Rodolphe Steffan - Interactiv Trading
On me demande quel reste mon plus gros bag en gestion active > XRP de loin de mémoire.
Il me semble qu’il serait temps de se réveiller chef 🧑🍳
Sois là ce soir 20H00 : twitch.tv/xavierfenaux
🔥 LIVE de l’été 🙏
Pas une pause pour souffler, mais pour faire ce que la plupart zappent totalement.
Bilan cash des 6 derniers mois, plan d’attaque pour les 6 prochains, et une annonce exclusive.
🎯 Clair, concret, sans blabla !
🔥 LIVE de l’été 🙏
Pas une pause pour souffler, mais pour faire ce que la plupart zappent totalement.
Bilan cash des 6 derniers mois, plan d’attaque pour les 6 prochains, et une annonce exclusive.
🎯 Clair, concret, sans blabla !
“Bienvenue sur le marché américain, voici la facture.”
D’ici quelques jours, une petite dizaine de pays recevront une lettre. Pas une invitation, non. Un avertissement avec le tampon officiel de l’oncle Sam : si tu veux vendre chez nous, tu vas devoir passer à la caisse.
Les droits de douane ? Entre 10 % et 70 %, selon l’humeur du patron. Pas de cadeau. La trêve de 90 jours pour négocier touche à sa fin, et clairement, y’a pas eu foule au portillon pour trouver un accord. Certains ont cru malin de jouer la montre, pensant que Washington allait mollir. Mauvais pari.
Trump, lui, reste droit dans ses bottes. Aucun signe de recul. Et les chiffres lui donnent des cartouches : 24,2 milliards de recettes douanières en mai. Quatre fois plus que l’an dernier. La machine à cash est lancée, et les pays trop excédentaires pourraient bien se retrouver taxés comme le Vietnam, déjà à 20 %.
Économiquement, les voyants sont encore au vert : emploi stable, inflation sage. Mais la fête pourrait être de courte durée. Powell (Fed) ne bougera pas avant l’été, le temps de voir si cette offensive tarifaire ne finit pas par grignoter les marges et faire monter la pression sur les prix.
Et après ? Rien n’indique que ces taxes s’accompagnent d’autre chose. L’accord avec le Vietnam donne une idée : “tu veux accéder à notre marché ? Paie.” Point.
Mais dès qu’on parle avec les poids lourds du commerce mondial, ça se complique. Derrière les sourires, ce sont les normes, les règles, les fiscalités qui bloquent. Les fameuses lettres de Trump ? Un mélange de brouillard diplomatique et de logique simple : l’Amérique, c’est le club VIP. Et l’entrée est payante.
D’ici quelques jours, une petite dizaine de pays recevront une lettre. Pas une invitation, non. Un avertissement avec le tampon officiel de l’oncle Sam : si tu veux vendre chez nous, tu vas devoir passer à la caisse.
Les droits de douane ? Entre 10 % et 70 %, selon l’humeur du patron. Pas de cadeau. La trêve de 90 jours pour négocier touche à sa fin, et clairement, y’a pas eu foule au portillon pour trouver un accord. Certains ont cru malin de jouer la montre, pensant que Washington allait mollir. Mauvais pari.
Trump, lui, reste droit dans ses bottes. Aucun signe de recul. Et les chiffres lui donnent des cartouches : 24,2 milliards de recettes douanières en mai. Quatre fois plus que l’an dernier. La machine à cash est lancée, et les pays trop excédentaires pourraient bien se retrouver taxés comme le Vietnam, déjà à 20 %.
Économiquement, les voyants sont encore au vert : emploi stable, inflation sage. Mais la fête pourrait être de courte durée. Powell (Fed) ne bougera pas avant l’été, le temps de voir si cette offensive tarifaire ne finit pas par grignoter les marges et faire monter la pression sur les prix.
Et après ? Rien n’indique que ces taxes s’accompagnent d’autre chose. L’accord avec le Vietnam donne une idée : “tu veux accéder à notre marché ? Paie.” Point.
Mais dès qu’on parle avec les poids lourds du commerce mondial, ça se complique. Derrière les sourires, ce sont les normes, les règles, les fiscalités qui bloquent. Les fameuses lettres de Trump ? Un mélange de brouillard diplomatique et de logique simple : l’Amérique, c’est le club VIP. Et l’entrée est payante.
On va bientôt commencer à alléger quelques actions européennes sans précipitation car tout reste très bien orienté.
