassemblant des auteurs postcoloniaux et décoloniaux : « La “race” devient la nouvelle grille de lecture du monde sur laquelle s’intègre la grille du genre, et qui s’articule à la hiérarchie homme/femme (…). Dans une société non métissée, le social et le genre dominent, mais dans l’espace interracial, le social s’efface derrière le racial. »
[...]
Fournir des informations vérifiées sur l’occupation du terrain universitaire par des activistes ayant obtenu des titres ou des postes grâce à une discrimination positive dissimulée (favorisant les « minorités ») avec l’aide de réseaux militants actifs (dont les membres interviennent systématiquement dans les jurys de thèses des candidats affidés) et sur certaines pratiques relevant de l’esprit de censure et de la violation des libertés académiques (par l’exclusion et la criminalisation des contradicteurs, en tant que « dominants », « racisants » ou « mâles blancs hétéros »), c’est le premier pas dans une nécessaire contre-offensive intellectuelle.
Je
Dans l’enseignement supérieur, trop de laboratoires ou d’UMR sont sous l’emprise de diverses mouvances de la gauche radicale converties au décolonialisme et à l’indigénisme, qui font passer subrepticement dans les matières enseignées et les sujets de recherche des thèmes empruntés à la propagande et à l’endoctrinement islamistes, à commencer par celui de « l’islamophobie d’État », couplé avec la dénonciation litanique du « racisme systémique », formule magique mais concept vide sur lequel s’appuie la littérature pseudo-sociologique sur les « discriminations systémiques ».
[...]
Parallèlement, la CPU a perdu sa lucidité, comme en témoigne son communiqué stupéfiant publié le 16 février, « “Islamo-gauchisme” : stopper la confusion et les polémiques stériles », qui constitue un singulier mélange de corporatisme aveugle, de mauvaise foi dans le déni, d’ignorance volontaire et d’arrogance. Il met en œuvre la stratégie des yeux grands fermés, celle qui consiste à mettre la poussière sous le tapis. [...]

https://www.marianne.net/societe/entretien-avec-pierre-andre-taguieff-premiere-partie-quest-ce-que-lislamo-gauchisme?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1613754195&fbclid=IwAR2QiiL8rl3rvVRdez0U-6A4oec7lIyafwRBnXBL5E5TnJxx5Sekm4eJ0_g#xtor=CS2-4
Un texte d’actualité! J-F Revel y dénonçait déjà la volonté de féminiser les mots au prétexte de rendre la langue plus “inclusive”. La langue française ne devrait en aucun cas être l’otage d’une idéologie. Manipuler la langue est bien le propre des idéologies totalitaires.

LE SEXE DES MOTS
Jean-François Revel commente la féminisation des mots :

Byzance tomba aux mains des Turcs tout en discutant du sexe des anges.
Le français achèvera de se décomposer dans l’illettrisme pendant que nous discuterons du sexe des mots.
La querelle actuelle découle de ce fait très simple qu’il n’existe pas en français de genre neutre comme en possèdent le grec, le latin et l’allemand. D’où ce résultat que, chez nous, quantité de noms, de fonctions, métiers et titres, sémantiquement neutres, sont grammaticalement féminins ou masculins. Leur genre n’a rien à voir avec le sexe de la personne qu’ils concernent, laquelle peut être un homme.
Homme, d’ailleurs, s’emploie tantôt en valeur neutre, quand il signifie l’espèce humaine, tantôt en valeur masculine quand il désigne le mâle. Confondre les deux relève d’une incompétence qui condamne à l’embrouillamini sur la féminisation du vocabulaire. Un humain de sexe masculin peut fort bien être une recrue, une vedette, une canaille, une fripouille ou une andouille.
De sexe féminin, il lui arrive d’être un mannequin, un tyran ou un génie. Le respect de la personne humaine est-il réservé aux femmes, et celui des droits de l’homme aux hommes ?
Absurde!
Ces féminins et masculins sont purement grammaticaux, nullement sexuels.
Certains mots sont précédés d’articles féminins ou masculins sans que ces genres impliquent que les qualités, charges ou talents correspondants appartiennent à un sexe plutôt qu’à l’autre. On dit: «Madame de Sévigné est un grand écrivain» et «Rémy de Goumont est une plume brillante». On dit le garde des Sceaux, même quand c’est une femme, et la sentinelle, qui est presque toujours un homme.
Tous ces termes sont, je le répète, sémantiquement neutres. Accoler à un substantif un article d’un genre opposé au sien ne le fait pas changer de sexe. Ce n’est qu’une banale faute d’accord.
Certains substantifs se féminisent tout naturellement: une pianiste, avocate, chanteuse, directrice, actrice, papesse, doctoresse. Mais une dame ministresse, proviseuse, médecine, gardienne des Sceaux, officière ou commandeuse de la Légion d’Honneur contrevient soit à la clarté, soit à l’esthétique, sans que remarquer cet inconvénient puisse être imputé à l’antiféminisme. Un ambassadeur est un ambassadeur, même quand c’est une femme. Il est aussi une excellence, même quand c’est un homme. L’usage est le maître suprême.

