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Pensée n°20. Pourquoi nous ne sommes plus dans un Etat de Droit

La notion d’Etat de Droit répond à un certain nombre de critères et à une évaluation relative de chacun de ces critères. Par exemple, l’instruction publique fait partie des critères, mais l’existence de celle-ci ne suffit pas, elle doit être à un niveau minimal.
Voici quels critères par lesquels on peut considérer que la République française n’est plus un Etat de Droit, et pour lesquels ce pays est en fâcheuse situation (on peut se reporter à la rubrique Soviétisation, qui dit des choses complémentaires) :
1. La disparition du respect de la vie et l’encouragement au meurtre industriel.
2. L’encouragement à l’invasion étrangère, notamment via budgets d’État et lois, la pénalisation de l’opposition nationale, les dissolutions d’associations nationales etc. L’interdiction faite à la population souveraine d’empêcher ou même simplement d’informer au sujet de l’invasion étrangère, ou même se signifier aux envahisseurs qu’ils ne sont pas les bienvenus de manière absolument pacifique.
3. La disparition de la souveraineté nationale, la subrogation des pouvoirs et des institutions au profit de puissances étrangères, nationales ou apatrides.
4. La destruction des ressources individuelles et du travail.
5. L’asservissement de la population par l’impôt. L’excès record mondial d’icelui.
6. La diffusion de fausses nouvelles et de propagande idéologique du fait des médias subventionnés. Les mensonges d’État généralisés1.
7. La destruction progressive de la Justice2.
8. La destruction progressive de la santé.
9. La destruction progressive de l’instruction.
10. La destruction progressive du noyau familial.
11. L’abolition progressive des libertés.
12. Les violences d’État3.
13. La promotion de la licence, de l’inversion, la haine des traditions et des usages coutumiers.
14. La persécution religieuse.
15. La destruction du patrimoine.
16. La captation de la chose publique par des intérêts privés4.
17. L’endettement national entretenu à des fins d’asservissement des populations.
18. La censure institutionnelle ou idéologique5.
19. La destruction brutale de la sécurité et de la sûreté. L’insécurité favorisée ou entretenue. 60 % de femmes de moins de 25 ans victimes d’agressions ou de harcèlements donnant lieu à plaintes. 2400 condamnations annuelles pour meurtre.
20. La négation du statut constitutionnel du citoyen par les agents de l’État, l’arrogance, les injures faites aux justiciables et aux citoyens.
21. Le caractère liberticide, répressif, assujettissant, confiscatoire de la loi, notamment l’existence de lois sur l’opinion.
22. Les 98 % de lois votées sans débat à l’Assemblée sous couvert de l’État d’urgence.
23. La subordination de la Justice au Ministère de l’Intérieur, confusion fatale des pouvoirs.
24. L’empiétement et la confusion entre les pouvoirs régaliens, la main-mise sur ceux-ci par le “président”, ayant de facto changé de statut.
25. Les trafics des votes et les fraudes électorales.
26. Le non-respect des votes exprimés et non exprimés au moment des élections (vote blanc inexistant).
27. Les manipulations successives de la loi électorale.
28. Les candidats élus avec une minorité de voix.
29. Le recours massif aux dispositions d’exception (article 49-3, lois anti-terroristes…).
30. La cession à des intérêts privés du vivant (semences, eau etc.).
31. Les épandages aériens toxiques.
32. L'abandon des populations amies (harkis mais aussi attachés afghans, indochinois etc.).
33. La disparition de l’intégrité des frontières et leur défense.
34. La disparition du droit de frapper monnaie et autres droits afférents.
35. La pauvreté. 19 millions de Français6 n’ayant plus que 100 € sur leur compte le 10 du mois, 12 millions de Français ne se chauffant plus normalement en hiver, 48 % des enfants en situation de “mal-être”.
36. Les association dissoutes (chrétiennes notamment).
37. La subordination des politiques aux citoyens (l’élu sert le citoyen).
38. La disparition de la liberté de circulation des personnes.
39. La sur-représentation du nombre d’agents de l’Etat par citoyen7.
40. Le nombre d’élus par citoyen.
41. La disparition de la liberté de pensée et d’expression.
42. La disparition de la clause de conscience.
43. Les passe-droits réservés aux membres du parti unique républicain.
44. La multiplication des institutions (par dizaines de mille).
45. Les contradictions entre les textes légaux.
46. Les empilements de textes réglementaires, leur imprécision, leur illisibilité y compris pour des experts, les principes énoncés et non respectés.
47. La multiplication des obligations légales, des normes, formulaires, le temps consacré par le citoyen aux administrations.
48. L’absence de réponse de la part de l’administration, en particulier les agences gouvernementales.
49. La corruption.
50. Les attentats sous faux-drapeau.
51. La communication et la détention illicite de données privées, spécialement à des services ou organisations étrangères, du fait d’une administration ou du fait de l’incapacité de l’Etat.
52. La préséance des agents de l’Etat sur le citoyen.
53. La disparition du respect de la propriété privée, des biens de chacun. Biens subtilisés aux citoyens par l’appareil judiciaire et placés sous scellés.
54. Les variations entre les traitements réservés selon la position sociale.
55. L’existence de castes, telle la magistrature, les journalistes, les membres de sectes (francs-maçonneries) et les privilèges dont elles bénéficient.
56. Les lois proposées par les sectes, passant par-dessus la volonté nationale.
57. La privation des droits constitutionnels des prévenus.
58. La disparition du respect des codes et les manipulations aberrantes de ces codes, notamment Code pénal et Code de procédure pénale.
59. Les Codes qui sont imposés au public alors qu’ils ne disent pas la loi ou même la contredisent, par exemple le Code de l’Education.
60. La disparition de droits de la défense.
61. Les fuites des dossiers de justice vers la presse.
62. L’incapacité des citoyens et des agents de l’Etat à comprendre la loi.
63. L’impossibilité des citoyens à mobiliser l’Etat.
64. La disparition effective du droit référendaire.
65. L’application réelle des peines prononcées en Justice.
66. La disparition de diverses libertés ou les restrictions de libertés (accouchement à domicile, école à la maison, naturopathie, médecine alternative...).
67. La disparition du respect des cultes, de l’intégrité des lieux de cultes et des sanctuaires (extinction du droit de refuge).
68. Les profanations officielles de lieux de culte.
69. Les budgets alloués au train de vie des élus.
70. La disparition du respect de la langue, de la culture et de l’identité nationale, de la préférence nationale en droit.
71. La disparition du respect de la réputation du citoyen, la calomnie et la diffamation par les organisations d’information bénéficiant de subventions publiques. La production de rumeurs par les mêmes.
72. L’impossibilité pour les citoyens d’accéder aux produits et services aisément et à proximité.
73. La promotion de mœurs outrageant la pudeur publique et la dignité individuelle, la pornocratie, la promotion de spectacles immoraux, satanistes, violents, les débauches ostentatoires.
74. Les traités signés avec l’étranger défavorables à la Nation.
75. La destruction des moyens de la Défense nationale.

Vous en trouverez probablement d’autres, que j’oublie sur l’instant. Pour chacun de ces points, la République française peut être blâmée. L’ensemble constitue une disqualification indiscutable. La République française n’est pas un Etat de droit.
(in Pensées Accouchées de la Prison d’Occident, Rémy D. WIEDEMANN, Le Moine-Guerrier éditeur)
https://d-wiedemann.com/produit/pensees-accouchees-de-la-prison-doccident/
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