Mais il y a quelques petits arbitrage à effectuer sur #IVT ✅
Mais il y a quelques petits arbitrage à effectuer sur #IVT ✅
Je vais le redire une énième fois, pour ceux du fond qui n’écoutent toujours pas :
Celui qui attend sa zone, avec rigueur et méthode — en se posant les bonnes questions : quand, pourquoi, où et comment entrer — celui-là, sur le long terme, il gagne. Presque à chaque fois.
À l’inverse, celui qui achète au milieu du désert, entre deux zones, parce que “ça a baissé un peu” ou “ça a l’air pas mal”, comme ceux qui ont pris du LVMH à 800, 700, 600 sans jamais viser les vrais niveaux autour de 400 ou 500… eh bien c’est simple : il perd. Automatiquement.
Je vous le répète H24, 7/7, jour et nuit : le marché récompense la patience, la discipline, pas l’impatience déguisée en courage.
Merci.
Rod
Celui qui attend sa zone, avec rigueur et méthode — en se posant les bonnes questions : quand, pourquoi, où et comment entrer — celui-là, sur le long terme, il gagne. Presque à chaque fois.
À l’inverse, celui qui achète au milieu du désert, entre deux zones, parce que “ça a baissé un peu” ou “ça a l’air pas mal”, comme ceux qui ont pris du LVMH à 800, 700, 600 sans jamais viser les vrais niveaux autour de 400 ou 500… eh bien c’est simple : il perd. Automatiquement.
Je vous le répète H24, 7/7, jour et nuit : le marché récompense la patience, la discipline, pas l’impatience déguisée en courage.
Merci.
Rod
Investissement vs Trading : le faux débat
On va remettre une dernière
fois les choses à leur place. Non, je n’ai rien contre l’investissement programmé, ni le
DCA, ou tout autre acronyme qui fait sérieux sur un graphique ennuyeux. Ce que je critique, c’est qu’on oppose systématiquement investissement et trading comme si c’était deux camps ennemis.
À mes yeux, il y a autant – et parfois même plus – de risques dans un investissement passif mal compris que dans un trading actif bien maîtrisé. La vraie question, ce n’est pas “faut-il investir ou trader ?”, mais plutôt : qu’est-ce que tu fais concrètement pour comprendre et gérer ton risque ?
Je le répète souvent : le trading peut permettre d’investir mieux. Mieux, ça veut dire avec plus de timing, plus de cohérence, et parfois moins de naïveté. Comme en médecine : chaque stratégie a son bénéfice-risque. Le problème, c’est que beaucoup prennent le traitement sans lire la notice. Et après, ça tombe de haut.
Mon job, ce n’est pas de vous dire quoi faire, c’est de poser les bonnes cartes sur la table. Je vous montre les zones de risque. À vous d’en faire quelque chose. L’autonomie, ce n’est pas juste un mot-clé dans une brochure, c’est une méthode. Et la logique, ça se travaille.
Arrêtez de suivre les modes. Réfléchissez. Quel risque êtes-vous prêt à prendre ? C’est à partir de là – et de là seulement – que vous pouvez bâtir une vraie stratégie cohérente, qu’elle soit passive, active ou hybride !
On va remettre une dernière
fois les choses à leur place. Non, je n’ai rien contre l’investissement programmé, ni le
DCA, ou tout autre acronyme qui fait sérieux sur un graphique ennuyeux. Ce que je critique, c’est qu’on oppose systématiquement investissement et trading comme si c’était deux camps ennemis.
À mes yeux, il y a autant – et parfois même plus – de risques dans un investissement passif mal compris que dans un trading actif bien maîtrisé. La vraie question, ce n’est pas “faut-il investir ou trader ?”, mais plutôt : qu’est-ce que tu fais concrètement pour comprendre et gérer ton risque ?
Je le répète souvent : le trading peut permettre d’investir mieux. Mieux, ça veut dire avec plus de timing, plus de cohérence, et parfois moins de naïveté. Comme en médecine : chaque stratégie a son bénéfice-risque. Le problème, c’est que beaucoup prennent le traitement sans lire la notice. Et après, ça tombe de haut.
Mon job, ce n’est pas de vous dire quoi faire, c’est de poser les bonnes cartes sur la table. Je vous montre les zones de risque. À vous d’en faire quelque chose. L’autonomie, ce n’est pas juste un mot-clé dans une brochure, c’est une méthode. Et la logique, ça se travaille.
Arrêtez de suivre les modes. Réfléchissez. Quel risque êtes-vous prêt à prendre ? C’est à partir de là – et de là seulement – que vous pouvez bâtir une vraie stratégie cohérente, qu’elle soit passive, active ou hybride !
Rodolphe Steffan - Interactiv Trading
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