Une langue bouge de par le mariage de la logique et du tâtonnement, qu’accompagne en sourdine une mélodie originale. Le tout est fruit de la lenteur des siècles, non de l’opportunisme des politiques. L’Etat n’a aucune légitimité pour décider du vocabulaire et de la grammaire. Il tombe en outre dans l’abus de pouvoir quand il utilise l’école publique pour imposer ses oukases langagiers à toute une jeunesse.
J’ai entendu objecter: «Vaugelas, au XVIIe siècle, n’a-t-il pas édicté des normes dans ses remarques sur la langue française ?». Certes. Mais Vaugelas n’était pas ministre. Ce n’était qu’un auteur, dont chacun était libre de suivre ou non les avis. Il n’avait pas les moyens d’imposer ses lubies aux enfants. Il n’était pas Richelieu, lequel n’a jamais tranché personnellement de questions de langues.
Si notre gouvernement veut servir le français, il ferait mieux de veiller d’abord à ce qu’on l’enseigne en classe, ensuite à ce que l’audiovisuel public, placé sous sa coupe, n’accumule pas à longueur de soirées les faux sens, solécismes, impropriétés, barbarismes et cuirs qui, pénétrant dans le crâne des gosses, achèvent de rendre impossible la tâche des enseignants. La société française a progressé vers l’égalité des sexes dans tous les métiers, sauf le métier politique. Les coupables de cette honte croient s’amnistier (ils en ont l’habitude) en torturant la grammaire.
Ils ont trouvé le sésame démagogique de cette opération magique: faire avancer le féminin faute d’avoir fait avancer les femmes.

https://chezrevel.net/le-sexe-des-mots/
Je partage avec vous la suite de cet entretien car je crois ce sujet fondamental! Vous pensez mettre vos enfants à l’Université pour qu’ils reçoivent des savoirs et acquièrent des compétences? Eh bien sachez que le plus souvent, en particulier dans les filières de sciences sociales, ils seront abreuvés de théories de type décolonialisme, neo-féminisme, cancel culture, théorie du genre etc.
Et ils n’auront pas les moyens de s’y opposer car un véritable terrorisme intellectuel sévit, porté par des syndicats étudiants d’extrême gauche avec la complicité d’enseignants militants. Le tout étant permis par la soumission voire le soutien de la direction de l’université.

Extraits choisis de la deuxième partie de l’entretien de P-A Taguieff dans Marianne sur « l’islamo-gauchisme » à l’université ⬇️

Dans les milieux universitaires, depuis le milieu des années 2000, un certain nombre d’enseignants relaient les thèmes et les thèses des Indigènes de la République, tels Olivier Le Cour Grandmaison (université Paris-Saclay) ou Nacira Guénif-Souilamas (Paris 8). [...]

Le terrorisme intellectuel exercé dans certaines universités par les milieux décoloniaux peut être illustré par l’affaire Dorin. Le sociologue Stéphane Dorin, enseignant-chercheur à l’université de Limoges et membre du Gresco (laboratoire de recherches sociologiques), a été exclu le 30 novembre 2018 de son laboratoire pour s’être élevé contre la tenue, dans son université, d’un « séminaire d’études décoloniales » où la porte-parole du Parti des Indigènes de la République, Houria Bouteldja, devait être l’invitée-vedette. [...]

Il y a ensuite l’ensemble des « Studies » à l’américaine (« Gender Studies », « Queer Studies », « Postcolonial Studies », « Cultural Studies », etc.), qui sont le plus souvent des modes d’institutionnalisation de courants idéologiques d’extrême gauche ralliés au décolonialisme, dont le projet est de « décoloniser » les sciences sociales, c’est-à-dire, en clair, de les détruire. L’objectif final est de désoccidentaliser le savoir, comme si c’était là l’unique voie de la libération ou de l’émancipation. [...]

https://www.marianne.net/societe/entretien-avec-pierre-andre-taguieff-deuxieme-partie-la-posture-islamo-gauchiste-a-luniversite
Ceci n’est pas une farce ⬇️

[...] Dorénavant, dans certains hôpitaux anglais, les sages-femmes devront éviter d’utiliser les termes « lait maternel », « mère », ou « père » devant les personnes transgenres pour ne pas les blesser.

[...]Dans un document instaurant les nouvelles règles linguistiques, ces hôpitaux universitaires estiment « qu'il existe actuellement un essentialisme biologique et une transphobie dans les récits et les discours traditionnels portant sur la naissance. »

[...] Pour la Cour supérieure du Québec, le fait que trois articles du Code civil identifient le parent d’un enfant comme son « père » ou sa « mère » « violent la dignité et le droit à l’égalité » de ce parent si celui-ci se sent non binaire.

[...]De plus, il exige que l’état civil ne se limite pas aux catégories « homme » et « femme », et propose une autre option…

https://www.marianne.net/monde/europe/pere-mere-ces-mots-juges-discriminatoires-du-royaume-uni-au-quebec
Le récent article de Marianne sur l’interdiction d’utiliser les mots de « père » et « mère » dans certaines situations au Royaume-Uni et au Québec m’a inspiré le texte suivant.
J’y parle des dommages collatéraux causés par la diffusion de la théorie du genre et explique pourquoi la notion d’« identité de genre » doit être refusée.

Vous pouvez lire ma réaction complète ici ⬇️

https://lincorrect.org/proxy.php?articleID=147961
😱 A Sciences Po, l’école des futures « élites », plusieurs étudiants attestent, preuves à l’appui, qu’ils ont effectivement été poussés à utiliser l’écriture inclusive dans un partiel de sociologie. Ils se voyaient accorder plus de points si ils acceptaient de massacrer la langue française pour répondre aux lubies idéologiques de l’enseignant.

Quand le gouvernement compte-t-il demander des comptes à la direction de cet établissement significativement financé par l’argent public? ⬇️

https://etudiant.lefigaro.fr/article/a-sciences-po-paris-des-points-bonus-accordes-pour-l-utilisation-de-l-ecriture-inclusive_70f90efe-777e-11eb-930c-df8a7d3f696f/
Et demain ces lycéens voteront.

Extraits choisis de l’article:

Plus d'un lycéen sur deux (52 %) se dit ainsi favorable au port de signes religieux ostensibles dans les lycées publics, soit deux fois plus que dans l'ensemble de la population (25 %). 49 % ne voient pas d'inconvénient à ce que les agents publics affichent leurs convictions religieuses. Et 38 % sont favorables à ce qu'une loi autorise les élèves à porter un « burkini » (une proportion qui atteint 63 % chez les seuls élèves scolarisés en REP, et 76 % chez les lycéens se déclarant musulmans).
[...]

la question du « droit au blasphème » clive une opinion lycéenne qui se dit désormais majoritairement opposée au « droit de critiquer une croyance, un symbole ou un dogme religieux ». 52 % des élèves du secondaire n'y sont pas favorables… Mais la population lycéenne elle-même est divisée : si les jeunes musulmans s'opposent à 78 % au droit d'outrager une religion, de même que 65 % des personnes perçues comme « non blanches » et 60 % des jeunes vivant dans des zones d'éducation prioritaire, ce n'est le cas que de 45 % des catholiques et de 47 % des élèves se définissant « sans religion ».
[...]

Ainsi 10 % des lycéens n'expriment pas de condamnation ou sont indifférents aujourd'hui à l'égard des auteurs des attentats de 2015… Contre 4 % des jeunes de 15 à 17 ans auxquels la même question avait été posée en 2016.
[...]

les lois visant à encadrer l'application de la laïcité en France sont perçues par plus d'un lycéen sur trois (37 %) comme discriminatoires à l'égard des musulmans (opinion partagée par 81 % des élèves musulmans, et par 55 % de ceux vivant en zone d'éducation prioritaire.)

https://www.lepoint.fr/education/sondage-les-lyceens-rejettent-majoritairement-la-laicite-a-la-francaise-03-03-2021-2416143_3584.php?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1614751650#xtor=CS1-32-%5BEchobox%5D